La Prêtresse de la Pureté Ch. 05

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Au tour du second serment.
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Partie 5 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 04/22/2019
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**Avertissement** : Le prince de chair n'est pas un protagoniste sympathique (c'est même une belle enflure) et ses actions en sont le reflet. Certains passages peuvent donc choquer.

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Chapitre 5 - Le second serment

— Mais, votre Sainteté, ça... ça colle, gémit la prêtresse, un soupçon de panique dans la voix et une moue outrée plaquée sur son visage angélique. Je ne peux pas rester comme ça.

— Ne soyez pas sotte. Si vous utilisez votre robe pour essuyer ma semence, vous attirerez aussitôt les suspicions. Dois-je vous rappeler que la mission de l'ordre des Seraph doit demeurer secrète?

Itana détourna le regard. Même si Arlor se fichait bien que toute la cour apprenne la souillure de la Haute-Prêtresse - il le souhaitait même - il ne résistait pas à l'envie de la voir...

— Utilisez vos doigts et votre langue, ordonna-t-il. Nettoyez tout sans en perdre une goutte.

Le prince se délecta de voir la détermination de la Haute-Prêtresse vaciller. Jouer ainsi avec du sperme était un véritable défi quand l'ensemble de son éducation n'abordait la verge que pour la blâmer de tous les maux, de toutes les causes d'impuretés.

Son hésitation fut plus courte qu'attendu. Elle avait du cran. Elle fit glisser deux doigts le long de son menton pour faire remonter l'épais liquide blanchâtre vers ses lèvres. D'un coup de langue, elle engloutit l'offrande blasphématoire. Si ce n'était pour le froncement de son petit nez, Arlor aurait presque pu croire qu'elle y prenait plaisir. Il la contempla en silence avaler les longs filaments de lui-même. Ce délicieux spectacle ralluma les feux de son désir.

Lorsqu'elle en eut fini avec le sperme princier, il ne restait plus que quelques traces sur sa nuque et à la commissure de ses lèvres qu'Arlor se garda bien de mentionner. Cela ne faisait qu'exacerber sa beauté angélique.

— Voilà, votre sainteté. Ai-je passé cette première épreuve maintenant? demanda-t-elle, une pointe de colère dans la voix, son menton tenu haut pour l'observer depuis sa position à genoux.

— Il me semblait avoir dit « tout ».

Avant que la prêtresse ne puisse réaliser, Arlor s'était avancé pour lui saisir le menton et relever son visage vers son érection. Lorsqu'il pressa son gland contre les lèvres closes, la belle comprit aussitôt ce qu'il attendait et une lutte désormais familière s'engagea derrière ses grands yeux. Était-elle vraiment prête à bafouer sa foi pour sa volonté d'ascension dans l'ordre? Son corps contre son ambition?

Ses aspirations prirent le dessus.

Dès qu'elle relâcha l'étau de sa fine mâchoire, le prince ploya le genou pour s'enfourner dans ce puits moite qu'aucune verge n'aurait jamais franchi sans tromperie. Il se sentit glisser contre sa langue rétive, frotter l'intérieur de ses joues. Conquérant! Son membre n'était entré que de la moitié de sa longueur lorsque la belle prêtresse gémit plaintivement, les larmes aux yeux, ses mains fines s'agrippant à ses cuisses nues comme une branche au bord d'un précipice, sans pour autant tenter de se retirer du sexe envahisseur.

Une paume plaquée à l'arrière du crâne de la prêtresse, le prince accentua ses efforts. La pression étranglant son gland lui envoyait onde après onde d'intense plaisir, mais il n'arrivait guère à faire progresser sa verge dans les tréfonds de la gorge d'Itana. Pourtant, malgré ses halètements qui allaient en s'amplifiant et les frissons qui parcouraient son corps, elle tenait bon.

Dans un élan de compassion qui l'étonna lui-même, à croire que la volonté farouche de cette superbe femme le rendait tendre, le prince se retira complètement.

