Le Champagne et Ses Suites

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1975. Polaroïds and cassettes. A young couple explores.
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lexdepenny
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Comme, je pense, une grande majorité des hommes qui apprécient la beauté et la sensualité de leur épouse, j'adore prendre des photos de Charlotte. J'ai envie d'en faire de nouvelles. Et oui, des photos en tenue sexy et si mes vœux sont exaucés, de ma femme toute nue. Nous sommes très prévisibles, nous les hommes, je sais. Aujourd'hui, pas de problème, smartphone, appareil digital, webcam. A l'époque dont j'écris, il faut soit développer les photos soi-même, soit les faire développer. La première solution exige des compétences et du matériel que moi je n'ai pas, la deuxième comporte des risques. Moi, j'achète un simple appareil Polaroïd. Que du noir et blanc, mais on fait ce qu'on peut avec ce qu'on a.

« Yves? Pas la peine de faire cette tête innocente. C'est quoi, ce truc- là?

J'abandonne ma tentative vaine de cacher l'appareil jusqu'à un moment plus propice et je le montre à Charlotte.

- Je regardais les photos que j'ai prises de toi en bikini dans le jardin cet été.

- Entre autres, celle de dos quand tu as insisté que j'enlève le haut, par hasard?

- Euh, oui. J'ai pensé que j'aimerais bien en faire encore, si tu veux bien?

- Pas question. Ça ne me déplairait pas, en principe, mais je n'étais pas tranquille quand tu as apporté le film à développer, alors...

- Justement. Avec ce machin, ça se fait tout seul, dis-je, en espérant que les instructions - que je n'ai pas encore lues - ne mentent pas trop.

- Ah oui? Hmmm. On verra.

Ouf. Au moins elle n'a pas dit non tout court. On verra? Qui dit mieux? J'attends un moment opportun. Un samedi soir et on a fini une bouteille de blanc, plus un Calva chacun. Je vais chercher l'appareil et le sors de sa boîte, avec un regard interrogateur vers elle. Elle soupire.

- Attends! Je ne suis pas maquillée.

Cinq minutes d'attente. Elle revient, maquillée, en soutif et slip, et avec un petit sourire aux lèvres.

.- Je ne me fais pas d'illusions, me dit-elle. Je sais ce que tu veux.

Avec ses 80A de poitrine, Charlotte ne porte que rarement un soutien-gorge. J'en déduis qu'elle l'a mis pour avoir quelque chose à enlever. C'est du moins ce que j'espère.

Je prends une première photo. Il faut attendre un certain temps avant de séparer les deux parties du film. Je laisse quelques secondes supplémentaires pour ne pas brusquer le processus. Et voilà! Un cliché tout noir. Loupé. La seule chose qui me soulage, c'est qu'elle a l'air déçue, elle aussi.

Deuxième tentative. Je respecte le délai et voici ma belle en toute sa splendeur, ses longues jambes, sa taille fine et sa jolie figure. Bon, le soutif et le slip sont des plus quotidiens, mais, pour un début, je ne suis pas trop mécontent.

- Si tu perdais le soutif?

Elle soupire à nouveau et exécute. Clic. Trop pressé. On passe du tout noir au presque blanc. Le film a huit clichés et ça fait deux ratés sur trois. Calcul rapide. J'ai intérêt à faire mieux, sinon ça risque de revenir cher.

Clic. Rebelote et gagné. Elle est chouette en topless, ma femme. Elle est menue de poitrine, mais ce qu'elle me montre est très mignon. Elle regarde l'image de près.

- Intéressant. J'ai les tétons aussi pâles que ça? On les distingue à peine. Laisse mes seins tranquilles pour le moment, et voyons comment mes fesses se présentent. Je ne suis pas contortionniste et ce sera nouveau.

Elle descend son slip et j'utilise les quatre photos qui restent. Deux des quatre sont réussies et ma chérie trouve que ses fesses ont une forme et une ampleur tout à fait convenables du point de vue esthétique et comme elle les concevait. Séance terminée.

Deux semaines plus tard, elle revient des magasins et me tend un nouveau film.

- Je sais que tu es pressé d'essayer de nouveau, alors tiens, un cadeau.

Moi? Pressé? On dirait que je ne suis pas le seul.

