LAURA 054: les infidélités se paient

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Séquestrée et enchaînée 6/13.
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Partie 54 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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LES INFIDELITES SE PAIENT 6/13

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Troisième séjour en enfer 1/8

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Par ma faute mon couple vit une crise très sérieuse.

J.Pierre mon mari qui devait être en déplacement est rentré de manière impromptue à notre domicile et m'a surprise pendant que j'étais en pleine action dans le lit conjugal avec un représentant (à qui je tentais évidemment de soutirer un avantage financier substantiel lors d'un achat d'appareil ménager).

Mon mari parle même de séparation, il tolère que je couche avec d'autres hommes (ce que je fais depuis des années et qu'il ne peut pas empêcher) mais il n'admet pas que je le fasse chez nous.

Nous avions un accord sur ce point, je ne l'ai pas respecté et je m'en mords les doigts.

Il est en rage, je cherche à calmer le jeu et je sais qu'il va falloir que je fasse fort.

- je ne veux pas que tu me quittes, je t'aime trop -

- je ne vois pas comment je vais pouvoir te pardonner -

- je m'engage à accepter toutes les punitions et tout ce que tu jugeras utile de me faire subir pour que tu me pardonnes -

- je ne vois pas de punition à la hauteur de ce que tu m'as fait -

Le lendemain il est un peu calmé, je reviens à la charge.

- je veux bien retourner chez Mamadou (le black à l'énorme pénis qui m'a déjà défoncée deux fois et a laissée ma chatte dans un état lamentable) même s'il doit me démolir le cul à vie -

Il fait la moue, donc je ne l'ai pas convaincu.

- si tu préfères j'accepte d'être de nouveau séquestrée et martyrisée chez Mathieu même si j'ai peur de ce qui risque de m'arriver cette fois ci -

- je vais réfléchir -

Tous les jours quand il rentre de son travail j'ai droit à une punition: frappée avec un martinet, attachée sur une chaise , dans des positions fatigantes pour la nuit en me passant de dîner.

Pendant la journée vêtue d'une jupe courte et d'un chemisier blanc transparent au soleil je ne doit pas mettre de culotte ni de soutien-gorge lorsque je sors.

Impatiente j'attends n'osant pas le contrarier et deux jours plus tard il m'informe de sa décision.

- en plus des punitions que je t'inflige tu téléphones au dénommé Mathieu, tu lui demande s'il peut te recevoir à partir de vendredi matin pour deux semaines et trois weekend pendant que je vais partir seul en vacances -

- ça va être très long et je vais beaucoup souffrir mais pour te faire plaisir et pour que tu me pardonne je suis d'accord, je l'appelle tout de suite -

- tu lui dis que lors de tes précédents séjours il n'a vraiment pas été assez sévère avec toi et qu'il ne doit pas se retenir et avoir de l'imagination car tu attends et veux beaucoup plus de souffrances car tu aimes ça -

La je me sens palir, j'ai peur mais n'en laisse rien paraitre, il est vrai que je n'ai pas tout raconté à mon mari concernant mes deux séjours chez Mathieu alors il ne sait pas tout ce que j'ai subi.

Je tente de le faire fléchir.

- ça va être trop long et si je lui dis ça je vais trop en baver, sois un peu indulgent -

- tu n'as pas le choix, c'est ça ou la porte. Je ne suis pas décidé à te faire de cadeaux vu ce que tu as fait -

Résignée je téléphone à Mathieu et discute avec lui sous la surveillance de J.Pierre.

Il est ravi et bien évidemment il accepte de me recevoir et d'augmenter ma souffrance en me demandant si je suis sure de vouloir faire ça et si je suis capable de supporter ce qu'il envisage de me faire subir car il me dit qu'il n'y aura pas de limites à son imagination.

J'accepte bien que la peur me tenaille le ventre et que je sache que cette fois je ne vais pas sortir indemne de mon séjour en captivité.

A 9 heures le vendredi matin installée à l'arrière de la voiture insensible à mes larmes J.Pierre m'emmène chez mon tortionnaire.

Il stoppe devant la grille à l'entrée de la propriété, nous n'échangeons pas un mot pendant que je quitte le véhicule.

Il démarre aussitôt pendant que tremblante de trouille je pousse la grille qui n'est pas verrouillée et pénètre dans la propriété.

