La Villa Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Mais que????

Elle y voit ses parents, sa sœur, les parents de Aurélien. Jennifer se répète:

- Mais que???

Jennifer se tourne vers Aurélien, mais il n'est pas en face d'elle. En fait il est agenouillé à son côté gauche. Tenant une petit boîte avec une bague magnifique.

- Jennifer veux-tu devenir ma femme.

La jeune femme fond aussitôt en larmes.

- Oui, putain, oui.

Elle se lève, ils s'embrassent alors longuement, sous les applaudissements de toutes les convives du restaurant.

Le soir, après qu'il est jouit deux fois dans son ventre, Aurélien et Jennifer discutent dans les bras l'un de l'autre.

- Heureusement que tu as quittée l'autre folle pour moi, dès que l'on s'est rencontré.

- Oui, celle qui voulait qu'on aille vivre dans le sud. Heureusement que je n'ai pas acheté de maison là-bas. J'avais l'argent en plus, mais je ne le lui ai pas dis. Je devais t'attendre.

- On étaient fais pour se trouver. Merde, je ne me rappelle même pas de son prénom. Pourtant pendant les deux semaines où tu étais avec elle et moi, je l'ai vraiment haïs!

- Moi non plus, j'ai oublie comment elle s'appelle. Je me rappelle que c'était une conne hautaine et frigide, mais c'est tout... Pourtant je suis resté quelques mois avec elle.

Pendant quelques secondes, les deux réfléchissent. Puis Jennifer s'exclame :

- Stéphanie!

- Voilà, c'est ça Stéphanie. Je ne sais même pas ce qu'elle est devenue d'ailleurs.

- Bon au lieu de parler des mauvais souvenirs, si tu venais visiter mon anus à la place!

- Mais vos désirs sont des ordres madame!

Quelques jours plus tard, Jennifer annonce à Aurélien qu'elle est enceinte. Aucun des deux ne pensera plus jamais à Stéphanie. Même l'achat de la villa à été retiré de la mémoire du couple, l'argent ayant mystérieusement réapparut sur le compte d'Aurélien. Le pouvoir de l'entité s'étend donc bien plus loin que les murs de la villa.

La fête bat son plein au commissariat. Le commandant Salage à été reçu au concours des commissaires. Elle part le lendemain pour Paris, et son premier poste dans un commissariat de quartier. Mais avant ça, inconsciemment elle monte dans son bureau. Elle cherche dans ses dossiers, trouve ce qu'elle cherche. Un dossier assez épais. Une par une, le commandant Salage, ou plutôt la commissaire Salage détruit chaque feuille. Au moment de détruire le dossier cartonné, elle y lit le nom et le prénom marqué dessus : Stéphanie Bergeron. Cela ne lui dit rien du tout. Une fois le dossier complètement détruit, la commissaire Salage redescend à la fête.

Il se passe exactement la même chose au foyer où Stéphanie a grandit. Le directeur détruit le dossier de la jeune femme. Tandis qu'à l'éducation nationale, un responsable efface toute les données concernant une certaine Stéphanie Bergeron. Cela se répète à la sécurité sociale, à la mairie. En une soirée toute trace de Stéphanie Bergeron à complètement disparue. Il se fait de même pour Anne et Linda... Toutes traces des trois files disparaissent alors, y comprit de la mémoire de tout les gens qu'elles ont connus.

Stéphanie se retrouve complètement nue, une tenue qu'elle ne connaît que trop bien depuis qu'elle est sous l'emprise de l'entité. Tandis que Anne se fait toujours sauvagement violer, Stéphanie est poussée devant le grand canapé de la pièce de vie. Aux déformations des coussins, elle comprend qu'une forme lourde, mais invisible, vient de s'allonger dessus. Stéphanie vaincue, encore plus détruite par sa tentative d'évasion avortée, avance de quelques pas quand une main se pose dans le bas de son dos et pousse vers l'avant.

La jeune femme est maintenant devant le canapé, ses tibia contre le meuble.

- Monte!

