LAURA 055: les infidélités se paient

Informations sur Récit
Séquestrée et enchaînée 7/13
3.5k mots
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Partie 55 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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LES INFIDELITES SE PAIENT 7/13

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Troisième séjour en enfer 2/8

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Obéissant à l'ordre que vient de me donner mon maître je me mets à genoux sur le canapé le cul tourné vers lui.

Comme il tarde à enfoncer sa queue dans ma chatte et qu'il s'affaire à côté de la table j'ai un mauvais pressentiment.

- puisque tu as tenu à revenir ici et que tu trouves que tu n'en baves pas assez, je vais passer à la vitesse supérieure, il n'y aura plus de limites à ce que je vais te faire subir -

En tournant la tête je le vois ouvrir un tube et mettre du produit sur ses doigts. Je comprends vite que c'est de la vaseline.

Il en enduit mon anus en le fouillant avec un puis deux doigts puis en met sur sa queue.

Comme il a un gros pénis soit il veut faciliter la pénétration et ne pas trop endommager mon cul ou bien simplement éviter de s'endommager la verge.

Il écarte mes fesses.

Un doigt se pose sur mon anus puis s'enfonce dedans et y fait des aller-retour avant d'en ressortir et d'être de nouveau enduit de vaseline puis il pénètre encore dans mon fondement et s'y agite.

Ensuite ce sont deux doigts ensemble qui cherchent à agrandir mon orifice anal.

- bon! ça devrais aller, je vais t'enculer, c'est tout ce qu'une truie comme toi mérite -

Je ne peux rien faire pour éviter ce qui se passe.

Je n'ai que ce que je mérite, c'est une conséquence de ce que j'ai fais à mon mari et le résultat de la punition que j'ai suggérée à mon encontre.

Debout derrière moi son pénis bute contre mon anus puis agrippé à mes hanches il pousse de tout le poids de son corps et bien aidé par la vaseline son membre pénètre inexorablement dans mon cul écartelant les chairs au passage jusqu'à ce que ses testicules et son ventre butent contre mes fesses.

La pénétration est quand même douloureuse car son membre est gros, des larmes coulent sur mes joues, je mords dans la boule qui me sert de bâillon.

Il reste un moment sans bouger savourant de sentir sa verge aussi enserrée dans mon cul puis doucement sa queue commence à coulisser en moi, il augmente le rythme des va-et-vient jusqu'à finir par donner des grands et rapides coups de reins.

- au moins la dedans je prends du plaisir, ça me change de ta chatte de putain polluée par toutes les bites qui viennent s'y soulager -

La douleur finit par s'estomper et je commence à mouiller. la queue à l'étroit dans le fourreau qui l'a accueillie le plaisir que l'homme ressent augmente vite.

Il ne résiste pas très longtemps et son pénis augmente encore de volume avant d'être pris de soubresauts et d'envoyer des giclées de sperme dans mes intestins.

Il se retire et s'essuie.

- je suis sur que tu as aimé ça salope -

Je hoche la tête pour dire oui même si je pense le contraire.

- je vais en faire une bouche de métro de ton cul -

Ca ce n'est pas une bonne nouvelle pour moi et surtout pour mon cul.

Je me retrouve à l'extérieur de l'habitation, dans l'allée debout enchaînée et bâillonnée, mon collier attaché à un lampadaire par une lanière.

Des hommes qui viennent voir mon maître (pas tellement pour lui mais surtout pour profiter de mon corps) passent devant moi en riant et se moquant de moi.

Au bout d'un moment mon tortionnaire vient me chercher et me conduit dans la pièce du sous-sol.

Libérée des chaînes et du bâillon je m'allonge sur un plaid à même le sol uniquement tenue par une chaîne fixée dans le mur et attachée à mon énorme collier, sa longueur me laisse une bonne liberté de mouvements.

Les six hommes que j'ai vu entrer chez lui nous rejoignent.

