La Villa

Informations sur Récit
Un jeune couple achète une villa dans le sud de la France.
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Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/21/2022
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Ce récit fantastique, teinté d'horreur, n'est pas à mettre entre toutes les mains. Le viol en est son fondement. Seul un public majeur et avertit peut le lire. Seul un public aimant ce genre de texte l'appréciera, du moins je l'espère. Il est donc réservé aux plus de dix-huit ans, au amateurs de rapports forcés. Je rappelle que ce texte n'est que tiré de l'imagination de son auteur. En aucun cas il ne cautionne quoi que ce soit. Il y aura des moments pornographique, des pervers, d'autres plus narratif, j'espère que les deux côtés vous plairont. Pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas, seul des critiques jaillirons de votre esprit. Ce serait aussi stupide que de commander le meilleur plat à base de viande dans le meilleur restaurant du monde, alors que vous êtes totalement végan. Pour les autres, je vous souhaite bonne lecture.

Pour info, j'ai classé ce texte dans « horreur », mais il aurait tout aussi bien put se mettre dans « non consentement. ». Ensuite l'histoire va commencer plus ou moins doucement, avant de basculer dans le porno horrifique. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire ce texte, que j'en ai eus à l'écrire. Cordialement, Livio.

1860, Anatole quarante ans, Jean son fils de dix-huit ans, tout deux français et Nino cinquante ans, italien regardent les deux corps. Un couple de jeunes mariés italien tout deux vingt ans. Ils ont tués immédiatement le mari, se sont amusés trois jours et quatre nuits avec la femme. La violant par tout les trous, avant de l'égorger. Cela fait vingt ans que cela dure. Depuis que Anatole à reprit cette auberge, la première près du col de Vence. Chaque fois qu'une femme qui leurs plaît s'arrête à l'auberge, seule, en couple ou a plusieurs, elle y passe. Viols, tortures et meurtres. Toujours.

Ce sont surtout des étrangères qui passent entre leurs griffes, mais parfois des françaises aussi. Jamais des filles du coin. Enfin, très rarement. Au début seul Anatole et Nino se sont amusés avec les filles. Puis depuis que Jean est un homme, il s'est joint à eux, se montrant de loin le plus mauvais, le plus violent, le plus pervers. Très peu d'enquête de police malgré leur près de deux cent victimes. Pour tout dire seulement deux fois, espacé de plus de quinze ans. Et encore, juste le passage de deux gendarmes venu voir si Anatole avait vu la disparue. À l'époque une enquête entre deux villes françaises du même département est très difficile à mettre en œuvre. Alors entre deux départements différents... Sans même parler entre deux pays...

Pendant encore deux ans, le trio violera et assassinera de belles femmes. Leurs faisant vivre le pire du viol, de la torture, de l'abject. Puis un concours de circonstances précipitera leurs pertes. La fille d'un riche parisien se fera détroussé par une bande de brigands. Son cocher sera tué, son carrosse volé. Une des femmes du groupe de brigands, échangera la belle robe et les beaux dessous de la fille, contre les siens. Des vêtements de paysanne. La jeune fille errera toute la journée dans les bois, avant de voir, à la tombée de la nuit, les lumières de l'auberge. En y arrivant, l'auberge étant déserte, elle n'aura pas le temps d'expliqué quoi que ce soit, avant que Jean ne lui tombe dessus, ne lui arrache ses vêtement et ne la viole brutalement. Lui volant son pucelage au passage, avant de lui prendre sa virginité anale. Puis Anatole et Nino lui passeront dessus à leurs tour. Après l'avoir faites hurler tout la nuit, ils la bâillonnent et joue avec pendant cinq jours. Avant de lui trancher la gorge à son tour.

Seulement son père à le bras long, très long et beaucoup d'argent. Les meilleurs gendarmes et policiers du pays seront lancé à sa recherche. Son carrosse est vite retrouvé. Les forces de l'ordre remontent facilement aux brigands. Après une brève fusillade qui verra les deux tiers de la bande se faire tuer, les survivants passeront aux aveux. L'un d'eux avouera avoir tenté de la retrouver pour lui faire vivre les derniers outrages. Quand ce fut le cas, il la vit juste entrée dans l'auberge. Seul contre plusieurs hommes, il ne pouvait plus rien faire, il a rebroussé chemin vers l'antre de la bande.