Stéphanie maintes et maintes fois obligée de faire cela par l'entité sait comment faire pour monter sur un canapé occupé par une forme invisible. Elle regarde les déformations des coussins. La plus légère est celle de la tête, la plus ronde celle des fesses. Elle grimpe alors sur le canapé, posant un genoux contre la partie non déformé se trouvant en bas des coussins du dossier. La jeune femme au corps de dingue se met droite, sur ses genoux, elle sent entre eux le corps invisible, froid.

- Descend lentement le bassin!

Comme l'automate qu'elle est devenue, une nouvelle fois elle obéit. Un nouveau viol l'attend, cela ne fait aucun doute.

Stéphanie s'abaisse, rapidement elle rencontre un gland qui heurte son sexe. Quoique de très belle taille, ce dernier est légèrement moins épais que celui de l'entité. Elle se rendra compte, lors de sa descente sur le braquemart, qu'il est lui aussi un peu moins long et moins épais. Mais cela est largement plus gros et grand qu'une bite humaine. Stéphanie le sent quand le sexe sur lequel elle s'empale la fait gémir de douleur, jaillir ses larmes. Une fois empalée à fond, elle se met à monter-et-descendre, comme l'entité le lui a apprit à force de coups et de viols sauvage.

Stéphanie à une vue parfaite sur les cuisses écartées et le sexe grand ouvert d'Anne. La désormais ex-pucelle hurle toujours à tue-tête. Le sang qui s'écoule de sa vulve prouve que ce viol l'a maintes fois déchirée. Mais habituée à cela, Stéphanie sait aussi que quelque soit la gravité des blessures, la malheureuse survivra aisément. Elle voit aux seins de la rousse qui sont projetés en tout sens avec beaucoup plus de force, que l'entité est prête à jouir. Stéphanie connaît hélas, maintenant par cœur, les signes annonciateurs de l'extase imminente du violeur invisible. Elle ne se trompe pas, quelques instant plus tard, le corps de Anne s'immobilise, tandis qu'un long cri poignant jaillit de la gorge de la fille. Son vagin saignant, reste grand ouvert, puis se referme quand le pieu sort du corps convulsant de la rouquine. Un flot impressionnant de semence rougit s'échappe alors du vagin détruit.

Quelques secondes plus tard, la bouche de la malheureuse s'ouvre démesurément, tandis qu'un gargouillement d'étouffement sort de sa gorge qui se met à gonflée. Stéphanie comprend alors que l'entité vient de lui violer la cavité buccale. Le tout sous le regard horrifiée d'une Linda toujours collée au mur de la villa. Cette dernière est autant épouvantée par ce que vive les deux femmes, que par le fait qu'elle sait indéniable, qu'après ce sera son tour.

Mais rapidement, Stéphanie quitte le viol d'Anne des yeux. L'être invisible sur lequel elle est empalée vient de la courbée sur lui. Il la maintient plaquée contre sa poitrine en l'entourant de ses bras. La jeune femme ne se serait pas alarmée si il avait continué son viol. Mais là, il reste immobile, complètement enfoncé en elle. Rapidement elle sent la troisième chose qu'elle ne peut voir, s'agenouiller derrière elle. Pour la première fois depuis longtemps, elle tente en vain, de se débattre. Ce n'est pas possible, ils ne peuvent pas faire ça. Magie ou pas, elle ne pourra y survivre. Pas que son nouveau rôle d'objet et d'esclave sexuelle d'entités invisible lui tienne à cœur... Mais elle se rappelle parfaitement les menaces de l'entité : Si elle meurt, alors ce sera bien bien pire.

Stéphanie commence à supplier, puis hurler quand elle sent une deuxième bite appuyer contre sa rosette. Certes elle a déjà subit la première entité, mais aussi grosse soit-il cela n'a rien de comparable avec deux sexes immense plongés en elle. La première bite qui viole son vagin, réduit déjà énormément son trou-du-cul. Le fait qu'elle se contracte à chaque fois en rajoute. Juste un doigt serait déjà trop, alors un sexe de cette taille... Mais Stéphanie ne peut rien faire quand l'engin commence à pousser contre son anus. La malheureuse n'a que trop subit des avanies pire les unes que les autres, pour savoir que ce nouvel agresseur arrivera lui aussi à son but, quelque soit le temps nécessaire à cela.