- ta putain est prête, on va pouvoir la sauter -

- vous pouvez vous servir d'elle comme vous voulez et même l'enculer car elle m'a dit qu'elle aime ça. De toutes façons une chienne ça ne refuse rien -

- non maître pas ça, je ne veux pas, ils vont me démolir -

Je redoute cette pénétration vu le nombre d'hommes qui vont me défoncer. Les mains de Mathieu claquent sur mon visage, avec la violence des gifles mon dos tape contre le mur qui se trouve derrière moi et je tombe sur le sol.

- tu oses me contredire grosse truie, qui est le maître ici, tu feras tout ce que je veux et quand je le veux, tu m'as bien compris connasse -

Je n'ose plus m'opposer à lui.

- oui maître, je m'excuse de vous avoir contrarié -

- les amis elle vous a manqué de respect, allez chercher des cravaches dans le placard du salon et mettez lui une raclée -

Aussitôt dit, aussitôt fait. Deux des hommes vont chercher des cravaches pendant que j'attends pas du tout rassurée.

Je reçois l'ordre de me mettre à genoux et de bien présenter mes fesses, ils se mettent à me frapper. La douleur est vive, je pleure et je crie.

Je me mets à plat ventre puis je me déplace en rampant espérant éviter les coups qui continuent à pleuvoir.

- ça va je pense qu'elle a compris -

Je n'ose pas penser à l'état de mes fesses, mes cuisses et mon dos qui me cuisent, je vais avoir mal pendant plusieurs jours.

Je me retrouve à genoux avec un pénis dans la bouche et un dans la chatte. J'ai commencée la fellation depuis quelques minutes et celui qui m'a prise vient seulement de débuter les va-et-vient dans mon vagin qu'une voix nous demande d'arrêter.

- on peut s'en occuper à trois en même temps, ce sera plus marrant -

Je garde dans ma bouche le pénis que je suçais. Celui qui s'occupait de ma chatte se place sous moi et je prends sa queue avec une main et l'introduis en moi.

Un troisième homme se place derrière moi, sa verge bute contre mes fesses, s'aidant d'une main il la place sur mon anus et le pénètre en exerçant une poussée avec son corps.

Les trois hommes s'activent dans mes différents orifices. C'est la première fois que je suis prise en même temps dans la chatte et le cul et je ressens des sensations inconnues.

Les deux hommes commentent ce qu'ils ressentent car la paroi de chair entre les deux orifices n'est pas très épaisse.

peu de temps d'intervalle mes trois orifices sont arrosés de sperme et les trois autres hommes présents remplacent ceux qui ont éjaculé, une fois que ceux-ci ont joui à leur tour commence la ronde infernale des queues car chacun veut investir chaque orifice et y laisser son sperme.

Le plaisir monte dans mon ventre et ce qui devait arriver arrive: j'atteins l'orgasme une première fois.

Au bout d'un moment je commence à masturber les hommes qui bandent moins facilement. Les pénétrations s'enchaînent et durent de plus en plus longtemps. Mon plaisir ne faiblit pas et je jouis plusieurs fois avant qu'enfin un dernier homme ne se libère une dernière fois dans mon cul.

Je suis épuisée car mon calvaire a duré longtemps et je reste allongée sans bouger.

Mon maître vient me chercher et me tenant en laisse m'amène dans la cuisine ou les hommes se désaltèrent, de nombreuses bouteilles sont posées sur la table la plupart vides.

- nettoies toi dans l'évier, tu pues et tu as du sperme partout -

Je me lave à l'eau froide avec une éponge sous les regards des hommes, j'entends les sarcasmes et les commentaires. Plusieurs d'entre eux racontent que cela à été un plaisir de m'enculer, un privilège que leur refuse leur épouse.

Deux hommes sortent et quand ils reviennent ils portent un rondin de bois équipé de crochets métalliques.

De nouveau bâillonnée, allongée sur le dos je dois lever les bras et les jambes pour qu'ils passent les anneaux des bracelets en cuir (qui ne quittent pas mes membres depuis mon arrivée) dans les crochets.

- tu n'as pas été à la hauteur, mes invités ne sont pas satisfaits, tu vas être punie -

Deux hommes soulèvent le rondin et je décolle du sol, mes membres étirés sont douloureux.

Ils me transportent à l'extérieur de l'habitation dans un endroit où sont plantés deux piquets équipés de crochets métalliques sur lesquels ils posent le rondin.

