Le Cadet

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Ils s'échangeaient leurs impressions le soir, au diner, et dans les chambres la nuit, on pouvait entendre des soupirs.

La belle vie en somme! Et Bruce se fondit vite dans ce moule.

Le dimanche à l'église toute proche, ils disaient la messe à tour de rôle, mais la plus prestigieuse des messes était celle de dix heures, celle où l'on voyait les officiers de marine en uniforme, entourés de leurs femmes et leurs progénitures, tout ce petit monde rivalisant de toilettes plus chères les unes que les autres. Bruce n'était pas dupe, lui qui aimait venir la pour contempler la foule de sa paroisse et puis faire petit à petit connaissance avec ses ouailles. Au fil des mois il avait appris à connaitre les familles, et parfois il était invité au sein même de celles-ci.

Ce n'était pas la part de sa fonction il aimait le plus. Souvent ces repas étaient d'un ennui mortel, les bourgeois voulant en rajouter dans la bondieuserie ils commençaient leur repas par la prière et le reste du temps leur air compassé rendait Bruce mélancolique pour la soirée. Bien souvent il ne savait que dire quand s'installait parfois des silences gênants.

Pourtant un soir qu'il dinait dans la famille d'un capitaine de corvette, entouré du maitre des lieux, de sa femme et de ses quatre enfants, Bruce perçut une petite lueur dans la grisaille du morne souper. Il était assis en face de la maitresse de maison, il écoutait pérorer le capitaine qui lui racontait ses campagnes, masquant au mieux son ennui. Il leva les yeux de son assiette et croisa le regard clair de madame de la Bretèche qui lui décocha un sourire. Bruce ne put s'empêcher de rougir et aussitôt il s'en voulu de cet émoi mal contrôlé.

Au cour du repas, madame lui décocha d'autres sourires pendant que le mari énumérait ses exploits, non sans faire savoir que très bientôt, il appareillerait pour le Pacifique où l'attendait d'autres aventures. Bruce acquiesça poliment, il posa deux ou trois questions, d'histoire d'être urbain mais au fond, il s'en fichait pas mal que le capitaine De La bretèche file à toute vapeur vers les iles lointaines juché sur la dunette d'un destroyer!

Pourtant, en levant encore les yeux de son dessert, fort délicieux, pour en faire compliment à l'hôtesse, il croisa son sourire une fois encore. Un sourire ambigu, en tout cas, Bruce le jugea ainsi. Il en fut si troublé qu'il rougit dans l'instant, honteux de montrer son trouble à l'épouse du capitaine.

Après le dessert, on passa au salon, le capitaine sortit les cigares, toujours très disert et la soirée se poursuivit. De temps en temps, la discrète épouse, à l'écart des hommes, levait le nez pour fixer Bruce avec intensité, ce qui avait le don de faire piquer un far au prêtre quelque peu décontenancé, et de faire dresser sous sa soutane l'objet qui l'obsédait tant

Après son retour au presbytère, il eut du mal trouver le sommeil, se tournant et se retournant dans son lit. Ce ne fut qu'aux premières heures qu'il trouva un repos troublé de rêves agités.

Au matin, Bruce avait des cernes sous les yeux. L'abbé Kermarec vint se glisser à sa table de petit déjeuner et le regarda avec un sourire entendu.

« Alors Bruce, tu as passé une bonne soirée? »

« Mmm » marmonna le jeune prêtre.

« La femme de La Bretèche est une épouse délicieuse n'est-ce pas? »

Bruce s'arrêta de mastiquer son pain pour mieux regarder son collègue.

« Que veux tu dire? » Il était sur ses gardes, prêt à mordre.

« Allons mon ami, ne sois pas si susceptible, tout le monde la connait ici la femme du capitaine! »

« Comment cela? » demanda Bruce de plus en plus inquiet.

« Hé bien c'est simple, à chaque campagne de son mari, elle se rabat sur nous sur assurer le relais de son mari. »

Bruce en resta sans voix, la tartine à mi chemin de sa bouche restée ouverte.

