La Villa Ch. 05

BÊTA PUBLIQUE

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- Parfait, on va donc se concentrer sur les pièces de la villa. Vous avez entendus sa présence dans chaque pièce?

- Oui, mais c'est ici, dans la pièce de vie qu'il est le plus fort.

- Bien, voilà comment nous allons procéder. Nous allons purifier d'abord le premier étage. Une fois que chaque pièce sera pur, l'esprit ne pourra plus y revenir.

Stéphanie joue parfaitement le jeu, Anne et Linda croient qu'elle est captivée par leurs explications.

- Parfait.

- Ensuite, nous traiterons les pièces d'en bas. Toutes sauf la pièce de vie.

- Pourquoi?

Anne sourit, toutes les personnes posent chaque fois les mêmes questions.

- De façon à ce que l'esprit n'ai pas d'autres choix que d'être ici. Mais vous ne risquez rien, c'est contre nous qu'il se battra. Pour lui, vous n'existez plus.

- Parfait ça.

- Donc vu qu'il sera coincé dans cette pièce, c'est ici que nous le combattrons. Suivant sa puissance, ce sera long et dur, mais nous vaincrons. Je peux vous le jurer.

- Si il reviens?

- C'est très rare, généralement il est anéantit. Mais cela peut arriver une fois sur cent, que l'esprit arrive à se cacher. Alors, si des fois il revient, même dans dix ans, nous venons gratuitement terminer le travail.

- C'est gentil.

- C'est normal. Mais pour tout vous avouer, cela n'est jamais arrivée à Linda et moi. On sait que l'esprit qui se cache, cela arrive, mais nous n'en avons jamais été témoins. Jusque à présent nous avons cent-pour-cent de victoire sur une cinquantaine d'interventions.

- Beau chiffre.

- Oh non, dans notre profession, soit on gagne en détruisant l'esprit, soit on meurt. Aucun médium n'a jamais survécu à un combat perdu. C'est systématique.

Stéphanie en rigole presque. À moins d'un miracle divin, les deux magnifiques jeunes lesbienne vont découvrir que la défaite face à un esprit n'emmène pas systématiquement à la mort... mais à bien pire... Anne l'air grave regarde alors Stéphanie.

- Nous allons vous demandez de rester ici. On va aller s'attaquer à l'étage.

Pour vous, il n'y a aucun risque. On va combattre l'esprit, il va être accaparé par nous. Si il baisse sa garde pour s'occuper de quelqu'un d'autre, sa défaite sera immédiate.

- Je suis rassurée. Merci.

Parfait, alors, nous on y va.

Les belles médiums, en jeans, tee-shirt, basket, prennent alors leurs pseudo-potions et montent au premier. Leurs air est si grave, que Stéphanie y croirait presque. Elle ne va pas tenter de fuir maintenant, l'entité est à ses côtés. Il reste ici, avec elle, jusque au retour des deux filles. Stéphanie l'a comprit, lorsque des psaumes retentissent à l'étage, que l'entité lui attrape alors les cheveux, baisse sa tête, et enfonce son chibre jusque au fond de sa gorge. Stéphanie ne le sait pas, mais elle ne le suce pas pour qu'il jouisse, mais pour l'exciter au maximum avant de s'occuper des deux putains que s'amusent en haut. D'ailleurs pendant l'heure et demi où les deux jeunes médiums restent en haut, la bite de l'entité ne quitte pas la cavité buccale de Stéphanie. Pour une fois, sans éjaculer.

Quand elles redescendent, Stéphanie paraît tranquillement assise sur son canapé. Aucune trace de son viol buccal. Linda et Anne paraissent recouvertes de transpiration. En fait c'est juste de l'eau qu'elles se sont misent dessus pour donner l'impression d'un combat psychique intense. Comme d'habitude, c'est Anne qui parle. Sauf que cette fois elle paraît essoufflée.

- On a gagnées une bataille. L'esprit ne remontera plus en haut.

Stéphanie lui fait son plus beau sourire.

- Merci, merci beaucoup.

Mais le plus dur commence, le bas. Une fois qu'il sera acculé ici, l'esprit va se battre pour sa survie. Cela va être épique. Vous pouvez remonter si vous le voulez.

- Je préfère rester ici.

Anne n'est pas étonnée, si deux tiers de ses clients, s'éloignent du danger, un tiers veut rester sur place.

