La guerre des deux frères - Partie 06

BÊTA PUBLIQUE

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- Et aucun de ces malades ne s'est enfui?

- Il semblerait que le médecin en chef soit quelqu'un de très déterminé et qu'il impressionne suffisamment le personnel pour l'empêcher de prendre ses jambes à son cou.

Ryan comprit que le dénommé Khalil Shu devait mener des expériences bien intéressantes pour justifier une telle détermination à conserver cet asile en activité.

La grille s'ouvrit dès que la voiture fut visible et deux gardes les accueillirent. Plusieurs liasses de billets furent échangées et on les conduisit dans les couloirs sombres de cet établissement improbable. En dépit de son habitude des lieux sordides, Ryan ne put s'empêcher d'être impressionné par ses murs noirs et sales, par ses portes de sécurité en métal noir dont l'ouverture était commandée à distance. Un cri strident résonna et le voyou fut incapable d'en déterminer l'origine.

Après avoir passé plusieurs portes grillagées à moitié rouillées, ils débouchèrent alors dans un petit bureau plus lumineux. En face d'eux, un homme rondouillard consultait des dossiers sur son ordinateur. En les entendant entrer, il tourna la tête dans leur direction. Le docteur Shu avait vieilli, son visage s'était encore empâté et de nouvelles rides striaient son visage mais il ne faisait aucun doute qu'il s'agissait bien du scientifique asiatique que Ryan recherchait. Il s'adressa alors au garde en espagnol et Ryan comprit qu'il demandait des explications sur la présence de ces étrangers dans ses murs.

- Docteur Shu, intervint-il avant que le garde ne puisse répondre. Je suis ici pour vous parler.

- Qui est ce docteur Shu? Répondit le scientifique dans un français parfait. Vous vous trompez, je m'appelle Juan Esparza.

- Ne tournons pas autour du pot. Je sais qui vous êtes en réalité mais rassurez-vous, je ne vous veux aucun mal, bien au contraire.

CHAPITRE 7

Uron quitta son siège et contourna la table qui le séparait d'Aurélie à une vitesse que son âge ne pouvait laisser prévoir. La jeune fille n'eut pas le temps de réagir avant qu'il ne la force à se lever et tire sur ses épaules de sa robe pour la faire descendre de presque 50 cm. Elle poussa un cri autant de surprise que d'indignation alors qu'elle se retrouvait seins nus devant l'homme destiné à devenir son beau-père.

Elle tenta de dissimuler sa poitrine à l'aide de son bras droit mais d'un geste rapide il la força à rester ainsi exposée alors qu'il commençait à tâter ses jeunes mamelles. Le contact était ferme et agréable. Gustav adorait profiter ainsi des atours de la jeunesse et il ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin. Aurélie, elle, ne goûtait pas une seconde à ce jeu pervers et tentait d'affronter cette épreuve avec stoïcisme mais le tremblement de sa lèvre inférieure trahissait les sentiments qui l'envahissaient.

En posant sa main sur l'arrière de son cou, il l'obligea à se pencher en avant et elle dut poser ses mains bien à plat sur le bureau en chêne pour ne pas s'écrouler piteusement. Il souleva sa robe pour dévoiler sa petite culotte en soie blanche parfaitement assortie au reste de sa tenue. De plus en plus excité, il écarta le pan du sous-vêtement pour glisser un doigt entre ses cuisses. Après quelques secondes, il rencontra une résistance symptomatique.

- Mais dis-moi, ricana-t-il. Serais-tu vierge ma petite caille?

De nouveau, elle conserva le silence mais les expressions de son visage trahissaient la vérité. Gustav Uron s'était bien imaginé que cette petite poupée surprotégée par son papa puisse être toujours pucelle mais le constater lui donnait un sentiment de plénitude. Il commença alors à frotter sa main contre son hymen faisant ainsi s'écarter ses grandes lèvres.

Pour la première fois, la jeune fille eut une réaction en commençant à dodeliner de la tête en signe de refus. Bien entendu, Uron n'en tint pas cas et continua à la tripoter avec plaisir. Il la savait partagée entre la peur et l'espoir. Elle devait prier le ciel pour qu'il arrête son petit jeu et la laisse vierge par respect pour son fils. Il se pencha alors sur elle, passant ses mains sous son corps pour recommencer à lui exciter les tétons.

