La Descente aux Enfers de Jessie 09

BÊTA PUBLIQUE

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Maître X le regarde se masturber. Il sourit et comprend qu'il a pris la bonne décision.

****

Jessie arrive à la maison complètement épuisée par son excitation. Sa journée avait été plus difficile qu'elle s'y attendait. Les nouvelles exigences de Janice rendaient plus difficile de garder son secret. Il suffirait que quelqu'un arrive à l'université plus tôt que d'habitude et elle serait découverte. D'autre part, les jouets enfouis dans son corps la maintiennent constamment au bord de l'orgasme et la masturbation obligatoire sur le chemin de retour ne fait qu'empirer les choses.

Elle doit maintenant rendre compte à Maître John et connaître son nouveau poste. Elle a peur de ce que ça peut être, mais tant que ça inclut de se faire baiser, ça lui va.

Jessie court jusqu'à la porte de sa maison en priant que son voisin ne la voit pas. Comme d'habitude sa jupe est restée dans la voiture et elle ne porte que culotte et chemisier. Après avoir fermé la porte et alors qu'elle se dirige vers l'escalier pour aller mettre sa tenue de footing, Maître John l'arrête :

- Salope, tu ne vas pas courir aujourd'hui. Tu as un entretien pour ton deuxième travail. Va mettre la tenue que j'ai préparée sur ton lit. Tu as cinq minutes pour te changer et te préparer.

Jessie grimpe les escaliers et entre dans sa chambre. Elle enlève son chemisier, ses chaussures, son soutien-gorge et sa culotte. Elle attrape la culotte sur le lit et l'enfile. Elle est blanche et si petite qu'elle couvre à peine son sexe. La robe, quant à elle, est une robe en dentelle blanche avec de fines bretelles et des motifs de fleurs. Elle ressemble plus à une nuisette qu'à une robe pour sortir. Elle tombe juste en dessous de son entrejambe et laisse peu à l'imagination. Elle n'est pas transparente et couvre ses seins et sa chatte, mais chaque mouvement expose sa culotte. Les chaussures assorties ont des talons de 15 centimètres et sont lacées au-dessus des chevilles.

Jessie s'arrête dans la salle de bain et se soulage aux toilettes. Puis elle se lève, se regarde dans le miroir, se maquille et se coiffe. Elle sait que le temps est compté alors elle se précipite dans les escaliers et appelle son Maître. Elle ne le trouve pas , mais elle entend du bruit sous son porche d'entrée. Elle ouvre la porte et voit Maître John qui semble fâché. Elle se fige en priant pour ne pas être en retard.

Maître John regarde son esclave. Il voudrait la plier en deux et la baiser sauvagement sous le porche. Mais il faut qu'ils aillent de l'autre côté de la ville pour le nouveau boulot de Jessie.

- Allez salope, nous allons être en retard! Ordonne-t-il.

Jessie suit l'homme jusqu'à la voiture et monte sur le siège passager. John démarre et ils partent pour leur rendez-vous. Jessie reste assise tranquillement, ne voulant pas énerver son Maître avec des questions. Elle imagine qu'ils vont dans un club de strip-tease où elle devra servir ou danser.

John jette un coup d'œil à l'enseignante soumise. Il veut augmenter la tension alors il commande :

- Occupe-toi avec tes doigts. Chaque fois que tu es dans une voiture, tu dois jouer avec ton clitoris. Je veux que tu sois prête à jouir à n'importe quel moment.

Jessie gémit, mais suit les instructions. Environ quarante minutes plus tard, Maître John se gare sur un parking devant un motel miteux. Jessie grince des dents quand elle se rend compte qu'il n'y a pas de club de strip-tease à proximité. « Oh j'espère que nous n'allons pas rester ici » pense-t-elle en ayant peur de ce qu'elle allait devoir faire.

Maître John sort de la voiture et se dirige vers le bâtiment. Jessie voit un homme en sortir. Il se dirige vers John et les deux hommes se sert la main. John est tout sourire en se dirigeant vers la portière passager et l'ouvrant.

- Sors salope, il est temps pour toi de rencontrer ton nouveau patron.

Jessie glisse hors du véhicule, le corps tremblant de peur et d'excitation. Elle a peur de ce qu'elle va devoir faire, mais en même temps elle est totalement excitée. Elle prie pour être baisée.

Elle s'arrête devant l'autre homme en fixant le sol des yeux. Maître John est fier de montrer son esclave.