- Bien. Nous allons nous occuper des pièces périphérique à celle-ci. Quand nous reviendrons, ce sera pour l'achever.

Stéphanie ne dit rien, elle regarde juste les deux filles s'éloigner. Cette fois par contre, elle ne sera pas attaquée par l'entité. Mais elle le sent assit contre elle, dans le canapé.

Une nouvelle heure de psaumes, de bruits, de cris retentit. Les deux jeunettes sont très douées. Si l'entité n'était pas avec elle, Stéphanie pourrait croire sans problème qu'elles le combatte dans les autres pièces du rez-de-chaussée. Puis elles reviennent dans la pièce de vie. Cette fois, aucune des deux ne parlent à Stéphanie.

Les deux jeune filles de dix-huit ans, sont très douées pour faire croire à un véritable combat psychique contre un esprit. Stéphanie se dit que si elle n'était pas au courant que c'est du pipeau, elle y croirait. Elles psalmodient, crient. À un moment, Anne semble être giflée, violemment. Du sang apparaît à ses lèvres. Une gélule de faux sang comme on en emploie au cinéma. Puis à la fin, elles semblent vraiment contenir l'esprit. Anne, encore utilise un trucage pyrotechnique, à base de souffre de phosphore et d'autres ingrédients, pour faire apparaître comme une petite explosion d'étincelles, suivit d'un nuage de fumée. Au bout de deux heures trente d'un pseudo combat, en transpiration, les deux jeunettes arrête. Linda s'écroule à genoux, comme épuisée. Anne s'assoit sur une chaise. Se tourne alors vers la femme qui l'a engagée, qui n'a que cinq ans ans de plus qu'elle.

- C'est fini, on a gagnées...

Stéphanie qui joue toujours le jeu de l'entité va pour la féliciter. Mais ce dernier décide de se manifester. Son rire retentit dans la pièce. Anne et Linda se lève d'un bond, sentant maintenant une présence. Quand un applaudissement fort, semblant venir de toutes la maison se fait entendre, Linda et Anne, apeurée se regardent. Stéphanie s'en mêle alors, elle prend un air terrifiée pour regarder Anne :

- Je crois qu'il est encore là!

- Ce n'est pas possible! Cela n'existe pas!!!

Stéphanie n'a pas le temps de répondre, que la voix de l'entité retentit, glaçant le sang des deux filles dans leurs veines.

- Beau spectacle les filles!

Linda, qui elle a de vrais pouvoir de médium, juste en communication, mais est incapable de combattre un esprit, ressent l'aura maléfique incroyablement puissante de l'entité. Elles viennent de rencontrer leurs première vraie maison hantée. Linda regarde alors son amante :

- Anne, il faut partir, vite!

Cette dernière n'a pas le temps de lui répondre...

La voix de l'entité parle de nouveau, avant que Anne n'est le temps de répondre.

- Maintenant c'est à moi de jouer!

Les deux filles, paniquées, se regardent, se comprennent. Elles se mettent à courir vers la porte. Linda étant la plus prêt, est la première à essayer de franchir le palier qui sépare la pièce de vie du vestibule. Mais une force incroyable l'attrape, lui fait traverser la pièce, s'écraser contre le mur. La belle brune à la peau caramel se retrouve plaquée au mur, bras et jambes écartées, elle fait comme une croix sur le mur, à deux mètres du sol.

Anne sent la présence prêt d'elle, tandis qu'elle a stoppée sa course pour regarder son amie voler dans les airs, avant de cogner contre le mur dans un grand cri de douleur.

- Je vais commencer par toi, salope!

- Que...

Elle ne peut en dire plus, Anne est violemment giflée, cette fois le sang qu'elle crache n'est pas factice. La jolie rousse se retrouve à quatre pattes au sol, elle essaie de se relever, mais un coup de pied puissant la fait s'étaler à plat-ventre, avant de la faire rouler sur le dos. Les bras de la belle rousse sont brutalement tendu, relevé puis plaqué au sol. Ses poignets sont maintenus par une poigne puissante. Quand son jeans commence à être déboutonné, Anne croit qu'elle est dans un cauchemar. Quand son jeans est retiré, qu'une force invisible s'attelle à lui déchirer son haut, Anne comprend l'issue inéluctable qui l'attend. Elle va se faire violer. Mais les fantômes n'existent pas, les fantômes violeurs encore moins. Anne refuse de se rendre à l'évidence, tout cela existe bel et bien. La belle rousse va d'ailleurs en faire les frais et connaître son premier coït hétérosexuel avec une bite invisible.

