L'assistante sociale

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Sur ces mots, il passa une grande langue baveuse sur le visage de Catherine et retourna chez lui et sans rien dire.

********

Cette journée fut la plus terrible de la vie de la jeune femme. Mille fois elle pris la décision d'abandonner les enfants Dobson à leur sort et mille fois elle se ravisa. L'image des supplications de la fillette la hantait constamment.

Sa dernière nuit de sommeil remontait à plus d'une semaine. Son dernier repas à plus de 24 heures. Catherine était affaiblie, et très instable psychologiquement. Elle n'arrivait pas à réfléchir normalement. À de nombreuses reprises, elle avait crue, et souhaitée, que son cœur arrête de battre.

Contre toute logique et sans réfléchir, elle mis l'ensemble de lingerie noir transparent que son dernier amant lui avait donné. Elle déroula une paire de bas nylons neuf sur ses jambes, mis ses souliers à talon, sa jupe et son chemisier le plus décolleté. Et en ce jour de canicule de début d'été, elle marcha d'un pas lent jusqu'à sa voiture et roula machinalement jusque sur le boulevard du Phare. Elle n'avait pas pris la peine de se maquillée. De toutes manière, depuis le lever du soleil, des larmes coulaient constamment des ses yeux gris.

******

C'est ainsi que Catherine se retrouvait maintenant chez l'affreux couple. Elle était maintenant presque nue. Elle n'osait pas bouger et attendait en silence la suite des événements.

Sans même se retourner, Dobson lui lança :

-Il y a de la vaisselle à faire Minette. Ne met que de l'eau chaude, je veux que ça brille.

Catherine considéra l'imposante pile de vaisselle souillée qui couvrait le comptoir. Elle s'approcha lentement du lavabo.

-Allez fainéante, au boulot!

Sur ces mots, elle entendit un sifflement aigu et son cul explosa dans une douleur cuisante. Mélanie Dobson, s'était approchée sans bruit et venait de lui administrer un sévère coup avec la baquette de un mètre qu'elle tenait à la main.

-Aaiiie!

-Ta gueule! fit la voix sonore de Dobson. Si tu pensait venir ici pour jouer au fesses et prendre ton pied toute la journée, tu te trompe salope. Si tu veux te faire ramoner par ma queue, il va falloir que tu le mérites.

-Mélo, assure-toi que l'eau est bien chaude et que mademoiselle la putain de fonctionnaire travail. Ça va la changer un peu de la paperasse. Au boulot!

-Han, Han. fit Mélanie en touchant à l'eau brulante.

Catherine n'essaya même pas de retenir ses larmes quand la baquette de bois percuta de nouveau ses fesses. Elle plongea ses mains dans l'eau, poussa un petit gémissement de douleur en entrepris sa tâche.

La nouvelle bonne des Dobsons travailla sans relâche pendant près d'une heure sous les encouragements enthousiastes de la baguette de Mélanie. Les seuls sons qu'on pouvait entendre étaient la télé et les ricanements de sa tortionnaire. Jamais Réal Dobson ne jeta un seul regard à l'assistante sociale au corps ruisselant de sueurs et aux mains enflées par l'eau chaude.

Catherine laissa son esprit être absorbé par sa tâche. Elle n'entendit pas l'homme s'approcher. Elle détecta plutôt son odeur. Il était maintenant clair pour elle que Réal Dobson avait porté une attention particulière à son hygiène lors de leurs rencontres précédentes. C'était maintenant du passé. Il était évidant qu'il n'avait ni brosser ses dents, ni pris de douche depuis sa visite de la veille.

L'homme la pris par la taille, se collant contre elle en l'embrassant dans le cou, comme un amant attentionné. Ses mains remontèrent lentement vers ses seins qu'il se mit à serrer jusqu'à ce que Catherine grimace.

- T'as vraiment un corps d'enfer. Continue à travailler.

Ses mains explorèrent le corps de Catherine. Il s'attarda longuement sur ses seins, pinçant et étirant les tétons, malaxant avec force ses superbes globes. Il tata son ventre comme un médecin, impressionné par la fermeté de celui-ci. Il explora ses fesses et glissa sa main dans la culotte de l'assistante sociale qui tentait tant bien que mal de poursuivre sa tâche.

