La Vie Sexuelle D'Inès Chapitre 06

BÊTA PUBLIQUE

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Ils ne se parlaient qu'en gestes, amusés par leur propre silence. Inès vint effleurer l'épaule du grand noir. Celui-ci, en retour, lui caressa le bras l'espace d'une seconde. Puis Inès lui fit du pied. Il lui chatouilla le ventre pour répliquer. Sans oublier de tirer sur le joint de temps en temps, ils poursuivirent ce jeu espiègle pendant quelques minutes. Les gestes se firent plus intrusifs, les caresses plus prononcées. Bien vite, ils passèrent des parties chatouilleuses aux parties érogènes. Sans trop savoir comment, Inès se retrouva assise sur les genoux du bel homme, lui caressant sensuellement le torse. Elle s'arrêta soudainement. Inès eu probablement son dernier instant de lucidité de la nuit. Elle devait décider si elle continuait, car elle savait qu'elle ne pourrait plus s'arrêter une fois passé le point de non-retour. Allait-elle se donner à ce parfait inconnu?

Elle n'eut même pas le temps de formuler la réponse dans sa tête. Le manque au creux de son ventre avait décidé à sa place. Elle fondit sur les lèvres du bel homme et l'embrassa à pleine bouche. Il ne sembla pas surpris, et il lui rendit son baiser avec insistance. Il posa ses mains sur ses fesses rondes et se mit à les malaxer sans ménagement. Entre deux baisers torrides, il plongeait sa tête entre les seins rebondis de la belle blonde. La respiration d'Inès se fit de plus en plus saccadée. Elle tâta les muscles saillants du grand noir, impressionnée par sa masculinité. Elle sentit son intimité s'humidifier. Elle remarqua alors une énorme bosse dans le jogging de l'inconnu. Touchant le membre viril du bout des doigts, elle lâcha un soupir d'excitation. L'homme lui malaxait à présent les obus sans faire dans le détail. Mais ce n'était pas de la maladresse. C'était une bestialité assumée qui décuplait le bouillonnement intérieur d'Inès. Ils remarquèrent soudain qu'ils étaient toujours en présence des autres personnes assises dans les canapés, certains drogués, certains endormis. Malgré leur inattention, Inès ne voulait pas aller plus loin devant un tel public. L'inconnu sembla comprendre son trouble. Il se levèrent et le bel homme prit la main d'Inès pour la conduire vers une porte au fond du sous-sol.

Ils entrèrent dans ce qui était une petite pièce avec quelques équipements de musique et un large matelas posé à même le sol. Le grand noir referma le loquet afin de ne pas être dérangé. De l'intérieur, on entendait moins le bruit étourdissant de la musique électro. Inès, toujours aussi bouillante, enleva en vitesse ses vêtements avant de se jeter sur son amant du jour. Ce dernier se laissa faire alors qu'Inès le débarrassa de son débardeur, révélant sa musculature puissante. Le bel adonis prit soin de retirer lui-même son jogging, exposant à Inès une turgescence absolument monstrueuse qui semblait vouloir faire exploser son caleçon. La blonde en resta figée. L'homme retira ensuite son caleçon, révélant un énorme pieu.

Le sexe, aux dimensions ahurissantes, était en érection totale à la vue du corps nu d'Inès. Cette dernière entrouvrit la bouche et faillit baver. Le membre viril qu'elle avait sous les yeux était le plus épais qu'elle avait jamais vu. Elle s'en saisit et remarqua qu'elle ne pouvait en faire le tour avec sa main. En longueur, le grand noir n'était pas non plus en reste. Digne d'un acteur porno -- pensa Inès. Elle réalisa soudain qu'elle était sur le point de faire l'amour à un noir pour la première fois. Il confirmait l'idée répandue selon laquelle les noirs sont mieux dotés que les blancs. L'idée de coller sa peau blanche contre la peau noire du bel homme l'excitait terriblement. L'exotisme du tableau la rendait folle de désir. Elle s'allongea sur le matelas, soumise au charisme viril du grand noir. Elle ne connaissait même pas son nom...

« Comment tu t'appelles? » demanda-t-elle.

Ce furent les premiers mots qu'il échangèrent.

« Idrissa. » répondit-il simplement avec un léger accent.

« Idrissa... » répéta-t-elle. Elle ouvrit grand les cuisses. « Je m'appelle Inès. Maintenant, baise-moi, Idrissa. »

Ces présentations semblèrent suffire à son amant qui bondit sur le lit et présenta son organe interminable à l'entrée de son vagin.

« Comme tu peux le voir, elle est assez grosse. Respire bien, ça va faire mal. » dit-il, une lueur d'excitation dans les yeux.

