La Villa

BÊTA PUBLIQUE

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Quelques instants plus tard, comme animée de sa propre vie, la bouteille de whisky se soulève dans les airs, y flotte. Se rapproche de la bouche de Stéphanie. Le goulot se colle à ses lèvres qu'elle ouvre mécaniquement. Lentement du liquide doré coule sur sa langue, qu'elle avale directement, buvant l'équivalent de trois verres, environs quinze centilitres. Puis flottant toujours, la bouteille retourne à son point de départ. Une main invisible ouvre la bouche de Stéphanie, un pal brûlant s'insinue dans sa cavité buccale. Par réflexe, elle fait bouger sa langue, le pieu poursuit sa route, s'enfonce dans sa gorge, elle a du mal à respirer.

Inconsciente, par pur réflexe, elle donne une jolie fellation au membre qui la force. La première de sa vie. Cela dure peu de temps. Un liquide froid, épais, crémeux, jaillit, qu'elle avale au fur et à mesure de son irruption sur la langue. Quand il a fini, le membre se retire, invisible, mais toujours dur. De nouveau la bouteille s'élève, le goulot se colle à sa bouche, le whisky coule en elle. Jusque à ce que la bouteille soit vide. La bonde de la baignoire est retirée, l'eau s'en écoule, laissant le corps de la jeune femme à même l'émail.

Au bord du coma éthylique, Stéphanie ne sent pas ses jambes s'écarter, une masse se coucher sur elle. Un sexe bien plus gros que celui d'Aurélien la pénétrer. Dans son sommeil d'ivrogne, elle grogne de douleur. Cette fois elle ne ressent aucun plaisir, gémit juste de douleur. Ses seins tressautes, son sexe est grand ouvert. Le corps inerte de Stéphanie est bafoué, profané, violé. Cela dure longtemps, très longtemps. Une heure, trois heures, cinq heures... Cela continue encore et encore, ne semblant jamais vouloir s'arrêter. Plusieurs fois par heure, le membre qui la force se fige, un liquide froid jaillit en elle. Puis le membre recommence à bouger, jusque à ce qu'il se fige de nouveau, que le même liquide jaillisse en elle.

Puis au bout de sept heures d'un viol dont Stéphanie n'aura jamais la connaissance, le sexe se retire d'elle. La bouteille de whisky vide est mise dans la main droite de la belle. La bonde est remise, le robinet s'ouvre, l'eau coule, remplissant de nouveau la baignoire. Recouvrant le corps de la magnifique Stéphanie. Quand la baignoire est presque pleine, l'eau s'arrête. De nouveau les seins de la jeune femme sont suçotés, léchés. De nouveau une bouche se pose sur sa vulve plongée dans l'eau. Son clitoris est caressé, Stéphanie ne tarde pas à gémir de bonheur. Cette fois, quand elle hurle son orgasme, elle ouvre les yeux. Rapidement la bouche se retire, la main de Stéphanie est mise entre ses cuisses ouverte, le goulot de la bouteille légèrement dans son sexe. Quand la jeune femme reprend presque complètement conscience, son orgasme encore plus fort que le premier la traverse encore.

Sa main est toujours entre ses cuisses, le bout de la bouteille toujours légèrement en elle. Stéphanie regarde autour d'elle, la porte de la salle-de-bain est fermée, la pièce est totalement vide. Elle gémit encore de plaisir. Son sexe douloureux pulse encore de sa jouissance. Stéphanie retire le bout bouteille de son corps. Elle la regarde. La voit vide. La jeune femme tire les conclusions qui s'imposent, que toutes femmes auraient tirées. Dans son sommeil alcoolisé, après avoir but une bouteille entière, elle pense qu'elle s'est masturbée toute seule avec la bouteille, se donnant l'orgasme le plus fort qu'elle n'est jamais ressentit. Même avec Aurélien le plus grand amour de sa vie. À aucun moment, elle ne saura qu'une entité invisible vient de violer sa bouche et son sexe toute la nuit.

Elle ne se dira même pas, que une telle quantité d'alcool aurait dut la tuer, surtout pour une personne qui comme elle ne boit jamais. Elle ne saura jamais que c'est à cause de l'entité invisible qu'elle a survécu.

