La nouvelle vie de Christine Ch. 22

BÊTA PUBLIQUE

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- Tournez-vous et penchez-vous mais laissez vos jambes bien écartées. Puis écartez vos fesses.

Christine obéit et montre ainsi son intimité à tous les hommes.

- Le deuxième, ce sera la chatte chaude et humide de Christine qui délivrera la récompense.

En même temps, le patron enfonce un puis deux doigts dans le vagin de son employée et commence des va-et-vient.

- C'est fou! S'exclame quelqu'un dans le groupe.

Mais Francis poursuit :

- Oui ça peut sembler dingue mais trouvez-moi une autre entreprise qui remerciera de cette façon ses employés qui respectent les délais. Ceux qui ne sont pas d'accord peuvent partir s'ils le veulent.

Mais personne dans le groupe ne bouge ou ne dit mot. Alors le patron continue :

- Donc, si vous passez les deux premiers mois avec succès, Christine s'assurera que vous restiez efficace le troisième mois en vous offrant son petit trou du cul bien serré. N'est-ce pas Christine?

Il enfonce un doigt dans le rectum de la femme qui gémit et répond :

- Oui Monsieur MULLER.

- Colin! Interpelle Francis en regardant l'homme au gilet vert.

- Ouais! Dit l'homme en ajustant le renflement dans son jean poussiéreux.

- Vous n'êtes pas timide? Demande Francis en retirant son doigt du cul de ma belle-mère tout en lui indiquant de se relever et de faire face au groupe.

- Vous me connaissez patron, je n'ai jamais été timide.

- Bien parce qu'en tant que chef d'équipe vous avez l'honneur d'être remercié en premier en totalité. Je veux que vous sachiez tous en regardant Colin, ce que vous pouvez gagner si votre travail est efficace.

Francis rit tout en poussant Christine vers l'avant. Elle se retrouve ainsi seule au milieu des huit hommes de l'entrepôt. Colin commence à dégrafer son jean tout en parlant à son patron :

- Vous savez Patron, Steve JARSON était un petit chef de merde, voilà pourquoi nous avons pris du retard. Mais je crois qu'avec cette chienne nous pouvons le rattraper.

- Oubliez JARSON maintenant. Il est parti. Tout ce qui me préoccupe c'est ce contrat. Et je veux vous motiver à le remplir.

- Ne vous inquiétez pas Patron, ça va aller. Déclare Colin.

Il baisse son jean devant Christine, la regarde dans les yeux puis lui dit :

- Allez, à genoux et donne-moi une partie de la récompense promise.

Ma belle-mère le regarde brièvement puis s'agenouille sur le sol en béton froid et poussiéreux.

Quelques cris d'encouragement des ouvriers fusent pour leur chef d'équipe. Christine baisse le boxer de Colin sur ses chevilles. Quand elle relève la tête, la bite frappe le dessus. Elle s'écarte légèrement puis regarde l'engin fixement.

Cette queue fait environ 18 centimètres de long sans être trop épaisse ce qui fait ressortir son gland qui semble anormalement gros par rapport au reste. Les poils de l'homme sont touffus, ses couilles sont grosses et pendent bien en dessous de sa bite. Elles sont surement remplies de sperme.

Christine regarde ce sexe pendant 20 secondes. Le silence inonde l'entrepôt, dix paires d'yeux regarde la femme qui regarde la bite de Colin puis les visages souriants des hommes qu'elle devrait satisfaire les mois suivants. Enfin, avec sa main droite, elle saisit le sexe dressé juste en dessous du gland et le serre avec ses doigts fins.

Elle baisse sa main afin de rouler le prépuce et dégager la tête de la bite. Le contremaître ferme ses yeux et commence à grimacer de plaisir quand elle se met à pomper la queue. Elle accélère jusqu'à faire gémir l'homme qui dit :

- Enfer! Cette chienne ne va pas avoir assez des bites de mes garçons pour la satisfaire. Dit l'homme en se penchant pour enlever ses bottes, son jean et son caleçon. Un fois complétement libre de ses mouvements, il revient vers le visage de Christine, la queue tendue.

Au moment où il approche, ma belle-mère tend instinctivement la main afin de continuer de faire ce que lui demande son patron. Mais le contremaître la contourne et se retrouve derrière elle, face au groupe d'ouvriers. Sans avertissement, il tire ses cheveux.

