La nouvelle vie de Christine Ch. 22

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Il faut qu'elle encourage les ouvriers.
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Partie 22 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d'une mère de famille. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire .

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur "MILowner"

************************

7 mois après le début de la nouvelle carrière de Christine, je reçois un appel de Francis, son patron, me demandant de passer le voir. Je lui réponds affirmativement en pensant à tous les chèques qui tombent tous les mois grâce aux attributs de ma belle-mère. Donc, dans l'après-midi je me dirige vers son entreprise et à 14h00 je frappe à la porte de son bureau.

- Bonjour, heureux de vous voir. Asseyez-vous. Me dit-il en désignant un fauteuil en face de son bureau.

- Y'a-t-il un problème Francis? J'espère que Christine est toujours aussi performante et fait gagner beaucoup d'argent à l'entreprise. Demandé-je avec un grand sourire sur le visage.

Il rigole et me confirme qu'elle est toujours un atout pour l'entreprise :

- Christine travaille très bien. D'ailleurs elle est juste en train de régler une grosse affaire. Vous savez que les Russes sont très dures en affaire. C'est pourquoi je remercie Dieu d'avoir Christine pour faciliter les négociations difficiles.

- Y'a-t-il une chance que je la voie travailler? Je n'ai plus beaucoup l'opportunité de la faire.

Francis hoche la tête. Il ne peut nier que c'est grâce à moi que Christine est devenue une salope pour sa clientèle. Il tend la main vers la télécommande d'un grand téléviseur à led sur le mur. Il allume l'écran et le grand bureau de Christine apparaît ainsi que de grands cris bruyants de plaisir. Ma belle-mère se retrouve actuellement sur le canapé avec la grosse bite d'un homme assez grand dans sa chatte. Assis sur un tabouret, complètement nu, sa queue en érection, se trouve un homme un peu plus petit.

- Le plus grand, celui qui baise Christine est Artur. Et celui sur le tabouret se prénomme Vadim. Ce sont tous les deux des hommes très riches et très puissants en Russie. Et je crois qu'avec l'aide de votre belle-mère, nous allons conclure un partenariat très lucratif. Mais ce n'est pas pour cela que je vous ai fait venir.

Ces derniers mots détournent mon regard de ma soumise qui fait ce qu'elle sait faire le mieux en se faisant baiser. Je demande :

- D'accord. Que se passe-t-il?

- J'ai dû licencier Etienne JARSON. Cet imbécile s'est fait détester de tout son service. Il était trop arrogant et coléreux. Si bien qu'aujourd'hui nous risquons de perdre un bon contrat. Christine avait passé une journée à l'obtenir mais Etienne a complètement salopé le boulot. Nous n'allons pas pouvoir respecter les délais, car les ouvriers ne réussiront pas à les tenir.

- D'accord. Et en quoi cela me concerne-t-il Francis? Je ne comprends pas. Dis-je.

- Est-ce que je pourrais utiliser Christine pour motiver le personnel de ce service et les faire travailler pour qu'ils respectent les délais. Elle pourrait répondre à quelques besoins. Demande-t-il un peu désespéré.

- Quel avantage vais-je en retirer? Vous n'allez pas gagner plus d'argent. Comment vais-je être récompensé?

Je pose la question tout en regardant la télévision dans laquelle ma belle-mère se fait embrocher par la queue du petit Russe.

- Je pense que je pourrais calculer un pourcentage supplémentaire si les délais sont respectés. Déclare Francis.

- Je pense que deux pour cent supplémentaires sur ce que vous fait gagner Christine reste raisonnable. Dis-je tout regardant ma belle-mère avoir un orgasme.

- Marché conclu. Dit Francis avec satisfaction.

Je lui demande alors :

- Quand et comment allez-vous présenter au personnel cette proposition?

- Je pense le faire ce soir lors du changement de poste. Il y aura moins de personnel. Je leur expliquerai et je pense que Christine devrait leur faire une petite démonstration de ce qu'elle peut leur offrir. Il va y avoir des négociations mais je suis préparé.

- des négociations? Comment ça? Demandé-je.

