La Transition 05

Vérifiant qu'elle tenait fermement les anneaux, il souleva ses cuisses sur ses avant-bras musclés, amenant sa chatte grand ouverte à hauteur de sa verge à nouveau monumentalement dressée et il l'empala sans autre forme de procès.

« MMMMHH! ...MMMMMHHHH! »

« Chantal, occupe-toi ..han ..des mamelles de ta ..han...patronne. ..han ... Fais-lui exploser ... han... les tétons! »

L'adjointe d'Elise, aussi bien chez Monnet qu'au Club, se précipita, arracha presque les bonnets du soutien et se mit à sucer les mamelons de sa 'patronne adorée' avec rage, telle un nourrisson affamé, mordant sans retenue dans la tendre chair.

« UUUUHHH! » Le cri d'Elise, même étouffé par le bâillon du slip était suffisamment puissant pour conforter Chantal dans la bonne exécution de sa mission . Sans cesser de martyriser le sein droit avec ses dents, sa main gauche s'empara de l'autre globe et elle le malaxa du bout de ses doigts durcis, s'enfonçant dans la chair élastique comme dans du beurre pommade.

Amaury avait pris la cadence de combat, pistonnant la voluptueuse quadragénaire contre le mur, écrasant son dos contre les anneaux situés à mi-hauteur sans aucun égard pour le confort de la femme qui se contorsionnait sous ses coups de bite démesurés.

Même si son besoin de baiser était toujours intact, ses ressources de Doué avaient été entamées par ses éjaculations en cascade et il pouvait se déchaîner dans la vulve de sa proie sans craindre une nouvelle jouissance trop précoce. Il comptait bien la faire défaillir à répétition.

« Chantal ... menottes! » grogna t'il

Abandonnant un instant la poitrine marbrée d'Elise, l'ex-secrétaire récupéra dans le tiroir magique deux paires de menottes capitonnées qu'elle fixa aux anneaux et aux poignets de sa patronne, juste avant qu'elle ne lâche prise sous l'effet d'un premier orgasme ravageur.

« UUHH! .. MMMHHH! »

Retenue uniquement par les menottes, elle ne pouvait se défendre contre l'agression du Doué qui, non content de la clouer au mur à grands coups de verge, utilisa son Pouvoir pour prolonger la vague orgasmique qui la secouait comme une chiffe.

La puissance de sa musculature post-Transition lui permettait de continuer son œuvre de destruction sans faillir. Elise n'était pas encore totalement revenue de son premier voyage en Orgasmie qu'elle se sentit repartir vers de nouveau sommets.

Elle tenta de protester faiblement à travers son bâillon.

« U.. as.. e .. uer! »

Mais le Doué ne l'entendit même pas , trop occupé à bouleverser le corps et l'esprit de la femme réceptacle qu'il tenait fermement en son Pouvoir. Elle jouit à nouveau, incapable de résister aux sollicitations mentales et physiques qui l'assaillaient.

« MMMhh .. AAAH.. AU..Y ...!

Mais Amaury ne semblait pas prêt à abandonner son raid destructeur. Il attendit que le corps d'Elise cesse de tressauter comme si elle avait la danse de Saint-Guy puis recommença à la pilonner sous le regard de plus en plus inquiet de Chantal qui se demandait quand la fureur sexuelle du garçon allait se calmer.

Alors qu'Elise était repartie dans une série de vocalises de plus en plus pitoyables, Amaury sentit une petite main venir lui caresser les bourses et une petite voix lui dit

« Viens mon amour, jouis! .. Donne ta semence à Elise, c'est Séverine qui te le demande.. »

La sensation de la main sur ses parties génitales et la voix de son Influencée préférée agirent comme un déclencheur. Sa verge fut agitée de spasmes et il se libéra enfin dans le vagin convulsé de son amante. Leurs cris se mêlèrent tandis que Séverine lui murmurait à l'oreille

« C'est bien ....viens... viens encore .. encore ... oui mon Amaury ... jouis! »

Il inonda la vulve en fusion et se détendit soudain comme un ressort, abandonnant sa victime au bord de l'évanouissement, avant de s'écrouler sur le fauteuil présidentiel, complètement sonné.

