la sujètion d'une ménagère

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Un prêt chérement acquis.
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La sujétion d'une honnête ménagère.

(a mother laments)

Coulybaca / Jon Maddux

CHAPITRE 1: la victime

Alors que j'étais directeur du service de prêts dans une banque local, en me rendant à mon boulot je me disais qu'encore une fois j'allais avoir une journée des plus barbantes.

Elle avait 35 / 40 ans, et était mariée à en croire l'alliance qu'elle portait à l'index, elle avait de longs cheveux noirs, de grands yeux bleus et la peau olivâtre, exactement mon type de femmes préféré.

Elle était à couper le souffle, une superbe poitrine, du 90 C à mon avis, elle portait un soutien-gorge très classique à ce que je pouvais en distinguer au travers de son chemisier, elle avait un petit ventre bien rond assez habituel chez les mères de famille.

Je prenais la liste des demandeurs, et appelais : Maria Faletti.

C'était elle. Elle se leva et me rejoignit dans mon bureau.

Une fois la porte fermée, elle commença à m'expliquer pourquoi elle sollicitait un prêt.

Elle avait essayé de contracter un emprunt dans les grandes banques, mais n'avait pas réussi à l'obtenir, même en concédant une seconde hypothèque sur leur maison.

Son mari avait perdu son emploi de conseiller financier quelques mois plus tôt et cumulait maintenant deux boulots pour compenser la perte de salaire mais ils avaient besoin de contracter un emprunt pour liquider leurs dettes et éviter la saisie de leur maison ce qui les obligerait à s'installer dans une banlieue éloignée du centre ville et de placer leurs 3 enfants en internat.

J'avais du mal à me concentrer, les yeux rivés sur les appâts que me révélaient son corsage jaune.

Je comprenais maintenant pourquoi elle s'adressait à notre banque qui n'était pas encore inféodée aux grandes banques multinationales, et de ce fait les décisions restaient soumises à l'appréciation humaine et non à celle d'ordinateurs dénués de toute sensibilité, je commençais à avoir une vague petite idée .....

Elle termina sa diatribe en soulignant à quel point ils avaient besoin de ce coup de pouce m'assurant qu'ils étaient honnêtes, honorables et qu'ils respecteraient les remboursements si j'intervenais en leur faveur.

Je me demandais jusqu'à quel point ils avaient besoin de ce prêt et ce qu'elle était disposer à faire pour l'obtenir?....

Je l'assurai que je pourrai peut-être faire quelque chose pour eux, sa façon de me présenter leur dossier me démontrait à quel point elle ne le maîtrisait pas, elle croyait visiblement que l'obtention ou le refus de leur prêt dépendait uniquement de mon examen.

J'étais décidé à tester jusqu'où les choses pouvaient aller aussi lui demandais-je :

- "Peut-être pourrions nous dîner ou souper ensemble pour en discuter madame Faletti?....."

Elle s'enfonça dans son siège ouvrant de grands yeux étonnés, pour le moins surprise de ma proposition.

- "Vous voulez dire en tête à tête ........ Juste nous deux monsieur Williams?....."

Voyant qu'elle m'avait compris je hochais la tête, ses yeux se voilèrent alors qu'elle recommençait son plaidoyer tentant de forcer la décision en l'instant même.

Je la coupais, rétorquant qu'il y avait peu de chances qu'elle obtienne ce prêt de quelqu'un d'autre que moi, et que mon offre s'avérait très généreuse.

Elle regardait le sol pendant que je la sermonnais, visiblement humiliée par ce qu'impliquait ma proposition, j'adorais cette situation.

Je me trouvais face à cette jeune femme désemparée qui, plongée dans ses problèmes financiers n'avait jamais envisagé payer de son corps pour obtenir ce qu'elle voulait.

Elle me jeta un coup d'œil rapide.

- "Quand monsieur Williams ..... Quand pourrais je vous rencontrer?...."

Je souris largement, je la tenais :

- "Je vous téléphonerai madame Faletti, j'ai besoin de quelques jours pour finaliser votre demande ...... D'accord?...."