Rapidement la gendarmerie voit que beaucoup de femmes ont disparus dans le coin. Mais seulement de petites gens, la police ou la gendarmerie n'a pas jugé utile d'enquêter. Sauf dans deux vieux cas, mais là, les enquêtes furent succincte. Comprenant que la jeune disparue a forcement dut être tuée, policier et gendarmes décidèrent d'y aller en force. Les trois criminels furent rapidement tués. Les forces de l'ordre n'eurent aucune perte. Ensuite le charnier où le trio maléfique cache ses victimes fut découvert. On y trouva trois cent trois cadavres. La maison fut brûlée, et le site prit rapidement la légende d'être maudit. Que les fantômes des victimes, ainsi que ceux des trois bourreaux hantent le lieux. Si bien que jusque en 2005, il reste à l'abandon. Personne n'étant assez fou pour faire construire quoi que ce soit ici, aussi beau le lieu soit-il.

En février 2005, un promoteur allemand, assez excentrique décide d'y construire une magnifique villa. Le terrain ne vaut rien, il est racheté à la mairie. La maison est construite en trois ans. De nombreux accidents mortels d'ouvriers et de vols d'outils s'y produisent, si bien que la réputation de lieu maudit refit surface. Jusque en 2020 la maison ne trouve pas d'acquéreur, les évènements récent dissuadant tout le monde. Mais un accord contractuel entre la mairie et le promoteur fait que ce dernier doit en assurer l'entretien complet pour la maintenir dans un état flambant neuf jusque à sa vente. Le promoteur persuadé de vendre le bien très cher et très rapidement, accepta. Surtout qu'avec son grand terrain, sa piscine à débordement couverte pour pouvoir y aller même l'hiver, son sauna indépendant de la maison, sa grande dépendance, la maison aurait dut se vendre très très vite.

Mais il meurt en 2017, payant cher pour son entretien, sans pouvoir la vendre, cause à sa réputation. Ses héritiers décidèrent de la brader, passant le prix de trois millions à un million. Puis à cinq cent mille euros, donnant ordre à l'agent immobilier en charge de la vente de la laisser partir à trois cent mille, le coup exorbitant de son entretien coûtant beaucoup d'argent. Une maison vide, même neuve, meurt rapidement... Grâce à un agent immobilier très beau parleur, la maison trouve enfin preneur fin 2020. Aurélien Lac, trente ans, avocat d'affaire, et sa fiancée, Stéphanie Bergeron, vingt-deux ans, sans emplois furent les heureux acheteurs de la maison. Venant directement de Paris, ils ne prirent pas la peine de se renseigner sur la villa, sur le lieux, le pourquoi d'un prix si dérisoire pour une villa de luxe dans cette région. Isolée, sans voisins proche, mais pas loin de Vence, elle leur plus immédiatement. Le prix de cinq cent mille euros les refroidis un peu, vu que leurs budget maximum est de quatre cent quatre vingt mille euros, hors frais de notaire. L'agent immobilier, sentant que la vente était presque faite, leurs dis pouvoir faire baisser la maison d'au moins cinquante mille euros, voir plus.

L'accord fut signé à quatre cent quarante mille euros. Expliquant cette baisse aux acquéreurs du fait de la pandémie dut au COVID. Tout le monde fut content. Les vendeurs qui tirent cent quarante mille euros de plus que prévus, les acheteur, qui pensent que la maison est bradé à ce prix là. Mais qui croient aux talents de négociateur de l'agent immobilier ainsi qu'à la pandémie pour expliquer une telle baisse. Si bien que trois mois après la signature du protocole de vente, en février 2021, c'est un jeune couple heureux qui aménage dans la splendide villa.

Aurélien passera la semaine sur Paris, et viendra rejoindre sa belle le week-end. N'ayant plus un euros devant eux, il allait falloir vivre comme cela, le temps de se remettre à flot. Ensuite, il ouvrira son propre cabinet dans la région, qui ne manque pas de riche clients. Stéphanie investit les quarante mille euros restant sur leurs économies, pour meubler de fond en comble la gigantesque villa. Ce ne fut seulement que quand tout fut prêt, que le couple passa sa première nuit dans leurs nouvelle demeure. Leur première propriété en commun, car sur Paris, ils vivent dans un appartement appartenant aux parents d'Aurélien.