Sa tête lui fait atrocement mal, la gueule de bois est violente. Stéphanie à le plus grand mal à sortir de la baignoire, elle enlève la bonde pour la vider. La belle ne remarque même pas que l'eau est encore chaude, alors qu'elle aurait dut être glacée après une nuit entière. Ni que sa peau n'a pas subit les effets néfaste d'un corps plongé dans un liquide pendant près de dix heures. Elle se sèche rapidement, sort de la pièce, nue. Elle va dans sa chambre, se couche sur son lit, s'endormant immédiatement. Cette fois elle dormira six heures d'affilée, sans que personne ne la touche.

Stéphanie est réveillée par la faim et la soif, sa gueule de bois à disparue. Elle boit un litre d'eau en se faisant une énorme omelette aux champignons. Elle la dévore rapidement. Une fois rassasié, la jeune femme retourne se coucher, elle dormira d'une traite jusque au mardi huit heures, sans incident notable.

Là encore la journée se passe bien, même si la sensation d'être observée habite Stéphanie toute la journée. Sensation qui s'accentue quand elle se douche, ou se met en maillot de bain pour profiter de la piscine. Comme si un pervers l'observe, que cette observation s'accentue quand elle nue ou en maillot. À un moment de la journée, elle pense même qu'il y a peut-être des caméras. La jeune femme en recherche, en vain.

Si la journée du mercredi se passe de la même façon, la nuit est différente. Stéphanie dort toujours en pyjama et tee-shirt. Même après avoir fait l'amour avec Aurélien, elle se douche et met jogging et tee-shirt pour dormir. Là, elle se réveille en pleine nuit, en transpiration. Elle est trempée. Stéphanie se lève et va boire pour se réhydrater. Elle a l'impression de sortir d'une douche. La chaleur est telle que la jeune femme vérifie même si le chauffage n'est pas allumé. En le touchant, elle découvre que les radiateurs sont froids. Alors pour la première fois de sa vie, elle enlève ses vêtements de nuit, se décidant à dormir nue. Après tout, Stéphanie est toute seule, il n'y a personne pour apercevoir son corps.

À peine s'est elle recouchée, que le sommeil la rattrape, sans penser à rien, elle replonge dans un sommeil profond. Vers sept heures du matin, profondément endormie, elle ne sent pas qu'on lui écarte les cuisses. De nouveau, la bouche qui se pose sur son sexe ne la réveille pas. Rapidement, elle se met à haleter de plaisir. Elle rêve qu'un homme dont elle ne voit pas le visage, qui n'est pas Aurélien lui fait l'amour. C'est bon, si bon. Quand un orgasme la traverse, Stéphanie se réveille en criant de plaisir. Ses yeux s'ouvrent, il n'y a personne, seul sa main est posé sur sa chatte. Elle est tellement trempée de cyprine qu'on dirait qu'elle s'est urinée dessus. Jamais l'idée que cela puisse être de la bave ne la traverse. Quand elle regarde l'heure, il est sept heures quarante-cinq. Stéphanie décide de se lever, d'aller se doucher. Elle se demande ce qui lui arrive. Jamais elle ne s'est caressée, jamais elle ne s'est masturbée. Là, en moins d'une semaine, elle l'a fait deux fois dans son sommeil. La première fois elle a mit cela sur le compte de l'alcool, mais là, aucune goutte d'un quelconque produit alcoolique n'est entrée en elle depuis. L'eau lui fait du bien, le petit déjeuner et la matinée à la piscine aussi. Elle décide alors de passer l'après-midi au sauna.

Il n'y aura plus aucun incident, aucun réveil orgasmique. Seule la sensation d'observation perdure. Le samedi matin, elle part en taxi à dix heures du matin, direction l'aéroport de Nice où Aurélien doit arriver. Son futur mari, son héros, qui se sacrifie au travail pour lui offrir une magnifique vie. D'abord la villa, puis maintenant le mariage. Stéphanie se dit que jamais elle n'aurait put penser pouvoir aimer autant quelqu'un. Ensuite le couple passe la journée en ville. Ils mangent dans un petit restaurant dans le Vieux-Nice. Font quelques emplettes, pour la maison d'abord, puis pour eux. Deux costumes pour Aurélien, une petite robe rouge très sexy pour Stéphanie, ainsi que quelques strings assez affriolants que son avocat de fiancé lui choisit, et insiste pour qu'elle les prennent.