Après avoir refermé la grille et ne voulant pas m'attirer les foudres de mon futur bourreau je retire ma robe et mes escarpins qui sont mes seuls vêtements et les pose dans l'herbe à l'entrée de la propriété. J'avance nue dans l'allée, les rayons du soleil de cette deuxième quinzaine d'août chauffent ma peau.

Je sonne à la porte de l'habitation et me mets à genoux sur le sol.

La porte s'ouvre et je suis étonnée, c'est Amandine la femme de ménage d'un certain âge au physique ingrat et à l'hygiène douteuse qui m'accueille et non Mathieu mon bourreau.

- baisse les yeux espèce de putain si tu ne veux pas que je te corrige -

J'obéis car je sais par expérience que cette femme n'est pas commode.

Elle fixe à mon cou un imposant collier clouté équipé d'une laisse de cuir qu'elle tenait dans une main. Elle présente devant mon visage une muselière en cuir équipée d'une boule qu'elle fait pénétrer dans ma bouche en forçant, elle attache la muselière à l'aide de lacets derrière ma nuque.

Je dois me lever puis elle équipe mes poignets et mes chevilles de larges bracelets en cuir qui je le sais ne me quitteront que rarement pendant mon séjour.

Amandine tire violemment sur la laisse et m'entraîne dans la maison puis se plante devant moi et prise d'une inspiration enlève la muselière.

- mets toi à genoux, avant que je ne te fasse souffrir tu vas ma bouffer le cul et me donner du plaisir -

- oui Madame mais il faut que je vous déshabille -

Je ramasse une violente paire de gifles, je ne m'y attendais pas et je comprends qu'elle va profiter de chaque occasion pour m'humilier et me frapper.

Faire souffrir est une jouissance pour elle.

- tu es nulle, une putain dans ton genre doit savoir se jouer des obstacles -

je me courbe, passe la tête sous sa robe et me redresse, à l'odeur désagréable et à la touffe de poils abondants dans laquelle mon nez s'enfonce je sais que j'ai atteint son intimité. A ma grande surprise elle n'a pas de culotte.

J'écarte les poils avec mes mains et ma langue commence à lécher son clitoris et sa chatte dans laquelle elle finit par pénétrer au bout d'un moment.

Ma langue fouille longtemps son vagin, elle appuie sur ma tête pour être mieux pénétrée.

Une de mes mains caresse ses cuisses, un puis deux doigts de mon autre main s'insinuent dans son anus et le doigtent sans qu'elle n'objecte.

Je fais abstraction de l'odeur qu'elle dégage et qui m'indispose.

Au bout d'un moment et aux mouvements de son corps je constate qu'elle ressent du plaisir, elle a de plus en plus de mal a tenir debout et finit par s'allonger sur un canapé les jambes écartées. Je me mets à coté d'elle et veux l'embrasser.

- espèce de putain tu as mis ta bouche dans un endroit dégueulasse et tu voudrais m'embrasser, tu n'es bonne qu'à vivre dans une porcherie -

Je retrousse sa robe j'embrasse et lèche son ventre puis ma langue recommence à explorer son vagin pendant que mes doigts fouillent son cul.

Quand je la sens bien excitée je masturbe vigoureusement son clitoris et doigte sa chatte, après sa première jouissance je fais durer son martyr pour qu'elle atteigne plusieurs fois l'orgasme. Heureusement pour moi elle jouit facilement.

Quand j'estime qu'elle n'est plus très lucide à cause des jouissances successives je me relève et attends à coté d'elle. Ma figure est imprégnée de son odeur désagréable ce qui m'indispose.

Amandine a repris ses esprits et me tirant par la laisse m'emmène dans le sous-sol après m'avoir remis la muselière/bâillon.

A l'entrée j'aperçois des grosses chaînes sur le sol. Ce sont des morceaux de chaînes reliés ensemble à l'aide de manillons pour n'en former qu'une avec aux cinq extrémités des mousquetons.

Elle en soulève une extrémité qu'elle passe entre mes seins et attache à mon collier. Elle fixe les autres extrémités aux bracelets qui enserrent mes poignets et mes chevilles.

Elle me tire à l'extérieur de la maison, je suis très gênée pour marcher à cause de mes entraves très lourdes: J'ai vraiment l'air d'un forçat.

Nous pénétrons dans un endroit boisé ou je vois un palan accroché à une grosse branche d'un chêne.