Bien qu'habitué à être profané, l'anus de Stéphanie résiste héroïquement. Le sexe déjà en elle comprime énormément sa cavité anale, rendant la pénétration très difficile, mais pas impossible. Stéphanie à beau se contracter encore plus que d'habitude pour éviter cette nouvelle agression, qu'elle n'a encore jamais subit, une bite qui veut entrer dans un trou y arrive toujours. Quand le sexe, après vingt minutes de batailles, arrive à ses fins, Stéphanie ouvre démesurément la bouche, un hurlement qui glace le sang de Anne et Linda en jaillit alors. La douleur est encore pire pour la pauvre Stéphanie que pour son premier viol anal. Cette fois, ses deux orifices sont si étroit, qu'elle est déchirée et fissurée vaginalement et analement en même temps. Dans la normalité, la belle jeune femme se serait évanouit, mais hélas pour elle, deux pieu invisible qui vous viole, ben c'est tout sauf normal. Alors une nouvelle fois, la pauvresse va devoir tout subir, consciente jusque au bout.

Un deuxième hurlement atroce ce mêle à celui de Stéphanie. Rendant une Linda terrifiée presque folle. L'entité en a fini avec la bouche de Anne. C'est dans son trou-du-cul qu'il vient de s'enfoncer. Le détruisant comme il a détruit celui de Stéphanie. Anne comme la propriétaire de la villa ne peut rien faire pour éviter cela. Elle ne peut que subir... Et ce qu'elle subit dépasse l'entendement en termes de douleur ou d'atrocités. Son bourreau fantôme lui défonçant son trou-du-cul comme si elle est une vieille pute si habituée à la sodomie, que même une main dans son fondement ne peut lui faire mal.

Stéphanie n'est plus qu'une tranche de jambon entre deux tranches de pains. Sauvagement violée en sandwich, ses deux orifices massacrés simultanément, tout n'est plus que souffrance atroce. Ce qu'elle subit est encore pire que le sort de Anne, dont seul l'anus doit subir une torture infernal. Pendant plus d'une heure, les deux femelles, sont sauvagement prises. Ce ne sont plus que deux corps hurlants, ne pouvant que subir jusque à leurs libération. Libération qui ne dépend que du bon vouloir de leurs agresseurs, mais aussi et surtout de leurs éjaculations.

À ce petit jeu, c'est Anne qui gagne. L'entité est la première à cracher son plaisir, lui octroyant un véritable lavement à base de semence. Quand il a fini, il se retire, l'anus de la jeune femme pisse alors du sperme, tandis qu'elle glisse de la table, s'écrase sur le sol. Elle se met en position fœtale, convulsant, tressautant sur le sol.

Quelques minutes plus tard, le hurlement de Stéphanie monte crescendo, quand les deux bites qui la détruise, giclent en elle simultanément. Lui inondant l'intérieur de son vagin, lui remplissant son utérus et ses entrailles. Une double éjaculation qui la brûle comme de l'acide. La malheureuse à alors l'impression que ses deux violeurs urine dans son corps... Ce qu'ils feront hélas après avoir finis de jouir... Ce n'est qu'une fois cette nouvelle avanie fini, qu'ils se retirent enfin de son corps. Laissant la pauvrette sur le canapé, ses deux orifices femelles grand ouvert. Mais une conversation entre ses deux violeurs, qu'elle ne peut voir mais parfaitement entendre éclate alors :

- Jean en a fini avec la putain rousse. Il va s'amuser avec sa copine.

- Alors je vais tester cette salope aux cheveux rouge. Même après Jean, je pense qu'elle est encore bien serrée.

- Tu es con Nino, tu sais bien que quoique on leurs fasse, ces salopes vont rester bien serrée pour nos queues!

- C'est vrai, j'oublie tout le temps.

- Va te taper la rousse, moi je vais essayer le trou-du-cul de l'autre. Depuis que je vois Jean l'enculer, elle me fait trop envie.

Stéphanie comprend deux choses. Que les violeurs peuvent se voir entre eux, puis que de nouveau son anus va être forcé. L'instant d'après, elle voit Anne, toujours allongée sur le sol, être retournée sur le dos, elle l'entend hurler tandis que son sexe s'ouvre en grand quand un pal invisible la pénètre de nouveau. Mais très rapidement, un corps se couche sur Stéphanie, qui se remet à hurler, quand un pieu force de nouveau son anus déchiré.