— Je vous prie de m'excuser, votre sainteté, haleta-t-elle une fois libérée. Je ne peux pas prendre tout votre se... toute votre longueur.

Le prince lui adressa un sourire qu'il espérait rassurant - il n'était pas certain d'avoir jamais appris ce genre d'expression. Il connaissait un moyen qui faciliterait l'acceptation de l'entièreté de son membre.

— Pas d'inquiétude, ma fille, laissez-moi vous guider.

En la tenant délicatement par les épaules, Arlor fit allonger la prêtresse sur le banc de pierre tout proche. Placée sur le dos, il positionna sa tête juste sur le rebord de l'assise pour qu'elle bascule dans le vide. Ainsi orientée, l'ouverture de ses lèvres et les confins de sa gorge s'alignaient parfaitement. Pour ne rien gâcher, il avait une vue des plus délicieuse sur son corps. Les chairs de son imposante poitrine s'écoulaient sur les côtés, ne perdant qu'à peine de leur hauteur, et sa fente nue aux lèvres roses remontait haut entre le V de ses cuisses.

Le prince agrippa les gros seins offerts et envoya d'une seule traite sa verge au fond de sa gorge. Il n'y eut quasiment aucune résistance. Dans un mouvement de rameur lubrique, il recula son sexe puis, pressant la poitrine, tirant les tétons, se tracta vers l'avant, aussi profondément que possible. Encore, et encore. Le corps de la prêtresse s'arquait à chaque mouvement et il distinguait clairement les contours de sa gorge qui se soulevait chaque fois qu'il s'y enfonçait.

Dans un geste qui ajouta une décharge intense à la tempête de plaisir du Prince, la Haute-Prêtresse glissa sa main le long de sa fente nue, totalement offerte au regard. Les cuisses écartées, elle pressa fort deux doigts au sommet de ses grandes lèvres. Ses mouvements commencèrent lentement avant de s'accélérer, ses phalanges enfouies toujours plus entre les bords ourlés de son sexe.

Le Prince cala instinctivement le rythme de ses pénétrations sur la masturbation de la prêtresse. Cela eut l'effet escompté. Très vite, il sentit les tremblements le long de sa verge, puis les vit se propager le long des cuisses galbées de la femme sous lui. Elle allait jouir.

— Pas maintenant, murmura-t-il en lui saisissant brusquement les bras.

La haute-prêtresse grogna de frustration. Il ne lui en fallut pas plus. Il déchargea. Violement. Il sentit les muscles convulser autour de sa verge alors qu'un bruit de déglutition s'échappait des lèvres d'Itana à chaque gorgée de sperme qu'elle avalait.

Le plaisir fut si fulgurant qu'Arlor manqua de tomber à la renverse. Il se retira en titubant, pris le temps de reprendre son souffle, et le sol retrouva sa stabilité. La prêtresse s'était relevée et toussait, les larmes aux yeux et un filet de baves sur le menton. Les bras croisés sous ses seins, elle les pressaient involontairement vers l'avant.

— Cette fois, dit Arlor une fois sorti du voile de l'extase. Vous avez réussi la première épreuve.

Et comment! Par les Dieux, il y avait de quoi en redemander.

— Vous auriez pu... me laisser... finir... objecta-t-elle, ses yeux ancrés dans les siens, un froncement de sourcil durcissant ses traits.

Pour oser critiquer l'Unique, ses appétits devaient être à leur paroxysme.

— Vous avez une petite chatte très sensible, dit le Prince ce qui fit rougir aussitôt la prêtresse. Mais il n'est pas bon de mélanger les épreuves. Rappelez-moi le second serment!

— « Tu ne chercheras point les plaisirs. » cita-t-elle une fois encore sans hésitation.

La prêtresse vira encore plus cramoisie lorsqu'elle comprit les implications. Assise sur le banc de pierre, elle écarta aussitôt les cuisses et plaça ses mains derrière sa nuque, tout autant pour résister à l'envie de se caresser, que pour s'offrir au Prince... enfin, à l'Unique.

