Ma Chère Soumise Ch. 01

Informations sur Récit
Une video transforme une femme modele en salope soumise.
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1

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 09/30/2022
Créé 04/17/2008
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Introduction : Voici le premier chapitre d'une série que ma petite amie et moi aimons beaucoup. S'il vous plait dites nous ce que vous en pensez a notre adresse mail.

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J'aurais du réaliser que c'était trop beau pour être vrai. Tout fonctionnait trop bien, trop facilement. Il devait forcement y avoir des conséquences. Mais bientôt vous verrez qu'il y en eu... C'est mon histoire...

Chapitre 1 - Ce que tu voulais...

Ma vie sexuelle avec Liz était devenue terne et ennuyante. Ma femme était tellement belle : elle avait 24 ans, mesurait 1 mètre soixante-quatre, pesait 52 kilos et possédait un bon 95C de poitrine, avec des jambes magnifique, un cul parfait et de long cheveux bruns légèrement frisées lui descendant jusqu'a la taille. Il n'y a vraiment pas d'autres mots pour décrire son visage fin que celui d'un ange. Son père était Italien et sa mère hollandaise. Sa peau couleur d'olive est parfaite. Des douces pupilles couleur azur, accentuées par ses longs cils, vous captivant par leur promesse de douce innocence. Son nez est fin, sans défauts. Et ses lèvres : large, généreuse et rouge. Lorsqu'elle se met à bouder, vous feriez tout ce qu'elle vous demande. Elle pourrait facilement créer des embouteillages si elle prenait des habits qui auraient mis en valeur ses formes, mais ce n'est pas son genre. Elle ne se trouve pas jolie et mes efforts pour l'en convaincre n'étaient pris que comme simple compliments obligatoire d'un tendre mari. Je vous avouerait que ce n'est pas son corps qui m'avait attirer le premier, non pas que j'ignorais sa beauté.

A l'époque, j'était fou d'amour d'une autre. Se que j'avais remarqué en premier chez elle, s'était sa gentillesse, sa façon de plaisanter et de rire, et sa capacité a s'entendre avec tout le monde. C'est ce qui m'avait captivé. La première fois que nous fîmes l'amour je faillit m'étrangler de surprise, m'apercevant qu'elle possédait tout les beautés d'une actrice porno. C'était comme une merveilleuse surprise qu'elle m'avait caché. Elle ne le montrait jamais, pensant qu'elle était bien plus simple que cela. Le mauvais coté des choses, c'est qu'elle ne faisait pas l'amour comme une actrice. C'était gentils, doux et affectueux, mais ce n'était jamais sensuel, érotique ou animal.

Nous étions ensemble depuis deux ans et j'étais plutôt heureux. Mais très bientôt j'obtenu un nouveau travail et une bonne baise commença a me manquer. La raison a cela était probablement due a mon patron, Paul, ou plus particulièrement à sa femme, Kathy.

Kathy avait un tempérament totalement diffèrent, elle était très provocatrice. Elle n'hésitait pas mettre son corps en valeur. Elle faisait bien 1m79, bien qu'en faisant toujours 81 avec ses chaussures a talons. Un tour de poitrine d'au moins 95 D, si ce n'est pas 100. De longues jambes sensuels, des cheveux rouge feu qui tombait dans son dos comme d'une rivière. Kathy avait des yeux verts humide de chatte en chaleur. Tout le contraire de Liz. Ces lèvres n'était pas aussi généreuse que celle de Liz mais elle était très attirante. Je ne pense pas les avoirs jamais vus sans cette effet de brillance donnée par son vernis de rouge a lèvres, donnant une irrésistible envie de les lécher. Elle avait quelques taches de rousseur autour de ses yeux et de son petit nez. L'effet de rougissement sur ses joues était dû a son maquillage qu'elle semblait utiliser parfaitement chaque jours. Utilisant sagement de son mascara, de son stick a cils, même les contours et la couleur de ses lèvres était maquillées, l'un complémentant l'autre. Sa tenue vestimentaire était constamment excitante, moulant ses formes sans gènes.

Elle se déplaçait comme une sirène dans l'eau, avec élégance et sans gestes brusques. Elle aimait les regards des hommes sur elle et se mettait même a jouer avec eux. Un frémissement exagéré par ici, un ajustement de sa jupe par la. Son jeu favoris était de vous regarder dans les yeux, entre-ouvrir sa bouche et vous faire apercevoir sa petite langue. Si elle restait dans une salle plus de 5 minutes, je peut vous garantir que tout les hommes de la pièce avaient leurs pantalons déformés. Et, je savais qu'elle se donnait fréquemment a Paul car je les avait surpris un jour au boulot.

