La Demande En Mariage Chapitre 07

BÊTA PUBLIQUE

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— Heu chéri, je voulais te parler pour...!!! L'appelle Annie le regard triste.

— Chuuuut tu vas réveiller mon père, allez habilles toi et viens me rejoindre!!! Coupe Gautier avant de quitter la pièce.

— Oui... Très bien!!! Finit la jeune épouse qui baisse le regard en signe de résignation.

Rajustant sa chemise dans son pantalon, Gautier appelle l'ascenseur au dernier étage. C'est à ce moment-là que Justine complètement en pétard entre dans l'ascenseur en question pour monter dans sa chambre.

— Aaaaah...Moi qui croyais que les militaires en avaient dans le froc, ben bravo!!! Se plaint-elle en se parlant à elle-même en croisant les bras.

En effet, elle a dragué durant toute la soirée un homme militaire venu pour cette journée afin de conduire la décapotable qui a emmené Annie et son père devant la mairie.

Il fut invité pour le repas en remerciement et Justine, qui n'a pas froid aux yeux s'était dit que de se faire prendre par un bonhomme du même régiment que son père, serait sans doute une superbe expérience. Mais l'alcool à eu raison du jeune militaire qui fila droit aux toilettes pour vomir tout le liquide bu durant la journée.

— Ma sœur s'est mariée et moi je suis toujours toute seule comme une conne!!! En plus, pas moyen de trouver ma mère ou ma sœur qui ont disparu comme par enchantement!!! Se plaint-elle encore, mécontente d'avoir cherché en vain Suzanne et Annie pour danser avec elles, afin d'apaiser le coup de cafard qui la tourmente.

Préférant aller se coucher, elle entre donc dans l'ascenseur mais sans avoir le temps de sélectionner son étage, l'ascenseur annonce qu'il monte tout en haut.

— Eh mais c'est quoi ce bordel!!! Grommelle-t-elle en appuyant en vain sur l'étage auquel elle aurait voulu se rendre. « Pourquoi au dernier étage, il n'y a pas de chambre de prise au dernier étage, merde!!! »

Plusieurs secondes plus tard, les portes s'ouvrent et elle est surprise de se retrouver en face de son beau-frère.

— Gautier, mais qu'est ce que tu fous là? s'écria-t-elle.

Ce dernier, autant surpris qu'elle, rentre vite dans l'ascenseur et appuie sur n'importe quel étage inférieur.

N'ayant toujours pas de réponse, Justine répète sa question:

— Oh... Je peux savoir pourquoi tu te trouves à cet étage hein? Et Annie, elle est où?

— Je... Je me suis perdu c'est tout!!! Lâche bêtement Gautier qui ne sait pas quoi trouver comme excuse pour le moment.

— Perdu!!! Mais tu te fous de ma gueule?

La porte de l'ascenseur s'ouvre à nouveau au même moment, mais Justine s'en moque complètement. Elle sait qu'il cache quelque chose et croit deviner ce que c'est :

— Et puis je trouve ça curieux de te trouver ici alors que ma mère est introuvable en bas... Putain, ne me dit pas que tu as osé tromper ma soeur le jour de votre mariage??? L'accuse-t-elle en colère, le traitant comme un véritable goujat.

— Mais non, ça va pas, je n'ai pas fait ça!!! Répond-t-il en prenant peur, qu'elle aille vérifier par elle-même ce qu'il s'est passé à cet étage.

La peur qu'elle tombe sur sa femme et son père couché dans le même lit est palpable.

— Tu es un menteur... Tu n'as jamais su lui dire la vérité sur ce que tu as fait avec nous deux et voilà que tu baises encore ma mère ce soir. Espèce de connard!!! S'énerve-t-elle en pointant son doigt contre son torse.

— Attends... Tais-toi!!! L'interrompt Gautier en posant une main sur sa bouche pour la faire taire. « T'as entendu... On dirait la voix d'une femme!!! » Ajoute le jeune marié qui regarde en direction du couloir.

Il enlève sa main et quitte l'ascenseur pour s'approcher des gémissements qui continuent.

— Merde... Mais c'est la voix de ma mère non??? S'étonne Justine qui le suit pas à pas, comprenant dorénavant, que ses accusations étaient fausses.

Arrivés devant la porte entrebâillée d'où viennent les bruits, Gautier la pousse lentement et la scène qui défile devant leurs yeux les scotche sur place.