Ils rentrent vers dix-huit heures. Aurélien souhaite qu'ils prennent une douche ensemble. Stéphanie n'en a pas très envie, mais elle sait qu'il faut qu'elle fasse quand même un minimum. Surtout après tout ce que son fiancé fait pour son bonheur à elle. Alors la jeune femme accepte. Ils font l'amour debout, sous l'eau tiède. Aurélien la prend debout, Stéphanie mains appuyées contre le mur, ses gros seins virevoltants en tout sens, attend qu'il finisse. La sensation d'être épiée, en plus de son manque de libido, fait qu'elle est obligée de simulée. Cela marche, car son fiancé ne se rend compte de rien.

Il la prend comme cela pendant trente minutes, trente longues minutes pour la jeune femme. Se forçant à se donner à lui, la jeune femme ne se rend même pas compte que c'est bizarre qu'après une semaine sans sexe, Aurélien dure si longtemps. Normalement, quand on retrouve la femme de sa vie, après presque six jours sans la voir, un homme amoureux part presque de suite. Là, il dure et il dure. Mais cela passe complètement au-dessus de la tête d'une Stéphanie qui ne pense qu'à une chose, qu'il en finisse le plus vite possible. Mais Aurélien qui s'est maintes fois vidés dans tout les orifices de Jennifer, dont deux fois avant de prendre l'avion, met une demi-heure avant de se vider dans la petite chatte vraiment étroite de sa fiancée officielle.

Quand il a fini, qu'il se retire, Stéphanie se retourne et embrasse Aurélien. Puis elle lui dit :

- C'était vraiment trop bon mon amour. Tu me fais jouir à chaque fois.

Aurélien lui sourit et la prend dans ses bras. Stéphanie se laisse faire, tout en se disant qu'elle devrait songer à devenir actrice. Elle gagnerait sans aucun doute l'oscar de la meilleure actrice. Une fois le câlin d'Aurélien terminé, les deux se lavent vraiment. Aurélien se met en caleçon-tong, tandis que Stéphanie revêt son traditionnel jogging-tee-shirt.

Très doué pour la cuisine, c'est Aurélien qui se met au fourneau. Le plat est délicieux, Stéphanie pense qu'elle a gagnée le gros lot. Son fiancé est beau, très beau même. Il est le fils unique d'une riche famille, il a un boulot rapportant beaucoup. Ce n'est pas ce qui compte pour elle dans sa relation, mais c'est un plus indéniable. Puis il l'aime comme un fou, se mettant en quatre pour elle, devenant esclave de son travail. Stéphanie est certaine qu'ils vieilliront ensemble. Dans l'amour et l'opulence. À aucun moment, l'idée qu'il puisse en aimer une autre ne l'effleure. Finalement, l'oscar du meilleur acteur, c'est lui qui le mérite. Et de loin.

Le reste de la soirée se passe devant un bon film, avant qu'ils n'aillent se coucher. Le lendemain matin, quand Stéphanie se réveille, Aurélien n'est déjà plus dans le lit. La jeune femme décide de se prélasser quelques minutes au lit. Juste avant qu'elle ne se motive pour se lever, Aurélien entre dans la chambre. Un plateau avec lui. Il le pose sur le lit. Il y a un café au lait, des tartines de pains, de la confiture de fraise. Tout ce qu'elle adore prendre.

- Que me vaut cette attention?

- Je veux juste t'acheter.

Stéphanie sourit.

- M'acheter pourquoi?

- J'ai envie de toi.

- Aurélien, cochon, ce n'est pas le moment.

- Avec toi ce n'est jamais le moment.

- Je viens juste de me réveiller, il faut que je me douche. On verra pour cet après-midi.

- D'accord, je vais me baigner en attendant. Mais je t'aime tellement, j'ai tout le temps envie de toi.

- Je sais mon amour, mais tu me connais. Va à la piscine, je te rejoins après la douche.

Stéphanie sait qu'ils ont frôlé une énième dispute à propose du sexe. Mais une chose est certaine, elle n'a vraiment pas envie de faire l'amour.

Le reste de la matinée se déroule sans anicroche. Le couple s'amuse dans la piscine, même si le cul à la cambrure parfaite et les gros seins de Stéphanie rendent fou de lubricité Aurélien. Ce dernier se retient, il ne revient plus sur le sujet. Après un bon sauna, les deux tourtereaux déjeunent. À la fin du repas, après un café, Aurélien regarde l'heure, il est déjà quatorze heures.

- Chérie, il est déjà quatorze heures, je pars dans trois heures. Une petite sieste et une petite partie de jambes en l'air cela ne te tente pas?

- Bof, j'ai pas trop envie...

- Mon amour, moi j'en meurs d'envie.