Cette fois elle met son autre soutif. Elle n'en possède que deux, et la plupart du temps ses 80A lui permettent de vivre sans. On voit ses tétons à travers la dentelle, mais sur la photo que je prends ils sont toujours aussi invisibles. Pas assez de contraste en noir et blanc, et pas moyen de régler l'appareil pour faire une différence. Charlotte fait une moue et part à la salle de bain. Elle revient seins nus et je vois qu'elle s'est mis du rouge à lèvres sur les mamelons. C'est une nouveauté et j'apprécie. Elle est aussi curieuse que moi et on se penche sur le nouveau cliché.

- C'est mieux, dit-elle. Pas la peine d'être topless si ça ne se remarque pas.

En effet, le contraste est net, d'autant plus que ses tétons sont durs, et on les voit bien qui pointent quand je la prends de profile. Je finis le film là-dessus et on fait l'amour sur le tapis du salon. J'en devine que mon épouse prend goût à être photographiée seins nus et fesses nues. Le minou? Non! Pas question.

Je reviens d'une visite à Reims avec une bouteille de Champagne qu'on m'a offerte. Je sais ce que vaut cette bouteille haut de gamme dans le commerce et je suis tenté par l'idée d'associer sa consommation avec une soirée sexe... et photos. Je propose cela à Charlotte.

- Peut-être. Tu as un film?

- Ben, oui. Toujours l'optimiste, moi.

- Le Giacobetti des Polaroïd. Va mettre la bouteille au frais et prépare des bricoles à manger.

Elle s'enferme dans la salle de bain et je fais mes préparations. Je mets l'appareil de côté. Je préfère laisser la soirée se dérouler à son rythme. Champagne, petits plats à grignoter, de la lumière pour bien éclairer ma belle. Je suis en train de déplacer une lampe essentielle quand je trébuche sur son fil. Il faut que je répare la fiche. Allez hop! Boîte à outils et au boulot. J'ai à peine fini quand elle fait son entrée dans le salon. Je balance mes outils derrière le sofa vite fait. Elle est belle de nature, ma Charlotte, mais ce soir elle s'est maquillée avec soin, comme si on allait sortir. Elle a mis sa robe légère vert-pâle, que j'aime beaucoup, celle qui lui arrive à peine à mi- cuisse. Elle a les jambes nues, les pieds aussi. Je lui fais les compliments auxquels elle s'attend, et qu'elle mérite, et j'ouvre la bouteille.

Elle boit plus que sa part du Champagne. C'est un hasard, je ne fais pas exprès. Elle est plus friande de bulles que moi, c'est tout. La bouteille vidée, elle pose son verre et me regarde.

- Alors, ces photos? On les fait ou pas?

Je repêche l'appareil et je m'affaire à installer le film.

- Prêt? me demande-t-elle.

Je lève la tête et je la regarde.

Elle prend le bas de la robe à deux mains et la soulève très lentement, en dévoilant peu à peu son corps. Le slip vert qu'elle porte est en dentelle. Elle ne le met pas souvent. Elle l'a remonté sur ses hanches et le résultat est ce triangle aigu délicieux qui cache de justesse la fente de son sexe. Elle a réduit sa toison à un minimum. J'aurais aimé qu'elle soit complètement rasée, mais Charlotte n'est pas une femme qu'on peut brusquer. Profitons de ce qui est offert, sans se préoccuper de ce qui ne l'est pas. Elle n'a pas mis de soutif. Je ne m'en plains pas, j'aime beaucoup cette poitrine plate qui rend le port d'un soutien-gorge facultatif. Elle a colorié ses tétons de nouveau. Le rouge qu'elle a mis cette fois-ci est presque marron. Le contraste entre la pâleur de sa peau et les tétons plus foncés est frappant; d'autant plus, parce qu'ils sont de nouveau en pleine érection. Elle ne bouge plus. De sa figure je ne vois que les yeux qui me scintillent par-dessus la délicate barrière de tissu vert. Je prends la photo.

Elle lâche sa robe et vient s'agenouiller à côté de moi. On attend impatiemment que l'image ne se révèle.

- Wow. Tu es super!

- Tu trouves? Elle rit.

- Et comment! Heureusement pour moi. Comment tu te trouves?

- Je ne suis pas si mal que ça. Comme c'est en noir et blanc, c'est comme si ce n'est pas moi, alors que je sais pertinemment que je suis cette femme qui montre ses seins et sa culotte, si tu me comprends. Tu me trouves sexy?

- Oh oui! Et comment!

- Pas trop maigre? Je ne suis pas trop plate?