- Aieee! Arghhh! Crie Christine.

Puis elle gémit alors que son dos est arqué vers l'arrière et ses seins poussés en l'air.

Tandis qu'une main de l'homme tient fermement les cheveux, l'autre commence à errer sur la grosse poitrine de la femme. Colin roule les mamelons entre ses doigts puis il les tire durement. A la lecture des histoires précédentes, vous savez que ma belle-mère aime avoir ses tétons tirés. Ça la fait gémir et montre son excitation à ses partenaires.

- Cette salope aime que l'on joue avec ses mamelons les gars! Dit le contremaître en s'acharnant sur les tétons, arrachant ainsi d'autres gémissements de Christine.

Content de ce qu'il fait subir à cette femme et heureux d'avoir trouvé une de ses faiblesses, Colin prend sa queue dans sa main et commence à gifler le visage renversé de Christine. Il frappe le front, les joues, le nez, le menton et la bouche.

- Caresse ta chatte! Ordonne-t-il en relâchant ses cheveux et en se replaçant devant elle, les jambes bien écartées pour que ses collègues aient une bonne vue sur les doigts de Christine jouant avec son sexe.

- Maintenant, ouvre ta jolie bouche!

Ma belle-mère obéit et ouvre ses lèvres humides. Colin se précipite en avant et pousse sa bite dans la bouche accueillante. Les hommes derrière lui poussent un cri d'encouragement l'encourageant à continuer. Le contremaître prend la tête de Christine à deux mains et il commence à pilonner son visage comme s'il s'agissait d'une Chatte. Ma belle-mère se contente de serrer les lèvres sur la queue et le laisse utiliser sa bouche comme il le veut.

Sa respiration devient courte et rapide par le nez. Quand l'homme sort son engin, elle en profite pour prendre une grosse goulée d'air avant qu'il ne réinvestisse sa bouche. Pendant ce temps, une main entre ses jambes titille son clitoris puis elle glisse trois doigts de l'autre dans son vagin et commence à le pomper.

- Quelle grosse salope! je n'ai jamais vu une telle chienne. Déclare l'un des hommes en appuyant sur la bosse dans son jean.

Cette réflexion me fait regarder la ligne d'hommes. Tous ont une bosse dans leur pantalon et ils n'arrêtent pas de bouger d'un pied sur l'autre.

Après avoir donné encore sept ou huit coups brusques dans la gorge ouverte, Colin s'arrête, regarde autour de lui et dit en riant :

- Vous allez aimer cette bouche.

L'homme se dirige vers les palettes où ses hommes sont appuyés. Ceux-ci s'écartent et se mettent en arc de cercle. Colin regarde Christine encore à genoux où il l'a laissée et lui demande :

- Pourquoi ne continues-tu pas à caresser ta chatte?

- Désolé. Répond-elle rapidement.

Immédiatement, ses mains retournent sur son sexe. Sa réponse montre sa soumission. Je suis sûr qu'aucun des hommes présents, hormis Francis, ne savaient qu'elle l'était autant.

- Viens vers moi mais continue à travailler ta chatte. Demande Colin.

Ma belle-mère se lève maladroitement et s'approche du groupe d'hommes, les genoux légèrement pliés afin de pouvoir d'une main continuer à pomper son vagin tandis que l'autre titille son clitoris.

Je regarde et pense qu'il est très humiliant pour Christine de traverser l'entrepôt dans de la lingerie érotique, tout en se doigtant devant huit ouvriers dont un va bientôt la baiser devant tout le monde.

Dès qu'elle arrive vers le contremaître, celui-ci l'attrape par les cheveux et tire sa tête en bas vers sa bite. Une fois encore elle ouvre la bouche et accepte le membre dressé, tout en trébuchant et en tendant une main vers la taille de l'homme pour se retenir.

- Garde tes mains sur ta chatte! Aboie l'homme.

Il enfonce sa queue tout au fond de la gorge de ma belle-mère. Tous ses hommes regardent, avec un renflement évident dans leur pantalon. Ils savent que tous les lundis pendant un mois, ils pourront aussi profiter de la bouche de Christine.