Ils passent le premier samedi à installer tout les meubles qu'ils ont achetés. C'est éreintant, le soir, ils dînent rapidement et vont se coucher. Le lendemain, ils baptisent la maison. Faisant l'amour dans le sauna, puis dans le salon et la pièce de vie. Stéphanie cependant ne prend pas autant de plaisir à faire l'amour avec Aurélien qu'à l'habitude. Elle a la sensation d'être observée par un voyeur à chaque fois. Son fiancé est le seul homme qu'elle est connue, mais il sait lui donner un orgasme. Pas à chaque fois, certes, mais très souvent. Dans les deux tiers des coïts. Mais ce jour là, Stéphanie n'a pas atteint une seule fois son apogée. Pas par la faute de son homme, mais la sienne. Déjà parce que c'est la première fois qu'ils font autant l'amour en une seule journée.

Il faut dire que Stéphanie n'est pas une dingue du sexe. Elle ne suce pas, elle n'accepte pas la sodomie. Généralement, elle n'accepte de coucher qu'une ou deux fois dans la semaine. C'est une jeune femme très pudique. Aurélien à dut attendre presque deux ans avant qu'elle accepte de faire l'amour la lumière allumée. Deux ans à faire l'amour dans le noir, sans voir le corps de sa fiancée. Par contre maintenant, après cinq ans de relation, la jeune femme n'a plus aucun problèmes à se montrer nue devant son chéri. Il peut voir à l'envie le splendide corps de la jeune femme. Ses seins lourds, bonnet D, naturel, ferme, tenant droit tout seul. Son ventre plat, son sexe où coure un splendide petit triangle de poils bruns parfaitement entretenue. Sa cambrure est parfaite, son petit cul rebondit, bien rond et pommé. Stéphanie est une magnifique jeune femme, au visage d'ange, les cheveux coupés en carré mi-long, elle fait pâlir de jalousie de nombreuse femmes, se retourner sur son passage pratiquement tout les hommes qu'elle croise.

Le dimanche, au grand désarroi de Aurélien, Stéphanie se refuse à lui. Ils passent donc la journée à la piscine. Là encore, dans son petit bikini qu'elle a acheté spécialement pour sa nouvelle maison, Stéphanie à l'horrible sensation d'être observée. Pourtant même si l'enceinte de la piscine est en verre transparent, il est impossible de la voir. Les murs d'enceinte de la propriété étant trop loin, même eux ne peuvent les voir. Bizarrement la sensation disparaît quand elle est vêtu. Par contre elle s'accentue quand elle est sous la douche ou nue dans le sauna. La jeune femme en parle à son fiancé, qui en rigole. Lui n'a rien ressentie, il se moque d'elle, lui disant que c'est le nouvel environnement qui lui fait ressentir cela.

Le soir, à dix-sept heures, Aurélien prends un taxi qui va l'emmener à l'aéroport, direction Paris. Il y passera la semaine. Son retour étant prévu pour le vendredi soir ou le samedi matin, suivant le boulot qu'il aura. Stéphanie l'embrasse longuement pour lui dire aurevoir, lui promettant que à son retour, ils feront l'amour.

Une fois Aurélien partit, Stéphanie décide de prendre un bain dans la grande baignoire du rez-de-chaussée, plutôt qu'une douche dans la salle d'eau contigu à sa chambre. Elle est heureuse, sa vie lui paraît toute tracée. Elle la petite orpheline issue de l'assistance publique, à maintenant une splendide villa. Elle va épouser quand leurs finances iront mieux, ce bel avocat qu'est Aurélien. Puis ensuite, ils feront des enfants. Ils en veulent trois. La jeune femme est persuadée que pour elle, la roue à enfin tournée dans le bon sens... Hélas pour elle, les lois de Murphy assèneront encore une fois leurs vérités...

Aurélien sort, deux heures trente après son départ, de la salle des arrivées de l'aéroport de Paris. Dans le hall, plusieurs personnes attendent des voyageurs. Il remarque une splendide blonde au corps de fou. Beaucoup de regards masculin la mate avec envie, certain regard féminin puent la jalousie devant une aussi belle femme, habillée très sexy. Aurélien ne déroge pas à la règle. Ses yeux plongent dans le superbe décolleté de la blonde, il mate ses longues jambes parfaitement galbée. Quand Jennifer Malenne, vingt ans, voit Aurélien, un splendide sourire orne alors son visage. Elle se jette littéralement sur lui. Ils s'embrassent comme des fous. Elle lui murmure à l'oreille entre deux baisers :

- J'ai vraiment envie de toi.