- Jamais de la vie! Puis tes tétons...j'adore ce que tu leur as fait. Ils sont merveilleusement beaux.

- Ce n'est pas mon rouge à lèvres habituel. Je l'ai acheté en plus foncé exprès pour ce soir...et peut-être qu'il en restera pour d'autres soirées, si tu es sage.

Logiquement, ça veut dire que la séance d'aujourd'hui ne sera pas unique. J'en ai une érection qui me fait presque mal. Elle se relève.

- Dis-moi comment me mettre. Tu dois savoir ce que tu cherches, me dit-elle.

La robe s'envole. Je prends une photo d'elle juste en slip. Une autre de derrière, où elle tire le slip entre ses fesses. Je lui demande de rentrer le devant entre les lèvres de sa vulve. C'est une lubie que j'ai. J'adore la voir comme ça. Désastre! Le cliché pourrait tout aussi bien montrer un chat noir dans une cave sans lumière à minuit... Je suis sur le point de lui demander de reprendre la pose, quand je me rends compte qu'elle s'est mise complètement nue, et ne cache plus rien de son jolie minou, avec sa fente si fièrement exposée. Elle tient la bouteille vide entre ses seins. Le long col, particularité de cette marque, fait vraiment phallique. Je prends une photo, qui, étant donné l'air de séductrice que ma femme affiche, me plaît énormément. Je me dis que si elle est d'humeur coquine ce soir, pourquoi ne pas pousser plus loin?

Quand je lui demande de remettre sa robe, elle est surprise, croyant peut-être que j'arrête la séance, mais elle s'exécute. Je lui demande de se mettre à genoux et de relever sa robe jusqu'à ce que son minou soit tout juste visible. Je me mets à genoux en face d'elle pour chercher l'angle bas que je veux. Je lui demande d'écarter les cuisses pour que ses genoux soient à une vingtaine de centimètres l'un de l'autre. Elle commence à comprendre et se relève un peu. Je place la bouteille entre ses cuisses, directement sous son sexe, et je prends la photo. Elles sont superbes, la photo comme la femme. Malgré l'air innocent de sa figure, on dirait que ma femme est sur le point de se baisser sur le goulot, qui n'est qu'à un millimètre de son minou.

- Le parquet me fait mal aux genoux. Je peux changer de place? demande-t-elle.

Elle recule, toujours à genoux. La bague de la bouteille frôle son sexe au passage et ça la fait rire. Je lui jette un coup d'œil en levant les sourcils. Elle ne dit pas non. Je prends la bouteille et j'enlève ce qui reste du papier d'argent qui entoure le col. Elle reprend position, sur le tapis cette fois, au dessus de la bouteille. Elle se baisse un peu trop vite. Le haut de la bouteille bute contre son entrejambe. Elle fait une grimace, puis se sert de ses doigts pour séparer les lèvres intérieures de son sexe. Petit à petit, elle se laisse descendre, et la bouteille rentre dans son vagin de deux ou trois centimètres. Elle ne me quitte pas des yeux, comme pour être sûre que son public apprécie ce qu'elle est en train de se faire. Comme si j'allais manquer un instant de ce moment si intense! Je recule un peu et je cale l'appareil sur une table basse. J'ai la main qui tremble et je ne veux pas louper ce que j'ai devant l'objectif. Une photo d'un sexe anonyme ne suffira absolument pas; ce que je veux, c'est faire un portrait de mon épouse, 30 ans, expert comptable, qui porte une robe et qui, pourtant, toute souriante, exhibe son sexe. Ma femme qui se laisse photographier à califourchon sur la bouteille de Champagne qui la pénètre. Clic! Attente nerveuse. Gagné!

Il ne me reste qu'une seule photo et je suis tenté de la prendre quand elle se laisse descendre sur la bouteille pour que le col rentre davantage. D'après les yeux à moitié fermés et le besoin qu'elle ressent de passer sa langue sur les lèvres, il est évident que la sensation lui plaît. Elle continue à monter et à descendre, et quand je regarde de près, ses jus sont en train de laisser des traces sur le verre. Elle me tourne le dos et se penche en avant. Elle remonte sa robe pour me montrer ses fesses, sans arrêter ses mouvements sur la bouteille. Ce serait normalement une invitation pour que je titille sa rondelle avec ma langue, ce qu'elle adore...moi, aussi, mais le col de la bouteille disparaît de toute sa longueur dans son sexe maintenant, et la forme de la bouteille rend impossible l'accès dans sa position actuelle. Que faire?

