Laura Devient Sa Chose

Informations sur Récit
L'enlèvement et la décadence d'une jeune femme.
2.2k mots
4.13
19.8k
4
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/15/2021
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Bonjour, je m'appelle Laure et je m'apprête maintenant à coucher par écrit mes aventures. Si je devais me décrire physiquement, je suis une jeune femme de 25 ans, d'1m65 pour 55 kg. Je me trouve un peu ronde, mais la nature à eu l'avantage de me donner une belle est grosse poitrine qui plais beaucoup aux hommes. J'étais brune aux yeux bleus, un petit visage rond aux lèvres charnues. J'avais plutôt du succès avec les hommes, même si en réalité j'étais plutôt sage.

Ma vie bascula pendant une soirée étudiante qui devait fêter l'obtention de mon diplôme d'ingénieur. Ce fut une très grosse soirée, sans doute un peu trop. J'y buvais beaucoup d'alcool afin de « rentrer dans l'ambiance » comme disais mes amis.

Mon prochain souvenir fut de m'être réveillé allongé sur le dos et dans le noir. En fait mon corps ne me répondait plus du tout, mes yeux étaient clos. Je voulais hurler à l'aide, mais ma bouche refusait de répondre. J'entendais les sons d'un réanimateur médical et ce fut une voix de femme qui capta mon attention :

« Je suis désolé pour votre fille, on a vraiment tout fait, mais ses amis nous ont prévu trop tard pour qu'on la sauve de son coma éthylique. Il n'y a plus rien à faire, son cerveau est mort. Vous m'avez fait par de sa volonté de ne pas la maintenir dans cet état inutilement, c'est donc le moment de lui dire au revoir. Encore tous mes condoléances »

J'avais envie de hurler, de dire que c'était une erreur et que j'étais vivante, en vain.

Je n'oublierais ensuite plus jamais les messages d'adieu de mes parents et mes sœurs, pleurants toutes les larmes de leur corps devant ce qu'ils pensaient être une futur dépouille. Je passais par tous les stades émotionnels possibles, mais rien ne transparu jamais de ma torpeur....

Mes prochains souvenirs furent celui d'être transportée, visiblement dans une camionnette ou un fourgon, puis le contact d'une aiguille froide me piquant le bras, suivi d'une impression de renaissance. Petit à petit je pouvais bouger à nouveau. Je me réveillais dans une petite chambre sans fenêtre, avec un petit lavabo et WC. Je portais une simple blouse d'hôpital.

Après quelques minutes a retrouver le sens de l'équilibre, je me précipitait vers la porte : fermée à clé! J'hurlais ensuite à l'aide pendant de longues minutes, en vain.

Cependant, un peu plus tard, la porte s'ouvrit : Une femme d'une quarantaine d'année, très sèche, BCBG entra.

Je me précipitais vers elle :

« Oh mon dieu merci, il faut vraiment que je... »

Une gifle monumentale me coupa net et me fis rassoir sur mon lit.

« Tu te tais petite conne, et tu m'écoute. Tu es officiellement morte, alors ton seul rôle maintenant, sera de nous servir. Tâche d'en être digne, car ta punition serait terrible en cas d'échec -- tu es notre esclave maintenant »

Les larmes commençaient à couler sur mon visage quand elle reprit:

« Je ne sais pas encore comment tu pourras servir ton propriétaire, mon mari -- mais tâche d'être à la hauteur, je t'assure que tu n'as pas envie d'être envoyée dans la dépendance »

Je trouvais la force de répondre :

« Pitié, je m'appelle Laure, laissez-moi sortir, je dois... »

« Non, tu n'as plus de prénom, mon mari t'en trouvera un qui conviendra s'il le juge nécessaire. En attendant, tu n'es plus personne. Je viendrais te voir demain, pour voir ce qu'on peut faire de toi, tiens toi bien et obéit, tu auras peut-être le droit de te nourrir »

Elle partie ensuite, sans se retourner.

Je fondis en larme, moi qui avais la vie devant moi, je m'imaginais maintenant le pire, j'allais probablement être violée, battue, et soumise contre mon grès. Je me fis le serment de rester forte quoi qu'il arrive.

Après une nuit sans sommeil, la porte s'ouvrit, la femme entra

« Tu as l'air affreuse, mais pour l'instant ce n'est pas grave, tiens habille toi »

Elle jeta sur mon lit une robe noir assez courte mais quelconque, ainsi qu'une paire d'escarpin verni de 8cm.

« Pendant que tu t'habille, je te donne quelques règles : tu ne parle pas sans autorisation, tu obéis et tu ne regardes pas les gens. Tu baisses tout le temps la tête, tu vouvoies tout le monde, même les animaux »

Prenant mon courage à deux mains, je me levais :

« Non, je refuse, vous allez me laisser sortir maintenant!»