Ce fut ce jour la que je découvris que ces visite durant l'heure du repas n'avais pas pour seul motif de manger avec lui. Je le vis se tenir prés de son bureau. Elle était a genou devant lui, son haut défais jusqu'a ses hanches, et son sexe en bouche. Elle le suçait comme si c'était ELLE qui y prenait du plaisir, ce qui était probable. Son membre mesurait au moins 22 centimètres et demi, au moins 4 centimètres plus grand que moi et bien plus large, ce qui était proportionné car Paul faisait 1 mètre quatre-vingt, presque 90 kilos, soit 6 centimètres de plus que mois et 15 kilo de plus. Il était imposant et charismatique et je comprenait facilement pourquoi il était avec une fille aussi canon. Ma femme acceptait aussi de me sucer, mais elle ne le faisait pas très bien. Je n'avais jamais joui dans sa bouche et je doutais qu'elle l'accepterais si je le voulais. Sa chatte douche et étroite me satisfaisait suffisamment cependant. Quoi qu'il en soit, Paul me fit un clin d'œil discrètement alors que Kathy avalait son membre en gémissant et, ce que je m'aperçut en partant, se doigtant, 3 doigts profondément ancrée en elle.

Un après-midi après que Kathy ait quittée le bureau, j'ai demandé a Paul comment il arrivait à la supporter. La façon dont elle s'habillait et sa façon de chauffer tout son entourage, n'était-il pas inquiet de la voir aller vers un autre? Paul se mit a rire et me dit que Kathy ne le tromperais jamais, parce qu'elle avait besoin de son membre. En faite, il adorais l'idée de savoir tout ses hommes fantasmer sur elle en vain. Je lui demanda alors "Et si une queue plus grosse se montrait?"

Il se mit a rire de nouveau. "Il y aura toujours une queue plus grosse, Jim. Le secret, c'est de les mettre dans un tel état d'excitation, et de les combler tellement chaque jours que, pour elles, c'est ton sexe qu'elles veulent parce que c'est une partie de toi." Il restât silencieux pendant un temps avant de me demander '' N'en est-il pas ainsi entre toi et Liz?

"Non." Répondis-je. "Je veux dire, oui et non. Liz ne me tromperais jamais mais pas a cause de mon membre. Sa serait tellement bien. Je ne dit pas que je n'ai rien dans le pantalon, mais la mienne n'est pas aussi grosse que ces gars sur les vidéos... ou que la tienne. On s'aime beaucoup tout les deux, mais j'aimerais tellement si elle pouvait s'habiller un peu plus sensuellement et si elle assurait un peu plus au lit, mais cela ne lui ressemblerais pas."

Paul sourit, "Reste un peu plus longtemps après le staff, Jim. Je te montrerais quelque chose que tu risque d'apprécier."

Dès que l'heure de débauche sonnât, je me dirigeât jusqu'a son bureau, et il éteignit les lumières et déclenchât la télévision a l'aide d'une télécommande. Nous praires une chaise et regardâmes Ma Tendre Dame. Je n'arrivais pas a croire qu'il me faisait regarder ce film en entier. Je n'arrêtais pas de lui demander ce qu'il y avait d'intéressant mais Paul ne répondais rien et m'incitait a regarder encore, comme si quelque chose d'inattendu allait bientôt se produire. Puis se fut la fin. Il rallumât les lumières alors que je lui demandât d'une voix sèche. "Bon, et alors?"

Il arborait un grand sourire. "Et bien... comment te sent-tu?"

J'y réfléchie un instant avant de réaliser. "Légèrement excité."

J'était maintenant confus. Paul attrapât une autre vidéo et m'assurât que celle-ci serrait bien plus courte. Il laissât les lumières allumée. Nous regardâmes la vidéo d'une bibliothécaire coincée et obstinée qui rencontre un homme grand et charmant qui la séduit et la baise comme une chienne en manque. Elle le suppliât en regardant sa queue, elle le suçât, la prise dans sa chatte avant que l'homme ne s'introduise dans son cul. Elle était tellement bruyante lorsqu'il la chevauchât, beuglant des "Baise moi! Prend moi comme une putain! Je suis ta chienne!"