Linda voit et entend de nouveau la propriétaire de la villa et son amante, se faire pénétrer et hurler. Elle est toujours coincée en hauteur, contre le mur, quand l'épouvante la traverse. Il y a une présence maléfique près d'elle. Linda sait ce que cela signifie. Son tour est arrivé. Elle ne va plus restée pucelle très longtemps. Ses orifices vont être massacrés comme ceux de ses deux compagnes d'infortune. Elle va se faire déflorer de partout, cela ne fait aucun doute, de la plus horrible des façon. La pauvre brune sait qu'aucune ignominie ne va lui être épargnée. Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'elle plaît énormément à l'entité. Que ce qu'il va lui faire subir sera encore pire pour elle que pour les deux autres femelles.

Toujours immobilisée contre le mur, la belle brune voit son haut et son soutien-gorge être arraché, dévoilant ses petits seins bien ronds. Son jeans quand à lui est désintégré. Pas arraché ou quoi que ce soit, non, il disparaît simplement, comme si l'entité en détruit complètement la matière. Une fois nue, Linda se met à léviter dans les airs, sans pouvoir faire le même mouvement. Une force invisible s'amuse alors avec son corps, comme si elle n'est qu'un pantin de bois. Ses bras sont collés à son corps, ses jambes s'ouvre en grand alors qu'elle se retrouve immobile dans les airs, à environs un mètre du sol.

Toujours à plat-ventre sur le canapé, sauvagement enculée, Stéphanie voit avec horreur Linda flottée dans la pièce. La jeune femme se dit que l'entité ne lui a jamais fait ça. Qu'il est beaucoup plus fort maintenant. Cela la frappe en plein, si il est encore plus fort, alors l'espoir infime qu'elle avait encore, de s'échapper vient de s'envoler.

Linda cherche à fuir, à éviter ce viol qui s'annonce, mais rien a faire, son corps ne peut bouger. Elle sent une bouche se coller contre son oreille, une langue la lui lécher. Puis sans que personne d'autre ne puisse l'entendre, l'entité lui murmure :

- Tu crois que je suis maintenant assez puissant pour te mettre enceinte du premier coup?

Linda veut hurler à cette phrase, sa bouche s'ouvre en grand, mais aucun son ne sort. Elle sent la bouche s'éloigner. Quelques secondes plus tard, un homme qu'elle ne peut voir se glisse entre ses jambes grandes ouvertes. Quand elle sent un gland énorme appuyé contre son sexe vierge, Linda panique. Elle sait que cela arrive qu'un esprit agresse physiquement un être humain. Cela est même arrivé qu'un être invisible viole une humaine. Il y a même eut un film là-dessus, basé sur une histoire réelle dans les années quatre-vingt. Mais qu'une entité puisse engrosser une humaine, cela n'est jamais arrivé. Linda à toujours crus cela impossible. Mais quelque chose dans les mots de l'entité, un sentiment puissant qu'elle a ressentit, lui fait croire dur comme fer, que cela est possible. Que Stéphanie, Anne et elle peuvent être engrossé par ces monstres... Mais une question lui fait encore plus peur que le viol qui s'annonce ou que l'entité l'engrosse... Comment sera le bébé qui naîtra d'un tel accouplement? Alors quand le gland invisible commence à entrer en elle, Linda, cette fois, arrive à hurler.

Elle sent l'énorme sexe entrer dans son corps, s'arrêter quelques secondes contre son hymen. Puis d'un coup puissant le lui arracher. La douleur est terrible, elle empire quand l'entité continue de pénétrer en elle. Linda est petite, son vagin également. Le gland heurte rapidement le col de l'utérus de la belle brune, mais il reste de la bite dehors. Alors, sadiquement, l'entité franchit le col, arrachant un hurlement atroce à la belle brune. Linda est empalée par le pieu énorme. L'entité commence alors à aller-et-venir dans son corps. Il ne mettra que cinq minutes pour lui envoyer le premier sperme de sa vie. Mais Linda est saisie d'horreur quand le pal qui vient de l'utiliser comme une poupée gonflable ne se retire pas d'elle. Au contraire, il recommence alors à la baiser de force.