Stéphanie à une vue parfaite sur le string rose de Anne, elle voit le haut se faire déchiqueter par l'entité. Puis le soutiff de la rousse est arraché. Stéphanie est presque pressée qu'elle se fasse prendre par l'être invisible, c'est là, lors du premier viol de la malheureuse, que Stéphanie compte s'échapper. Stéphanie se tient prête, le soutien-gorge de la rousse est arraché. Elle voit alors les énormes seins blanc de la fille, avec de larges aréoles rose, à peine plus foncées que la peau et de petit tétons. Stéphanie à les fesses au bord du canapé. Elle se retient de bondir et de courir vers la porte. Ce serait idiot, elle le sait. Il faut qu'elle soit discrète. La jeune femme contente, l'espace d'un instant, la rousse à des seins bien plus gros que les siens, mais vraiment pas aussi ferme, car sans soutiff pour les maintenir, ils s'étalent maintenant un peu, de chaque côté du corps de la jeune fille. Si à dix-huit ans, ils ne sont pas très ferme, Stéphanie se demande dans quel état ils seront quand elle en aura quarante... Enfin, si elle arrive à cet âge en vie.

Le string de Anne est arraché à son tour, dévoilant un sexe glabre, parfaitement épilé. La vulve de la malheureuse qui est couchée jambe écartée, s'offre alors au regard de Stéphanie, il semble à cette dernière qu'elle peut voir son hymen. Mais c'est impossible. Nue la rousse tente de se débattre plus fort, mais l'entité qui l'agresse est beaucoup trop forte. Anne hurle :

- Pas ça! Pas ça!

Stéphanie voit un pal énorme apparaître et disparaître devant le sexe vierge de Anne. C'est la première fois qu'elle aperçoit une partie de l'entité. Stéphanie se dit comment un truc aussi énorme à put la violer sans la tuer? C'est déjà un miracle qu'elle n'est pas été déchirée à mort, mais son vagin était déjà habitué au sexe. Là, avec le sexe vierge de Anne, pas certain que cette dernière survive à ce viol. Cela renforce la détermination de Stéphanie. Après les avoir prise, il est fort probable que l'entité est tuée de son pal les deux jeunettes de dix-huit ans. Alors pour elle tout continuera. Et ça, la pauvre Stéphanie ne le veut pas, du fond de son âme, elle est prête à tout pour que ses viols sans fin finissent. Que deux lesbiennes doivent mourir de la bite de l'entité pour permettre sa fuite n'entre pas en ligne de compte pour elle. Stéphanie se dit qu'elle aura bien le temps pour les remords une fois libre.

Si l'entité est toujours invisible, sa bite est maintenant parfaitement visible. Stéphanie la voit, Anne la voit, Linda, toujours plaquée contre le mur, la voit également. Stéphanie comprend d'ailleurs les séquelles de ses sodomies. Elle ne peut plus marcher longtemps sans que son anus ne lui fasse mal, faire le ménage est un enfer pour elle. S'asseoir est aussi une torture. Aller à la selle est épouvantable. Mais en la voyant, Stéphanie comprend pourquoi. Si le pal de l'entité est bien une bite, elle est vraiment hors-normes. Elle doit mesurer au moins cinquante centimètres. Tout du long c'est aussi gros qu'une batte de base-ball. Mais de la taille de la partie la plus épaisse, celle du bout, celle avec laquelle on frappe la balle. Sans parler du gland, difforme, recouvert de pustules qui trône au bout du véritable pieu.

Le hurlement que pousse Anne, quand le gland monstrueux appuie contre les lèvres de son sexe est épouvantable. Tellement, qu'il en fait pleurer Stéphanie. L'instant d'une seconde, Stéphanie se fige. La jeune blonde qui lui a parlée au portail vient d'apparaître rapidement, pas plus d'une seconde, en train de tenir les poignets de Anne. Stéphanie n'a donc pas rêvée, il y avait bien une femme avec l'entité lors de ce premier viol dans la salle-de-bain du rez-de-chaussée...