- Non la prochaine fois plutôt.

Là Aurélien voit rouge.

- La prochaine fois? C'est dans une semaine! Là, on passe même pas deux jours pleins ensemble, on pourrais faire l'amour au moins deux fois.

- J'ai vraiment pas envie, je suis désolée...

- Tu es certaine que tu m'aimes? Tu veux que je craque sur Paris, que j'aille voir ailleurs?

- Non, je t'aime, si tu fais ça, je te quitte! Puis je t'ai jamais demandé de rester sur Paris!

- Tu te fous de ma gueule? Cela fais trois ans que tu me tanne pour que l'on se paient une villa dans le sud. Que je travaille comme un fou pour ça, que je me sacrifie!

- Je sais mon cœur, je sais...

- On ne le dirait pas! Je reste sur Paris parce que tu veux un beau mariage de princesse, alors que moi je peux me contenter d'un petit truc en famille! Je dois travailler des tas d'heures pour cela! En plus tu veux que l'on vivent dans le sud, que j'y monte mon cabinet! Pour ça aussi il faut de l'argent, désolé si pour l'instant je dois bosser comme un fou, seul, pour faire plaisir à madame!

- Pardon mon cœur, je t'aime!

Aurélien exagère pas mal sa colère. Il ne dirais pas non pour un coup avec Stéphanie, mais c'est déjà trop tard, sa dulcinée c'est Jennifer. Elle est la seule femme qu'il connaisse qui rivalise en beauté avec Stéphanie, à avoir un corps presque aussi parfait qu'elle. Mais surtout, elle est toujours partante pour une bonne baise. Il sait que ce soir il se videra à l'envie. Donc, le non de sa fiancée n'est que le prétexte qu'à une dispute, qui il l'espère se répétera dans le futur. Le motif de la rupture est ainsi toute trouvée. Frustré sexuellement, il la quitte pour une autre. Ce qui est la vérité. Sans la frustration sexuel qu'il a ressentit par le passé, il est certain que jamais Jennifer ne serait entré dans sa vie.

- Pardon! Pardon! Tu ne sais dire que cela! Mais moi, que je sois, en plus de tout le boulot que j'ai, frustré sexuellement, cela ne te dérange pas!

- J'ai vraiment pas envie... C'est plus fort que moi...

- Puisque c'est cela, ce n'est pas grave, je me casse maintenant, je vais voir une pute et je prendrais mon avion après!

Aurélien se retourne, part vers la maison, Stéphanie panique. Il est capable de le faire, pire de draguer une fille à l'aéroport ou sur Paris et la quitter...

- D'accord! D'accord! Prends-moi!

En disant cela, Stéphanie enlève le bas de son bikini, tandis que Aurélien stoppe ses pas. Le temps qu'il se retourne, elle à enlevée aussi son haut. Ils se regardent dans les yeux, Stéphanie est en larmes, Aurélien, rouge de colère.

La jeune femme se laisse tomber à terre, à quatre pattes.

- Tu veux me prendre? C'est d'accord! Viens!

Il la regarde, il ne veut pas vraiment de ça. Mais dans cette position, elle est tellement canon. Puis cela peut être un plus pour une séparation future...

- Tu es sûr?

- Certaine! Viens me prendre! Je ne vais avoir aucun plaisir, mais au moins tu va pouvoir te vider, comme avec une poupée gonflable...

Stéphanie espère que cela va le calmer, au contraire, ça l'excite. Il se dit que ce n'est pas bien, mais c'est plus fort que lui. Il enlève son pantalon, se précipite vers elle, s'agenouille derrière sa fiancée.

- Tu veux me baiser, alors baise-moi!

D'un coup violent il la pénètre. Il ne sait pas si elle crie de plaisir ou de douleur, mais il s'en moque. Il est gagnant de toutes les façons. Il va se vider. Puis si cela peut précipiter leurs séparation... Alors il la prend sauvagement, brutalement. Avec une violence qu'il n'a jamais eut avec elle. Insensible à ses gémissements qu'il sait de douleur, de dégoût. Il sait qu'elle pleure, il entend ses sanglots. Il s'en fiche, elle n'est plus qu'un morceau de viande, un trou où vider sa semence.