-Ha! Je l'savais. Tu te rases la touffe. Un vrai salope.

Il continua ainsi ses manipulations pendant un bon moment, s'attardant parfois aux seins, parfois au sexe de la femme. Il lui écarta brutalement les jambes pour avoir un meilleur accès à sa féminité. Il chercha maladroitement à lui insérer un doigt dans le vagin, puis revins derrière palper le cul de la belle qui essayait de ne pas trop gesticuler malgré son fort instinct de répulsion. Pendant tous ce temps, elle pouvait sentir la solide érection de Dobson qui faisait pression dans son dos.

-Embrasse moi.

Comme elle était lente à réagir, il tourna lui-même la tête de Catherine d'un geste brusque qui lui soutira une grimace.

-Embrasse moi avec la langue salope.

Catherine entrouvrit lentement les lèvres. Sans hésiter, Dobson plaqua sa bouche sur la sienne et sa langue se força un chemin entre ses lèvres. L'haleine de l'homme était tout simplement fétide. Ses mains puissantes emprisonnaient le visage de l'assistante sociale ce qui la privait de toute forme de défense. Dobson lui bavait littéralement dans la bouche. Après ce qui lui sembla être une éternité, il se recula d'un pas.

-À toi, maintenant.

Comme hypnotisée par l'ordre de son bourreau, elle emmena son visage vers ses joues poilus et commença à l'embrasser du mieux qu'elle pu. Dobson brisa le baiser, retira son chandail et lui ordonna:

-Encore. Cette fois mets-y du tient. Frotte toi sur moi comme une chatte en chaleur.

Comme dans un rêve, Catherine s'exécuta. Elle repris son baiser tout en frottant ses seins sur la poitrine velue de l'homme. Sans même s'en rendre compte, son genou alla taquiner l'érection grandissante que le dégoûtant pantalon taché de Dobson ne cachait en rien. Il souleva très haut sa jambe galbée de nylon. Il glissa une main jusqu'au sexe de Catherine et entrepris de fouiller le fond de sa culotte mouillé exclusivement de la sueur crée par cette journée torride. Il lui malaxa le vagin sans aucune délicatesse. La pauvre femme peinait à garder son équilibre et devait s'appuyer d'autant plus sur son bourreau pour ne pas tomber. Soudainement, il repoussa Catherine qui tomba vers l'arrière et se cogna durement contre le comptoir.

-Reprends ton boulot. Lui lança-t-il en se retournant vers sa femme.

La minuscule cuisine des Dobsons était dotée d'une petite table basse qui venait s'attacher au comptoir principale. La vue de la table maintenant libérée de sa vaisselle donna une idée au gougeât. Alors que Catherine se redressait et reprenait son travail de plonge, Réal Dobson agrippa sa femme par le bras et l'étendit sans ménagement sur la petite table. Ainsi, la tête de la femme se trouvait tout près de l'évier.

D'un geste rapide, Dobson baissa son pantalon, souleva les jambes de Mélanie haut dans les airs. Il retira d'un geste vif la vaste culotte de sa femme. Surprise par la tournure des événements, Catherine regardait sans bouger l'homme pénétrer sans ménagement sa partenaire qui poussa un long râle de plaisir.

Voyant l'assistante sociale ainsi figée, il lui lança à la figure la culotte rose décolorée et usée. Catherine l'attrapa par réflexe et eu un geste de dégoût. La vielle culotte sale était toute poisseuse des sécrétions de Mélanie. Dobson remarqua le geste.

-Vas-y, sent la, Mets ton nez dedans. Respire l'odeur d'une vraie femme qui mouille pour son homme. Ma Mélo, c'est pas une petite gouine frigide comme toi.

Machinalement, comme hypnotisée, Catherine porta le vêtement à son nez et respira l'odeur forte de la chatte de Mélanie. Pendant ce temps, Dobson allais et venais à grand coup de queue dans le con de sa femme qui se lamentait de plus en plus.

-Han! Han! Han! Oui! Ouiii! Han! Ouuu!

-Allez salope, arrête de te rincer l'oeil, au travail!

Catherine repris son boulot. Elle tentait en vain d'ignorer le couple qui baisait bruyamment tout près d'elle. Du coin de l'œil, elle observa Mélanie Dobson.