Pendant trente-six heures les trois filles seront utilisées comme des jouets sexuel par l'entité et ses deux sbires. Linda connaîtra l'enfer quand l'entité dépucellera son anus, après avoir éjaculé trois fois dans son ventre. Si dans les deux tiers des cas, les viols se concentreront surtout sur leurs chattes, la fellation et la sodomie ne seront pas oubliées pour autant. Au bout de trente-six heures, ce ne seront plus que des loques ne réagissant presque plus, que les trois agresseurs invisible laisseront enfin tranquille.

Pendant un mois ce sera leurs enfer. Elles seront agressées pendant dix-huit heures de suite, laissée au repos six heures. Puis agressées sexuellement de nouveau. Même pour se nourrir, se laver ou boire, les trois filles auront chacune un sexe en elle, généralement dans leurs vagin. Contre tout ce que la psychiatrie connaît, elles ne sombreront pas dans la folie. Elles ne seront pas non plus blessées, enfin pas gravement, car leurs corps souffre atrocement.

C'est Stéphanie qui s'en rendra compte la première. Elle a un retard de règle. La jeune femme deviendra hystérique à l'idée d'être enceinte. D'avoir été engrossée par des êtres qu'elle n'a jamais vue. Aussitôt elle sera immobilisée, flottera jusque à la salle-de-bain du rez-de-chaussée. Comme un patin, elle se retrouvera debout dans la douche. Cuisses écartées. Un test de grossesse apparaît alors, à coups de grandes gifles on l'oblige à uriner dessus. Quand Stéphanie voit le résultat quelques minutes plus tard, la jeune femme croit devenir folle. Il est positif, elle attend un enfant de ses violeurs. Rien de pire ne peut lui arriver.

Quelques minutes plus tard, alors que Stéphanie se fait violer simultanément par deux des êtres, c'est au tour de Linda et de Anne de passer au test de grossesse, là encore ils sont positif. Cela va provoquer un changement dans l'enfer des trois femelles captives. Des parties des corps de leurs violeurs apparaissent, fait de chair et de sang.

Au troisième mois, cela empire. Jean, Anatole et Nino apparaissent. Constamment, en entier. Physiquement ils sont pratiquement normaux. Rien ne les différencient d'un autre être humain. Enfin rien ou presque. Leurs sexe sont toujours aussi énorme, aussi endurant. Trois battes de base-ball en chair, dépassant toutes les normes de tailles ou d'épaisseurs. Un autre changement, c'est que les trois filles ne sont presque plus violées vaginalement. Comme si les trois hommes ont peur de blesser les bébés qui poussent dans leurs ventre. C'est leurs anus et leurs bouche qui morflent les trois-quarts du temps.

Au sixième mois, les poussées de lait commence. Deux mois plus tôt que pour une grossesse normale. Leurs faisant craindre le pire pour la nature des bébés. Les trois entités maintenant visible se mette alors pendant chaque viol, mais aussi en dehors, à téter leurs laits. Des tire-laits sont aussi utilisés. Elles doivent boire elle-même le lait que les trois monstres leurs font obtenir. Eux, le boivent uniquement à la source. Au septième mois, une autre personne arrive. Stéphanie reconnaît immédiatement Léontine, la riche bourgeoise qui fut la dernière victime des trois assassins-violeurs.

La jeune fille est douce, gentille, mais triste, si triste. Ils ne la violent pas, ne la touchent pas. Elle est là pour faire le ménage, préparer les repas, tandis que les viols s'intensifient tellement sur Anne, Linda et Stéphanie qu'à part se faire mettre, elles n'ont plus temps de faire autre chose. C'est elle d'ailleurs qui accouchera les trois filles. Elles accouchent le même jour, l'une à la suite de l'autre. À leurs grands soulagement, les bébés paraissent normaux. Linda et Stéphanie ont chacune une fille, Anne un garçon. Mais les trois filles n'ont aucun contact avec les bébés. Sitôt les trois accouchements terminés, Léontine est chargée d'aller abandonner les enfants à l'hôpital le plus proche. Les trois maman sont soulagée de ne pas avoir à garder les enfants avec elles. Le fruit du viol d'un entité et d'une humaine leurs fait peur.