- De toute manière tu finiras par donner ta petite fleur à un homme qui te dégoûte, lui susurra-t-il au creux de l'oreille. Alors autant que ce soit au maître de maison plutôt qu'à son larbin.

Elle écarta les yeux devant le terme qu'il venait d'utiliser pour qualifier son fils et encore plus quand il se mit à rire de cette réaction. Il fallait bien qu'elle comprenne la hiérarchie dans cette famille. Gustav Uron était le maître, il prenait toutes les décisions et les autres ne devaient que se contenter de lui obéir en silence. Même si Gaël était son héritier, il ne pouvait y avoir qu'un seul chef de meute.

Il libéra son sein droit pour amener sa main au niveau de sa braguette. Quand elle entendit le zip annonciateur de la fin de son innocence, elle témoigna de ses premières tentatives d'évasion. Malheureusement pour elle, en dépit de ses 60 ans passés, Gustav Uron restait une authentique force de la nature et dans la position dans laquelle ils se trouvaient, il avait toute latence de la maintenir en position de faiblesse. Il sortit son pénis, déjà bien tendu et commença à se masturber afin de s'assurer qu'il soit le plus raide possible afin que le petit bout de chair qui protégeait encore sa pureté ne constitue pas un problème.

Il s'enfonça alors dans ses cuisses jusqu'à atteindre l'entrée de son antre d'amour. Il resta une seconde immobile pour profiter de sa tension. Elle avait renoncé à s'agiter mais sa respiration était devenue rauque et irrégulière. Sa peur était palpable et il s'en délectait. Les jeunes femmes dans son genre étaient un vrai plaisir pour ce pervers priapique tant elles se montraient incapables de dissimuler leurs émotions. Au comble de l'excitation, il donna un coup de rein puissant et, en une seconde, mit fin à son innocence. Aurélie écarquilla les yeux et ouvrit la bouche en un cri silencieux.

Gustav Uron s'enfonça sans pitié dans ce vagin qu'aucun autre homme n'avait jamais exploré jusqu'à ce que son ventre vienne se cogner contre les fesses de sa victime.

L'étroitesse de conduit encore vierge le grisa et il entama un mouvement de va et vient avec une pratique éprouvée de la chose. Ses coups de butoir devinrent tellement puissants que la jeune fille avançait de quelques centimètres à chacun de ses coups de reins et, de ses mains puissantes, il lui imposait de revenir à sa position initiale à chaque fois. Puisqu'elle était ignorante, il comptait bien être un professeur consciencieux dans l'art de savoir donner le maximum de plaisir à son partenaire. La jeune fille allait donc d'avant en arrière, ses seins menus s'agitant au même rythme que le pénis qui la transperçait. Elle murmurait des paroles incompréhensibles qu'il devinait peu agréables à son encontre et il savait qu'elle devait compter chaque seconde qui la séparait de la fin de ce calvaire.

Malheureusement pour elle, il savait parfaitement comment se contrôler afin de faire durer la saillie aussi longtemps qu'il le désirait et il comptait bien profiter au maximum de l'humiliation qu'il lui infligeait.

Le coït dura plus de trois quart d'heures. A la fin, la jeune fille s'était écroulée sur le bureau, recouverte de sueur. Uron finit par sentir qu'il ne pouvait plus se retenir et se figea une seconde dans le vagin de la jeune fille, laissant croire qu'il comptait jouir en elle.

- NON!!! Hurla-t-elle. Pas ça. Par pitié, je ne prends pas la pilule.

Uron grimaça devant cette annonce pourtant prévisible et il ne voulut pas prendre le risque d'engrosser cette petite grue. La dernière chose dont il avait besoin c'était d'un bâtard qui pouvait venir compliquer l'ordre de sa succession. Il se retira alors et saisit la jeune fille par sa queue de cheval. Obligée de se retourner, Aurélie dut faire face au membre turgescent déjà en proie aux spasmes de la jouissance. Avant qu'elle ne puisse réagir, elle eut tout le visage éclaboussé par ce liquide visqueux et dégoûtant.

Repu, Uron la lâcha et s'assit dans le fauteuil occupée par Aurélie au début de leur « conversation ».

CHAPITRE 8

Tels deux amoureux romantiques, Thomas et Alice continuèrent leur chemin en se tenant la main. Le jeune policier se sentit envahi par un sentiment de bien-être qu'il n'avait que trop rarement connu. Il s'était découvert devant une femme et s'en était vu récompensé. Jamais la « cour des miracles » ne lui avait semblée aussi éloignée qu'à cet instant.