La femme était beaucoup plus jeune qu'elle en avait l'air. Pas plus propre que son mari, les cheveux bouclés, gras et sales. Elle avait une très petite bouche qui restait toujours un peu entrouverte. Ses dents jaunies était croches et avançaient vers l'avant. Ses traits étaient lourds. Sans être obèse, Mélanie était grasse. Elle arborait un gros ventre mou qui bougeait comme de la gélatine sous les coups de queue de son amant. Dobson avait repoussé sa chemise de nuit pour libérer ses seins. Ils étaient mous, sans aucun tonus, les mamelons constamment en érection. À voir comment l'homme les maltraitait, ce n'était pas surprenant. Il pinçait littéralement les tétines de sa femme pour les tirer vers lui au point où Mélanie devait arquer son dos pour suivre le mouvement. Elle ne semblait cependant pas ressentir de douleur de ces mauvais traitements, l'habitude peut-être. La femme avait une pilosité étonnante. Ses jambes n'avaient probablement jamais été rasées et son sexe était complètement recouvert d'un poil noir et raide qui remontait haut sur son ventre. Une chose était certaine, elle semblait prendre beaucoup de plaisir dans ce brutal coït.

-Hey la fainéante! Tant qu'à nous reluquer, approche.

Catherine franchit les trois pas qui la séparaient du couple. Dobson lui agrippa le mamelon gauche et l'attira jusqu'à lui. Une main maltraitant le sein de sa femme qui se lamentait, l'autre pinçant et étirant le téton de l'assistante sociale, il dit :

-Avoue qu'elle est belle ma Mélo.

Comme elle tardait à répondre, Dobson tira d'un coup sec sur le mamelon sensible.

-Aie!! Oui, elle est belle. Dit-elle d'une petite voix.

-Je l'savais. Les jeunes, vous êtes toutes des gouines. Ca t'excite de la voir jouir? T'es jalouse de ne pas avoir ma queue dans ta touffe?

Sur ce, il resserra sa prise sur le sein de Catherine qui répondit d'une voix éteinte ce que son bourreau voulait entendre.

-Oui.

-Oui quoi?

-Oui ca m'excite.

-Alors ne te gêne pas salope. Branle-toi. Mets la main dans ta culotte. Montre moi comment tu te fais plaisir.

Catherine était pétrifiée. Alors que Mélanie manifestait son plaisir de manière très bruyante, elle glissa la main dans sa jolie culotte et massa lentement son sexe qui restait totalement sec. Ce geste sembla satisfaire Dobson qui retourna son attention sur sa femme et accentua la force des ses coups de queue. Ils restèrent tous trois ainsi pendant un long moment. Puis, l'homme ralenti son rythme, pris Catherine par les cheveux et l'attira près de son visage.

-Toutes des gouines... Vas-y. Montre-moi comment tu fais ça avec tes copines. Vas-y! Embrasse Mélo.

Les plaintes infinies de la mère Dobson cessèrent aussitôt. À son air interloqué, on devinait qu'elle était aussi surprise que Catherine et pas plus à l'aise avec la chose.

-Mais...

-Ne viens pas me faire croire qu'une petite chienne dans ton genre ne s'est jamais gouinée avec une autre fille. Embrassez-vous et faites ça sensuelle.

Il poussa durement Catherine vers la tête de Mélanie qui, bien que mal à l'aise, ferma les yeux, entrouvrit les lèvres et sorti le bout de sa langue dans un rictus qui aurait été comique dans d'autres circonstances. Dobson repris son pistonnage alors que Catherine, repoussant sa nausée, approcha ses lèvres de celles de Mélanie jusqu'à ce qu'elles les touchent chastement. Dobson, visiblement insatisfait, poussa un grognement.

-SHLACK

Il avait pris le bâton de 1 mètre et venait de frapper durement le cul de l'assistante sociale. Renversant son mouvement, il assena un second coup tout aussi fort sur le cul de sa femme.

-Allez espèces de fainéantes, mettez-y du cœur.

Les deux femmes s'activèrent simultanément. Leurs langues se mirent à danser pour le plus grand plaisir de Dobson qui redoubla de fureur, se projetant avec force au plus profond du con de sa femme. Mélanie sursautait à chaque coup de boutoirs. Plus pour garder son équilibre que par pur désir lesbien, Catherine planta ses doigts dans le sein droit de Catherine dont la grimace apparu comme un signe de jouissance aux yeux de Dobson.