Son regard traduisait son désarroi lorsqu'elle griffonna son numéro de téléphone sur un bout de papier qu'elle me tendit, elle saisit son sac, se releva, me serra la main, sécha ses larmes, et sortit du bureau.

Les choses s'enchaînaient magnifiquement, je savourai de tenir à ma merci cette succulente jeune ménagère, elle était prête à satisfaire mes appétit les plus lubriques pour obtenir ce prêt de la dernière chance.

Je commençais à dresser une liste de mes désirs les plus pervers, je désirais assouvir ma concupiscence tout en l'humiliant un peu.

CHAPITRE 2 : mes exigences

Le lendemain, je restais à la maison rédigeant la liste de mes exigences.

J'imaginais les tenues que je lui ferai porter, la lingerie les coiffures qu'elle adopterait.

Puis je cherchais ce que ma femme trouvait le pus gênant et j'élaborais mes plans en partant de ces constatations.

Je l'appelais vers 14 heure l'après-midi même, après avoir établi que je pouvais m'exprimer en toute sécurité et lui demandait crûment :

- "Qu'êtes vous prête à faire pour lancer votre emprunt madame Faletti?....."

Elle éclata en larmes.

- "Tout ......Tout ce que vous voudrez .... Je serai toute à vous espèce de bâtard!....... Ai-je un autre choix?....."

Je lui intimais alors d'écouter attentivement ce que j'allais lui dire.

- "Votre dossier est sur mon bureau madame Faletti, je n'ai plus qu'a y apposer un avis favorable et à le signer .... Normalement vous devriez pouvoir toucher votre argent dans deux semaines ..... Cela vous convient-il?....."

-

Après un instant de pause elle me répondit vivement :

- "Oh, oui je peux patienter deux semaines ... Dites moi seulement ce que vous voulez!...."

- "C'est très bien madame Faletti je vais vous donner quelques instructions : vous ne vous raserez pas les aisselles les jambes et le mont de Venus pendant les deux semaines à venir, à vous de vous débrouiller pour trouver une raison plausible pour votre mari!...... Vous enfilerez un bikini blanc, vous vous ferez une coupe maillot de bain au rasoir, votre coiffure et votre maquillage devront être impeccables, vous porterez votre alliance, vous apporterez une photo de votre époux en votre compagnie ainsi que quelques vêtements que vous portez chez vous.!...... Tout cela est-il bien clair dans votre esprit?......"

Je l'entendis pleurer à l'autre bout du film, reniflant pitoyablement dans le téléphone tout en acceptant mes conditions.

Je lui précisais l'heure et le jour de notre rendez-vous à la piscine de le l'hôtel Marriott.

Elle raccrocha, et les deux semaines qui suivirent je m'imaginais les positions je lui ferai prendre, combien de fois je la sauterai, toutes les perversions que je voulais lui faire endurer.

Je me demandais si c'était le genre de petite femme soumise qui faisait ce que voulait son mari au lit, qui acceptait tout de lui.

Revoyant la croix suspendue à son cou je me dis alors que ce devait être une fervente catholique, du genre punaise de bénitier.

Je riais au fond de moi-même sachant qu'en fait cela ne voulait rien dire.

Je m'impatientais les deux semaines suivantes, je terminais de remplir son dossier et le préparais pour le grand jour où je baiserai cette succulente mère de famille.

CHAPITRE 3: La souillure

Le jour est venu et je me rendais tôt dans la chambre, j'avais pris un jour de congé.

J'inspectais soigneusement la pièce cachant une caméras vidéo sous une pile de serviettes, une petite assurance au cas ou, plus tard, elle se plaindrait de s'être fait violer.

Je voulais tout au moins enregistrer la phase initiale ou elle consentirait à coucher avec moi, veillant à l'enregistrer au début de notre entretien lors de l'ultime négociation.

Je me rendais à la piscine et attendait sa venue.

Il avait un peu de monde ce midi, des familles entières barbotant dans le bassin tout proche.

Elle contourna la piscine, je la vis arriver de loin, elle m'avait obéi docilement.

Ses aréole sombres tranchaient nettement avec son deux pièces blanc, les yeux attentifs distinguaient clairement sa fourrure noire très fournie au travers du fin tissu de sa culotte de bain. Elle se dirigea vers moi et prit place à mon coté.