Elle fixe le crochet de l'engin aux bracelets de mes poignets après avoir décroché les chaînes qui gisent maintenant sur le sol puis elle actionne le palan soulevant mes bras, elle ne s'arrête que quand mes pieds ne touchent presque plus le sol.

Par contre les lourdes chaînes sont toujours accrochées à mes chevilles et à mon cou.

Elle casse une branche d'un noisetier et s'en sert pour me fouetter les fesses, les cuisses et le dos en me disant qu'elle a été obligée de s'occuper de moi et que j'ai gâchée sa matinée donc je mérite d'être punie.

Je gigote beaucoup ce qui l'amuse.

Elle ne cesse de me frapper que quand mon corps est bien marqué et en feu, elle voit de grosses larmes couler sur mes joues sans que cela l'émeuve.

Elle s'en va me laissant seule, les fesses, les cuisses et le dos me cuisent et mon corps est endolori par ma position inconfortable.

Le temps passe j'ai l'estomac et les intestins torturés par la faim. J'urine deux fois, le liquide coule le long de mes cuisses et de mes jambes que je ne peux pas écarter à cause du poids des chaînes.

Dans l'après-midi, après avoir préparé le repas de Mathieu, Amandine passe me voir et m'insulte.

Elle manœuvre la chaîne du palan et je me retrouve suspendue les pieds ne touchant plus le sol.

J'ai très mal surtout que les grosses chaînes pesantes sont restées fixées à mon collier et mes chevilles. Je pleure, elle reste indifférente à ma souffrance.

Enfin Mathieu arrive et me libère du palan.

- bonjour la truie, quelle satisfaction de te revoir mais tu pues -

Il regarde mon dos et mes fesses.

- tu as contrariée Amandine, tu ne devrais pas car elle aime faire souffrir -

Après avoir refixée la chaîne à mes poignets il me traîne jusqu'à chez lui en tirant sur ma laisse. j'ai du mal à le suivre à cause du poids des chaînes.

Il me libère pour que je me lave.

Il est assis sur un fauteuil et à genoux je déboutonne son pantalon, en extrais son gros pénis déjà en érection.

Les mains dans le dos j'embrasse, lèche puis suce son membre qui emplit bien ma bouche.

Les aller-retour de mes lèvres sur sa queue sont rapides et très vite celle-ci augmente encore de volume et prise de tremblements envie des jets de sperme au fond de ma gorge, j'avale et continue la fellation mais il repousse ma tête.

De nouveau enchaînée j'attends son bon plaisir accroupie à coté de lui.

L'heure du repas arrive, il pose mon assiette sur le sol, j'ai des difficultés pour manger à cause de l'encombrement et la lourdeur des chaînes.

De nouveau bâillonnée Mon bourreau me traîne à l'extérieur sans se soucier de la difficulté que j'ai pour marcher à cause des chaînes, il étale de la paille sur l'herbe puis déleste mes membres des chaînes.

Je m'allonge sur la litière.

Il accroche mon collier à une courte chaîne fixée à un piquet.

Il replie mes jambes et attache mon poignet gauche à ma cheville gauche en accrochant un mousqueton à mes bracelets en cuir puis il en fait de même coté droit.

Ma situation n'est pas idéale pour dormir.

Il écarte mes cuisses et après avoir sorti son pénis de son pantalon il se couche sur moi et me pénètre sans précautions.

Les va-et-vient de sa queue en moi sont rapides et brutaux, ses bourses tapent contre mes fesses.

Il remue un bon moment avant que son corps ne se raidisse et qu'avec des soubresauts sa verge n'envoie des jets de sperme dans mon ventre.

Il se relève et s'en va en me souhaitant bonne nuit.

Je dors très mal, je grelotte malgré qu'il ne fasse pas froid et j'ai les membres ankylosés et douloureux. Je passe une mauvaise nuit et ne dors pas beaucoup.

Le premier samedi

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Le matin arrive et le jour est levé quand mon maître m'emmène dans sa demeure après m'avoir de nouveau enchaînée.

Il retire ma muselière, à genoux je lui fais une fellation et avale "son nectar" puis je déjeune avant d'aller faire ma toilette.

De nouveau bâillonnée il me descend dans le cachot au sous-sol.