- La date limite n'est pas avant Noël mais nous avons beaucoup de retard. Alors le personnel pourrait vouloir des séances d'incitation régulières si je veux qu'ils restent motivés pour les quatre ou cinq prochains mois. Répond Francis.

- D'accord. Donc pour chaque séance supplémentaire que devra accomplir ma belle-mère, je m'attends à une belle gratification dans l'enveloppe mensuelle.

Je souris alors que Francis hoche la tête en riant pour me signifier qu'il a compris.

- Une autre chose : J'aimerai rester là pour voir la réunion et les personnes dont Christine devra s'occuper. Y'a-t-il un endroit où je pourrai regarder ça tranquillement? Dis-je en pointant du doigt l'écran de télévision.

-Oui, vous pouvez utiliser le bureau de Daniel, il n'est pas là aujourd'hui. Si vous avez besoin de moi, je ne suis pas loin. Je vais préparer un accord par écrit pour le personnel de l'entrepôt. Dit-il juste avant que je ne me prépare à sortir de son bureau.

Mais je m'arrête à la porte, alors que j'ai une dernière doléance :

- Francis, Ne dites pas à Christine que je suis là jusqu'au moment où nous irons à la réunion.

- D'accord. Dit-il.

Je sors de son bureau et me dirige vers celui de Daniel pour finir de regarder ma belle-mère en action.

Je ne sais pas depuis combien de temps Christine était avec les deux russes avant que je n'arrive à 14 heures mais je la regardai jusqu'à 15 heures 15. Elle saisit la bite du plus grand pour la positionner à l'entrée de son cul puis elle s'assit complétement dessus. Elle se pencha en arrière sur la poitrine poilue de l'homme et, sans qu'on lui demande, elle écarta les jambes et demanda à l'autre russe de pénétrer sa chatte.

L'homme n'eut pas besoin qu'on lui dise deux fois. Il glissa facilement sa queue dans le sexe bien utilisé et bien lubrifié de ma belle-mère. Elle se trouva ainsi prise en sandwich entre les deux hommes. Vers 15 heures 15, son cul et sa chatte ayant remplis leur office, Christine est accroupie entre ses partenaires pour nettoyer leur bite. Le sperme coule de ses deux trous et tombe sur le sol.

Une fois que leurs sexes semblent bien nettoyer, les hommes parlent en russe et se rapproche de leurs vêtements. Comme Christine, je les regarde s'habiller puis se diriger vers la sortie. Ma belle-mère, sur ses jambes un peu flageolantes, se rapproche de la porte et dit ce qu'elle a l'habitude de dire aux clients de l'entreprise :

- Merci d'avoir utilisé ma bouche, ma chatte et mon cul avec vos grosses bites. Ça fait partie du service.

Elle reste droite près de la porte donnant l'impression que c'est normal pour elle au bout de sept mois.

Quand le dernier russe, Vadim, s'éloigne, il se retourne et dit en anglais avec un fort accent russe :

- Espèce de sale pute, grosse trainée.

Puis il s'en va, laissant ma belle-mère immobile près de la porte. Elle semble indifférente à ces propos. Elle est habituée maintenant à être utilisée et humiliée par des hommes puissants et riches. Elle a déjà entendu pire.

Je la regarde se nettoyer et prendre une douche, puis se revêtir d'une des nombreuses tenues que lui ont achetées les hommes de l'entreprise. Ce matin, elle avait quitté la maison en pantalon et chemisier. Là, elle enfile une petite culotte blanche en dentelle, ouverte à l'entrejambe, qui ne cache rien de ses petites lèvres encore gonflées. Ensuite, elle met des bas et les fixe au porte-jarretelles. Elle monte sur ses talons hauts. Le soutien-gorge qu'elle prend est en dentelle. Il est conçu pour laisser voir un peu de l'auréole sombre autour de ses mamelons. Elle arrange ses cheveux et son maquillage dans le miroir et la voilà redevenue une vraie salope à baiser.

Elle a ensuite quitté la pièce. Je cherche autour de moi une télécommande comme celle de Francis. Je la trouve sur un classeur dans le coin du bureau de Daniel. Je suis maintenant en mesure de faire défiler les différentes caméras installées par l'ami de Francis et ses deux employés. Je vois dans un bureau, Francis qui rigole avec les deux russes. Évidemment les prestations de Christine avaient été bien perçues.