Inès était mouillée comme jamais. Elle sentit une sensation d'étirement et de brûlure quand la verge monstrueuse pénétra sa chatte. Elle laissa échapper un cri strident et se mit à respirer très fort. Idrissa s'était arrêté. Il lui laissa le temps de s'en remettre, puis poussa sa bite un peu plus loin. A nouveau, Inès couina. La douleur se faisait de plus en plus vive à mesure qu'il s'enfonçait.

« OOOHHHH!!! Tu me défonces! OOOHHHH!!! » lâcha-t-elle.

« Tiens bon. Tu vas bientôt jouir comme une dingue sur ma queue. » la rassura Idrissa.

Il entama des va-et-vient sans même être allé au fond du vagin dilaté. Il étirait les parois de la chatte d'Inès et celle-ci sentit soudainement un plaisir extrême et diffus. Idrissa le remarqua et accéléra son mouvement, allant à chaque fois un peu plus loin. Le vagin sembla s'adapter au chibre surdéveloppé et Inès sentit ses muscles se tendre. En moins de trente secondes, elle fut prise d'un orgasme indescriptible.

« HHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNNNN!!! OOOOUUUUIIIIIIIIIIIIIIIIIII!!! » hurla-t-elle.

Son vagin était en feu. Ses muscles se contractaient frénétiquement, plongeant son esprit dans un monde abstrait fait de plaisir et de tension absolus. Ses yeux avaient roulé vers le haut. Le canon noir planté en elle tapait contre sa matrice et faisait exploser son système nerveux. Elle jouit en continu pendant une bonne minute, se retournant dans tous les sens, tandis que le grand noir avait pris un rythme de croisière et la pilonnait à présent sans merci. Les mâchoires serrées, il regardait se tordre d'exaltation cette petite blanche en chaleur qui s'était soumise à lui.

Reprenant ses esprits, Inès embrassa violemment son amant, comme pour le remercier de lui avoir offert cette jouissance dont elle avait tant besoin. Elle était à présent comblée, au sens figuré comme au sens propre. Elle aimait se sentir petite et faible sous ce corps masculin et dominateur. Dans la lumière ocre de cette cave, elle avait trouvé un bonheur inattendu. Elle regardait avec délectation la peau noire du bel adonis venir frotter sa peau blanche, provoquant un contraste des plus sexy. Il y avait quelque chose de plaisant à se donner à une personne d'une autre race. Elle venait de se découvrir un nouveau fétiche : l'interracial.

Le noir décida de changer de position, mettant Inès à quatre pattes en la soulevant comme si elle ne pesait qu'un gramme. La blonde se soumit non sans en éprouver une certaine joie. Ce fut une levrette d'anthologie. Idrissa renfonça sa poutre impressionnante dans l'intimité d'Inès et se mit à la pourfendre avec des coups de rein d'une rare violence. Le ravissement de se faire ramoner ainsi la chatte revint en force, et la voix de la belle blonde partit dans les aigus. Son partenaire, en plus de la pistonner copieusement, lui claquait les fesses et lui pressait les seins. Elle était stimulée de toutes parts et se rendit compte qu'elle approchait à nouveau de l'orgasme.

« Oui! OUI! Prends-moi la chatte! Fais de moi ta chienne!!! » cria-t-elle.

« Humpf! HAN! T'aimes encaisser ma grosse bite, HEIN? T'es une sacrée chienne de blanche, HEIN? »

Apparemment, Idrissa aimait aussi la différence de couleur de peau. Ils s'excitaient l'un l'autre avec des mots crus.

« OOUUIII!!! OOOUUUIIII!!! Je ne suis qu'une chienne blanche! J'adore ta grosse bite de noir! J'ADORE!!! JE NE PEUX PAS M'EN PASSER!!! »

« HAN!!! HHAANNN!!! OUI, BELLE BLANCHE!!! T'ADORES MA BITE DE NOIR!!! T'ADORES MA BITE DE NÈGRE!!! DIS-LE!!! »

« J'ADORE TON ENORME BITE DE NÈGRE!!! » gueula Inès.

À ce moment précis, la jouissance l'emporta. Elle se raidit, s'empalant encore plus profondément sur la colonne de chair noire qui lui en faisait voir de toutes les couleurs. Ses semaines de frustration furent oubliées, et elle perdit presque connaissance alors que tous ses membres se liquéfiaient sous le coup de l'euphorie ultime. Aucun son ne sortit de sa bouche tant le bonheur était au-delà du réel. Idrissa, devant ce spectacle de félicité, engouffra une dernière fois son calibre surdimensionné dans la fente de son amante et jouit à gros bouillons avant de s'écrouler sur elle.

Ils restèrent ainsi entremêlés de longues minutes, dans un état de semi-conscience, profitant de chaque instant. Ils ne voulaient pas bouger. Rester ici, près du corps de l'autre, leur suffisait. Inès ouvrit les yeux lentement, aperçut une dernière fois le visage harmonieux de l'homme qui lui avait apporté tant de contentement, puis s'endormit paisiblement dans ses bras musclés.

*

Par Achabcooper

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