Elle appuie son torse sur le pouf en cuir, souvenir de vacances au Maroc, pour avoir une position plus stable. Elle se cambre et se sert de ce gode improvisé pour se ramoner avec enthousiasme, pendant que sa main libre travaille son clitoris. Sa petite rondelle papillote involontairement. Je mouille mon majeur dans la bouche et j'appuie dessus. Je n'ai pas besoin de forcer, mon doigt glisse dedans, tout naturellement, de toute sa longueur. Elle grogne son plaisir. La respiration rauque de ma mie me déclare qu'elle est perdue dans les sensations et que l'orgasme n'est pas loin. Que faire? Est-ce que je peux rendre ce moment, déjà hyper-excitant, encore plus fort? Inspiration! Je retire mon doigt. Elle gémit son mécontentement. De là où j'ai balancé ma boîte à outils, je saisis un tournevis par la lame. Ma femme bloque son haleine, elle est à des micro-secondes de la jouissance. D'un coup, j'enfonce la poignée du tournevis de toute sa longueur dans son cul. Elle laisse tomber la bouteille, beugle et jouit, très fort, puis s'effondre, en haletant, sur le pouf.

Je la laisse reprendre haleine. Elle commence à geindre ; le tournevis envahisseur la démange. Je lui demande de ne pas bouger et je remets la bouteille en place. La robe témoignera que c'est bien de ma bien-aimée qu'il s'agit, ses fesses tendues en gros plan vers l'objectif, avec le goulot d'une bouteille de Champagne de grande marque enfoui profondément dans son sexe. Ça ne me suffit pas.

- Tu veux tourner la tête et me regarder par-dessus ton épaule? je lui dis.

- Comme ça?

- Oui. Super!

La figure de mon épouse est bien reconnaissable sur la photo que je prends. Mon épouse qui a, sans aucun doute, la poignée entière d'un tournevis, d'une bonne quinzaine de centimètres, enfilée dans son cul, parce qu'il n'y a que la lame de vingt centimètres qu'on voit, qui sort de son anus comme une fine queue en acier brillant.

Elle pose la bouteille et me demande de retirer le tournevis qui la sodomise. La poignée est ovale en plastique jaune et lisse, avec un diamètre au plus gros point de quatre centimètres. La rondelle de Charlotte s'est refermée autour du col plus fin où la lame est attachée. Je commence à retirer l'envahisseur. Je tire lentement dessus jusqu'à ce que le muscle de son anus commence à se dilater. Sa respiration accélère et elle gémit. Juste avant le plus gros de la poignée, je lâche, et la poignée est naturellement aspiré de nouveau dans le cul de ma femme. Ça me vaut une engueulade de Madame, qui trouve que je m'amuse à la faire souffrir. Je plaide coupable, parce que j'entends l'excitation dans sa voix. Rebelote. Je tire, j'attends qu'elle se mette à haleter et je relâche. L'opération dure au moins deux minutes et si elle se plaint, les gloussements quand elle est de nouveau remplie démentent ses paroles. L'opération terminée, j'observe, fasciné, sa rondelle qui subit des contractions répétées pour se remettre à son état normal, avant que je ne dépose un baiser dessus, pour me faire pardonner. L'absolution totale vient quand elle se met assise parterre et regarde la photo.

- Je suis indécente, tout de même, non? Tu m'as eue, espèce de sexomane! me dit-elle. Quelle idée de me mettre dans cette position et en faisant ça...tu n'as pas honte?

- La position, c'est toi qui l'as choisie! Et je n'ai absolument pas honte!

- Eh bien moi si, et comment! J'ai suffisamment honte pour nous deux.

On dirait qu'elle est un peu fière de cette photo, malgré tout.

- Tu ne la montreras pas à n'importe qui, j'espère? me demande-t-elle.

- Certainement pas! Quoique...

- Je te connais, toi! J'ai bien peur que tu ne résisteras pas à la tentation de me montrer en topless à un ami...ou même deux, n'est-ce pas?

Je ne peux pas nier que je serai très tenté, donc je n'essaie pas. Elle me fait une signe d'abnégation :

- J'en étais sûre. Soit. Si c'est ce que tu tiens à faire, j'accepte, mais attention, tu choisis bien qui me verra comme ça. Et tu me diras qui c'est, qui m'aura vue seins nus, d'accord? Par contre, celle-là, non. Je suis trop obscène...