J'ai finalement trouvé ma belle-mère dans la zone d'attente se situant près de l'ascenseur.

Elle est penchée sur un tabouret, se tenant sur les avant-bras, ses seins tombant, son cul face à l'ascenseur. J'aime ce qu'ils lui font faire. Je l'ai vu plusieurs fois dans cette position lorsque je me connecte aux caméras. Elle doit rester dans cette position jusqu'à ce qu'elle soit appelée par un des administrateurs ou gestionnaires, ou éventuellement par un client.

Environ une heure plus tard, l'ascenseur s'ouvre et Robert WILFRIED en sort suivi de Michel FAURE.

- Même après sept mois, on ne peut pas s'ennuyer d'une vue comme celle-là lorsqu'on arrive ici. Qu'en penses-tu Michel? Dit Robert WILFRIED en riant, son collègue se joignant à lui et disant en approchant de Christine.

- C'est impossible Robert

Il se place derrière ma belle-mère, et rentre trois doigts dans sa chatte par l'ouverture de la culotte.

- Tu sors de réunion avec des clients salope? Dit-il en la regardant et pistonnant sa chatte avec trois doigts

- Oui Monsieur FAURE, c'est ce que je viens de faire. Dit-elle, les dents serrées alors qu'il continue à la fourailler.

L'homme enlève sa main, la porte à son nez pour la sentir, puis tourne autour de Christine et la pousse vers sa bouche pour qu'elle la nettoie. Cela fait, il sourit, prend un des tétons pour le pincer avant de s'éloigner en riant et en disant :

- Continue de faire du bon boulot.

Une fois de plus, ma belle-mère est laissée ainsi, complètement exposée, montrée comme un trophée ou un objet de décoration. Elle attend, obéissante, d'être appelée ou de se laisser tripoter par celui qui voulait. J'ai entendu les deux hommes entrer dans leur bureau. Vingt minutes plus tard, j'entends Francis dans le couloir. Il vient avec les deux russes Artur et Vadim pour montrer où attend Christine.

Je regarde la femme tandis que les voix approchent du bout du couloir. Quand elles arrivent, Christine regarde les hommes et leur sourit. Ils continuent d'avancer jusqu'à ce qu'ils soient debout à côté d'elle. Francis dit aux deux russes :

- Bien, Merci Artur et Vadim d'avoir conclu un contrat qui nous promet un partenariat très lucratif.

Il s'arrête de parler pour toucher le sein droit de Christine et pincer entre le pouce et l'index le téton afin de la faire gémir. Puis il ajoute en souriant :

- Et si à l'avenir, il y a quelque chose que nous pouvons faire pour vous, n'hésitez pas à nous appeler.

- Votre hospitalité a été des plus généreuses. Nous sommes contents de l'avoir découvert. Dit Artur en souriant à Christine.

Il tend la main vers la poitrine offerte et la caresse doucement avant de se diriger vers l'ascenseur, son associé à la remorque.

Une fois qu'ils sont partis, Francis s'approche de ma belle-mère avec un large sourire sur son visage. Aussitôt qu'il est à portée, il donne une grosse claque sur son cul.

- Aiiiieeee! Crie-t-elle en reculant après cette punition inattendue.

Il l'attrape par les cheveux et la force à se redresser. Les gros seins ballottent. Il se penche à son oreille et lui dit :

- Tu es une bonne pute Christine, une autre affaire dans le sac, merci à ta chatte.

Il la relâche pour qu'elle puisse reprendre sa position.

- Merci Monsieur MULLER. Dit-elle.

Comme ma belle-mère ne sait pas que je suis sur les lieux, il est bon pour moi de voir comment elle réagit et comment elle est traitée. Bien sûr, à la maison, je peux me connecter au système de caméras. Mais je ne peux pas m'asseoir toute la journée pour regarder même si j'aime bien.

Je regarde l'horloge et je commence à me lasser d'attendre. Plus rien ne se passe avec Christine alors qu'elle attend comme une pute.