Arlor ne se fit pas prier. Il se lova entre les cuisses chaudes et aventura sa langue dans le sexe ouvert. Il lapa la fente, de haut en bas, prenant grand soin de ne toucher la perle engorgée de son clitoris qu'avec son souffle chaud pour pousser toujours plus loin sa frustration. Les halètements de la belle prêtresse s'accélérèrent aussitôt. Ses mains quittèrent sa nuque pour se saisir des cheveux du prince et elle accentua la pression de ses cuisses, enroulant presque ses jambes autour d'Arlor pour le guider vers la perle de son plaisir. Il ne se laissa pas faire, jouant de sa langue toujours à la lisière, de plus en plus près. Jamais assez. Le puits sombre de son étroit vagin pulsait en rythme comme un appel. Il y glissa un doigt, puis deux, ne dépassant qu'à peine l'entrée par peur de briser trop tôt l'hymen. L'humidité de sa chatte se répandit encore plus, huilant son visage.

N'y tenant plus, le prince arracha sa propre toge, agrippa la haute-prêtresse sous ses amples fesses. Il la redressa, plaqua son imposante poitrine contre son torse, sentit ses tétons dressés frotter contre les muscles saillants de ses pectoraux. Elle enlaça sa nuque pour ne pas basculer lorsqu'il se leva, la hissant avec lui.

Ils retinrent tous deux leur souffle.

Puis le prince s'enfonça d'un coup, tout au bout de ce ventre profond et affamé, par delà la faible barrière de l'hymen. La haute-prêtresse poussa un cri de plaisir aigu, tremblante à la sensation de ce tout premier pénis en elle.

— Han... votre sainteté! hurla-t-elle, languide. C'est.. c'est...

Il attrapa ses tétons entre ses lèvres, lécha leurs petites aréoles. La prêtresse se plaqua encore plus contre lui, comme pour l'étouffer dans sa large poitrine.

— Mordez... les!

Sa bouche aux lèvres pleines proche de son oreille, sa supplique ressemblait à un cri. Le prince ne s'attendait pas à une telle sauvagerie dans le désir de la prêtresse. Pourtant, cela n'était guère étonnant. Comment ne pas être déchainé après tant d'années privées de ce type de plaisir?

Il prit une pleine bouchée de la chair blanche de sa poitrine et serra la mâchoire. La prêtresse feula et lui rendit la pareille en plantant durement ses canines dans le gras de son épaule. La douleur le rendit plus brusque. Il lui tapait dans le fond du ventre. Soulevant tout son corps. Lorsqu'il sentit sa peau se perforer sous les assauts d'Itana, il lui saisit fermement la nuque comme on le ferait d'un chat sauvage, et l'arracha à sa prise. Elle lui sourit, presque ronronnante, un filet de sang à la commissure de ses lèvres. Par les Dieux que cette femme l'excitait!

— Tout va bien? s'enquit une femme derrière la porte en bois.

Le prince manqua de jurer. Il avait oublié de demander à ses imbéciles « d'associés » d'éloigner les visiteurs de la chapelle pour un temps. Et bien entendu, aucun n'avait eu la jugeote d'en prendre l'initiative. Par Orlan. Si cette curieuse entrait, elle risquait de mettre à mal son illusion en voyant en lui quelque chose de très différent que ce que voyait la prêtresse.

Sa panique reflua quelque peu lorsqu'il vit l'expression de panique de la haute-prêtresse. Elle venait de se rendre compte que s'oublier ainsi dans le plaisir manquait de discrétion et, une main plaquée contre sa bouche pour endiguer ses gémissements, elle craignait d'être découverte en plein blasphème.

Arlor sourit. Finalement, le risque valait bien la chandelle.

— Restez naturelle, murmura-t-il sans cesser ses va-et-vient. Le secret de l'ordre des Seraph ne doit pas s'ébruiter. Trouver une excuse pour la chasser.

La haute-prêtresse lui lança un regard paniqué.