La vidéo n'avait durée qu'une demi heure. J'aurais aimé que la durée de cette dernière et de la précédente eu été échangés.

"Et maintenant, comment te sens-tu?"Demandât-il.

"Gonflé a bloc, qu'est ce que tu crois?"

"Prend Ma Tendre Dame et regarde la avec ta femme. La deuxième video est en faite ensellé dans la première. Toute deux on le même thème. Une femme est transformée. Ma Tendre Dame permet d'améliorer ses désirs, s'apprécier et aimer son homme. L'autre augmente son désir sexuel, sa passion et la transforme également en esclave sexuel a celui qui satisfait ses désirs."

Je n'arrivais pas a croire ce que j'entendais. "Et tout ce qu'elle a faire pour changer, c'est de regarder cette vidéo?"

"Et bien, ce n'est pas aussi simple," Répliquât-il."Elle doit la regarder respectivement. Les changements viendrons progressivement mais tu verras les résultats au bouts d'une semaine, je te le garantis. C'est le temps que sa a pris pour Kathy."

"Kathy???"

"Ouais. Elle était aussi conservatrice que Liz."

"Mais comment je vais lui faire regarder constamment?"

"Cette idée est également dans la cassette. Si tu peut lui faire regarder deux ou trois fois alors elle utilisera son temps libre soit a te faire l'amour, soit a regarder la vidéo. Dans les deux cas tu est gagnant."

Je remercias Paul a plusieurs reprise et ramenât la vidéo pour la regarder avec Liz. La première nuit nous firent l'amour avant d'aller nous coucher. Il n'y eu évidemment aucun changement. Je me convainquit qu'il n'y en aurait jamais, mais j'espérais secrètement que quelques parties de la video allait marcher. La nuit d'après, je la remis en prétextant qu'il n'y avait rien d'intéressant sur les chaines actuellement."

Elle s'assit a mes cotés et je vis qu'elle modifiais sa position a chaque fois qu'Eliza faisait un pas de plus vers son titre de Dame. Etais-ce intentionnel ou bien était-ce a ces endroits que Paul avait rajoutés les videos de sexe subliminal que nous avions regardé? Sa paraissait sensé.

De retour dans la chambre a couché, je fis exprès de ne rien commencer. Alors que nous étions couché, Elle se collât a moi, comme a l'accoutumé, mais ses mains semblèrent tomber suros membre, alors qu'il était coincé dans mon pyjama. Nous restâmes silencieux pendant quelques temps. Je fis semblant de m'endormir. Rapidement ses doigts s'entourèrent sur ma bite et sa main me serra gentiment. Mon sexe tremblât puis grossit. Je tint mes résolutions et ne fit aucun mouvement. Elle poussât sa chance et commençât a me masturber. Lorsque je me tournas finalement face a elle, elle se rapprochât de mon visage pour m'embrasser. Je la serrât contre moi, pressant mon sexe contre elle. Ses bras m'entourèrent et son bassin se frottât a moi gentiment. Mon pantalon de pyjama disparut rapidement et Liz se mis sur moi, me faisant entrer en elle avec expertise. Nous commencions avec notre rythme habituelle. Liz était magnifique avec ses cheveux flottant contre ses épaules et ses seins retenues dans sa nuisette. Je détestes ces soutiens gorges serrés qu'elle portait toujours, pressant ses seins contre elle. Elle posât ses mains sur mon torse afin d'amplifier le mouvement. Etait-elle plus attentionnée que les autres soirs? J'espérais tellement voir un indice me prouvant que cette vidéo marcherais que chacun de ses mouvements me semblait être des signes. Ses gémissements semblait plus forts, ses mouvements accentués, son visage en manque. Je tint plus longtemps qu'a mon habitude a cause de toute ces pensées. Elle jouissait trois fois avant que je ne me vide en elle.

Elle m'embrassât amoureusement après s'être nettoyée et être revenu au lit. "Tu étais superbe ce soir mon cœur." M'annonçât-elle. Elle repris sa position, logée contre mon torse, sa main cette fois contre ma poitrine.

Le jour suivant je l'appelât depuis le boulot dans la matinée. Elle nettoyait la maison mais je pouvais entendre la cassette tourner au fond. Lorsque je fut de retour a la maison elle me surprise avec un dinée au chandelle. Lorsque je lui demandât pour quelle raison, elle me demandât pourquoi il devrait y avoir une raison.