Je suis suspendue comme un vulgaire gibier que l'on vient de tuer.

Les hommes rient et se moquent de moi puis ils retournent dans la maison. Je reste longtemps ainsi, je souffre et je pleure.

Après un temps qui m'a paru interminable mon maître arrive, il place un plaid sur le sol et descend le rondin d'un étage pour que mon dos touche le sol puis il décroche mes chevilles.

Il se met entre mes jambes qu'il replie, il sort son sexe du pantalon et l'introduit dans ma chatte dans laquelle il s'active un moment avant d'en ressortir et de pénétrer mon anus et de le défoncer à grands coups de reins.

Il a forcé sur la boisson et à du mal à conclure.

C'est un soulagement quand enfin il éjacule dans mon cul.

Il place une pince sur mon clitoris et aussi sur mes tétons avant de raccrocher les bracelets de mes chevilles aux crochets du rondin.

Il retourne chez lui me laissant seule dans le noir avec la douleur que me procurent les pinces et ma position très inconfortable qui m'empêche de dormir.

Je passe une mauvaise nuit, en plus j'ai la chair de poule car j'ai un peu froid.

Premier dimanche de captivité

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Libérée du rondin de bois mais enchaînée je me retrouve dans la cuisine ou je déjeune après avoir fais sa pipe quotidienne à mon bourreau.

Je me lave puis uniquement bâillonnée et en laisse il me conduit dans la geôle du sous-sol.

Mathieu accroche les chaînes fixées au mur à mes poignets et mes chevilles puis il tire sur les chaînes pour me faire décoller du sol les bras tirés vers le haut et les jambes écartées au maximum.

- profites de ce que tu vois sur l'écran en face de toi, tu es la vedette du film -

Tout en revoyant mes exploits et notamment ce qui s'est passé la veille je pleure car je souffre beaucoup vue ma position délicate, être pendue ce n'est pas confortable.

Le téléviseur est maintenant éteint, la lumière s'allume, mon maître entre suivi par trois hommes.

Il libère mes membres et ma bouche et je me retrouve sur le plaid étalé sur le sol avec uniquement mon collier attaché à une chaîne.

- sois à la hauteur, ils ont besoins d'avoir beaucoup de plaisir -

- nous avons entendus dire qu'on pouvait l'enculer, est ce que c'est vrai -

- réponds leur la putain, est ce que je dois les laisser te faire ça -

- oui maître, vous pouvez les autoriser si vous le souhaitez -

- vous avez entendu, enculez la si vous en avez envie -

Mathieu quitte la pièce, le trio se précipite sur moi.

A genoux je me retrouve avec une queue dans la bouche et une dans l'anus, très excités il ne mettent pas longtemps avant d'arroser mes orifices, ils se retirent.

Ma bouche et mon cul sont de nouveau investis par des pénis, celui qui est derrière moi s'active dans mon anus pendant que je fais une fellation.

Une fois qu'ils se sont vidés dans mon corps je leur fais comprendre qu'ils peuvent me prendre tous ensemble car ainsi j'aurais plus de plaisir.

L'un s'allonge sous moi, avec une main j'introduis sa verge dans ma chatte, un autre se met à genoux derrière moi et pénètre mon anus pendant que je prends la queue du troisième dans ma bouche et lui fais une fellation.

Ils s'activent dans mes orifices et j'aime les sensations des deux pénis qui me défoncent le cul et la chatte.

Ils me pilonnent un moment avant d'éjaculer puis ils échangent leur place et recommencent à me défoncer.

Le plaisir monte dans mon ventre et j'ai un orgasme avant qu'ils ne jouissent chacun leur tour dans mes orifices.

Satisfaits ils sortent de la pièce, je me lave dans le lavabo qui se trouve dans la pièce.

Ensuite j'attends que mon bourreau vienne me bâillonner, m'enchaîner et me pendre de nouveau avec les chaînes fixées au mur.

Mon repas est servi sur le petite table de la geôle. Uniquement pendant que je mange il donne du mou aux chaînes.