A 17h00, je remarque que ma belle-mère commence à s'agiter et n'arrête pas de regarder l'horloge. Je me demande si elle est obligée de rester là tant qu'on ne lui dit pas le contraire. Çà serait logique. Donc je présume, qu'elle se demande pourquoi elle est encore là, abandonnée. Au bout de dix minutes, elle est encore plus agitée et ce n'est qu'après avoir entendu une porte s'ouvrir qu'elle reste immobile.

Un instant plus tard, on frappe à la porte du bureau où je me trouve et j'entends Francis dire :

- C'est l'heure.

- J'éteins la télévision et pose la télécommande. Puis j'accompagne Francis.

Avant d'arriver à la salle d'attente, il s'arrête devant un placard pour en sortir un long imperméable.

Quand nous arrivons dans la pièce où elle attend, le visage de Christine est perplexe et étonné de me voir avec un sourire ironique sur la face.

- Salope! Dis-je

- Maître! Répond-elle.

Puis elle ajoute :

- Que faites-vous ici?

Je pose un doigt sur mes lèvres et elle se tait.

- Peu importe pourquoi je suis ici salope, c'est mon affaire. En passant, bon travail avec les deux russes, le chèque devrait être intéressant. Dis-je.

Elle baisse les yeux, honteuse. Pourtant elle connaît très bien son rôle et elle sait que je le sais.

Francis l'aide à se redresser puis lui tend l'imperméable en disant :

- Mets cela. Nous avons une réunion à l'entrepôt.

Il l'aide à mettre les boutons et la ceinture. Il s'assure qu'elle soit bien couverte. Seuls ses talons hauts restent visibles. Pour quelqu'un qui ne sait pas qu'elle est en sous-vêtements dessous, elle paraît très bien habillée.

Je suis Francis et Christine dans l'ascenseur, puis dans des couloirs et à travers une multitude de portes. Comme Francis l'avait dit, l'entrepôt est presque désert à cette heure. Seuls restent quelques employés qui vont pointer pour sortir. L'équipe de nuit doit commencer à 18h00. Tout est calme.

Finalement nous arrivons à l'extrémité de l'entrepôt où se trouve un petit bureau entouré de palettes et cartons. S'y trouvent huit hommes en bleus de travail et gilets de protection. Nous avançons vers eux qui se mettent en demi-cercle. Ils se taisent à l'arrivée de leur patron.

- Bonjour Messieurs. Dit Francis avec Christine et moi derrière lui.

Je le laisse conduire la réunion, sachant le but alors que ma belle-mère ne le sait pas encore. Le patron continue :

- Vous savez que j'ai licencié Etienne. A cause de lui et de son arrogance, le moral semble être faible dans ce service et la productivité a anormalement chuté. Nous avons jusqu'à Noël pour remplir le dernier contrat mais nous sommes très en retard.

Les employés commencent à murmurer. J'ai l'impression qu'ils n'ont pas trop envie de se remuer pour faire le travail. Alors Francis lance la négociation :

- Voilà, pour résoudre ce retard et faire en sorte que la commande soit respectée, je souhaiterai que vous acceptiez de travailler 6 jours sur sept dans les prochains mois. Alors est-ce qu'un bonus pourrait vous persuader de m'aider?

Bien qu'il parle aux huit hommes, il regarde le plus âgé, qui semble être le chef d'équipe, pour obtenir une réponse.

- Eh bien Monsieur MULLER, Etienne a vraiment été désagréable et beaucoup d'entre nous se sont sentis rabaissés d'où le manque d'entrain au travail. Déclare le chef d'équipe.

Un murmure d'approbation des autres hommes se fait entendre. Francis dit alors :

- Bien sûr, vous serez financièrement récompensés pour les heures supplémentaires. Mais je peux peut-être vous proposer en plus une autre motivation. Par contre, il s'agit d'une chose spéciale qui demande une grande discrétion envers les autres employés de l'entreprise. Toute divulgation entraînera le licenciement immédiat de son auteur et la fin de cette récompense qui devrait vous plaire.

Je remarque que Christine semble mal à l'aise quand Francis parle d'incitation au travail. Je la connais assez bien pour savoir qu'elle a probablement deviné quelle serait la motivation.