- Mais non, tu n'es pas obscène! Obscène, ça veut dire moche, alors que c'est une photo super-érotique. Tu es Incroyablement sexy, mais pas obscène.

- Moi, je me trouve totalement obscène. Mais c'est une image de moi qui est très forte, quand même...

Elle se couche sur le tapis, ses cuisses largement ouvertes et les genoux repliés. Elle indique la bosse dans mon jeans. Sa voix est pleine de désir :

- Viens me faire l'amour, Yves, et bien fort!

Finie la séance, elle me laisse prendre toutes les photos sauf la dernière, qu'elle garde pour elle. Charlotte a une boîte à secrets à laquelle je n'ai pas, en principe accès. Je dis en principe, parce que de cette photo-là, j'ai besoin de m'en rafraîchir la mémoire de temps en temps. Si les autres de cette séance présentent ma femme sous une lumière flatteuse, j'aurais du mal à qualifier celle-ci de belle. Excitante, oui. Érotique, certainement, mais je l'admets, une femme qui tend ses fesses ouvertes en gros plan vers l'objectif, le cul et le con bourrés d'objets insolites, a sacrifié sa beauté. En revanche, elle se montre superbement pornographique.

Le problème avec les enfants en bas âge, c'est qu'ils n'ont aucune idée de pourquoi ils font ce qu'ils font, la plupart du temps. Nous, les adultes, on ne comprend jamais comment ils arrivent à trouver des trucs qu'ils n'auraient pas dû. La nièce de Charlotte ne fait pas exception à cette règle. Je la retrouve dans notre chambre, avec le plus petit des vibro que j'ai offerts à ma femme dans une main, et la photo dans l'autre. Je les libère aussi discrètement que possible, au moment où sa mère entre. Heureusement, Angélique a besoin de mon aide pour détourner la colère de sa maman, qui la cherche depuis vingt minutes. Elles ont un train à prendre. On doit partir illico pour la gare, et si j'ai le temps de balancer le vibro dans un tiroir, je ne trouve pas d'autre remède que de glisser la photo dans mon portefeuille pour la sauvegarder. J'ai l'intention de la remettre à sa place, mais je suis un homme et j'oublie.

Quelques jours plus tard, je suis en train de me rhabiller dans les vestiaires de la gym, quand mon portefeuille s'évade de ma veste et éparpille son contenu par terre. Mon meilleur pote Adam, toujours prompt à donner un coup de main, ramasse mes cartes et mes billets...et la photo. Il est déjà venu dîner deux fois chez nous avec Farida, sa femme, donc il reconnaît tout de suite mon épouse.

« Putain! Ouah! Qu'est-ce que c'est que ça? Mais... c'est Charlotte!

Heureusement que nous sommes seuls. J'ai des amis qui se seraient fait un plaisir de me piquer la photo, mais pas Adam. Ce qui ne l'empêche pas de bien la regarder avant de me la rendre.

- Jamais je n'aurais cru... Bon, elle est belle, Charlotte, et bien faite dans son genre, mais la voir comme ça! Tu n'es pas le seul à avoir des photos intimes de son épouse, mais là... »

Décidément Adam, qui n'est jamais à court de paroles, ne sait pas quoi dire. Que faire? Il ne peut pas ne pas avoir vu la photo, alors comment résoudre la situation?

- Tu dis que je ne suis pas le seul...?

- Okay. Ma grande gueule. J'en ai pris de Farida, à la plage cet hiver aux Caraïbes. Si je te les montrais pour nous mettre à égalité? Enfin, pas tout à fait. Voir Farida comme sur cette photo serait un rêve pour moi, mais c'est pas pour demain la veille.

Sa compagne est une jolie brune de vingt-huit ans. Si Charlotte est grande, blonde, plutôt filiforme, Farida est petite et bien roulée avec, on le devine, une belle poitrine que ma femme lui envie ouvertement. On ne peut que la deviner, par ce que Farida s'habille de façon très conservatrice ; une longue jupe jumelée avec un énorme pull ou un tunique qui lui donne une silhouette de grand-mère russe, selon la saison. J'ai toutefois des soupçons sur son comportement en privé, en lisant entre les lignes de quelques bribes laissés tomber par Adam. J'aurai beaucoup de plaisir à découvrir ces beaux seins tant soit peu dévoilés, ne serait-ce qu'en maillot de bain.

lexdepenny
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