- Jessie, je te présente Buck, ton nouveau patron. Chaque après-midi après l'université, tu viendras ici et tu feras ce qu'il te dit jusqu'à minuit. Ensuite tu pourras rentrer et te préparer pour le lendemain. Indique Maître John.

Jessie jette un coup d'œil à l'homme massif vêtu de cuir. Elle n'a aucune idée de ce qu'elle allait devoir faire mais Buck l'effraie et elle sait qu'elle ne lui résistera pas.

L'homme du motel regarde l'enseignante presque nue et fait tourner son doigt. Jessie devine ce qu'il veut, alors elle tourne lentement sur elle-même. Quand elle se retrouve de nouveau en face de lui, elle se sent encore plus sale que d'habitude. Elle prend conscience qu'elle n'est plus propriétaire d'elle-même. Elle n'est plus la mère de famille ou l'enseignante respectée, elle est juste un réceptacle à foutre.

Buck sourit et lui fait signe de le suivre. Il se dirige vers une chambre du motel. Une fois à l'intérieur, Maître John la regarde et lui dit :

- A poil!

Jessie enlève sa culotte et sa robe. Puis elle attend de nouvelles instructions. Chaque fois qu'elle accompagne Maître John sa soumission augmente. Elle le regarde prendre ses vêtements et les mettre dans un sac.

Buck lui désigne une table ronde près de la fenêtre et lui dit :

- Sur la table esclave! En position de soumission!

Jessie grimpe sur la table, écarte les jambes, passe les bras derrière le dos et saisit ses coudes avec ses mains. Son corps est en feu et son esprit vacille entre peur et envie. Elle s'agenouille sur le meuble, tout en se disant qu'elle n'est rien d'autre qu'un objet. C'est à ce moment qu'elle est frappée par la situation. Elle n'est plus qu'une esclave. Maître X et Maître John la possèdent totalement et peuvent faire d'elle ce qu'ils veulent. Elle n'a plus le contrôle de rien. Cette pensée l'effraie d'abord, mais lentement la peur s'atténue et une vague de sérénité la parcoure. Maintenant elle accepte son statut et se soumettra complètement à la tâche qui lui sera confiée.

Les deux hommes s'assoient sur des chaises en face de la femme nue. Ils se mettent à discuter du travail et de la répartition de l'argent. Jessie écoute et réalise soudain que Buck est un proxénète. Les deux hommes négocient du travail de la femme. Plus ils parlent, plus Jessie est humiliée. Quand ils ont fini et qu'ils ont décidé, tout l'argent que Jessie gagnera ira à Buck pour 40 %, à Maître John pour 40 % et elle sera autorisée à garder le reste. Les deux hommes se serrent la main et maître John se dirige vers la porte avec le sac contenant les vêtements de Jessie.

Celle-ci commence à paniquer et gémit. Elle se prépare à demander ce qu'elle va porter pour rentrer chez elle quand Buck sort des vêtements et les lui jette :

- Tiens salope, c'est ton uniforme. Je veux que tu le portes tout le temps.

Jessie enfile rapidement le haut blanc qui couvre à peine son corps. La jupe est assortie, mais elle fait quand même huit centimètres de long. Elle attrape le string et l'enfile en étant heureuse que sa chatte soit couverte. Elle se regarde dans le miroir et manque défaillir. Elle n'est rien d'autre qu'une pute qui travaille dans la rue. Buck la tire pour la sortir de la chambre pendant que Maître John s'éloigne en voiture.

Jessie essaie de se couvrir mais c'est inutile. Elle ne peut pas complètement se cacher. Buck la dirige dans la rue.

- Allez salope, je vais te montrer le lieu. Pendant les 8 prochaines heures, tu dois être à ton poste à moins que tu ne sois en train de baiser. Tu es un joli morceau et je suis sûr que tu vas gagner beaucoup ces prochaines semaines. Maintenant voici les tarifs : 30 pour une pipe, 50 pour ta chatte, 75 pour ton cul. S'ils veulent les trois c'est 125. Et comme le temps c'est de l'argent, tu les fais jouir et tu reviens vite ici. Tu ne dois jamais rester dans la chambre plus de vingt minutes. Si tu prends trop de temps tu devras le rattraper plus tard.