Le chef d'équipe, en gilet vert, demande à ses collègues s'ils sont intéressés. Ceux-ci répondent que cela dépend de ce qui va être offert.

Je regarde le groupe d'hommes qui va profiter des charmes de ma belle-mère. Le chef d'équipe, assez mince, semble avoir entre quarante et cinquante ans. Les autres sont beaucoup plus jeunes, entre dix-huit et trente ans. Deux d'entre eux semblent peu soignés et fatigués. D'autres sont grands et forts comme des athlètes. Mais je constate qu'aucun d'entre eux ne portent d'alliance donc ne semblent pas mariés. Et je pense que la proposition de Francis ne rencontrera pas d'opposition chez des célibataires.

- Viens ici Christine! Dit Francis en montrant le sol devant lui.

Avec hésitation, elle se déplace pour se tenir debout devant son patron. Celui-ci lui demande de se retourner et de se mettre face aux hommes. Elle obéit et sent huit paires d'yeux se braquer sur elle. Il -est évident que ces employés la connaissaient et l'avaient déjà vue, mais sûrement dans son ancien poste, ce qui explique la confusion sur leurs visages.

Alors, pendant que Francis s'adresse à ces hommes, tout en restant derrière ma belle-mère, il défait la ceinture de l'imperméable puis les boutons en commençant d'en haut.

- Vous connaissez probablement tous Christine qui était la responsable des comptes...

Il enlève la ceinture et le premier bouton des six que comporte l'imperméable.

- Il y a sept mois, de nouvelles compétences ont été détectées chez elle. Depuis elle a un nouvel emploi au sein de notre société...

Je bouge légèrement pour voir deux autres boutons être défaits et l'apparition de son décolleté.

- Les compétences de Christine nous ont permis de gagner des contrats et conclure des offres de vente. Elle est équipée pour nous permettre d'atteindre les résultats escomptés en fin d'année.

L'imperméable s'ouvre sur les seins de ma belle-mère. Ses tétons apparaissent devant le regard des hommes. Instantanément, l'ambiance semble plus sereine.

Francis se penche et enlève les deux derniers boutons qui empêchent de dévoiler la chatte de Christine. Dès que l'imperméable est complètement ouvert, de grands sourires se répandent sur le visage de tous les hommes ainsi que des remarques chuchotées et des grognements. Le patron ôte l'imperméable des épaules de Christine et le jette sur une caisse à côté. Ensuite il tapote l'intérieur des cuisses de la femme qui fait glisser ses pieds pour écarter les jambes. Mais pas assez pour Francis qui tape un peu plus fort pour qu'elle écarte plus.

Ensuite, il se positionne à côté d'elle et recommence à parler aux hommes comme pour présenter Christine :

- Je pense que vous êtes tous d'accord pour dire que Christine est une belle chatte.

Il attend que ses employés répondent. Finalement, un des hommes, un des plus grands et des plus jeunes, brisent le silence gênant :

- Oui sur! Elle est splendide pour son âge. Et ce look lui va sûrement mieux que ses costumes tailleurs de marque.

Libérés, tous les autres commencent à s'exprimer. Certains choisissent de commenter ses seins. Mais tous sont d'accord avec leur jeune collègue pour dire qu'elle semble mieux dans ce rôle que dans son emploi précédent.

Francis sourit en comprenant que son plan fonctionne. Il déclare :

- Oui je suis d'accord. Les costumes qu'elle portait auparavant ne valent pas ceux qu'elle porte maintenant. Je vais vous expliquer comment va fonctionner l'incitation au travail. Pendant le 1er mois, je regarderai le taux de production à chaque fin de semaine et si je suis satisfait, Christine sera à l'entrepôt dès le lundi matin et y restera jusqu'à ce qu'elle ait donné à chacun de vous votre récompense hebdomadaire.

Le patron regarde tous ses employés qui sourient et continuent à regarder les seins et la chatte de ma belle-mère.

- Il reste trois mois pour finir ce contrat. Pour le premier mois, l'incitation au travail sera donnée par la bouche volontaire et très capable de Christine.

En parlant, Francis met ses doigts dans la bouche de ma belle-mère. Il lui ordonne ensuite :

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