Les mains crochés dans les hanches de Stéphanie, laissant les empreintes de ses doigts dans la chair, Aurélien baise sa femme comme jamais il ne l'a baisée. Le pire, c'est qu'il aime ça. Pas parce que c'est une femme, mais parce que c'est elle, qu'elle l'empêche de vivre pleinement sa relation, son amour, avec Jennifer. Il sait, il comprend, que pour la loi ce n'est pas un viol, elle a donnée son consentement de vive voix, n'est pas revenu dessus. Mais dans l'esprit, dans les faits, c'en est un. Alors il se venge de toute la frustration que la jeune femme lui a fait vivre toutes ces années...

Cette fois, le coït ne dure pas vraiment longtemps, même si pour la pauvre Stéphanie, qui a la sensation de se faire violer tellement son fiancé la prend brutalement, férocement, fait mal à son sexe, cela semble durer des heures. Au bout de dix minutes, Aurélien se fiche au plus profond de son ventre, il se vide en criant son plaisir, éprouvant l'orgasme le plus intense qu'il n'est jamais connu avec une femme, même avec Jennifer. Il inonde torrentiellement l'utérus de sa fiancée, éjaculant une quantité de sperme comme jamais il n'en a lâché.

Quand il a fini, Aurélien se retire, il s'allonge sur le sol. Stéphanie reste quelques secondes à quatre pattes, sentant la semence s'écouler de son sexe. Puis en pleures, elle s'écroule à son tour sur le sol, se couche en position fœtale.

- Tu m'as fais mal...

Aurélien ne s'excuse pas, il estime qu'elle lui doit au moins ça, pour tout ce qu'il fait pour elle. Il tente un dernier truc, espérant qu'après ce rapport, Stéphanie le quitte.

- Dorénavant, si tu veux que je continue à descendre ici, ce sera au moins un rapport par jour... Que tu en ais envie ou pas...

La jeune femme ne réfléchit pas. Elle l'aime trop, même après un tel chantage :

- Ne me quittes pas... c'est d'accord... tout ce que tu veux...

Aurélien n'est pas déçu de sa réponse. Il se dit que la prendre comme ça chaque semaine vaut bien la difficulté de quitter Jennifer pour trente-six heures.

Aurélien se relève.

- Je vais me doucher et m'habiller.

Stéphanie ne dis rien, elle reste de longues minutes, allongée à même le sol, pleurant de tout son saoul. Malgré ce qu'il vient de lui faire vivre, elle est amoureuse comme une folle de son homme. C'est sa drogue, sa raison de vivre. Elle ne comprend pas pourquoi elle ne le désire pas autant qu'il le voudrait. Elle sait qu'elle va se faire une raison, qu'écarter les cuisses une fois de plus chaque week-end est un prix qu'elle est prête à payer pour garder Aurélien, pour garder sa vie. Même si elle a la sensation effroyable d'avoir été violée, salit, martyrisée.

Quand après une longue douche, Aurélien redescend, Stéphanie, en maillot de bain, est assise dans la cuisine. Il l'embrasse.

- J'y vais mon amour, le taxi est là. Je t'appelle demain, à la semaine prochaine.

Stéphanie qui lui a rendu son baiser, lui répond :

- Je t'aime, à la semaine prochaine...

- Je t'aime aussi.

Dès qu'il est sortit de la pièce, elle se met à la fenêtre. Elle le voit descendre l'allée, monter dans le taxi garé devant le portail. Dès que la voiture à démarrée, elle monte en trombe jusque au WC. Elle s'accroupit devant, vomit. Puis elle fonce se doucher. La sensation horrible d'être sale, s'ajoutant maintenant à celle d'être épiée en permanence.

La semaine se passe relativement bien. Stéphanie se rend compte que son sentiment d'être épié est moins fort depuis que son fiancé l'a pratiquement violée. Comme si l'homme qui l'épie était repus de la brutalité de ce coït. Stéphanie ne se réveillera pas une seule fois pour ce qu'elle pour une masturbation endormie. Elle partagera son temps entre piscine, ménage et repos. Elle s'occupera de son potager, qu'elle a créé lors de son arrivée. Quand Aurélien revient le samedi matin, elle s'offre à lui. Il lui fait l'amour, en douceur, lui donnant même un petit orgasme. Il remettra ça le soir, lui faisant encore l'amour. La brute de la semaine passée ayant disparut. Par contre, quand il la prend courbée sur la table, le dimanche avant de partir, il la défonce, lui fait de nouveau mal. Cette fois encore Stéphanie pleure, se sent souillée, salit... Mais elle le subit, c'est son devoir de lui donner ce qu'il a besoin. Surtout au vu de tout ce qu'il fait pour elle.