Anne hurle comme une démente quand le gland pénètre en elle. Le pal est redevenu invisible, Stéphanie voit la vulve de la rousse s'ouvrir en grand. L'entité est tellement énorme, qu'il la déchire déjà, le sang coulant un peu. Sang qui coule un peu plus, quand le sexe invisible arrache l'hymen de la rousse. Le hurlement qu'elle pousse, vrille les oreilles de Stéphanie. Il y a dans cet hurlement, tant de malheurs, tant de douleurs, tant d'humiliations, tant de dégoûts que Stéphanie plaint sincèrement la jeunette. Se faire violer est une des pires choses qui puisse arriver à une femme. Longtemps Stéphanie à crut que c'était la pire des choses, mais depuis peu, la jeune femme à découvert qu'il y avait encore deux choses bien pire : Se faire dépuceler lors d'un viol. Que ce soit un pal invisible qui vous force, en prenant de surcroît la fleur de la fille...

Stéphanie comprend que l'entité commence à bouger dans le corps de Anne, quand ce dernier se met a bouger de haut en bas. Elle voit les seins torturés par des doigts invisible. Les hurlements de la rousse sont moins fort. La fille a la bouche grande ouverte, l'entité est en train de lui rouler une pelle tout en la violant. Stéphanie comprend alors que c'est le bon moment. Que c'est maintenant ou jamais. Alors en silence, elle se lève, puis à reculons, elle quitte la pièce. Une fois dans le vestibule, prenant soin à ne pas faire le moindre bruit, marchant sur la pointe des pieds, elle avance vers la porte. Tout en priant qu'elle ne soit pas bloquée par l'entité. Mais vu comme il est occupé avec la rousse, puis sans doute ensuite avec Linda, Stéphanie se dit qu'il n'est pas prêt de s'apercevoir de sa disparition.

Stéphanie tremble quand sa main s'approche de la poignée. Elle pose sa main dessus. Les hurlements de Anne résonnent toujours, de plus en plus fort. Il a dut cesser de l'embrasser. Stéphanie baisse la poignée, elle retient son souffle, puis tire vers elle en fermant les yeux. La jeune femme doit se mordre les lèvre pour ne pas hurler de joie. Elle ouvre les yeux pour vérifier, elle n'a pas rêvée, la porte est entrouverte. Stéphanie l'ouvre encore un peu plus, juste à ce qu'il y est assez de place pour qu'elle puisse passer. Puis à pas de loup, elle sort de la villa maudite, refermant ensuite, toujours parfaitement silencieuse, la porte d'entrée.

Le soleil sur sa peau, l'air frais, tout cela lui fait le plus grand bien. Mais Stéphanie ne s'arrête que quelques secondes. Elle baisse les yeux vers le bas, le portail est resté ouvert après l'entrée de Anne et Linda. Marchant doucement, pour ne pas faire de bruit, Stéphanie se dirige vers lui. Elle prend son temps, aucun son ne retentit. La jeune femme sait pourtant qu'avec les hurlements de Anne qui explosent dans la pièce, l'entité à peu de chance d'entendre le bruit infime d'un pied sur du gravier. Mais Stéphanie ne veut pas prendre le moindre risque, alors elle met dix minutes pour atteindre le portail.

Pour la première fois depuis qu'elle n'est plus en foyer, Stéphanie fait une prière complète. Elle prie pour que l'entité invisible n'est pas remit la barrière qui ceint le portail et les murs autour de la villa. Elle tape sa poche arrière, les billets qu'elle y a mit y sont encore. Stéphanie se dit que quinze mille pour un nouveau départ, c'est bien peu, mais ce sera suffisant pour voir venir quelques semaines en faisant bien attention. Mais avant cela, il faut être loin d'ici...

Stéphanie fait trois pas. L'émotion est si forte, qu'elle ne sait pas comment elle fait pour ne pas crier de joie. La jeune femme est presque passée, elle est juste derrière le portail, plus qu'un pas... Presque libre, enfin. Elle avance un bras, il n'y a aucune barrière, juste un pas de plus, et tout est enfin fini... pour elle. Tant pis pour les deux qui ont prit sa place. La joie est si forte que Stéphanie en tombe à genoux. Puis elle se dit qu'elle ne sait pas si l'entité peut l'attraper si près du portail. Cela peut être en son pouvoir.