- Sur le dos sur le tas de palettes! Ordonne Colin en la repoussant.

Ma belle-mère retrouve son équilibre et relève la jambe droite sur la palette. Puis, avec l'aide de Colin qui la pousse, elle monte, se retourne et s'allonge sur le dos.

Elle voit que sept paires d'yeux la regardent et que sept grands sourires s'affichent. Elle crie de surprise quand le contremaître prend ses jambes et l'attire vers lui.

Mais l'homme se rend compte qu'elle est trop haute.

- Merde! suce ma bite! Dit-il en la descendant du tas de palettes.

Puis il ajoute :

- Lad, Enlève une palette de ce tas.

Instantanément, l'ouvrier obéit à son chef et retire une couche du tas de palettes.

Une fois encore, Colin retire son membre de la bouche de Christine. Il la redresse et la pousse jusqu'à ce que son cul tape la pile de palettes. Elle met ses mains sur le dessus et se soulève puis glisse sur la palette du dessus jusqu'à ce que l'intérieur des genoux tape le coin en bois.

- Ahhhh! Crie-t-elle en sentant une paire de mains ou deux mains différentes se poser sur ses épaules pour l'obliger à s'allonger sur le dos. Elle lève les yeux et voit sept visages souriants. Puis elle regarde vers le bas et voit Colin s'approcher souriant et caressant sa bite.

Le contremaître prend chaque jambe de la femme et fait en sorte que chaque pied soit posé à plat sur les coins de la palette. Ensuite il écarte ses genoux, montrant ainsi pour la première fois, l'humidité de la fente intime de Christine. Des cris d'approbation retentissent autour de la palette. Colin soulève un peu les fesses de la femme et la tire vers lui si bien qu'elle se trouve dans une position un peu inconfortable. Ma belle-mère gémit de cette position.

Mais un instant plus tard, l'inconfortable position est oubliée quand la bite du contremaître ouvre avec facilité les lèvres de la chatte humide. L'homme continue à pousser et son engin disparait à l'intérieur du vagin détrempé. Quand ses hanches butent contre la femme, il s'arrête, la regarde, puis regardent ses hommes et dit :

- Oh les gars, je vous le dis, vous allez respecter les délais car la chatte de cette chienne vaut le coup.

Puis, sans finesse, sans penser à la position inconfortable de ma belle-mère, il commence à la marteler durement et rapidement. Un flux constant et régulier de gémissements et de râles sortant de la bouche de Christine remplit l'air avec les bruits de claquements des cuisses de Colin contre le cul féminin.

Le reste d'entre nous est silencieux en regardant et écoutant les « ah, oh, oh, arghh, ah, oh,ooohh... ».

Sans se reposer, Colin garde son rythme effréné, et enfonce sa queue encore et encore au plus profond de Christine. Quand je la regarde, je m'aperçois sur son orgasme est proche. Effectivement, moins de deux minutes plus tard, un long cri aigu suivi d'un grondement sort de sa bouche et de ses dents serrées. Sa tête se balance de droite à gauche alors que ses yeux roulent dans leur orbite. Son dos se soulève et sa chatte cherche à être encore pénétrée plus loin. Les jambes de ma belle-mère s'enroulent autour de Colin et le serrent pour l'attirer au plus profond d'elle. Par expérience je sais aussi que les parois de son vagin serrent la bite en elle.

- ARGHHHHHH, je jouiiiiiisssss. Crie-t-elle.

Tous les hommes ont commencé à la traiter de pute, salope, chienne, l'excitant encore plus, sa chatte se contractant sur la queue de l'homme.

- Putain les gars, cette chienne est une vraie salope avide de sexe. Dit Colin.

Alors que son orgasme est passé, les jambes de Christine retombent de chaque côté du contremaître qui dit alors :

- Remets tes pieds sur la palette.

Il attend qu'elle reprenne la position initiale puis il recommence à la baiser avec la même force et vitesse qu'avant. Mais cette fois ci les bruits de leurs corps qui s'entrechoquent sont composés de bruits humides de succions tellement la chatte de ma belle-mère est humide.

Colin n'est pas le premier et ne sera surement pas le dernier à faire des commentaires sur le comportement vicieux de ma belle-mère. Je devine que 80 % des quarante ou cinquante bites ayant utilisé la chatte de Christine en ont donné la même description.

