La Soumission d'Isabelle 01

- Oh ! Je le crois pas, elle est vierge par là ?
- Je sais pas papa.
- Tu t'es déjà faite enculer ? Demande Paul.
- Non ! Mon mari a horreur de ça, avec son éducation religieuse, c'est interdit par là.
- Tu ne sais pas ce qui est bon ma chérie. Tu vas voir, Éric a ce qu'il faut pour les culs vierges comme toi.

Effectivement, il se retire, la douleur est effroyable, je me recroqueville, tandis que le Eric fouille dans un petit sac.
Le Paul me donne mon cocktail. Je le bois avec envie, jusqu'au fond du verre.
Dix minutes plus tard, je suis prise en levrette par le cul, confortablement installée sur le lit tandis que je suce Paul. Ce gros pervers m'a giclé son foutre épais et visqueux en pleine figure, cependant il n'a toujours pas débandé et je suis censée lui refaire une beauté.

La crème d’Éric fait merveille, je n'ai plus mal et accepte assez facilement cette sodomie endiablée auquel je suis soumise.
J'ai même un orgasme anal, ça je n'y aurais jamais cru.

Les deux mâles sont debout, moi les cuisses largement écartées, les genoux à la hauteur de la poitrine, ainsi je suis soutenu par les bras fort et puissant du vieux Paul. Il a calé sa bite au fond de mon vagin en me plaquant contre lui.
Quand Éric se plaque derrière moi, je pense qu'il va me sodomiser une fois de plus.

Sa bite glisse sur mon anus entrouvert, sur mon périnée, pour ? J'ai un moment de panique, lorsqu'elle vient buter contre celle de son père, qui occupe déjà mon ventre. Ils m'écrasent de tout leur poids, il force jusqu'à ce que ça rentre. Vu la quantité de gel qu'ils m'ont mis auparavant, ça rentre sans trop de difficulté. Ils m'ont fait encore jouir comme une folle. Je ne sais pas ce qui m'arrive ? J'ai encore envie d'être prise par tous mes trous.

Bon, c'est pas tout ça, mais il va être l'heure de partir papa. Il va falloir laisser partir notre amie. Demain son homme va rentrer et il doit trouver sa petite femme en pleine forme.
- Fais chier Éric. Pour une fois que je ne baise pas une vieille pute. Celle-là elle me plaît bien fiston.
- T'inquiètes pas papa. Le mois prochain, j'envoie son mari une semaine en Pologne pour négocier un contrat. Il va prendre du galon, je vais lui filer ce fameux poste, qu'il attend depuis deux ans. Ainsi le mari est en Pologne ? La femme va pouvoir venir chez nous pour nous satisfaire.
- Quoi ? C'est hors de question ! Non mais ça va pas ! On avait dit juste une fois !
- Tu préfères que je lui montre les photos de tout à l'heure ? En plus, j'en ai pris d'autres, j'ai même fait un petit film. Regarde ? Là, c'est quand on t'a attaché les chevilles au lit et que papa te défonce le cul, regarde et écoute comme tu jouis bien fort, tu vois ta belle jouissance ? Et là, c'est quand tu jouis avec la main de papa dans ta chatte. Là, c'est toi qui fai l'amazone sur papa, t'as l'air de bien prendre ton pied sur sa grosse bite ! Regarde là ? C'est moi qui te sodomise, on t'entend bien jouir de ça ! Tu veux vraiment que je montre tout ça à tout le monde en salle de réunion ? Les collègues de Laurent vont se marrer. Tu penses qu'ils continueront à lui dire bonjour tous les matins comme avant ?

Je suis totalement incapable de réfléchir, je comprends que je vais devoir faire tout ce qu'ils exigeront de moi, aussi longtemps qu'ils le voudront. Je suis complètement en leur pouvoir.
Je sais pertinemment que j'ai été une participante involontaire dans les jeux sexuels qu'il a filmés cette nuit.
Bien que le sachant, on ne décèle aucun signe de révolte de ma part dans ces enregistrements, bien au contraire je semble y participer avec enthousiasme et impatience. Ils n'ont même pas eu à m'obliger de me livrer à ces actes pervers, ils leur suffisaient de me guider, de suggérer certaines pratiques pour que j'y participe avec complaisance.

Le piège se referme, je ne me détacherai plus jamais de l'emprise de ces deux gros pervers.
- Ah, oui ! Il faut que tu sache ? Dans tes cocktails, le serveur y a mis un aphrodisiaque, sur la demande du dénommé Julien. C'est pour ça que l'on est venu dans ton salon, le serveur nous a dit que tu auras envie d'être baiser pendant un bon moment. Alors, voilà nous t'avons baisé, dommage que le Julien et sa copine ne soient pas restés.