-Han! Han! Han! Haaaaa!!!!!

Mélanie s'abandonna à nouveau. Elle cria son plaisir dans la bouche de Catherine Son cris résonna dans le petit appartement. N'y tenant plus, Dobson explosa profondément dans le vagin de sa femme en poussant un grognement rauque. Il se retira subitement pour s'asseoir sur une chaise, la queue luisante et le souffle court. Mélanie avait porté la main à sa chatte et se branlait furieusement tandis que Catherine, la main gauche toujours dans sa culotte, n'osait briser le baiser de peur de déplaire à Dobson.

-Bon. C'est assez les gouines. Gardez-en pour plus tard. La Minette, nettoie la touffe de Mélo avec ta culotte et retourne finir tes chaudrons.

Hésitante, Catherine enleva sa précieuse culotte et essuya délicatement le vagin de Mélanie qui dégoulinait de sperme et de sécrétion. Elle avait toujours su que certaine femme pouvait dégager des odeurs fortes, mais jamais elle n'aurait cru que quelqu'un puisse dégager des effluves aussi nauséabondes. Elle regarda sa culotte maculée et songea un instant à l'amant qui lui avait offert.

Cette pensée lui donna le vertige. Elle s'était préparée à être violée, baisée par ce grotesque personnage. Elle était décidée et aurais pu vivre avec ces actes immondes tant elle voulait sauver ces enfants. Elle savait que Dobson allait prendre son corps. Elle croyait pouvoir garder le contrôle, avoir le dessus sur lui, du moins mentalement. Mais Catherine n'était pas prête à ce qui s'est passé. Il ne lui avait pratiquement pas touché. Elle avait certainement déjà été plotée plus hardiment sur des pistes de danse. Elle le réalisait maintenant, Dobson avait gagné. Il l'avait détruite. Pas en la baisant, mais en l'humiliant. En l'humiliant d'une manière telle qu'elle n'aurait pu l'imaginer. À cette pensée quelque chose se brisa en elle. Elle ne pouvait plus lui résister.

N'ayant rien avalé depuis plus de 24h, elle prit conscience de la faim que la tenaillait. Du coin de l'œil, elle remarqua un muffin qui trainait sur la table. Désespérée, elle osa demandée avec une petite voix, presqu'une voix de gamine.

- Mr Dobson, j'ai très faim. Pourrais-je avoir quelque chose à manger SVP.

Et l'homme de répondre en riant.

-Tu veux ma queue... Quelle salope. C'est dommage pour toi, mais elle a besoin de récupérer un peu. Prends plutôt ce gâteau.

Il prit le gâteau sec qui traînait là depuis des jours et l'émietta sur la table. Il en prit une partie dans sa main et la porta à sa bouche. Après l'avoir mastiqué pendant quelques secondes, il recracha la pâte devenue gluante dans sa main et s'approcha de Catherine. Il mit sa main libre sur son épaule et appliqua une pression. Immédiatement, sans résistance, l'assistante sociale se mit à genoux, le visage à quelques centimètres de sa queue flasque. Dobson avança la main et lui ordonnât :

-Mange

Sans dire un mot, elle se pencha vers la main ouverte. Elle mangea l'immonde bouillie directement de la main de l'homme. Exactement comme l'aurait fait un animal dans une ferme pour enfants. Il lui fit nettoyer ses doigts sales et jaunis au tabac. Quand il fut satisfait, il l'agrippa par les cheveux, la redressa et la retourna à ses chaudrons en lui expédiant une claque sonore sur les fesses.

Catherine se remis à l'ouvrage dans un silence complet. Ni Mélanie, ni Dobson ne dirent un mot pendant de longues minutes. Les seuls bruits provenaient de la gorge de Dobson qui buvait sa bière à grandes lampées.

Il se leva soudain. Il s'approcha du comptoir, toujours nu, et pris un grand verre resté sale et taché malgré tous les efforts de Catherine. Sa queue à la main, il urina par petits jets dans le verre. Une fois le contenant rempli, il le tendit à Catherine qui regardait le plancher. Elle prit le verre tout chaud dans ses mains.