- Hey Francis! Appelle Colin sans s'arrêter.

- Oui Colin? Répond le patron en se déplaçant pour voir le contremaître.

- Mes hommes souffrent de leur membre du bas si vous voyez ce que je veux dire. Etant donné qu'ils ont vu la marchandise que vous offrez, ne serait-il pas normal que cette salope voit ce qu'il l'attend ces prochains mois?

Il continue à pistonner la femme qui approche d'un nouvel orgasme.

- Ok les gars, vous pouvez décompresser pour être mieux mais vous ne touchez pas. Dit Francis.

Dans les dix secondes qui suivent, sept bites jaillissent des pantalons. Les hommes font tomber leur jean et leur boxer sur leurs chevilles. Le tableau de toutes ces queues est assez impressionnant. Tous les hommes de l'entrepôt sont très bien montés et je souris à l'idée que ma belle-mère allait être bien remplie au cours des prochains mois.

- Regarde toutes ces queues! Dit colin en continuant ses va-et-vient rapides.

Christine regarde à gauche et à droite les sept grosses bites dans les mains de leur propriétaire qui autrefois la respectaient. Elle dit dans un sanglot :

- Oh mon Dieu, elles sont tellement grosses.

Puis elle crie encore de jouissance tandis que le contremaître tient ses jambes écartées et continue de nourrir sa chatte avec de grands coups de reins.

Après qu'elle ait inondé sa bite une deuxième fois, Colin la ressort avec un gros « slurp ». Il dit :

- Je suis content que nous ayons de telles encouragements Francis. Je suis certain que nous allons respecter les délais jusqu'à la récompense finale.

Il saisit les jambes de Christine et les pousse vers sa tête en lui demandant de les tenir. Elle obéit et il dit alors :

- Tiens bien tes jambes contre ton corps salope afin que je puisse pénétrer ton petit cul serré.

Evidemment ma belle-mère respecte les ordres et offre bientôt un accès facile à son cul pour Colin.

Il y a quelques temps, j'aurais dit que Colin avait accès à son trou le plus privé. Mais je pense que ma belle-mère réalise aujourd'hui que plus rien de son corps n'est privé. Elle en a perdu le droit le jour où elle a pris ma bite dans sa bouche dans ma chambre.

Je la regarde, content et excité, alors qu'une autre bite se présente à l'entrée de son anus. Après un peu de pression de Colin, je vois sur le visage de Christine que le passage s'est ouvert et qu'elle a accepté la queue de l'homme.

- Oh mon Dieu oui. Gémit-elle.

Colin pousse toute la longueur de son sexe à l'intérieur de l'anus tout en se penchant en avant et en écrasant les jambes de la femme contre sa poitrine.

- Tu as un cul merveilleusement serré. Dit l'homme à Christine en la regardant entre les jambes, un sourire vicieux sur son visage.

- Merci Colin. Halète-t-elle.

- Veux-tu que je baise ton cul de salope maintenant?

Au ton qu'il prend, je me rends compte qu'il se complait dans l'autorité qu'il a maintenant sur Christine après quelques années à avoir suivi les ordres qui descendaient de son bureau plus haut.

- Oui s'il vous plaît Colin. Halète-t-elle encore.

Quelques hommes l'encouragent aussi :

- Vas-y, encule cette salope, dis-nous si elle vaut le coup.

Colin ne se la fait pas dire deux fois. Il ressort un peu son sexe puis il donne un grand coup de reins.

- Argggghhhhh! Hurle ma belle-mère.

Son premier coup de rein a enterré profondément sa bite entre les fesses de la femme.

- Arghhhhhhhhh! Crie-t-elle encore alors que le second coup de rein la laboure.

- Arggghhhhhhhhhhhhhhh! Hurle-t-elle pour la troisième fois alors que le contremaître plonge profondément sa bite dans le cul de Christine qui commence à jouir.

- OHHHH, Oui, oohhhhh, oui, oui ouiiiiii, je jouiiiis salaud. Crie ma belle-mère sous l'effet de l'orgasme alors que Colin ne faiblit pas.