- Moi aussi mon cœur.

Ils courent presque jusque à la voiture de Jennifer, direction chez Aurélien. Tandis que l'avocat et Stéphanie s'installaient dans leurs villa, Jennifer s'est installée dans l'appartement parisien appartenant aux parents du trentenaire. Là où jusque à présent, il a vécu avec Stéphanie.

Cela fait un an que leurs relation dure. La jeune femme, issue d'une riche famille bourgeoise, fait alors ses études de droit à Lille. Aurélien quand à lui, vient faire une conférence à son ancienne université. Ils se rencontrent lors du cocktail qui suit. Le coup de foudre frappe. Stéphanie étant resté à Paris, ils passèrent les trois nuits du séjours d'Aurélien ensemble. Faisant l'amour comme des bêtes. Bien qu'il ne soit que son troisième amant, Jennifer n'a éprouvé aucun problème à se montrer nue devant lui. Contrairement à Stéphanie, Jennifer est un vrai volcan au lit. Elle le suce, lui offre son anus. En trois nuit, la belle réussit à chasser Stéphanie du cœur de l'avocat.

La semaine suivante, elle s'inscrit à l'université à Paris. S'installe dans un petit studio appartenant à ses parents à elle. Dès lors Aurélien prétexte avoir beaucoup de travail, l'obligeant à dormir au bureau, pour passer des nuits avec la belle blonde. Souvent même des week-end complets. Stéphanie ne se rend compte de rien, persuadée qu'il fait cela pour pouvoir s'offrir la maison de leurs rêves sans avoir recours à un crédit. Au contraire même, la jeune femme ne l'aime qu'encore plus pour un tel sens du sacrifice. Ignorante, du fait qu'après avoir réussit un gros coup pour un client, Aurélien à touché une très très grosse prime et peux déjà mettre une belle somme dans l'achat d'une maison. Mais jusque à sa rencontre avec Jennifer, l'avocat d'affaire, n'a pas voulut briser le rêve de sa fiancée, et lui avouer que vivre lui à Paris et elle dans le sud, cela ne le branche pas du tout. Donc jusque à sa rencontre avec Jennifer il lui a caché son jackpot récent...

Mais voilà, l'arrivée de Jennifer change tout. Au début, il se dit qu'ainsi, il pourra passer la semaine avec Jennifer et retrouver Stéphanie le week-end. Il s'investit donc à fond dans la recherche. Mais peu à peu, il comprend que c'est avec Jennifer qu'il veut vivre à plein temps. Sans sa lâcheté inhérente à beaucoup d'hommes, il l'aurait quitté depuis longtemps, mettant fin à son histoire avec Stéphanie. Au lieu de cela, c'est lui qui à poussé pour acheté la maison de Vence sans se renseigner plus. Stéphanie, amoureuse de l'avocat, à crut qu'il voulait lui faire plaisir. Ayant flashé sur la maison, elle n'a pas beaucoup réfléchis non plus pour signer. Surtout après la splendide affaire que leurs agent immobilier leurs fais faire en baissant considérablement le prix de la villa.

Pressé de faire l'amour, Jennifer et Aurélien parle uniquement de sujet léger. Ils aborderont le cas de Stéphanie qu'ensuite. Jennifer conduit au maximum de la vitesse autorisé tout le long. Heureusement, un box appartient à Aurélien dans son immeuble. Ce qui leurs fait gagner le temps considérable de chercher une place. A peine arrivée dans l'appartement, ils se jettent l'un sur l'autre. S'arrachant presque leurs vêtements. Jennifer jouira quatre fois durant leurs partie de jambes en l'air qui dure plus d'une heure. Aurélien jouira d'abord dans le sexe de sa splendide maîtresse, puis dans ses fesses. Pour finir par jouir dans la bouche de la blonde qui avalera toute sa semence. Ensuite dans un moment de tendresse, ils resteront de longues minutes dans les bras l'un de l'autre, s'embrassant à pleine bouche.

Au bout de vingt minutes, Jennifer brise le silence.

- Alors tu as parlé à l'autre?

- Pas encore mon amour. Elle est fragile tu sais, elle n'a pas eut la vie facile. Puis on viens juste d'emménager là-bas...