— J'ai entendu crié! la voix qui parvenait étouffée par le battant de la porte tremblait quelque peu. Vous êtes sur que tout va bien? Je vais rentrer.

— Non! cria la prêtresse! (Elle écarquilla les yeux devant l'intensité de sa propre voix.) Je veux dire, tout va bien, ne vous inquiétez pas.

Arlor lui mordit l'autre sein. Aussi dangereux que soit ce petit jeu, il ne résistait pas à l'idée de la faire crier. Elle se trémoussa sous lui, ses halètements bloqués dans sa gorge.

— Sainte Itana, c'est bien vous?

La tension de la prêtresse monta d'un cran. Ce n'était pas une simple inconnue qui risquait de découvrir son petit secret. Arlor sentit les muscles de son vagin se contracter autour de sa verge, lui arrachant un grognement sourd. De mieux en mieux.

— Oui... Han... C'est... (Elle s'arrêta, inspirant un long gémissement par ses narines.) C'est bien moi, sainte Eava.

Le prince cessa tout mouvement.

— Que voulez. (Le prince la fouailla de son membre.) VOUS!

Le cri provoqué par la pénétration sonna comme un rugissement. Un long silence s'installa derrière le chambranle.

— Je... je suis désolé sainte Itana, je ne voulais pas vous mettre en colère... je pensais...

— Vous pensez trop et pas assez bien! cria la duchesse, sa croupe ondulant de plus en plus férocement contre le sexe princier. Partez, je suis en confession!

Oh, ce ton de commandement, il n'y avait rien de tel pour exciter encore plus le Prince.

— Oui, Sainte Itana, tout de suite Sainte Itana, Veuillez m'excuser sainte Itana.

La haute-prêtresse ne se souciait déjà plus que des sensations que le prince éveillait en elle. Elle avait glissé une main entre ses cuisses et écartait ses grandes lèvres pour permettre au pubis de cogner le clitoris exposé.

Arlor se regarda entrer et sortir. Son large membre paraissait presque disproportionné ainsi empalé dans la fine fente de ce sexe nu. Les grandes lèvres engorgées repoussées contre l'intérieure des cuisses, il avait l'impression délicieuse de fendre la prêtresse en deux. Il se demanda un instant jusqu'où il remontait en elle. Jusqu'au nombril? Au-dessus? Puis la question se dissipa. Quelle importance.

La haute-prêtresse cessa de faire le moindre bruit, et soudain, elle prit une inspiration brutale et puissante, son dos se décolla, sa bouche figée sur un cri muet comme si elle venait d'apercevoir Orlan lui-même au fond de la pièce.

Elle venait de jouir. Arlor suivit. Il se déchargea, encore plus puissamment que les deux premières fois, puisant dans le pouvoir de la racine-tension pour inonder ce sexe vierge. Il relâcha son étreinte. La prêtresse en profita pour se lover contre lui.

Après une longue pause uniquement peuplée de leur respiration saccadée, le prince prit le visage de la prêtresse entre ses mains.

— Votre seconde épreuve est un succès. Êtes-vous prêtes pour la dernière?

Ilana acquiesça.

— Qu'elle est le troisième serment? demanda-t-il.

— « Tu ne seras la femme que d'un seul homme, le prophète. »

Arlor plaça son pouce et son index entre ses lèvres et siffla. Deux fois. Le signal convenu. La haute-prêtresse le dévisageait, encore rosi de leurs violents ébats, les marques vives des morsures sur sa poitrine. Elle fronçait les sourcils, les interprétations possibles de la dernière épreuve défilant dans son esprit.

Lorsque deux hommes entrèrent dans la pièce en prenant soin de fermer la porte derrière eux. Elle comprit ce qui l'attendait.

***

(Suite et fin au chapitre 6 très bientôt, voir maintenant si vous venez du futur. Comme d'hab, commentaires plus que bienvenus, n'hésitez pas aussi à suivre mon compte pour être informé de nouveaux chapitres ou histoires, ékeçétéra, ékeçétéra.)

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