— Oh... Oh merde!!!! S'écrie Justine tant la stupeur est énorme.

Voilà sa mère à quatre pattes sur le lit, seulement habillée d'un porte-jarretelle bleu qui maintient ses bas noirs à coutures, chaussée de ses escarpins bleus.

Le chapeau à voile à voler à travers la pièce pendant leurs déplacements des toilettes jusqu'au lit.

Derrière elle se trouve son fils qui la sodomise sans retenue faisant claquer son ventre contre ses fesses charnues, s'agrippant à ses hanches pour l'enculer aussi fort qu'il le peut.

A chaque fois que son long pieu entre tout entier dans son cul, un : «Aaaah!!!» strident sort de sa bouche.

Ce sont ces gémissements qu'ils entendaient depuis l'ascenseur.

Comme paralysée, Justine regarde sa mère en train d'en prendre plein la craquelle par son frère rebelle qui lui rend un splendide hommage en lui administrant sa merveilleuse trompe dans le cul.

— Aaaah maman, tiens prends ça et encore ça han han han!!!! Lâche-t-il à bout de souffle en tapant de toutes ses forces dans son anus.

— Aaaah aaah aaah aaaah ouiiiiiii aaaah aaaah encore mon chéri, venges toi... Venges toi de tout ce que ton père t'as fait subir, venge toiiii sur moi aaaaaaaah!!! L'encourage sa mère qui le regarde faire en prenant un pied énorme de se faire détruire le trou de balle de cette manière.

— Je suis plus gros que papa.... Dis-le maman , dis-le que la mienne est meilleur... Dis-le maman!!!!

— Ouiiiiii ouiiiiii tu es plus grand et plus gros mon chéri, elle est merveilleuse mmmmm!!!!

Le regard mesquin et perverse comme jamais avant, Gautier en souriant dit sans retenue à sa belle-soeur :

— Tu cherchais ta dévergondée de mère tu disais... Ben là voilà, elle était en train de réconforter son fils chéri!!! Ironise-t-il pendant que Justine ne peut s'empêcher de les regarder faire.

— Réconforter tu dis... C'est carrément dégueulasse ouais!!!!

— Dégueulasse? Allez, arrête de jouer les saintes nitouches, je suis sûr que tu mouilles comme une vraie salope de les voir faire, n'est ce pas? Insiste-t-il en se tournant vers elle.

— Quoi... Mais t'es con ou quoi, mon frère sodomise ma mère et toi tu trouves ça super chouette?

— Et pas qu'un peu... Plus ça va et plus je me dis que je suis rentré dans une famille d'obsédés... Mmmmm et si je t'enculé en les regardant faire qu'en dis tu belle-sœur chérie? S'excite Gautier qui lui caresse la hanche à travers sa robe jaune qui lui colle à la peau.

— Mais ça va pas merde... C'est le jour de ton mariage, tu réalises au moins de ce que tu es en train de dire là?

— Oh putain oui que je réalise... Je réalise que je vais faire jouir ma pétasse de belle-sœur en regardant mon vicieux beau-frère sodomiser sa propre mère, allez let's go!!! Ajoute le jeune marié qui attrape ensuite le pan de sa robe pour le remonter tout le long du superbe corps de Justine.

— Gautier... Arrête tes conneries tu deviens de pire en pire... Et puis quelqu'un pourrait venir!!! Flippe la jeune blonde qui ne tente pourtant aucune résistance pour l'empêcher de lui ôter sa robe.

— Ce n'est pas grave, tu lui tailleras une pipe, t'es une pro je te le rappel!!! Se moque-t-il en la regardant maintenant seulement habillée de ses sandales jaunes à talons assorties à la couleur de sa robe et.... un collant chair sans démarcation avec rien en dessous. « Oh la vache... tu t'es vraiment habillée comme une salope pour cette journée... Attends, tourne toi et laisse moi regarder ton joli petit cul!!!» Ordonne le jeune époux, oubliant complètement de garder une certaine tenue pour le jour de son mariage.

Sans rien pouvoir lui refuser, sans doute excitée elle aussi, Justine se tourne dos à lui tandis qu'il lui caresse son magnifique cul à travers le collant chair, passant un doigt entre ses fesses pour venir lui caresser le trou du cul puis son minou à travers le collant.

Ne pouvant plus attendre davantage, il ouvre à nouveau sa braguette pour faire jaillir son pénis qui bande à nouveau.