Puis de nouveau pendue j'évite de bouger pour ne pas amplifier les douleurs, j'attends la prochaine fournée de bites prévue dans l'après-midi.

Du temps a passé quand accompagné de cinq hommes qui voulaient voir mes conditions de captivité mon maître viens me détacher.

Tenue en laisse ils m'escortent jusqu'au salon.

- aujourd'hui vous allez participer à un concours -

- qu'est ce que le vainqueur gagne -

- plusieurs heures seul avec la putain pour une bonne et vraie partie de jambes en l'air quand il le voudra -

Ils sont tous d'accord avec le principe sans se préoccuper de ce que j'en pense mais est ce qu'on demande son avis à une esclave sexuelle car c'est ce que mon maître a fait de moi.

- cela se passera en trois phases: d'abord résister le plus longtemps possible à la fellation, ensuite la faire jouir le plus vite possible, puis la sauter en tenant le plus longtemps possible avant d'éjaculer -

Ils acquiescent.

- après ça vous disposerez d'elle à votre guise si vous avez encore des envies -

l'ordre de passage des hommes est tiré au sort.

Après en avoir fini avec un partenaire je dois me laver avec de l'eau très citronnée et aussi utiliser une poire à lavement pour niveler les chances de chacun.

Retour sur le plaid étalé sur le sol de la geôle.

Le premier homme s'est dévêtu et n'a gardé que son tee-shirt, il s'allonge, sa verge est en érection et à genoux entre ses jambes j'attends le signal pour commencer la fellation.

Tenant sa queue avec une main je la prends dans ma bouche et serrant au maximum les lèvres je la fais pénétrer le plus que je peux au fond de ma gorge.

Il reste inerte pendant que ma bouche coulisse sur le pénis avec des aller-retour rapides.

Ses doigts se crispent sur l'étoffe du plaid, il essaie de résister mais son plaisir devient vite trop fort. Son corps se raidit, sa verge gonfle et tremble pendant qu'une bonne quantité de sperme éclabousse ma gorge.

Aussitôt je m'allonge sur le dos et il se met sur moi et me pénètre puis me défonce la chatte en rythmant ses coups de reins, il se passe un peu de temps avant que je sente sa semence couler dans mon vagin. Il se retire.

C'est à lui de me faire jouir, je reste allongée les jambes écartées.

Il se met à califourchon sur moi les fesses vers ma tête. Avec ardeur il doigte ma chatte dégoulinante de son sperme et masturbe mon clitoris.

J'essaie de penser à autre chose pour retarder la montée du plaisir dans mon ventre.

Au bout d'un moment les sensations que je ressens deviennent de plus en plus fortes, je serre les dents pour ne rien laisser paraître mais mon bassin commence à onduler du coup il accélère le doigtage et la masturbation.

Ne pouvant plus me retenir mon bassin se soulève, je râle pendant que prise de spasmes des jets de cyprine sortent de mon vagin.

L'homme va s'asseoir pendant que je vais dans le coin toilettes me laver sous le regard intéressé de ces messieurs.

Un autre homme est déjà allongé sur le plaid quand j'y reviens.

Il met plus de temps à se libérer dans ma bouche puis dans mon vagin. Il est moins habile pour doigter ma chatte et masturber mon clitoris et a du mal à me faire jouir.

Le troisième concurrent éjacule rapidement que ce soit dans ma bouche puis dans mon vagin et il est dans les temps du premier quand il s'agit de me faire jouir.

Le quatrième résiste bien lors de la fellation et encore mieux quand il pénètre mon vagin, pour me doigter c'est avec un doigt dans mon cul et le pouce dans ma chatte et il masturbe mon clitoris vigoureusement ce qui fait monter le plaisir rapidement dans mon ventre et provoque un orgasme violent.

Le cinquième est dans les normes du premier.

Le quatrième prénommé Antoine est déclaré vainqueur et dit à Mathieu qu'il passera l'après-midi du mardi avec moi pour faire l'amour si ça me convient.

Mon bourreau s'adresse à moi.

