la sujètion d'une ménagère

BÊTA PUBLIQUE

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- "JE VOUS EN PRIE .... PAS CA .... NONNNNN ..... JE NE L'AI JAMAIS FAIT ...... NON ... NONNNNNNNNNNN ....."

Je lui saisissais les poignets lui écartant les cuisses de mes genoux

- "Tu comprends les hommes utilisent la porte dérobée parce que fois que les naissances eurent élargies les étroites petites chattes de leur femme, les laissant béantes, ils cherchent un autre trou, qui n'est pas initialement prévu pour cet usage, pour retrouver un orifice étroit qui leur serre bien la bite ...... On peut aussi s'en servir comme méthode contraceptive ... Un vieil adage précise : Certains s'emmerdent là ou d'autres s'amusent!...... Chez moi lorsque je sors de sa chatte, ma femme roule sur le ventre et ouvre ses fesses me livrant un accès aisé à sa porte dérobée, comme toutes les gentilles femmes elle préfère que son mari jute dans son trou du cul plutôt que dans une enveloppe de latex!....."

Elle continuait à se débattre alors que je pointais mon gland sur son anneau rétif,

- "Puisque t'es vierge du trou du cul, je veux être certain que tu te rappelles de ton dépucelage ... Je n'utiliserai donc pas de lubrifiant!......"

Elle se mit à pleurer toutes les larmes de son corps à ces mots se débattant de plus en plus frénétiquement :

- "Allez vas y débats toi, ce n'en sera que meilleur!....."

Je me penchais sur elle et poussais dur, je voulais l'enculer à sec, sans autre lubrifiant que les malheureuses gouttes de pré sperme qui suintaient de mon méat.

Elle secouait a tête lorsque j'agrippais ses cheveux et la forçant à regarder fixement la photo de son époux.

- "REGARDE LE .....! "

- "Si tu veux en finir et rentrer chez toi tu ferais mieux de m'obéir petite chienne!......"

Elle se clama lentement, cessa de se débattre et riva ses yeux sur la photo de son mari, de grosses larmes ruisselaient sur ses joues alors que je me trouvais bien logé entre ses fesses.

Je fis une pause la regardant droit dans les yeux lui souriant :

- "T'as vendu la virginité de ton trou du cul pour une bonne cause ma petite Maria, maintenant que ton mari m'en excuse, mais je vais pouvoir jouir en toi!......"

Je poussais de toutes mes forces, enfouissant ma bite sèche dans on oeillet, je lui distendais douloureusement les muqueuses anales en l'enculant à sec, je voulais lui faire suffisamment mal pour qu'elle n'oublie ce jour.

Après quelques allées et venus dans son fondement, elle cessa de crier, restant étendue passive les yeux vides rivés à la photo de son mari.

Je la labourais puissamment lui distendant les muqueuses jusqu'au point de rupture, se rappelant mes consignes, elle commença des excuses :

- "Je suis désolée monsieur Kasey ... Si désolée de ne pas vous avoir offert de vous servir de ma porte dérobée plus tôt!...... Je suis désolée pour tout ce temps perdu à sortir votre pite de mon ventre pour vous vider les couilles sur mon ventre, parce que je me ne me souciais pas suffisamment de vous donner du plaisir!......" Psalmodiant ses excuses encore et encore alors que je lui martelais sauvagement le fion m'enfonçant au plus profond de ses entrailles.

Son discours m'emmenait tout droit à l'orgasme, je la martelaiss maintenant de toute ma vigueur, la pénétrant de tout ma longueur à chaque coup de boutoir, elle était mentalement et physiquement brisée, je l'utilisais comme un garage à bite, un réservoir à foutre; alors que ma bite se mettait à vibrer je lui ouvrais la rue culière de toues mes forces gagnant encore 2 à 3 cm de pénétration, je me mis à grogner elle sut alors que j'étais sur le point de jouir, elle hurla :

- "NOOOOOOONNNNNNnnnnnnnnnnnn ...... PAS DANS MON ANUS!....... LAISSEZ MOI UN PEU DE DIGNITE!......" ses plaintes lui arrachaient des larmes de honte alors que je projetais de longs jets de foutre crémeux au fin fond de ses entrailles, grognant et mugissant comme une bête.

Mon éjaculation tarie, je me retirais de son fion, elle se lova dans le lit sanglotant, le regard vide.

- "Attention madame Faletti, d'ici un quart d'heure votre mari sera chez vous et cela vous prendra bien 10 minutes pour parcourir le trajet de retour ...... Vous feriez bien de vous manier le cul!..... "

Pleurant toute les larmes de son corps, souffrant mille maux, brisée, humiliée, le trou du cul en sang, elle se releva sortit une tenue propre de son sac et l'enfila prestement.

Je lui fis signer son dossier que je contresignais lui promettant que l'argent serait sur son compte dès le lendemain, je le lui signifierais moi-même par téléphone.

Elle repartit chez elle, je discutais avec elle une paire de fois les jours suivants, elle rougissait, blêmissait, me fixait égarée à chacune de ces rencontres.

Je lui téléphonais quelques mois plus tard pour faire le point, lui rappelant l'existence de la cassette vidéo, la menaçant de la diffuser sur Internet si elle parlait de notre marché à son mari, ou à qui que ce soit.

Elle me rétorqua qu'il n'était pas question qu'elle lui en parle, il en comprendrait pas et se fâcherait violemment.

J'éclatais de rire et raccrochais.

J'espérais que ma banque ne se fasse pas absorber par un groupe international, je pourrais ainsi renouveler ce type d'expérience, le nombre de jolies femmes sollicitant un emprunt qu'elle ne pouvait pas obtenir dans ces grandes banques était important, ce qui m'ouvrait un immense terrain de chasse peuplé de succulentes proies dont je me faisais fort de savourer les succulents appâts.

Peut-être même qu'un de ces jours madame Faletti se verrait obligée de recourir à mes services pour m'arracher une faveur, je savais déjà comment faire payer mes services .... Peut-être même n'aurait-elle pas besoin de me solliciter, l'existence de la cassette pourrait l'amener à acheter mon silence en échange de l'utilisation occasionnelle de son trou du cul.

25 mai 2007

Histoire de Jon Maddux

Traduite de l'anglais avec l'autorisation de l'auteur par Coulybaca

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