Je pris une gifle quasi instantanément

« Contrairement à ce que tu crois, je suis de ton coté, le manoir est très isolé, t'arrivera pas à aller loin, et puis, je te donne ma parole, personne ne te touchera aujourd'hui, et tu pourras manger et je t'assure que désobéir peux t'apporter des désagréments dont tu n'oses même pas imaginer... »

Je ne sais pas pourquoi, mais je cru à sa parole, et m'habillais en pleurnichant.

« Bien. Maintenant, esclave, je vais te mettre ton collier »

Elle s'approcha de moi. J'étais terrifiée et ne put bouger quand elle referma un collier en cuir sur mon cou. L'odeur et le contact étaient en fait assez agréable, malgré la situation.

Je réalisais lorsque j'entendit un clic métallique qu'il s'agissait en fait d'une laisse pour chienne. Ma maîtresse me traina ensuite en dehors de ma chambre. Je suivi, soumise et attachée.

La maison était immense, je croisais des gens, mais sans jamais pouvoir voir leur visage. Ma maîtresse me fit faire des taches ménagères diverses et variées. Elle était assez maniaque mais j'eu l'impression que je m'en sortais bien. Elle tenu sa parole et je pu enfin manger. La laisse m'empêchait de partir trop loin

Elle me raccompagna le soir, détacha la laisse, mais pas le collier. J'étais épuisée par tant de travail et m'endormis instantanément. Je fis encore quelques jours comme cela, rythmé par un volume incessant de taches ménagères, toujours attachée comme une chienne à sa maitresse.

Mais cela n'allais pas durer....

Le lendemain, ma maitresse me dis. « C'est ton grand soir, tu vas rencontrer ton propriétaire, donc aujourd'hui, repos, repas et une bonne douche, on va s'occuper de toi »

Je pu enfin prendre une douche et me reposer, un peu plus tard, une autre jeune femme rentra , une rouquine, qui portait un décolleté noir et un mini short, elle avait du pleurer car son mascara coulait. Elle sentait le sperme et il y en avait de nombreuse taches sur ses vêtements et son visage. Ses seins étaient rouge des coups qu'elle avait du recevoir.

Ma maîtresse était derrière elle : « Cindy va te maquiller pour que tu sois belle, ne fait pas trop attention à elle, mon mari va bientôt la vendre, elle à visiblement bien plu à ses nouveaux propriétaires, je crois qu'ils comptent la mettre au bordel »

Terrifiée par ces paroles, je me fis maquillée et parfumée. Pendant une minute, ma maîtresse du s'absenter. Cindy dit alors en pleurnichant : « quoi qu'il arrive obéit, la punition est trop terrible, c'est trop tard pour moi, je vais finir comme une pute au rabais, soit forte et obéit, c'est toujours mieux je t'assure »

Ma maîtresse rentra : Cindy ferme la ; j'aurais dû penser que c'est toujours mieux quand t'as une bite en bouche...elle est prête?

« Oui madame » - Cindy avait en effet fini de me parfumer, d'appliquer du mascara et un brillant à lèvre rouge écarlate.

« Bien, je suis sûr que tu meurs d'envie de te faire sauter, petite trainée, tu peux remonter en haut »

« Oui madame, je vais aller me faire sauter maintenant. Merci beaucoup madame » répondit elle d'une voie feinte.

Elle me fit ensuite enfiler ma tenue, une tenue de soubrette, mais dont la jupe et le tablier était vraiment trop court je portais des bas resilles blanc, et des escarpins vernis de 10 cm. Ma Maîtresse m'attacha alors la laisse, mais je suivais docilement maintenant, toujours en baissant les yeux.

Nous passâmes plusieurs couloirs et enfin je stoppais dans une chambre qui me parut immense.

Un homme entra après nous, et je compris tout de suite qu'il s'agissait de mon propriétaire :

La femme parla en premier

« Bonjour ma chérie, j'ai un petit cadeau pour toi, j'espère qu'elle te plaira, tient » Et elle tendit la laisse à son mari

Il tira d'un coup assez sec, ce qui me força à me rapprocher de lui. Il était grand, et comme je ne faisait que baisser les yeux, j'avais aucune idée de ce à quoi il ressemblait. Néanmoins il sentait bon.

« Merci chéri, reste si tu veux «

Puis je sentis des mains, plutôt grandes et douces, il prit mon visage et le tourna dans les deux sens avant de le relever. Mon regard croisa ses yeux bleu acier et son visage carré. Cheveux poivre et sel, il devait avoir moins de 45 ans et une stature impressionnante. J'allais maintenant être violée par cette homme dont j'étais depuis peu la chose. Il continua à me palper comme un morceau de viande, ses mains explorèrent mes fesses, puis mes cuisses, et enfin mes seins.