-Bois

Lentement, très lentement, elle porta le verre à ses lèvres. C'est à peine si elle remarqua l'odeur fétide qui s'échappait de l'urine encore chaude. Elle versa le liquide dans sa bouche en grimaçant et l'avala à petites gorgées sous les regards amusés du couple fou. Elle vida le verre sans broncher. Son cerveau ne semblait plus fonctionner. Elle ne gouta pas plus la déjection de Dobson qu'elle la senti. Il l'avait brisée psychologiquement. Elle n'habitait plus son corps. L'énormité de son geste s'inscrit néanmoins dans son esprit d'une manière telle qu'elle ne put plus jamais fréquenter une toilette publique et resta allergique à l'odeur de l'urine.

Elle réprima une forte nausée et repris son travail sans dire un mot. Dobson sorti en ricanant une bouteille de whisky bon marché et en pris une longue gorgée. Il s'approcha de Catherine, la prit par la taille et fit mine de l'embrasser.

-Beuuurk! Tu pus de la gueule.

Il tira la tête de Catherine vers l'arrière et versa une bonne rasade de whisky directement dans sa gorge. Frapper par la force du breuvage, le jeune femme s'étouffa et régurgitât une partie du liquide, puis elle tomba à genoux. L'agrippant de nouveau par les cheveux, il tira la pauvre assistance encore au sol jusqu'à sa chambre.

-Moi et la Minette, on va faire une sieste.

Il lança Catherine sur le lit aux draps souillés. Celle-ci se roula instinctivement en boule. Dobson la rejoignit aussitôt et l'enlaça en cuillère. Il passa son bras gauche sous elle et agrippa un de ses seins. Il écart largement les jambes de la belle afin d'avoir un meilleur accès à sa féminité. Sans hésitation ou précautions, il enfouit maladroitement deux doigts dans sa chatte sèche. Il lui marmonnait des choses incompréhensibles dans l'oreille tout en lui léchant le cou. Ainsi immobilisée, Catherine se laissa aller. Après un moment, les maladroites manipulations de Dobson firent place à un ronflement sonore.

Catherine dormit d'un sommeil fiévreux où les images des ses tourments se bousculaient. Elle se réveilla en sursaut, une douleur cuisante lui déchirant les jambes. Elle était maintenant sur le dos, Dobson lui écartait les cuisses au maximum et frottait son pénis durci sur son sexe. Il l'empala sans avertissement, lui tirant un long râle de douleur que Dobson confondit avec du plaisir. Il se laissa tomber sur elle et approcha son visage tout près du sien.

-Tu jouis sale chienne.

-Ça t'as excité de nous voir baiser salope. Je sais que depuis que tu es arrivée que tu veux ma queue. Tiens! Prend là!

Sur ce, il donna un violent coup de bassin qui fit cogner la tête de Catherine contre le mur.

Il s'écrasa de tous son poids sur sa proie. Il la baisa ainsi, lentement et longuement. Sa langue envahissait la bouche de Catherine. Elle avait du mal à respirer coincée sous l'imposant mâle. Ainsi écartelée, ses cuisses étaient douloureuses, ses jambes tremblantes. À chaque fois qu'elle tentait de les baisser, Dobson les relevait violemment. Bientôt, des crampes commencèrent à torturer Catherine. Elle gesticulait pour échapper à la douleur, mais elle restait toujours bloquée sous la masse de l'homme qui voyait dans ces mouvements involontaires des signes de jouissance.

Catherine s'abandonna à nouveau. Elle repris conscience au moment où Dobson, dégoulinant de sueur, se vidait en elle. Ses grognements cessèrent et il s'écrasa de tout son poids sur Catherine. Rapidement, il se mit à ronfler.

Catherine ne su jamais vraiment combien de temps elle resta au lit, mais quand Dobson la libéra, elle dû rapidement reprendre ses tâches ménagères. Les cuisses et la chatte collés de foutre, elle du récurer la salle de bain du couple et laver à la main les sous vêtements tachées de Mélanie et de Dobson.

Elle travaillait en silence quand Dobson s'approcha d'elle.

-Viens la Minette, il te reste un travail à faire et il est presque 3 heures.

Ces mots résonnèrent comme un coup de tonnerre. Pour la première fois depuis le matin, Catherine pris conscience que son tourment aurait peut-être une fin. Elle repris espoir.