Kermarec éclata de rire en le voyant. « Ne sois pas si surpris, elle n'est pas la seule loin de la! Elles viennent toutes ici réclamer ce qu'elles considèrent comme leur du quand leurs maris voguent sur les flots. Elles ne veulent pas d'un amant en ville, mais d'un prêtre, oui, c'est plus discret, plus ...convenable aux yeux de ces bourgeoises bigotes ayant le feu aux fesses. »

Bruce fut choqué du vocabulaire utilisé par Kermarec, celui-ci s'en aperçu, il soupira « Tu en verras d'autres dans cette paroisse, et de moins belles, le monde est ce qu'il est mon jeune ami, il faut le prendre comme il est et non pas le rêver. Après tout si ces femelles ont besoin de males, et qu'elles s'adressent à nous, je ne vois pas pourquoi nous nous refuserions. »

Il se leva et fit mine de s'éloigner, mais avant de partir il se pencha à nouveau vers Bruce et lui murmura à l'oreille « De ses quatre enfants, il n'y a guère que l'ainé qui soit le fils de son mari, les autres sont fils de prêtres. »

La dessus il tourna les talons en laissant Bruce dans une perplexité sans fond.

Une semaine plus tard, le destroyer « Du Petit thouar » quittait majestueusement le quai, tiré par deux remorqueurs, à la passerelle le capitaine de vaisseau De La Bretèche salua sa femme et ses enfants sur le quai qui agitaient leurs mains. Peu à peu le vaisseau prit le large, suivi d'autres bateaux de la flotte, les femmes essuyèrent une larme, les enfants se tournèrent vers autre chose et la vie repris son cours.

Au presbytère, d'aucun se frottaient les mains en riant sous cape, mais discrètement! Les gens sont si méchants et si prompts à faire circuler des ragots.

Le Vendredi suivant Bruce était de confession à l'église. Tout à coup il sursauta, il venait de sentir le parfum délicat de madame de La Bretèche. Troublé, il lui demanda si elle voulait se confesser, elle répondit oui et entra vite en confession pour avouer des banalités ce qui ennuya un peu Bruce. A la fin de la confession, il lui ordonna quelques prières et il s'apprêtait à refermer la petite fenêtre grillagée qui les séparait lorsqu'elle l'appela.

« Mon père, pourriez vous vous rendre libre demain en début d'après midi, j'aimerai vous voir, vous pourrez passer chez moi je vous attendrai. »

Sans attendre la réponse, elle se leva et tourna les talons, laissant Bruce dans un monde de perplexité.

Il finit assez péniblement son temps de confession, plutôt distrait, il expédia ses ouailles avec quelques avés et des « Je vous salue Marie »

Il se garda bien de dire ce que lui avait demandé madame de La Bretèche, connaissant mieux son entourage, ils n'auraient pas manqué de faire des gorges chaudes de ce rendez vous singulier.

Néanmoins il se rendit libre pour l'après midi du lendemain assez facilement, prétextant quelques courses à faire et des visites à des malades.

Il quitta le presbytère au début de l'après midi, pris sa voiture et partit par les rues pour brouiller un peu les pistes. Il tourna à droite, à gauche pour finalement se garer assez loin de l'appartement des La Bretèche. Regardant à droite et à gauche comme un conspirateur, il se décida enfin à se diriger vers l'immeuble cossu du boulevard. Il monta les escaliers le cœur battant et sonna à la porte à l'heure dite.

Sans attendre la porte s'ouvrit, la voix de madame de La Bretèche l'invita à entrer sans qu'il ne la vit, il fit un pas dans l'appartement, la porte se referma derrière lui et elle lui apparut.

Hélène de La Bretèche était en guêpière noire parée de dentelle, des bas de la même couleur voilaient ses jambes et elle lui souriait légèrement déhanchée, perchée sur ses talons interminables, les mains posées sur ses hanches.

Comme il restait bouche bée devant le spectacle de la femme offerte, sans pouvoir proférer un mot, elle attaqua: « Je vous plais? »

Il bredouilla des choses inintelligibles mais dans sa soutane, sa bite avait fait un bond comme jamais elle ne l'avait fait au paravent. Fini la photo jaunie de sa mère en dessous, il avait devant les yeux la quintessence de la féminité.