Il nota mes larmes qui commençait à couler :

« S'il vous plait, je ne veux pas..... »

« Je me fous complètement de ce que tu veux, mes esclaves ne pensent pas, ils obéissent, alors maintenant, à genoux! »

Sa voix était très autoritaire, et quand il ajouta sa main sur mon épaule, il n'eu pas à forcer pour me mettre à genoux.

Son sexe de bonne taille était maintenant sorti, semi-rigide. Il présentait son gland à l'entrée de ma bouche. Dernière volonté de résistance, je refusais d'ouvrir la bouche.

« Suce-moi, maintenant, ne m'oblige pas à te frapper, j'ai horreur de ça » Je luttais toujours

Une claque sur la joue provoqua un léger cri de surprise. Ce fut suffisant pour que le membre de mon propriétaire pénétra ma bouche. Ma lutte s'acheva la. Je laissais mon maître profiter de ma bouche. Mes larmes finirent par cesser. Il ne me fit pas mal, en faisant de lent va et vient pendant près de 5 minutes.

Il sorti son sexe, taché par du rouge de mes lèvres. il me releva et ordonna :

« Alonge toi sur le lit je vais profiter de ta chatte maintenant »

Vaincu, je ne voulais pas recevoir des coups alors je fus obéissante. Je relevais ma courte jupe et écartais mes cuisses, en attendant que mon maître utilise mon corps. Il se déshabilla entièrement, puis vint dans le lit.

Il me pénétra rapidement, mais avec une certaine douceur. Je m'étais préparé à souffrir le martyr, mais ce fut relativement indolore. Il me prit avec force, et je n'avais aucune chance de lui résister physiquement. Après plusieurs minutes, je le sentais plutôt excité, et puis son orgasme vint, je sentit mon corps se remplir d'une semence non désirée. Il se retira, et me fit assoir à genoux à côté du lit.

Sa femme était resté pour assister à ma soumission et commença la première

« alors? »

« Je ne sais pas trop, sa chatte est top, mais sur la pipe ce n'est pas au niveau, franchement je ne sais pas trop.....Niveau tâche ménagère?»

« Elle est bien sur le ménage-repassage, nulle sur la cuisine, très forte sur les WC et Salle de bains. C'est à voir mais j'aimerais bien la garder »

Il reprit « On en tirais un bon prix, elle est plutôt jolie, elle intéressera nos amis, tu crois qu'on en tira quelque chose, je la trouve plutôt pleurnicharde »

J'assistais, médusée, à la conversation. A genoux, du sperme coulant de ma chatte sur mes cuisses et mes jambes, en attendant que mes maîtres se décident sur mon sort.

« Certes, mais regarde, en fait elle a été plutôt docile, t'a même pas eu a lui demander d'écarter ses cuisses, on en fera une bonne putain je te dis. »

« Elle manque un peu de classe, non? »

« Clairement, mais justement, on peut en faire une trainée d'entrée de gamme, je t'assure que ca plaira... »

« Ecoute pourquoi pas, ce que je te propose : tu lui apprends la pipe, et je la baise à nouveau dans une semaine. si ca me plait, on la garde et sinon je la vendrais au gros louis, il cherche quelqu'un pour ses chasses »

« Depuis le temps qu'il insiste pour que tu lui vende quelqu'un...mais ca marche, on fait comme cela. Je te la laisse pour la nuit? »

« Non non, range la, et puis trouve lui un prénom de pétasse , elle y a quand même droit »

Le clic métallique de ma laisse me sorti de ma torpeur. Ma maîtresse me raccompagna sans parler, avant de me laisser dans ma chambre ou je m'endormis, encore dégoulinante du foutre de mon propriétaire.

J'avais enfin rencontré mon maître qui avait pu profiter de son bien comme il se doit. Il semblerait même que ce fut une faveur que j'ai une deuxième chance pour devenir une de ses putains. La suite de mon séjour au manoir s'annonçait difficile....

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

On aimerait plus de détails sur les chasses de petit Louis... Sans doute cruelles... J'espère aussi un destin cruel pour Cindy... Bonne continuation

Sium38Sium38il y a presque 3 ans

Ça commence fort !

AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Que va devenir Laura ?

Quel nouveau nom portera-t'elle ?

Peut-être de modifications/transformations physiques ?

Bravo, je vais suivre.

Rudy

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Lucie : Chantage Total au Bureau 01 Chantage sexuel sans limites d'une jeune femme.
Ninon Éponge Les Dettes - Partie 01 Ninon change de région et rencontre Romain qui a des dettes.
Dorothée asservie - Partie 01 Le piège se referme sur une jeune vendeuse.
La déchéance d'Hélène 01 Histoire de la soumission d'Hélène et sa famille.
Domination Noire Mme Martin assiste à la déchéance de sa fille...
Plus d'histoires