Elle ouvrit son sac de plage et étendit une serviette sur sa chaise puis me tendit la photo que j'avais réclamé.

Je la roulais dans la serviette que j'avais posée à coté de moi puis la regardais dans les yeux.

Je lui dis de tourner sa chaise vers moi j'avais ainsi une vue excellente sur son mont de Venus alors qu'elle s'étendait sur le dos cuisses grandes écartées, selon mes ordres elle devait rester dans cette position jusqu'au moment où je me lasserai de la mater.

Elle se mit à pleurer en obéissant à mes injonctions.

Elle se taisait de grosses larmes de désespoir roulant sur ses joues, alors qu'elle se tenait mains sur la nuque.

- "Pourquoi me faites vous ça ...." marmotta-t-elle entre deux sanglots.

Je souris et lui demandais si elle s'était déjà sentie aussi humiliée?.....

Est-ce qu'elle l'avait déjà été considérée comme un simple objet qu'un autre homme?....

Comme elle faisait non de la tête je m'étendis sur le ventre regardant les maris et enfants qui lui jetaient des regards intéressés.

Après une petite heure d'exhibition, je la poussais du coude et lui intimais de piquer une tête dans l'eau puis de revenir vers moi.

Elle savait pertinemment que son maillot détrempé deviendrait transparent, elle miaula me suppliant de pas l'obliger à mouiller son maillot.

Je souris railleusement l'informant que lorsque son maillot serait détrempé nous irions directement dans la chambres que j'avais retenu, je voulais qu'elle m'y accompagne vêtue de son maillot détrempé.

Elle comprit qu'il ne servait à rien de protester, sa seule consolation était que cet hôtel se trouvait fort éloigné de son quartier et qu'elle n'y voyait personne de sa connaissance.

Elle plongea dans la piscine escalada les escaliers pour remonter et vint me rejoindre.

Elle empoigna sa serviette et son sac , je lui interdis alors de se draper dans sa serviette, lui ordonnant de laisser tout le monde profiter de la transparence de son maillot.

Son maillot était aussi transparent que si elle avait été nue, sa toison noir était visible de tous.

On grimpa les escaliers vers les chambres surplombant la piscine, elle voulut immédiatement que je lui montre le dossier de prêt dument complété.

Une fois qu'elle l'eut consulté, réalisant qu'il ne manquait plus que les signatures, elle s'assit sur le lit résignée à subir son sort.

- "Cela fait maintenant 14 ans que vous êtes mariée maria?....."

Elle secoua négativement la tête rectifiant qu'en fait cela faisait 19 ans cette année.

J'avais appris en lisant son dossier de prêt qu'elle avait 42 ans, elle étit loin de les faire!

- "Avez-vous déjà trompé votre mari?...."

Elle secoua encore la tête négativement.

Voulant enregistrer que l'enregistrement démontre sa participation volontaire, je précisais :

- "Maria, vous devez me faire croire que c'est de votre propre initiative, selon vos désirs que vous vous trouvez avec moi dans cette chambre, que vous savourez chaque instant de votre infidélité, que vous vous réjouissez de coucher avec moi, si vous voulez vraiment obtenir ce prêt, il va falloir me convaincre de votre participation volontaire!......"

Elle sécha ses larmes et hocha la tête en signe d'acquiescement.

Je posais la photo de son mari sur la commode juste derrière elle et je lançais l'enregistrement.

M'approchant d'elle je la poussais gentiment sur le lit, elle avait les yeux braqués au plafond, visiblement elle cherchait à penser à autre chose alors que je descendais son maillot le long de ses cuisses avant de l'en dépouiller.

J'empoignais le soutien gorge et le retroussait au dessus de sa tête, elle était étendue sur le dos ne m'offrant aucune résistance, refreinant ses larmes.

J'écartais ses cuisses en grand et me laissais tomber sur les genoux au pied du lit, séparant déjà de mes doigts impatients les babines de sa foufoune, ma langue frôla son clito affolé alors que je commençais à lui brouter le gazon.