Elle sortit des fraises et de la crème chantilly pour le dessert et me surpris de nouveau en s'asseyant sur mes cuisses pour apporter la nourriture a ma bouche. Lorsqu'elle pris une fraise enrobée de chantilly et l'apportât a sa bouche, léchant la crème avant de l'engouffrer sensuellement entre ses lèvres, je ne tint plus. Je la pris et l'amenât en haut jusqu'a notre chambre, la jetant sur le lit avant de l'attaquer. Elle rigolât bêtement lorsque je me dépêchât de lui retirer sa robe.

"Qu'est ce que j'ai dit?" Me taquinât-elle. J'était resté tendre les deux nuits précédentes, mais le petit spectacle m'avait vaincu. J'étais sous le coup d'une pulsion. Je me mis a téter ses seins avec force, les

serrant fortement.

"Ohh, Qu'est ce qui te prend cette nuit?" me demandât-elle, mais elle retirait mon pantalon avec la même urgence que j'avais. Je l'aidât a me défaire de mon pantalon avant de glisser jusqu'a sa chatte qui était trempée. Je ne lui fit pas l'amour. Cette nuit la, je la baisât. Elle ne protestât pas ni tentât de me calmer. Elle m'encourageât et fit de son mieux pour suivre le rythme. "Oh oui, Jim c'est Boon..." miaulât-elle. "Sa ne te ressemble pas."

"Tu préfère que j'arrête?" Demandais-je.

"Non..." Soufflât-elle."C'est juste je ne m'atte...m'attendais...uuugggghhhh"

L'entendre jouir aussi fortement me forçat a la baiser encore plus fort.

"Jim, ralentit." Haletât-elle. "Je viens juste de jouir. Je suis sens...sensi...oh...Oh....OH....PUTAAAIIN!"

Elle fut terrassée par un nouvelle orgasme, avant que poser sa main sur sa bouche, réalisant ce qu'elle avait dit. "Je-Je suis désolée."

Je ralentit afin de la laisser récupérer de sa jouissance et lui sourit. "C'est pas grave si tu jure de plaisir." Lui dis-je. "Sa me prouve que je fais du bon boulot."

"Jim, tu fais un exilent boulot. Tu est sur que tu n'est pas vexé?

"Ce 'Putain' était sans doute le meilleur compliment que tu m'ai donné au lit." Remarquais-je.

"L'orgasme a du être intense."

Elle acquiesçât, souriante. "Immense."

"Et bien, voyons si je peut t'en donner un autre, d'accord?

Son visage se crispât légèrement. "Oh Jim, je ne sais pas si je pourrais en...UGH!"

Je ne lui laissât pas le temps de finir, la ramonant virilement. Sa tête se balançât en arrière et ses doigts se crispèrent sur mes fesses. Je me mis a embrasser et lécher son cou tout en continuant mes

vas et viens.

"Mon Dieu! Jim, je t'aime tellement!!" geignait-elle.

"Je t'aime aussi, mon cœur." Lui assurais-je. Je nous fit tourner sur le lit pour qu'elle se mette sur moi puis, pris par une envie machiavélique, je m'arrêtât mes mouvements de bassin.

Elle me regardât, paniquée, restant immobile pendant un instant. Puis elle commença a faire bouger ses hanches presque violemment. "Oh Oui, Oui , Oh Oui" chantât-elle. Si j'avais encore des doutes concernant la vidéo, ils disparurent instantanément. Je ne l'avais jamais vu ainsi. Elle semblait possédée. Elle avait vraiment besoin de jouir et comptait utiliser mon corps pour y parvenir. Elle gémissait, pantelait. Son corps brillait de sa sueur. Ses yeux était remplie de désir."Fr-Jim, pitié, aide-moi." m'implorât-elle."J'y suis presque..."

Je pris ses hanches et me mit a la prendre aussi fortement et rapidement que je le put.

"Ho Putain Oui, Oui OUI!" Hurlât-elle, sans s'arrêter de me baiser. "Putain, Putain! PUTAIN!"

Elle ne pus continuer lorsque sont orgasme la terrassât, l'empêchant de bouger. Son corps s'écroulât contre moi, son visage disparaissant contre mon épaule. Chaque de ses inspirations profonde pressant sa poitrine contre mon torse. Finalement, elle se relevât pour me regarder, fatiguée.

"Je vais te servir des fraises plus souvent." Sourit-elle.