Il m'attache aux chaînes fixées au mur et en tirant sur celles-ci il me suspend, mes pieds ne touchant plus le sol, puis il écarte au maximum mes jambes.

Satisfait de son travail il me laisse dans le noir en me disant de regarder l'écran fixé au mur qui me fait face sur lequel défile des scènes de mes séjours chez lui.

Me voir dans ces situations dégradantes est insupportable.

Je pleure car dans la position où je suis mon corps n'est que douleur.

Après un temps qui m'a paru une éternité la porte s'ouvre et on allume la lumière. Mathieu pénètre dans la pièce accompagné de Jacques l'obèse.

- Jacques, tu as vu la putain comment elle aime qu'on la traite -

- elle ne se rebelle pas -

-elle adore ce genre de situation, tu vas voir -

-la putain tu aimes être martyrisée -

Je hoche la tête pour dire oui malgré que je pense le contraire.

Pour prouver à Jacques que j'aime souffrir il tend encore les chaînes qui me retiennent prisonnières les bras et jambes écartées, je souffre horriblement et j'ai peur qu'il ne me désolidarise les bras et les cuisses du corps.

- tu vas faire l'amour à Jacques et dans la semaine, comme il t'a louée, je t'emmènerais chez lui pour qu'il fasse ce qu'il veut de toi. Tu es d'accord -

Comment refuser, j'opine de la tête.

Mes pieds touchant de nouveau le sol mon maître me débarrasse des chaînes et Jacques me tient en laisse pour m'emmener dans une chambre.

J'ai du mal à le suivre car mes membres sont ankylosés et douloureux.

Debout devant le lit je me colle contre lui et je pose ma bouche contre la sienne, ma langue va à la rencontre de la sienne et nous échangeons un long baiser.

Je commence à le déshabiller en léchant et embrassant les parties de son corps que je dénude faisant abstraction de son odeur de sueur et évitant de me focaliser sur ses énormes bourrelets de graisse.

Je dois passer ma tête sous son ventre et soulever les bourrelets de graisse pour atteindre son pénis que j'embrasse, lèche puis suce.

Il est maintenant allongé en travers du lit les jambes dans le vide.

Pas décidée à passer beaucoup de temps avec lui je fais une fellation vigoureuse avec des aller-retour rapides de ma bouche sur sa queue.

Le résultat ne se fait pas attendre, son corps se crispe et prise de tremblements son membre déverse sa semence dans ma bouche.

J'avale le liquide pas très ragoûtant et je continue la fellation pour éviter qu'il ne débande.

Ensuite je me mets à califourchon sur Jacques, avec une main je saisis son pénis toujours en érection et je l'introduis dans ma grotte.

Je bouge pour imprimer des mouvements de va-et-vient à mon corps et faire coulisser sa queue en moi, lui reste inerte les yeux mi-clos et souffle beaucoup.

Je caresse son corps. Je m'active un bon moment avant de ressentir les soubresauts de sa verge dans ma chatte et de sentir le sperme s'écouler dans celle-ci.

Je me déplace. J'embrasse et lèche son corps tout en masturbant sa verge.

Il me faut un bon moment avant qu'il ne réagisse favorablement.

Je lui fais une fellation vigoureuse jusqu'à ce qu'il bande correctement puis je me remets à califourchon sur lui et m'empale sur son membre, j'œuvre longtemps alternant avec des masturbations et fellations car il a tendance à débander avant qu'il n'aie un semblant d'éjaculation.

J'essuie sa queue et mon sexe avec une serviette de toilette et j'attends qu'il reprenne ses esprits et me ramène à mon maître.

Mathieu accroche de nouveau les grosses chaînes à mon collier, aux bracelets de mes poignets et chevilles puis je m'accroupis aux pieds de sa chaise pendant qu'il boit l'apéritif avec Jacques l'obèse qui son verre vide part après avoir dit:

- Mathieu n'oublies pas de m'amener mercredi matin ta putain que je t'ai louée, je sens que je vais bien m'amuser avec elle -

Mon repas est servi sur le sol de la cuisine, je mange puis mon maître me remets la muselière équipée d'une boule qu'il m'introduit dans la bouche.

J'obéis à un ordre qu'il me donne:

- à genoux sur le canapé, le cul tourné vers moi -

Je m'exécute pensant qu'il va fourrer sa queue dans ma chatte et se soulager dedans en me prenant en levrette.

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