Elle restait inerte sur le lit, bras le long du corps alors que je suçais habilement sa chatte, tout au moins au début, elle semblait résignée à me laisser opérer en toute quiétude, sans pousser un cri, encore moins un gémissement.

Au bout d'une vingtaine de minute de patientes léchouilles sur son précieux petit bijou elle commença à gémir, puis me supplia :

- "Je vous en prie ..... Ne me faites pas jouir ...... Je vous en prie!..... Contentez vous de vous servir de mon corps avant de me quitter!......."

Je ris à pleine gorge continuant mes caresses labiales qui semblaient l'enivrer, quelques secondes plus tard, elle criait, mais il s'agissait de cris de jouissance qu'elle poussait entre deux supplications de ne pas la faire jouir.

Ma langue parcourait sa cramouille de long en large, de bas en haut, en retour sa chatoune s'inondait peu à peu de cyprine, elle lui coulait maintenant le long des cuisses.

J'avais toujours espéré faire jouir une honorable mère de famille contre son gré, et voila que mon vœu se réalisait , un véritable régal!....

Comme elle jouissait je bus sa liqueur intime qui m'inondait la bouche, un petit arrière goût acide me fit comprendre qu'il y avait autre chose.

Je m'assis alors sur le lit, la regardant droit dans les yeux.

- "Est ce que tu émets toujours des petits d'urine lorsque tu jouis?....." ma remarque au même titre que l'emploi du tu la fouettait.

Elle se mit immédiatement à pleurer, je la laissai se calmer puis me préciser :

- "Je souffre de ce petit problème depuis mon second accouchement, c'est pourquoi mon mari ne me fait plus de cunnilingus depuis des années, je vous en prie laissez moi me nettoyer!....."

Je lui dis de se taire et de me suivre sur la balcon.

- "Comme ça ... Entièrement nue?...." me demanda-t-elle affolée.

Je me contentais de hocher la tête affirmativement.

La rampe de balcon était en stuc et faisait environ 1,20 mètre de haut.

Comme je me tenais devant la rampe, on ne pouvait voir que sa poitrine dénudée, je l'attirais à moi.

- "GOUTE MOI CA, TU VAS AIMER!...." lui dis-je pressant mes lèvres contre les siennes pour lui rouler une pelle.

J'introduisais ma langue dans sa bouche déposant une bonne dose de son jus intime avant de casser mon étreinte.

- "A genoux Maria et montre moi la gentille petite femme que tu es!...."

Elle rechigna un peu, abasourdie de ce que je lui imposais en public, mais la pression de ma main sur son épaule suffit à la fléchir.

- "Et pose ta main gauche sur mon nombril que je puisse voir ton alliance pendant que tu me suces!...."

Elle commença à renifler les yeux braqués dans les miens, de grosses larmes roulaient sur ses joues.

Elle descendit mon pantalon sur mes genoux, ma virilité lui sauta au visage.

Elle soupira en posant sa main gauche sur son nombril comme je le lui avais ordonné.

- "Rappelle toi Maria je veux je veux qu'on pense que tu me suces de tout ton cœur, pour ton grand plaisir!....."

Sa langue courut sur ma hampe testant sans aucun doute les premières gouttes de pré sperme suintant de mon méat.

Je baissais les yeux sur elle et sur la piscine alors qu'elle était agenouillée entre mes cuisses sa tête montant et descendant sur ma colonne tendue, ses soyeuses lèvres coulissant sur ma bite.

Ne voulant perdre aucune chance de l'humilier je remarquais :

- "J'adore la façon dont ta bouche qui te sert à embrasser tes enfants enserre ma grosse bite madame Fellatio!....."

Je la laissai encore quelques minutes me tailler une plume.

J'étais pleinement satisfait d'avoir abusé de sa bouche maternelle, aussi la repoussais-je doucement et extirpais ma bite de sa bouche laissant les premières gouttes de pré sperme engluer son anneau alors qu'elle pleurait révulsée de honte.

Je la relevais alors et la penchais sur la rampe du balcon. Ses nibards étaient dissimulés par le balcon, personne ne pourrait donc se plaindre d'assister à un spectacle incorrect.

Elle avait le regard baissé alors qu'elle cherchait à feindre un enjouement certain.