Nous furent prit d'un fou rire.

Après s'être reposés dans les bras de l'autre pendant près d'une demi heure, Liz se levât et rapportât les fraises a la chantilly. Nous mangions, en continuant de parler avant de se déposer de la chantilly sur nos corps avant de le lécher. Nous avons fait l'amour encore deux fois avant de nous coucher. 'Putain' était maintenant devenue sa façon d'annoncer son orgasme imminent. La parole n'avait jamais était courante dans notre relation. J'aimais la tournure que prenait les événements.

Le jour suivant elle me sautât dessus dès mon arrivée, vêtu uniquement de ses sous-vêtements.

"Je n'ai pas arrêtée de penser a toi toute la journée." affirmât-elle en se démenant pour me retirer mes vêtements. "J'imaginais ton corps et ta queue. J'ai vraiment besoin d'une bonne bourre."

"Une quoi?" Dis-je, interloquée. Je ne l'avais jamais entendu dire ca.

Nous n'avons pas pu aller a la chambre. Elle se pressât de reculer en retirant ses sous-vêtements après avoir ouvert la braguette de mon pantalon. Je me pressais de retirer le reste lorsque nous parvinrent a l'escalier. Elle réussit a monter quelque marche avant que je perde mon équilibre et tombe sur elle, mon visage touchant sa toison humide.

Elle me traitât de maladroit et éclatât de rire pendant quelques secondes avant que ses yeux s'écarquillent et que ses mains atteigne mes cheveux, tandis que ma langue commença a s'occuper d'elle. Elle m'avait toujours empêché de faire cela dans le passé, mais cette fois elle pressât ma tête contre son vagin. "Oh Jim, qu'est ce que tu me fais?!" gémissait-elle.

Ses jambes s'écartèrent, m'invitant a continuer. Mes mains parcourrais son cul et ses jambes. Je goutais le jus intime de ma femme pour la première fois, et je comptais bien le savourer.

"Ohhh, ce n'est pas bien." Susurrât-elle. "Pas... correct..."

"Correct? Tu veux du correct?"

Je plongeait deux doigts dans sa chatte. Un moment plus tard un autre pénétrât son derrière, qui se soulevât lorsque son corps s'arquât. Je continuais de la dévorer.

"PUUTAAAIINN!" S'égosillât-elle, si puissamment que je crus que les voisins pourrais l'entendre. Son corps tremblât pendant quelques minutes. Puis elle se pressât contre moi fermement. "En moi. Prend moi. Oh, vas y Jim, baise moi!"

Je ne me le fis pas répéter. Je l'ai baisée sur les escalier. Je savourais cette instant magique, cette femme ravissante se faire baiser dans les escalier comme une star du porno.

"Comme sa! Baise moi! Oh Oui! C'est boonn! Ohhh, ta queue est si bonne!"

C'était ma star porno. J'était au ange. Sa ne faisait pas une semaine et j'avais la femme de mes rêves. Tout sa m'excitait beaucoup trop. Je me déversât en elle. Me sentant me répandre en elle, elle m'entourât de ses cuisses.

"Jouit pour moi, chérie!" Roucoulât-elle. "J'adore te sentir venir en moi. Sa me montre que je te plait.

Je la regardât. "Pourtant je n'ai jamais jouit en toi."

Elle souriait. "C'est diffèrent. Nous n'avions pas baisés auparavant.

Mes yeux s'écarquillèrent, elle cillât.

"Ne t'en fais pas. Je ne suis pas naïve. Je connais la différence. Mais nous allons aussi faire l'amour de temps en temps, n'est ce pas?"

Je l'embrassât amoureusement. "Je te le promet."

"Par Saint Jove, je pense qu'elle a saisit!" Annonçât la télé. Je me tournât pour voir la cassette continuer de tourner.

Nous avons mangés rapidement, puis avons regarder la cassette. J'était surprit qu'elle ne fasse pas attention au fait qu'elle la regardait a présent constamment. Je m'en fichait autant qu'elle, d'ailleurs, connaissant ses effets sur elle. Elle n'y faisait même plus attention, et elle continuait de la regarder distraitement, même si elle était sur mes cuisses, ma queue incrusté en elle. Je ne pouvais pas bien voir la vidéo, son corps me bloquant la vue, mais j'en m'en fichais. Je me contentais de m'occuper de ses seins et d'apprécier l'instant présent.

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