Il continue de la baiser alors qu'elle jouit. Il est visible pour tous les hommes présents que la chatte déjà détrempée de ma belle-mère continue à couler de plus belle. Son jus s'échappe de ses petites lèvres et dévale les plis de sa chatte jusqu'à son cul où le contremaître continue à la pilonner.

Les sept hommes autour de Christine se branlent. Elle l'a vu et regarde chaque queue puis le visage de son propriétaire. Quelques ouvriers lui demandent si elle aime ce qu'elle voit. Elle hoche la tête et se mord les lèvres pendant que Colin continue à la sodomiser. Elle jette la tête en arrière et gémit à nouveau.

- Oh marde, je vais jouir à nouveau, oh mon Dieu, oh mon Dieuuuuuu. Crie-t-elle pour le deuxième orgasme qui traverse son corps dans les trois minutes.

Je ne pense pas que c'est du seulement à la bite de Colin car elle avait déjà été baisée par plus gros. Mais les russes qui l'avaient prise plus tôt, l'enculage brutal du contremaître, l'excitation de voir sept hommes se branler étaient surement la cause de ces orgasmes accélérés.

Colin donne l'impression de baiser la femme depuis plusieurs heures mais cette scène sordide ne dure que depuis 45 minutes. Le contremaître montre qu'il est bientôt prêt à se vider. Ses coups de reins ralentissent.

Donc ce n'est pas une surprise quand il dit à Christine qu'il va éjaculer dans son cul et que, comme une bonne pute elle le pria de se vider dans son rectum.

- Prends ça salope, ahhhhhhh! Dit-il en la pénétrant une dernière fois et en se vidant.

Il attend un petit moment d'être complétement vidé. Tout le monde s'est arrêté de parler jusqu'au moment où un des hommes dit qu'il va jouir. Alors Colin se retire du cul béant. Avant qu'il puisse dire quelque chose, Francis dit :

- Allez les gars, venez gicler sur elle. On dira qu'il s'agit d'une prime d'encouragement de début.

Il y a un moment d'excitation grandissant alors que les hommes se bousculent pour se présenter sur ma belle-mère. Les deux plus grands et plus jeunes se déplacent rapidement pour se positionner entres ses jambes. Ils prennent chacun l'une d'elle pour la positionner sur leur épaule. Les autres gars se positionnent vers sa tête et sur les côtés. Tous se branlent furieusement. Mais le plus vieux, qui avait indiqué être prêt à jouir, gicle son sperme sur le ventre de Christine.

Il s'éloigne pendant que les autres continuent à se masturber. Et sur une période de quatre à cinq minutes, une pluie de sperme chaud tombe sur le corps féminin. Les seins, le cou et le visage sont couverts et collants. Les deux jeunes garçons ont éjaculé sur sa chatte, son cul et ses cuisses. Après que chaque homme se soit libéré, ils se sont éloignés, laissant ma belle-mère allongée sur la palette, fatiguée et complétement humiliée et couverte de sperme.

Pendant que les hommes se rhabillent, Francis s'adressent à eux :

- Je considère que vous avez accepté notre accord?

Je n'ai pas compris pourquoi il leur demandait car ils l'étaient bien sûr.

- Je pense que chaque lundi matin, Christine descendra et attendra dans le petit bureau là-bas. Dit-il en montrant une petite pièce dans le coin.

- Ce sera plus discret. Maintenant c'est à vous de voir comment vous vous organisez. Je laisse le soin à Colin de régler les problèmes. Maintenant, si vous êtes d'accord, je vérifierai les chiffres dimanche et si tout va bien, Christine sera là lundi matin à 10 heures.

Francis se tourne vers moi, me fait un signe de tête vers la sortie.

- Viens salope! Dis-je à ma belle-mère qui finit de boutonner son chemisier sur son corps couvert de sperme et qui essuie son visage avec un chiffon trouvé sur le sol.

A suivre...

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans

Merci pour cette suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Hummmm

Encore un excellent chapitre

Merci

Rudy

trouchardtrouchardil y a plus de 6 ansAuteur
Héhé

Quand tu nous auras donné la suite de "sévices militaires" :p

Non je plaisante, la suite du chantage de Summer est en cours mais j'avoue que j'ai tendance à me disperser un peu.

elkoelkoil y a plus de 6 ans

toujours aussi bon et a quand la suite du chantage de summer ?

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