Le voyant paralysé de surprise, Hélène le prit par la main et le mena a sa chambre où elle s'allongea sur le lit, toujours souriante. Comme il demeurait la sans bouger, Hélène se releva et commença à défaire les boutons e la soutane. Cela lui prit un moment sans que Bruce ne réagisse. Il restait la, sans qu'une geste, sans que la moindre initiative puisse lui venir à l'esprit. Quand elle eut tout déboutonné, elle fit glisser la lourde robe du prêtre qui tomba à terre avec un bruit mat. Lui enlever ses dessous fut un jeu d'enfant pour Hélène, quand Bruce fut nu elle le fit basculer sur le lit en riant. Elle tomba sur lui et aussitôt elle lui confisqua son sexe. Il ne lui avait pas échappé que Bruce était bien pourvu par la nature.

« Hé bien pour un curé t'as une belle bite mon cochon! »

Le ton était aux antipodes de ce chuintement haut perché qu'elle affectait en société. Dans son intimité elle se révélait telle qu'en elle-même, une fille des bas fonds, repêchée par un jeune homme naïf et sans expérience à qui elle avait raconté une vie rêvée d'orpheline échouée la pour être la bonne dans une famille aisée. Il l'avait cru, il l'avait fréquentée, ils étaient devenus amants et bientôt il fallut penser au mariage. D'aucun dans les campagnes bretonnes appellent ça le coup du canapé, une pêche infaillible aux midships!

Hélène avait fait bonne pêche, un noble en plus! Une petite noblesse certes, mais un noble quand même. Elle t'allait lui renouveler le sang bleu au vicomte!

En riant elle bascula sur le lit, entrainant Bruce par dessus elle, un Bruce tétanisé, n'osant avouer que c'était la première fois que ...Enfin ...Mais Hélène s'aperçut vite de son inexpérience. Elle en rit de plus belle, un curé puceau! On aura tout vu c't'année!

« Viens mon chéri je vais t'apprendre des trucs cochons, je vais te mettre au diapason de tout le presbytère. »

« Co...comment? Tout le .... »

Hélène n'en pouvait plus de rire.

« Mais non! Ne t'imagine pas que tous les curés du presbytère me sont passés sur le ventre! Juste deux ou trois pas plus, et discrets avec ça! Je les choisis, j'ai l'œil pour ça! Tiens, toi j'ai vu tout de suite que tu étais le bon gars, en plus j'ai de la chance t'as une bite d'enfer!

Oh! Pardon mon Père! Ça m'a échappé. »

Ce faisant Hélène prit la bite tendue entre ses doigts. Bruce se raidit, elle était la première a lui prodiguer cette caresse. Hélène sentit bien la solennité de l'instant. Elle ne rit plus et caressa doucement la bite qui palpitait sous ses doigts.

Il ne tarda pas à jouir, Hélène s'y attendait, le sperme gicla sur la guêpière au niveau de ses seins, maculant de blanc la dentelle noire. Bruce en fut confus et honteux de voir une femme assister à son éjaculation., mais Hélène le mit à l'aise, trouvant les mots qu'il fallait pour le détendre. Il s'inquiéta de savoir s'il allait rebander mais quand elle lui prit la main pour la glisser entre ses cuisses, il ne se posa plus la question.

Bruce caressait une femme pour la première fois de sa vie, Hélène en était émue, elle écartait au mieux ses cuisses, lui laissant le plaisir de la découverte. Il se prit de curiosité, lui écartant la culotte il mit à nue la fente de la femme. Il la trouva humide et se demanda si cet état était permanant. Il demanda à Hélène si elle était toujours ainsi, humide.

« Oui mon chéri! je suis toujours mouillée, surtout quand je vois un homme comme toi! »

Il glissa timidement un doigt dans la fente, les lèvres s'ouvrirent et son doigt se trouva dans une douceur chaude et humide. Hélène esquissa quelques mouvements du bassin pour lui signifier son envie et Bruce agita ses doigts dans son vagin.

Le jeu dura un moment avant que Hélène ne commença à gémir, Bruce s'en inquiéta et voulut enlever ses doigts. Hélène lui saisit vivement le poignet et l'obligea à continuer. Elle ne tarda pas à jouir dans des cris rauques qui lui sortaient de la gorge. Bruce en fut très impressionné.

« Viens, viens en moi, vite! »

Sans attendre une réponse Hélène entraina Bruce à sa suite, elle s'allongea sur le lit emmena Bruce dans sa chute. Elle l'enlaça de ses bras et ils roulèrent sur la couche confortable du couple de La Bretèche.