Comme dans un rêve, il contempla Elise, inerte, suspendue par les menottes aux anneaux comme une pièce de viande au crochet du boucher. Elle ne réagissait plus mais il ne put s'empêcher de songer qu'elle offrait une vision diablement érotique, le chemisier ouvert sur ses seins couverts de meurtrissures et poussés vers le haut par les balconnets torsadés en dessous de sa poitrine. Sa jupe était retombée et masquait maintenant son pubis ravagé qui saillait sous le tissu. Ses jambes étaient maculées de sa mouille et de la semence du garçon qui s'écoulait de sa vulve béante.

Si Rodin revenait en ce monde, il aurait une modèle parfaite pour 'La Luxure' dans une nouvelle série de 'Péchés Capitaux' .

Et il rebandait!

« Mon pauvre amour » lui murmura Séverine qui lui essuyait le front avec son mouchoir tandis que Chantal essayait de ranimer Elise. « Ce n'est quand même pas une petite soirée électorale qui te met dans cet état? Tu aurais dû me prévenir ; ce n'est pas pour rien que tu m'as 'Améliorée'! »

Elle se laissa tomber à genoux en lui disant d'un ton coquin

« Je vais te rappeler ta Transition! »

Elle emboucha la dure verge du garçon, s'étonnant une fois de plus de la coriacité de sa peau tandis que sa langue s'activait autour de l'épais mandrin. Au bout de quelques minutes de ce traitement, Amaury haletait de nouveau, les mains posées sur les cheveux de Séverine. Mais cette dernière cessa d'un coup sa fellation, se contentant de donner quelques petits coups de langue tout en lui caressant les bourses.

« Tu sens la pression monter? Tu as envie de jouir? C'est encore trop tôt O mon Seigneur et Maître, je veux que tu exploses dans ma bouche quand tu seras vraiment prêt à te vider! »

Elle le laissa se calmer puis repris sa fellation jusqu'à ce qu'elle s'interrompe à nouveau en entendant la respiration oppressée de son amant.

« Huum ... elles grossissent mais tu peux faire mieux ... Et surtout, ne m'influence pas! Tu as besoin d'une femme pour te contrôler dans ton état! »

Pour la troisième fois, elle le reprit dans sa bouche, sentant la verge qui pulsait sur sa langue. Cette fois, elle resta sans réaction, ne le suçant ni le léchant, laissant la seule chaleur de sa bouche régaler le membre turgescent.

Amaury gémissait comme aux plus sombres heures de sa Transition. Il avait l'impression que ses parties génitales allaient éclater, couilles et verge prises dans le même malström de sperme en éruption.

Séverine referma ses lèvres en cadence sur le gland tuméfié, arrachant une nouvelle cascade de gémissements à son Doué. Elise qui avait repris connaissance et Chantal la regardaient avec admiration ; prenant des leçons de savoir-jouir auprès de leur cadette.

Celle-ci s'interrompit à nouveau pour reprendre le massage des bourses et commenta cette fois

« Mmmh, elles sont bien grosses maintenant. On va voir si tu es à point! »

Elle referma une fois encore sa bouche sur la bite agitée de spasmes et creusa ses joues dans une ultime succion à laquelle Amaury ne put résister : il se cambra , enfonça la tête de la jeune fille le plus loin possible sur son pal de chair et jouit convulsivement, envoyant directement sa semence dans la glotte de son amante qui lui soupesait tendrement les bourses qui se dégonflaient telles deux montgolfières à l'atterrissage.

« AAARRGH ... AAAAHHHH! ... TROP ... BON ... AAAHHH! »

Chantal eut l'impression que le Doué jouissait dix minutes sans discontinuer mais cela devait être moins long dans la réalité. N'empêche que le spectacle de Séverine qui déglutissait sans laisser la verge quitter sa bouche était plus qu'impressionnant. Cela réveillait même ses propres envies mais elle se morigéna. Il était trop tard ; la soirée électorale allait débuter et quelqu'un devait garder les idées claires.

Elle n'était pas la seule à avoir retrouvé ses esprits car Marie-Charlotte de Heinlein fit irruption dans le bureau.

« Vite, mettez la TV régionale, les premiers résultats vont tomber! »