L'horrible Dette

Informations sur Récit
On va lui faire payer ses dettes...d'une horrible manière!
1.6k mots
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3
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 08/30/2017
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J'étais tendu, terriblement tendu. Audrey, ma femme , venait de me quitter à cause de ce que je venais de lui apprendre. Elle devait le savoir car de part ma bétise liée à mon addiction au jeu, notre futur mariage allait être remis en cause. D'autant plus que sous la colêre, elle m'annonça une terrible nouvelle mais qui au fond, n'était pas étonnante vu mon comportement. J'étais au bar, sirotant un café et attendant ma mére. Il fallait aussi que je lui dise, que je lui avoue tout. Nous étions trés proche et parlions beaucoup. mon pêre travaillait tous le temps et mon frêre ainé ainsi que ma soeur cadette, venait de démarrer leur vie, loin de notre famille. Je la vit arriver de loin car malgré ses bientôt 54 ans, Marie était une femme aux atouts remarquable et qui faisait dix ans de moins. Elle portait un pentacourt moulant noir, peut être trop moulant car elle avait des fesses légérement grosses bien que réhaussées ses mules à talons haut transparentes. Je me souviens, c'était Audrey qui les lui avait offert car ma mère se plaignait d'être petite alors qu'elle était de taille moyenne. On avait l'impression qu'elle marchait sur la pointe des pieds. elle s'était verni soigneusement les ongles en rouge. Elle avait mis une petite veste, trés fine non fermée par dessus son débardeur qui, comme d'habitude par beau temps, mettait son opulente poitrine bien en valeur. Bien que jeune, elle fut embarrassée par celà, selon ses confidences, elle prit goût de se décolletter en prenant de l'age. Surtout aprés son mariage, un peu blasée des absences de mon pêre et le besoin de se sentir désirer. Suite à ses grossesses, ses seins avaient encore grossi terriblement. Marchant cambrée, avec son petit sac, ses seins prenaient de l'ampleur et rebondissaient mollement attirant le regard des passants masculin. Lorsqu'elle me vit, elle se mit à sourire tout en m'embrassant. Cheveux teint en noir, impeccablement maquillé avec un gloss rose magnifique mettant en valeur ses lêvres. Elle s'assit posa son sac et commanda.

-Comment vas tu mon chéri? je suis trés heureuse de te voir.

-Mal, maman, trés mal

Ma mére fronça les sourcils.

-raconte moi tout, Jean, que se passe t'il? D'habitude tu es plutôt réjouit.

J'hésitais, maintenant que je l'avais enfin en face de moi, je ne voulais plus rien lui dire de peur de la décevoir, comme j'avais déçu Audrey, la femme de ma vie. Marie me regardait intensément, attendant ma réponse. Je me lançai:

-Audrey m'a quitté depuis une semaine, c'est fini.

-Elle t'a quitté? mais c'est impossible, vous deviez vous marier!

Je mis ma main sur mes yeux. Ma mère insista:

-Je n'en reviens pas. Mais que s'est il passé?

Elle attendait une réponse mais nous fûmes interrompus par le serveur, un jeune homme, la vingtaine passée à peine. Il ne put s'empêcher de lorgner les gros seins de Marie. Il lui servit son café et semblait horriblement géné. Sans doute en aperçevant, au dessus de la grosse poitrine, son deuxiéme collier auquel pendouillait son alliance histoire de dire: "on regarde mais on ne touche pas". Elle le remercia avec un magnifique sourire. Certes, heureuse de plaire au jeune homme, elle était plus focalisée sur les malheur de son fils. c'est là que je décidai de ne pas dire toute la vérité. Je ne voulais pas la décevoir. Et lorsque le jeune parti, je lui dit texto:

-Elle en aimait un autre Elle resta bouche bée et posa sa main entre ses deux loches.

-Quelle horreur , mon pauvre chéri!

Je jouais mon rôle, faisant la victime...

Nous bûmes notre café et nous marchâmes longtemps, discutâmes du sujet. Elle essaya de me remonter le moral, crédule de mon histoire. Je lui dit que je voulais partir quelques temps à l'étranger pour me changer les idées alors qu'en vérité, c'était pour fuir. Elle comprit et me prit entre ses bras. je sentais ses gros seins s'appuyer contre moi.

-Va te changer les idées, mon fils, et reviens nous en pleine forme. la vie continue, elle est merveilleuse, ne l'oublie jamais.

Elle m'embrassa et m'ordonna de m'appeler en cas de soucis. C'était une mère superbe, tant physiquement que dans son rôle. J'étais heureux de ne pas l'avoir décu. Nous nous séparâmes et au moment d'arriver chez moi, une camionnette pila à coté de moi. Deux grand gaillards cagoulés en sortirent et s'emparêrent de moi en un dixiéme de seconde. Je fus baîllonné et ficelé. Le véhicule roula trois quart d'heure. Mes ravisseurs n'avaient pas cessé de rire. je compris immédiatement que c'était en rapport avec mes dettes de jeux où du moins à ceux à qui j'avais emprunté. Les casinos que je fréquentais m'avaient menacé si je ne payais pas. Un des gars, un tout maigre m'avait dit qu'il fallait que j'emprunte pour payer. Il m'avait donné une adresse et un surnom, Vic.

Les autres, pourtant de solides gaillards avaient frissonné et avaient sermonné le maigre. Mais il les enguela en disant qu'ils étaient trop scrupuleux et que je n'avais qu'à payer mes dettes quitte a emprunter au...Diable. Je rencontrai Vic, il était aimable et me donna la somme. Par contre avec un sourire pervers, il me prévint que si je n'honnorais pas mes dettes, ma sanction serait pire que la mort. Nous arrivâmes au point de rendez vous. Une espéce de gros hangard perdu. je fus malmené sous les rires et grognements des hommes. On me fit avancer par saccades et insultes. On me ligota dans une pièce. Une voix qui m'était familère s'adressa à moi.