Bruce ne savait plus où il en était, il paniquait, perdait les pédales devant cet ouragan qu'était cette femme qui avait pris possession de lui. Il voulut lui dire, lui faire savoir qu'il n'avait aucune expérience du sexe, qu'il était vierge, etc...Mais rien n'y fit, Hélène prit son sexe en main et déployant une habileté diabolique elle fit en sorte qu'il se retrouva sur elle, le sexe à l'entrée de sa fente ouverte et offerte.

« Vas y! »

Ce fut les seules paroles qu'elle prononça, l'invitant d'un coup de rein à poursuivre l'œuvre. Bruce ferma les yeux il donna le cou de rein qu'elle attendait, il sentit une brulure furtive au niveau de son sexe qui lui tira une plainte en même temps il sentait son membre s'enfoncer dans une douceur chaude et humide. Hélène soupira, son soupir se prolongea en un gémissement. Son corps devint une chose malléable, elle s'offrit au sexe qui la prenait, qu'elle sentait palpiter en elle.

Bruce ne savait que faire, il sentait monter le désir, et plus encore il sentait venir l'instant de l'éjaculation. Ce fut la panique dans sa tête, il voulut se soustraire, sortir de ce sexe qui l'aspirait, mais elle le retint, ses deux jambes nouées sur ses reins.

Bruce se défendit, « Je vais jouir, je vais jouir! » dit il complètement paniqué, persuadé qu'il allait faire une grosse bêtise, qu'il allait la mettre enceinte, il ne voulait pas! Son corps refusait.

« Allons! Ne panique pas comme ça! Laisse toi aller, j'irais me laver après, rassure toi, je ne suis pas dans un bonne période je ne risque rien. »

Il se calma un peu et retrouva un semblant de calme, malgré le reste de panique qui courait dans sa tête. Il ne réfléchissait plus, Hélène sous lui semblait si petite, si offerte, si fragile, il la regardait comme s'il découvrait une femme pour la première fois de sa vie. Elle lui souriait, l'encourageant au mieux le mettant en confiance et y parvenant à force de caresses et de douceur.

C'est dans cet état de trouble extrême que Bruce se laissa aller.

Ce fut une vague, une sorte d'ouragan incontrôlable qui l'emporta loin de tout, lui faisant oublier la chambre où il se trouvait, la ville où il était et si loin du presbytère où l'attendait à la fois ses congénères mais aussi ses obligations de prêtre.

Des secousses puissantes lui secouèrent le bas ventre, il donna frénétiquement des coups de rein furieux avant de laisser le flot de son sperme jaillir et inonder le vagin de madame de la Bretèche. Il sentit qu'il la remplissait de son onctueux nectar jusqu'à déborder du calice intime et mouiller le drap en dessous de leurs corps enlacés.

Bruce était hébété par ce qui lui arrivait. Il se sentit tout à coup honteux, il avait trahi son serment, trahi l'église, trahi la confiance de son hôte, monsieur de la Bretèche qui naviguait maintenant si loin de cette chambre où sa femme se donnait si facilement.

Il voulait fuir, partir, loin. Faire pénitence, voila le salut, oui, faire pénitence, dans un couvent, loin d'ici, loin des femmes, loin de tout. Il se leva d'un bon et s'habilla à la hâte sous l'œil amusé d'Hélène qui le regardait faire.

Elle se leva à son tour et partit pour la salle de bains. Bruce entendit l'eau couler alors qu'il s'acharnait à reboutonner sa soutane. Quand elle réapparut, elle était en peignoir de soie bleue nuit. Elle le regarda un sourire au coin des lèvres.

« Non, tu ne t'en iras nulle part mon chéri! Je t'attendrai demain à la même heure et tu seras la » dit elle en s'approchant si près qu'il sentit son souffle sur ses lèvres. Cette femme était un démon, mais un démon si persuasif!

Il faisait presque nuit lorsque Bruce regagna le presbytère. Kermarec vint à sa rencontre. Il semblait à Bruce que celui-ci l'attendait, un sourire au coin des lèvres.

« Alors, tu as passé un bon après midi? » s'enquit il.

« Heu, oui ....oui » Buce se sentait si penaud, si malheureux dans le fond d'avoir si facilement trahi sa promesse qu'il ne savait que dire.