- toi la putain as tu autre chose de prévu mardi ou as tu une remarque à faire -

- non maître, je suis à la disposition de monsieur Antoine quand il veut et pour satisfaire tous ses désirs -

- vous voyez qu'elle est bien dressée ma chienne, elle obéit au doigt et à l'œil, elle n'a ni pudeur ni morale -

- tu as réussi à faire de celle-ci ce que tu voulais -

- et oui elle est retombée au stade animal. Maintenant amusez vous avec elle, elle vous fera ce que vous voulez -

Aussitôt ils se ruent sur moi.

Pendant qu'à genoux je masturbe et suce les queues qui ne sont pas en érection on pénètre ma chatte ou mon cul.

Mathieu intervient:

- sautez la à trois en même temps, si elle a trois garages à bites c'est pour qu'il servent en même temps -

Je me retrouve à genoux avec un homme allongé sous moi sa queue plantée dans ma chatte, un autre qui a investi mon cul, les deux hommes remuent en cadence pendant que je suce une autre verge.

Je commence à aimer être prise ainsi, les sensations sont plus fortes et le plaisir monte plus vite dans mon ventre.

Je gémis de plus en plus mais les sons sont atténués car un pénis est en permanence enfoncé dans ma bouche.

Je m'aperçois qu'ils échangent leurs places sans forcement éjaculer ce qui fait que je jouis une première fois puis j'ai des orgasmes de plus en plus rapprochés avant de rester seule inerte à récupérer car tous les combattants à cours de munitions ont quitté les lieux.

Je me nettoie au lavabo puis un homme vient me chercher et m'emmène tenue en laisse vers le salon.

- je dois encore te punir: certains se plaignent que tu as faussé le concours et que tu as manqué d'ardeur quand ils t'ont sautée, j'en ai marre que tu sois aussi nulle -

Je sais qu'il ment car il adore me punir et me faire souffrir.

- Pardonnez moi maître je ne l'ai pas fais intentionnellement, je regrette que certains messieurs soient déçus -

- allez chercher le rondin de bois et toi la truie couches toi sur le ventre, mets tes bras et tes jambes en l'air -

Il me bâillonne avec la muselière munie d'une boule qu'il introduit sans ménagement dans ma bouche.

Ils accrochent les anneaux de mes bracelets en cuir sur les crochets fixés sur le rondin.

A plusieurs ils soulèvent le morceau de bois et je me retrouve suspendue avec des douleurs difficilement supportables.

Rapidement je me mets à pleurer.

Ils me transportent à l'extérieur et posent le rondin sur les crochets fixés sur les deux piquets plantés dans le sol puis s'en vont en riant et se moquant de moi pendant que je reste suspendue les bras et les jambes distendues par le poids de mon corps.

J'évite de bouger pour ne pas amplifier la douleur.

Beaucoup plus tard les hommes reviennent, à leur comportement je constate qu'ils ont bien profité des boissons alcoolisées.

Ils glissent un plaid sous moi et posent le rondin sur des crochets situés plus bas, mon ventre touche de nouveau le sol mais je suis en très mauvaise posture pour dormir.

Mon maître m'apporte mon repas, il enlève le muselière et libère mes poignets. Vu ma position il ne m'est pas facile de manger.

De nouveau bâillonnée et les bracelets des poignets accrochés à la poutre il libère mes chevilles et se positionne entre mes jambes, il sort sa grosse queue et veut me le mettre dans l'anus mais il rate plusieurs fois la cible et peste contre moi.

Enfin le pénis bute contre mon orifice, d'un violent coup de reins il coulisse dans mon cul qui ne s'est pas refermé après la séance que j'ai subie avec les cinq hommes.

Les mains agrippées à mes hanches il donne des grands coups de reins pour faire aller et venir sa verge dans mon anus.

Comme lui aussi a bien profité de l'alcool il a du mal à conclure et œuvre longtemps tout en m'insultant et me donnant des claques sur les fesses et les cuisses.

Quand enfin il éjacule arrosant mes intestins il reste un moment vautré sur moi avant de se relever et de rattacher sans précautions mes chevilles au rondin.

Je dors très peu à cause de la position dans laquelle je suis et des douleurs permanentes que je ressens et puis je n'ai pas très chaud.

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