- Et alors? Tu va lui laisser une maison à quatre cent mille balles. Tu y a mis presque toutes tes économies.

- Toi, tu serais heureuse que je te quitte en te laissant une villa, même à ce prix là?

- Non. Je ne le supporterais pas...

- C'est pareil pour elle. Je te l'ai dis, laisse-moi six mois maximum pour la quitter. En attendant, on va vivre ensemble la majeure partie du temps. Je pars juste le samedi matin, je reviens le dimanche en fin de journée. Le reste du temps je suis avec toi.

- Je sais mon cœur, mais dès que tu n'es plus là, tu me manques trop. Elle va bien finir par se douter de quelque chose ne va pas?

- Tu aimerais?

- Oh oui, comme ça, c'est elle qui te quitte, ce sera plus rapide!

- Elle est naïve. Depuis que l'on est ensemble, elle a crut que je faisais autant d'heures pour la villa. Maintenant elle croit que c'est pour que je lui offre un mariage de princesse. Mais aussi que je quitte mon cabinet où je suis un associé pour monter le mien sur Nice.

Quand Aurélien monte dans le taxi, Stéphanie ressent un petit spleen. Presque une semaine sans son amoureux, cela va être long. Heureusement, elle est dans la villa de ses rêves, elle sait aussi qu'il fait cela pour lui offrir un beau mariage et monter son cabinet ici, dans le sud-est. La belle jeune femme se dit que cela vaut le coup de se sacrifier une année ou deux. Après elle et Aurélien ne se quitteront plus jamais. Elle pourra alors arrêter la pilule et ils feront les trois enfants qu'ils veulent. Deux ans dans une vie, après tout, ce n'est pas grand chose pour avoir une vie magnifique dans l'amour et la douceur.

Stéphanie est épuisée. Elle a passée la journée à la piscine avec son avocat de fiancé. Puis ils ont profités du sauna. La petite dispute qu'ils ont eus, l'a aussi énormément fatiguée. Tout cela parce qu'elle n'a pas voulut faire l'amour aujourd'hui. Pourtant Aurélien la fais jouir régulièrement, mais c'est au-dessus de ses forces. Elle n'aime pas le sexe même si elle y prend légèrement du plaisir. Le sentiment d'être épié ici, quand ils font l'amour, l'a encore plus coupée que d'habitude. La jeune femme se dit qu'elle devrait peut-être voir un psy pour en parler. En attendant Stéphanie se décide à prendre un bain, cela lui fera le plus grand bien.

Mais avant elle va se boire un petit whisky. Elle sort une bouteille de douze ans d'âge, l'agrémente de quelques glaçons. Elle le sirote en regardant une émission à la télé, qu'elle suit à peine. Une fois son verre fini, la belle va mettre l'eau de son bain en marche. Elle règle le mitigeur sur chaud. Puis se dit qu'une deuxième verre ne lui ferra pas de mal. La belle jeune femme le fini juste avant que son bain ne soit plein.

Stéphanie se dit que vu qu'elle compte rester un peu de temps dans l'eau, un troisième whisky lui fera de nouveau le plus grand bien. Elle ne boit que rarement, donc la tête lui tourne déjà pas mal. La soif d'alcool se fait plus forte. Cette fois elle se sert une double-dose, presque une triple qu'elle se décide à boire sec. Elle va dans sa salle de bain avec son verre, prenant au passage la bouteille au trois-quarts pleine qu'elle pose près de la baignoire. Elle pose son verre sur le coin, se déshabille, exposant son corps de déesse à personne. L'eau chaude lui fait du bien, elle se cale dans la baignoire et sirote son verre. Quand elle le repose vide, une intense fatigue alcoolique l'étreint. Elle s'endort quelques secondes après.

Profondément endormie, Stéphanie ne sent pas la température de la pièce qui baisse d'un coup, pendant quelques secondes, avant de retrouver ses Celsius habituel. Elle ne sent pas non plus les mains invisible qui lui écarte les jambes, exposant son sexe tout rose. Elle ne s'entend pas plus gémir, quand une langue habile lui suçote le sein droit. Elle ne s'entend pas crier de plaisir quand la même langue se pose sur son clito, le léchant savamment, avant de lui grignoter la vulve. Seul le plus bel orgasme de sa vie lui fait ouvrir les yeux quand elle hurle de bonheur. Mais l'alcool aidant, Stéphanie se rendort aussitôt.