- "S'IL VOUS PLAIT ... j'ai un préservatif dans mon sac!.....'

Je secouais la tête :

- "Désolé madame Faletti, mais je ne mets jamais de CAPOTE!......" elle tourna la tête vers la rampe du balcon alors que je me glissais dans son dos plaçant mon gland à l'orée de son trou géniteur détrempé.

Je me penchais en avant, et sans effort particulier ma bite disparut en totalité dans ses profondeurs intimes. Sa chatte n'était pas aussi étroite que le désirai, mais après avoir enfanté 3 marmots je ne m'attendais à trouver mieux.

Bien que ma bite mesure qu 18 cm de long et pour une épaisseur de trois de mes doigts réunis je savais que je la pénétrerai aisément.

Elle grogna alors que je donnais mes premiers coups de boutoirs en elle, m'enfonçant jusqu'au col de son utérus, mes couilles vinrent titiller son mont de Venus.

- "C'est bon hein Maria, je parie que ton mari ne te fais pas jouir très souvent!......" une fois de plus je ne voulais pas perdre une occasion de l'humilier.

- "Pourquoi dites vous ça?....... Comment pourriez-vous le savoir?......."

Je commençais à la chevaucher lentement mais puissamment.

- "C'est au su de son âge ma petite Maria, c'est parce qu'il a du se détacher de toi après tes trois accouchements!......"

J'éclatais de rire lorsqu'elle me dit d'arrêter de dire de telles choses.

Elle grognait et haletait sous mes assauts lubriques. Je tendis la main et commençais à lui titiller le clito alors que je la martelais de toute ma puissance. Je me marrais comme une brute en l'avisant que je n'arrêterai pas tant qu'elle n'aurait pas joui.

- "S'il vous plait. je ne dispose pas de beaucoup de temps ...... Je dois rentrer rapidement chez moi ...... S'il vous plait ne jouissez pas en moi .....!

- "C'est bon ...... C'est bon ...... Ne te tracasse pas, ne dis rien et je ferai mon possible pour te contenter ....."

Je restai calme voulant la voir succomber à un nouvel orgasme.

Me servant d'elle comme d'un réservoir à foutre pour ma propre satisfaction je disposais d'environ trois quarts d'heure avant de la laisser repartir chez elle, cela ne me laissait pas beaucoup de temps pour faire ce que je voulais vraiment.

Quelques minutes passèrent, elle haletait plus profondément, sa chatte était maintenant détrempée,

Elle se mit à grogner, à cet instant la friction suffisait à me mener droit à l'orgasme, mais je voulais lui apprendre comment jouir autrement.

- "Ohhhhhhhhhhhhh ...... CA Y EST ..... Vous êtes content .... j'ai peine à vous le dire ..... Mais ...... Je ...... Je vais jouir!...... Je ne le veux pas ....... Je suis mouillée comme une soupe ..... Je ne veux pas jouir avec vous sale bâtard!...... Le risque de me faire engrosser ne me tracasse plus!...... " et elle se mit à rire.

Je lui attrapais les hanches et la retournais sur le lit, face sur le matelas, j'essuyais ma bite avec le drap.

- "Tu sais Maria, ma femme a eu des enfants et sa chatte est aussi distendue que la tienne, mais je m'en fous, et comme je te dis je n'utilise jamais de capote à la maison, ma femme a appris il y a bien longtemps comment une femme peut donner du plaisir une fois sa foufoune élargie par les enfantements .... " l'informais je me dirigeant vers la caméra pour la tourner vers le lit.

Je la branchais sur la télé en haussant légèrement le son, puis je prenais la photo de son mari.

Je grimpais alors sur le lit et m'étendais à ses cotés disposant la photo de façon à ce qu'elle la voit bien.

Elle me demanda ce que je faisais, ce que je voulais.

Tendant la main, j'empoignais ses opulentes fesses et les serrait fermement

- "As tu déjà laissé une homme te prendre par la porte dérobée ma chère Maria?....."

Je me servais de tout mon poids pour l'épingler sur le lit, elle réalisa à ce moment ce que j'avais l'intention de faire, elle commença à se tortiller cherchant à fuir le lit, me criant :

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