-Alors, on essaie de fuir ses responsabilités?

Oh non, je le reconnu.

-Je t'avais prévenu, je te l'avais dit, tu m'avais juré!

Il avança tranquillement et m'arracha mon bandeau. C'était Vic. Le grand type à lunette avec un bouc aux cheveux longs. un faux air de john lennon.

-Ecoute vic, tu dois me laisser du temps et ...

-Chut, vous dites tous ça, il est trop tard à présent. le jour de paie est arrivé et tu vas voir de tes yeux comment on traite les gens comme toi.

Il me gifla.

-Non, Vic, ne me tue pas, pleurais je.

-Te tuer? Non, ça jamais de la vie.

-Je te paierai, je te le jure...

-Ca oui, tu vas payer, et ça, trés cher, crois moi.

Vic regarda ses hommes qui se mirent à sourire d'un air entendu. Il tramait quelque chose, ce salaud. Son portable sonna. Il répondit satisfait.

-Aaah! trés bien. Emmenez la!

Vic me regarda.

-Ta femme, ou plutôt ton ex femme a bon goût, elle nous a pas menti!

J'entendis au loin des cris étouffés d'une femme sans doute baîllonnée. je compris, ils avaient séquestré Audrey pour me faire chanter.

-ne lui faites rien! je paierai, Audrey n'a rien à voir dans cette histoire et...

Eclat de rire dans la salle.

-Elle a à voir! Elle était si furieuse quand on est allé la voir qu'elle nous a elle même suggéré le moyen de paiement. On voulait se payer avec elle mais elle a su être persuasive en nous montrant des photos d'une femme chére à ton coeur.

la porte s'ouvre avec fracas. Deux brutes tiennent une femme qui se tortille énergiquement entre leur bras puissants. Quelle horreur, ce n'est pas possible, Audrey n'a pas pu faire ça.

-Ton ex était une belle femme mais assez banale. En revanche, ta maman, c'est une autre histoire.

Je tombais à genoux en hurlant. La femme qu'ils avaient entre leurs mains, c'était Marie...ma propre mère. Elle tentait vainement de se dégager devant les rires de ses ravisseurs.Pendant sa capture, elle avait perdu ses belles mules Ils lui avaient aussi arraché sa veste et son débardeur dans la lutte. L'alliance qu'elle portait autour du cou rebondissait entre ses gros seins rehaussaient par son soutien gorge noir en dentelle. Elle était baïllonnée, se débattant. vic s'approcha d'elle, se pourléchant les babines. Il lui saisit le visage et la regarda de prêt.

-Tu es drôlement bien conservée pour ton âge! Encore une bourgeoise dépendante de son mari qui n'a jamais eu a travailler.

Il se mit à carresser la grosse poitrine maternelle. Il les soupesa. Les nichons de Marie étaient vraiment énormes.

-Hmm, du très gros et du naturel en plus. Tu as du avoir de sacré problème de dos.

Ils rirent

-Lâchez là!

Les hommes s'exécutèrent. Il sortit quelque chose de sa poche et lui arracha l'alliance qu'elle avait autour de son cou. Ma mère ôta son bâillon, furieuse, et avant qu'elle eu pu ouvrir la bouche pour contester, Vic la coupa et dit en montrant l'alliance:

-Tu n'en auras plus jamais besoin!.

Vic déclencha le taser dont les fines aiguilles se plantèrent dans son gros nichon droit. Marie se cabra, terrassée. Son corps, parcouru d'electricité, était animé de spasmes. comme elle tremblait, ses gros seins se secouaient lourdement devant ses ravisseurs éclatant de rire.

-encore! encore!

et moi, j'hurlais d'horreur.

Les yeux révulsés, haletante, le corps paralysé par le courant, elle resta un moment tétanisée. vic jubilait à torturer cette femme aux gros nichons que l'électricité faisait se contracter tout en lui infligeant d'atroces douleurs. J'appréhendais le pire, Vic risquait de la tuer s'il continuait. Ma mère souffrait le martyre. Vic stoppa et ma mère chuta, anéantie et fut rattrapée in extrémis par un des gars. Il la releva, mais elle était sous le choc. Il siffla:

-regardez moi cette paire, nom d'un chien on va bien s'amuser avec elle. Il tripota la grosse poitrine maternelle sans défense à travers le fin tissu du soutien gorge. on voyait les marques rouges des aiguilles sur son gros sein moelleux. Marie gémissait entre les bras de son ravisseur.

Et tout en me regardant Vic dit:

-Oui, on va bien s'amuser et tu nous dois bien ça, toi!

.... A suivre

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Recherche

Bonjour je suis un homme de 40 ans qui cherche un peut désistement

Je suis prêt à revoir des photos ou vidéos et moi aussi jai

Des photos et vidéo a partagé de moi et ma femme.

Memmell334@gmail.com

mefistoxxmefistoxxil y a plus de 6 ansAuteur
informations

Il s'agit d'une partie d'une histoire déjà écrite et divisé en trois partie ce qui explique le fait que ce texte soit court.

Au vu du nombre de lecture,les prochains épisodes seront rallongés, modifiés et s'orienteront davantage vers un coté sordide et glauque.

bien à vous

Mefisto

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 6 ans
Qui paie ses dettes , s'enrichit

J'attends avec impatience la suite de ce très bon début. L'ex va y passer aussi, non? Et le fils tant qu'on y est.

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Super début

Super début, juste un peu court ce chapitre.

Rudy

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