Kermarec lui fit face: « Je sais parfaitement où tu as passé ton après midi » dit il. Et crois moi tout le monde le saura bientôt, même si tu peux me faire confiance pour la discrétion. Ne te mets pas dans un tel état, nous sommes tous au même point. Que veux tu, les femmes sont ainsi, dès que le mari a le dos tourné elles ne pensent qu'à ça! Madame de la Bretèche n'est pas la pire, il y a bien d'autres et bien plus nymphomanes crois moi. »

Bruce demeura sans réponse, la tête vide il se demandait dans quel univers il venait de basculer. Pas facile d'admettre cette réalité la après ce qu'on lui avait enseigné. Bien sur on l'avait mis en garde, plusieurs fois et de façons différentes sur le démon qui rode toujours autour des jupes des filles, mais de la à penser que le presbytère tout entier....

Il passa une nuit fort agitée, remuant toutes ses contradictions en lui, ses convictions bafouées, le plaisir qu'il avait pris et qu'il ne pouvait nier. Il banda encore, pria et se cacha dans l'oreiller mais le corps d'Hélène lui apparaissait dans sa nuit, affolant, bandant, désirable. Il se masturba, jouit encore et trouva enfin un peu de repos.

Le lendemain les stigmates d'une nuit courte étaient si visibles que Kermarec ne put s'empêcher de lui faire la remarque. Bruce piqua un far, un de plus, il baissa les yeux et se promit de se confesser et de faire pénitence. Cependant il lui revint en tête ce rendez vous que lui avait donné Hélène pour l'après midi. Toute la matinée il fut tiraillé entre la résistance et l'envie qu'il éprouvait déjà. Sa bite se dressait sous la soutane quand il tomba à genoux dans l'église pour une prière ou il implora le ciel de le laisser en paix.

Rien n'y fit, il devint douloureusement dur et Bruce eut la sensation que toute la ville savait qu'il bandait. Il rasait les murs pour rejoindre le presbytère, il baissait les yeux quand il croisait une femme, ses joues étaient rouges et ses yeux brillaient d'une lueur si trouble.

Pourtant, Bruce fut incapable de résister plus longtemps. Après le déjeuner, il s'éclipsa le plus discrètement possible et fila droit chez les la Bretèche.

L'accueil d'Hélène fut en tout point égal à la veille, sous le peignoir elle arborait des magnifiques dessous sexy auxquels Bruce ne put résister. Leur étreinte fut instantanée et les entraina inexorablement vers le lit conjugal qui gémit quand ils basculèrent enlacés l'un à l'autre. Leur fougue les emmena loin du monde, loin de leur position sociale respectives faisant d'eux des bêtes assoiffées de sexe. Bruce se déchaina, cette fois sans aucune retenue, il apprit vite d'hélène les positions et les caresses qui font jouir les femmes. Elle l'encourageait de la voix et du geste, elle se donnait à lui trop heureuse de trouver la un partenaire à la hauteur de ses propres vices, à la hauteur de ses attentes, un presque puceau qu'elle allait désormais éduquer pour qu'il soit le baiseur qu'elle attendait depuis si longtemps. Elle s'offrait sans retenue, les cuisses ouvertes, les reins cambrés à la rencontre de la bite qui lui pilonnait le ventre avec régularité. Il avait joui en elle dès le début mais il était resté raide et elle l'avait encouragé à continuer ses coups de reins puissants qui lui tiraient des râles à chaque fois que son gland investissait son ventre au plus profond d'elle-même. Hélène jouissait aussi, frissonnante, elle s'abandonnait aux vagues de plaisir qui l'emportaient les unes après les autres, et c'était comme les bienfaits vénéneux d'une drogue dont elle se sentait de plus en plus accro. La jeunesse et le tempérament de Bruce firent le reste, finalement le jeune curé sombra corps et bien dans la découverte du vice, guidé par une hélène de la Bretèche qui trouvait la un terrain favorable à l'épanouissement de sa nature foncièrement vicieuse.

Il la prit de toutes les façons possibles, Hélène était souple comme une liane, elle le guidait, lui donnait toutes les ficèles et tous les trucs qui mènent une femme au nirvana. Bruce apprenait vite, il prenait conscience de la puissance de sa bite, de la force qu'elle représentait il prenait conscience aussi, que la nature l'avait pourvu d'un outil exceptionnel. Ses progrès furent fulgurants et il devint ce jour la, un amants que bientôt, toutes les femmes de marins s'arrachèrent.

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