Jessie est abattue. Elle n'a plus d'estime pour elle. Elle est brisée et ne se sent plus comme une mère ou une femme. Elle est juste une esclave à abuser. Son poste de travail se trouve à 50 mètres du parking du motel, devant un long mur couvert de graffitis. Ils sont à peine arrivés qu'un homme noir s'approche et demande à Buck :

- Salut Buck! Tu as une nouvelle salope? Elle a un beau cul. Combien?

- Hé Boomer! Pour toi, je fais une offre spéciale. Tu peux la baiser pour le prix d'une pipe! 30! Répond Buck.

- Ok ça marche!

Le noir attrape la main de Jessie et la traîne pratiquement jusqu'au motel. Dès qu'ils entrent dans la chambre, il la pousse sur le lit et se déshabille rapidement. Puis il grimpe entre ses jambes et enfonce sa queue dans la chatte de l'enseignante.

Ce premier client est le pire pour Jessie. Maintenant elle est officiellement une pute, une salope d'esclave utilisée par les hommes. Une larme coule sur sa joue alors que le grand noir la pilonne. Il ne faut pas longtemps avant qu'il explose dans son ventre. Jessie ne jouit pas et ne s'en approche même pas. Le traumatisme d'être une prostituée est trop présent pour qu'elle ait un orgasme. Quand l'homme se retire il désigne son sexe dégonflé et ordonne :

- Nettoie ça putain! Je ne veux pas de ton jus de chatte sur ma bite alors que je rentre chez moi retrouver ma femme.

Jessie n'hésite pas et glisse sur le lit pour lécher sa queue et nettoyer ses couilles.

Dix minutes plus tard, elle est de retour dans la rue. Buck est assis à l'extérieur du motel sur une chaise de jardin. Il regarde sa nouvelle gagneuse prendre sa place le long du mur. Il sourit. Presque aussitôt, une voiture s'arrête sur le parking et deux hommes en sortent. Ils avancent jusqu'à Jessie et parlent quelques minutes. Puis ils vont tous les trois au motel.

C'est ainsi que se passe la soirée de Jessie. A onze heures, Buck l'attrape alors qu'elle quitte la chambre.

- Bravo salope, tu as gagné 750 dollars, c'est pas mal pour une première soirée. Demain ça sera mieux , car la nouvelle se sera répandue. Voici ta part et voici celle de John.

L'homme lui tend deux enveloppes. Elle jette un coup d'œil dans la sienne et ne voit que 150 dollars. Elle a baisé avec quinze hommes pour seulement 150 dollars. Il lui faudra de semaines voire des mois pour gagner assez d'argent pour l'éducation des enfants. Jessie hoche la tête et demande :

- S'il vous plaît Monsieur, puis-je avoir autre chose à porter pour rentrer à la maison?

Buck éclate de rire et lui lance un vieux débardeur sale et troué.

- Tu peux porter ça. Peut-être que la prochaine fois, John te laissera tes vêtements.

Jessie enfile le débardeur et se sent encore plus vulgaire que dans sa tenue de pute.

- S'il vous plaît Monsieur, comment puis-je rentrer à la maison? Je ne sais pas où je suis. Demande Jessie en priant pour qu'il la raccompagne en voiture.

- Je me fous de savoir comment tu vas rentrer. Appelle un taxi ou marche jusqu'à l'arrêt de bus. Le 49 t'emmènera peut-être près de chez toi.

Jessie grimace à l'idée de prendre un bus, alors elle entre dans le motel et appelle un taxi.

Il est juste minuit quand enfin elle passe la porte d'entrée de chez elle. Marcus est déjà attaché sur le sol de la chambre et il ronfle légèrement. Elle le regarde et se met à pleurer. Il n'a rien demandé et à cause de son désir d'être dominée, ils sont tous les deux des esclaves sans espoir de retrouver leur vie normale. Elle enjambe le corps de son mari et se dirige à la salle de bain pour prendre une douche.

A suivre...

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Anonymous
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4 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans

Je partage ces commentaires la perversité ne nous lâche pas dans ces histoires avec tant d'imagination... quel plaisir encore merci Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Nouvel épisode

Merci pour cette nouvelle traduction, toujours aussi agréable a lire et bien perverse.

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans

Toujours aussi bien ... On en redemande.

Merci

Rudy

AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans
Merci à Trouchard

Je souhaitais remercier Trouchard, auteur que j’adore par ailleurs, pour ce gros travail de traduction et sa qualité.

Cette histoire est vraiment excitante et perverse.

J’adore!!! Anne.

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