- Nous sommes arrivés, déclara la jeune femme alors qu'ils s'arrêtaient devant une grande porte en métal gris.

Thomas la fixa un instant puis regarda leurs deux mains, toujours entrelacées. Il ne désirait aucunement mettre fin à ce moment.

- Tu veux monter? Demanda-t-elle, prenant de nouveau l'initiative.

Il hocha la tête simplement. Il avait accepté de vivre vraiment ses sentiments et il ne comptait pas s'arrêter en si bon chemin. Elle poussa la grande porte et ils entrèrent dans le petit corridor sombre qui menait à l'escalier. Emporté, Thomas la plaqua contre le mur et l'embrassa. Il la sentit un instant prise au dépourvu par cette initiative mais elle ne tarda pas à se reprendre et leurs langues se mêlèrent aussi intimement que l'étaient leurs mains.

Thomas était loin d'être un novice des relations charnelles. Les jeunes filles de petite vertu de la « cour des miracles » avaient su lui apprendre bien des pratiques inconnues d'Alice. Cependant, c'était la première fois qu'il ne concevait pas l'acte autrement qu'en une union physique. Elle passa sa main derrière son cou et entama de lui caresser la nuque alors que leur baiser s'éternisait. Dans l'état d'excitation où il se trouvait il se sentait capable de la prendre tout de suite à même le sol mais elle ne possédait pas de penchants exhibitionnistes et abrégea cette étreinte pour le conduire rapidement en direction de son appartement.

Les deux étages qu'ils durent gravir à pied ne furent qu'échanges et enlacements. Jamais Alice ne mit autant de temps pour arriver chez elle et elle ne regretta pas une seconde passée. Alors qu'elle se tournait pour glisser sa clé dans la serrure de la grande porte blanche de son appartement, il se colla à elle. Ecartant quelques mèches de sa chevelure de feu de la main, il posa sa bouche contre son cou et il put aisément distinguer le frisson d'excitation que ce nouveau baiser provoqua sur sa peau claire.

Elle ouvrit la porte en éclat et ce furent deux corps indissociables l'un de l'autre qui pénétrèrent dans le petit living room. Alors que la porte se refermait, ils s'écroulèrent sur le sol et il entama de défaire le ceinturon de son pantalon pendant qu'elle écartait les pans de sa veste en cuir. Ils se déshabillèrent ainsi mutuellement tout en continuant à s'étreindre. Il glissa alors son visage entre ses cuisses et entama de lui caresser son intimité avec sa bouche. Elle s'allongea alors sur le dos et, compte tenu de la dextérité dont il fit preuve, il ne fallut pas bien longtemps pour que son corps soit pris de spasmes de plaisir. De sa main droite, il commença à lui titiller doucement le sein gauche dont le téton se dressa vers le ciel. Elle se mit à gémir d'un plaisir non simulé pendant qu'il continuait à stimuler toutes les zones érogènes de son corps qu'il réussissait à identifier.

A un moment, elle le fit basculer en arrière et prit son membre en bouche pour lui offrir une fellation qu'elle voulait experte. Bien que le sexe de Thomas fut passé entre les lèvres de vraies professionnelles du plaisir, il sentit immédiatement monter une chaleur qu'il ne connaissait pas : le plaisir partagé, la communion qu'ils étaient en train de vivre le menaient vers des sensations qu'il n'imaginait pas.

Elle finit par se placer à califourchon au dessus de lui, guidant son sexe afin qu'il la pénètre de la meilleure des façons. Elle le chevaucha ainsi pendant qu'il continuait de lui exciter les tétons autant avec ses mains qu'avec sa bouche. Les sensations ainsi procurées la rendaient folle de plaisir mais la perturbaient aussi car elle savait pertinemment d'où venait ce talent. Elle chassa rapidement toute idée négative et accéléra le rythme de ses allées et venues sur le sexe dressé. La chaleur avait envahi tout son corps quand il la renversa pour se planter puissamment entre ses jambes dressées. En enchaînant de grand coup de reins puissants, il termina de la conduire vers son second orgasme avant de jouir à son tour.

Ils s'effondrèrent tous deux, en nage. Ils échangèrent un dernier baiser fougueux avant de s'endormir à même le sol, enlacés et comblés.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 11 ans

Toujours aussi bien j'attends la suite avec impatience

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