L'assistante sociale

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Dobson la pris par les épaules et la tourna face à la table. Les yeux de Catherine s'ouvrirent au point de sortir de leurs orbites. Le formulaire de libération des enfants était proprement ouvert à la page de la signature, un stylo posé à sa gauche. Les battements de cœur de l'assistante sociale s'accélérèrent. Au moins, elle aura réussi à sauver les enfants.

L'homme la pris doucement par la taille. Son pénis de nouveau en érection faisait pression dans son dos. Il lui glissa à l'oreille.

-Un dernier coup pour la route Minette. Penche toi sur la table et écartes les jambes.

Catherine obéit doucement. Les seins écrasés sur la table collante, elle écarta les jambes. Son vagin obstinément sec fut de nouveau envahie par ce sexe tant haie. La position était inconfortable, mais Dobson la limait en douceur.

Soudainement, Catherine senti un gel froid et visqueux se répandre entre ses fesses. Du pouce, Dobson se mit à étendre le gel sur son anus. Les sens soudainement en alerte, elle comprit bien vite où il voulait en venir.

La sodomie avait toujours été son ultime tabou. Elle n'avait jamais accepté de caresses anales. Elle avait toujours été claire avec ses partenaires. Son anus était interdit. Son plus grand cauchemar était que son amant la pénètre accidentellement. C'est pourquoi elle n'avait jamais été à l'aise avec la levrette et les positions où l'homme se retrouvait derrière elle.

Catherine se mit à se débattre furieusement. Dobson faillit perdre l'équilibre. Il attrapa les poignets de la belle et les ramena brutalement derrière son dos.

-Mélo, aide moi

Mélanie s'avança et mis tout son poids sur les épaules de Catherine, la clouant littéralement à la table, pendant que son mari lui attachait les poignets. Après s'être débattu avec l'énergie du désespoir, Catherine se mis à sangloter, puis à pleurer. Dobson lui assena 4 magistrales claques sur les fesses et il plaça son gland directement sur l'anus vierge.

-Vas-y doucement Ré, la petite a peur.

La voix de Mélanie se voulait réconfortante. Les quelques fois où son mari l'avait enculée, elle avait toujours ressentit beaucoup de douleur. Rien n'y fit, Dobson poussa avec force, mais l'entrée était difficile à pénétrer. Il dû se reprendre à trois reprises avant de faire passer la couronne de son glands dans l'œillet de Catherine.

-AAAAAAAAAH!!!!!!

Le crie strident fit trembler les murs. Dobsons s'enfonça profondément en elle et sans dire un mot. Il commença à pistonner sans ménagement son anus vierge.

- NON!!! NON!!! PAS CA!

-Tu croyais t'en tirer si facilement?

-AAAAH!

-D'habitude, j'aime pas trop l'enculade, mais tu as tout un cul la Minette.

-PITIÉ! J'en peu plus!

-Ta gueule.

-ARRETEZ! Je vous en pris!

-T'as vraiment le boyau serré toi.

- SVP!

- J'ai dit TA GUEULE! Prends ma queue et arrête de te lamenter salope.

-AAAHHHHH!!!

-Quand je pense que je t'ai graissé le cul. J'aurais dû te casser l'anneau à sec.

Le reste des supplications de l'assistante sociale se perdirent dans ses pleurs. Le formulaire d'abandon était trempé de larmes et de salive. Dobson était sans merci et cognait de plus en plus durement sur le cul de la pauvre femme dont le ventre frappait le bord de la table à chaque fois. Dobson se retira complètement à plusieurs reprises pour replonger au plus profond de Catherine en grognant. Une fois les couilles vidées, il repoussa Mélanie et s'écrasa de touts son long sur la femme sanglotante. Il pris le stylo et signa le formulaire.

*******

ÉPILOGUE

Catherine ne su jamais très bien comment elle s'était retrouvée dans sa voiture. Quand les policiers l'on trouvée, elle était simplement vêtu d'une vielle chemise de nuit sale. Elle dû être interner pendant un an et ne repris jamais son travail.

Quelques semaines après les événements, l'enquête policière aboutie à l'arrestation de Dobson. Après un dur procès marqué par les confessions de Mélanie et le témoignage troublant de Catherine, il fut condamné à 15 ans de prison pour chantage, viol et séquestration. À la sortie du palais de justice, Dobson croisa sa victime devant l'ascenseur. Il la regarda droit dans les yeux et lui dit :

-J'aurais jamais cru que tu boirais ma pisse. Tu es vraiment un bon coup la Minette.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
MoiaunaturelleMoiaunaturelleil y a 9 mois

Je découvre l'histoire 13 ans après mais quel régale , une histoire bien sombre mais étrangement excitante.

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Horriblement drôle, extra!

La fin nous dit tout. Chantage, viol, séquestration... La pauvre femme. Il ya de quoi finir en asile.

Pourtant avec un peu de bons sens, quelle assistante sociale accepterait un tel chantage? meme pour sauver 3, 10 ou 100 enfants misérables.?

Ca tient pas la route cette histoire, mais j'ai bien ri! Quelle honte des gens comme ça!

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Une assistante sociale à l'agonie la vengeance d'une allocataire
L'Appât Du Gain (Partie 01) Une proposition très tentante aux conséquences risquées.
Le Modèle Obligée de servir de modèle pour des cours de peinture.
Laura Parle Trop Ses collègues vont lui apprendre à se taire...
1h30 d'horreur sur les Rails Le kidnapping de Nathalie.
Plus d'histoires