Stéphanie a besoin de toute sa concentration pour se relever. Son cœur qui bat à cent à l'heure frappe dans ses oreilles. La jeune femme se relève, se prépare à faire le sprint le plus rapide de sa vie. Mais elle ne peut faire un pas, qu'une voix masculine, qu'elle ne connaît pas, dont elle ne voit pas le propriétaire résonne à ses oreilles :

- Bien jouée, salope!

Stéphanie essaie de courir, mais on la tient par la queue de cheval, elle vole dans les airs, retombant sur les fesses, à la même place. Une autre voix masculine parle alors :

- Mais maintenant tu es à nous!

Stéphanie n'a pas le temps d'assimiler ce que vient de dire la voix, ni qui ou que ce sont ces deux voix inconnues, qui ont parlées, qu'elle est tirée par les cheveux vers la maison. Un hurlement d'horreur sort alors de sa bouche, on peut y attendre toute la frustration qu'elle ressent. Elle a frôlée l'évasion, elle a jouée, elle a perdue. Mais perdre si près du but...

Stéphanie est tirée par les cheveux jusque à la villa, elle tente bien de faire lâcher prise à la main qui la tire, en vain. La porte s'ouvre, elle entre à l'intérieur de sa villa, la porte se referme. Stéphanie est au comble de l'horreur. Elle vient de manquer ce qui est certainement la seule occasion de s'échapper... Dans le vestibule, elle entend les hurlements atroce de Anne. Si l'entité viole toujours la rousse, alors qui l'a attrapée?

- Déshabille-toi!

Stéphanie se rend compte que plus personne ne la tient. Alors comme un automate, la jeune femme commence à se dévêtir. Elle sait qu'elle va de nouveau vivre un enfer qu'elle ne connaît que trop bien : celui du viol.

- Tu es à nous, maintenant!

Stéphanie qui à du mal à réfléchir correctement, tant son cerveau est bouleversé par cet échec, analyse quand même quelques mots. La voix n'a pas dit à moi, mais à nous. Ils sont donc plusieurs? Stéphanie à crut que l'entité, tout en violant Anne, avait put s'occuper d'elle. Par une sorte de pouvoir psychique, qui expliquerait ses voix différentes. Mais à priori ce n'est pas le cas.

- Jean à les deux vierges... Enfin une vierge et une dépucelée maintenant.

Mais grâce à leurs énergies psychique, on est assez forts nous aussi...

- Tu es notre cadeau de retour. On va te faire ta fête!

Si Jean s'occupe de la rousse, alors la vérité éclate à Stéphanie. Les deux autres doivent être les complices de Jean. Anatole son père, et Nino, leurs employé.

Stéphanie se dit que c'est un cauchemar, ce n'est pas possible. Une entité, c'est déjà incroyable, mais trois... C'est du délire. C'est ça, soit elle est folle, soit elle fait un cauchemar, mais ce qu'elle vit ne peut être réel... L'espace d'un instant, qu'elle revienne à la réalité lui étreint le cœur. Mais une des deux voix va rapidement lui couper tout espoirs.

Le restaurant est plein, c'est un des meilleurs de Paris. Aurélien à dut réserver un mois à l'avance. Le repas est délicieux, encore meilleur que ce que dit la réputation du lieu. Ils commandent chacun un dessert. Quelques instants plus tard, la lumière s'éteint dans la salle. Jennifer regarde son petit ami :

- Je ne savais pas que l'on pouvait organiser un anniversaire dans un lieu aussi classe. C'est sympa de voir que même les grands restaurant font comme les plus petits...

- Ou alors le gars est si riche, qu'il a payé pour que cela est lieu...

- Toi et ton romantisme légendaire...

Néanmoins, Jennifer pouffe à la réponse de Aurélien.

La jolie blonde est fort surprise, quand une assiette contenant un petit gâteau, avec une bougie dessus est posée devant-elle. Jennifer regarde alors Aurélien.

- C'est toi?

- Ben non, tu m'aurais entendu.

- C'est vrai.

La lumière revient, Jennifer regarde le serveur :

- Vous devez vous tromper, ce n'est pas mon anniversaire.

- Je ne sais pas, c'est la table là-bas qui m'a demandé de vous emmener une part de gâteau car c'était votre anniversaire, et que votre compagnon l'a certainement de nouveau oublié.

La blonde regarde la table que vient de lui désigner le serveur.