— Suces moi putain de merde.... Suces moi, j'en peux plus, t'es trop belle!!! Supplie-t-il en la tirant vers le bas afin qu'elle s'agenouille devant lui.

— Mais!!! S'écrie-t-elle en s'accroupissant pour se retrouver face à la queue de son beau-frère qui pointe fièrement vers sa direction.

Sans attendre un nouvel ordre, Justine attrape son gourdin veineux et l'embouche voracement pour lui donner une pipe spectaculaire. En tant que belle-sœur dévouée, la voilà en train d'user de son savoir-faire pour le libérer de cette terrible crampe.

— Aaaaah oui suuuuuces mmmmmm suuuuuuces!!!!! Chuchote-t-il en continuant à regarder Suzanne se faire ramoner la cheminée par son fils tandis que Justine lui pompe le nœud, oubliant qu'en début d'après-midi même, elle était rongée par le remord d'avoir profité du futur époux de sa grande sœur.

Dans la salle de bal, les convives qui dorment à l'hôtel, continuent à danser alors que ceux qui doivent rentrer chez eux, s'en vont en allant féliciter une dernière fois la pauvre Annie qui se retrouve toute seule pour les remercier.

— Bon sang... Mais où est Gautier, il m'avait dit qu'il m'attendrait ici!!! Angoisse-t-elle en jetant un œil de partout.

Elle regarde à nouveau vers les tables puis la piste de danse et le grand bar, mais aucune trace de ses parents ni même de son frère et de sa sœur.

— Mais c'est une blague ou quoi, on dirait qu'ils se sont tous donnés le mot ma parole!!! S'étonne-t-elle en marchant à travers la salle. « Bon ça suffit, je vais aller voir dans les chambres, ce n'est pas normal!!! »

Elle retourne vers l'ascenseur et appuie sur le numéro qui mène à l'étage des chambres sans savoir sur quoi elle va tomber.

Après quelque instant de patience, les portes s'ouvrent devant ses yeux. Et comme un rideau d'une scène de théâtre qui s'ouvre pour dévoiler le décor de la pièce, Annie tombe sur son mari, pantalon aux chevilles qui s'empale contre sa propre sœur penchée en avant, mains contre le mur, le collant seulement déchiré au niveau de son anus pour pouvoir le laisser venir par là.

Cet homme avec qui elle s'est mariée avec aujourd'hui, sodomisant Justine, regardant tous les deux quelque chose d'intriguant dans une chambre dont la porte ouverte laisse échapper des gémissements obscènes.

Jambes tremblantes, elle s'avance un peu pour regarder qui hurle comme ça dans cette fameuse chambre.

Elle s'étonne au passage, que son mari prend sans faire un bruit sa sœur qui elle, à une main sur la bouche pour s'empêcher de dire un mot.

La raison, elle va vite la comprendre à ses dépends. Lorsqu'elle réalisera que c'est sa mère et son propre frère sont en train de s'envoyer en l'air à pleine sueur sur le lit.

— Aaaah aaaaah putain que c'est bon, j'avoue que ça me manquait depuis la dernière fois où je t'ai baisé avec tes potes après de m'être tapé ta mère!!! Balance Gautier à voix basse, sans se rendre compte de la présence de sa femme à quelques mètres derrière eux qui entend quand même ce qu'il dit : « Que ce soit ta mère, ta sœur ou toi, vous êtes trois jolies garces à baiser par tous les trous!!! »

— Oh tu es salaud... Mmmmm ouiiiiii un beau salaud!!!! Gémit Justine qui prend son pied d'être sodomisé non loin de sa mère qui jouit avec son frère.

Dépitée et dégoutée, Annie devient toute pâle, elle s'écarte sans faire un bruit, en prenant soin d'emprunter les escaliers pour ne pas être vue.

Elle descend les marches en soulevant sa robe pour ne pas marcher dessus. Les images qu'elle vient de voir défilent dans sa tête.

La voilà de retour dans la salle de bal. Ses oncles et tantes qui la cherchent viennent vers elle pour lui dire au revoir avant de s'en aller. Alors pour ne pas laisser paraître son malaise, elle se force à sourire.

— Annie... Nous te cherchions partout pour te dire au revoir!!!

— Oh pardon Tata... Heu, j'étais allée en cuisine pour me rafraîchir, je suis désolée!!!

— Nous n'avons pas trouvé tes parents ni même ton charmant époux, où sont-ils???

— Charmant époux!!! Elle bloque sur ces mots-là, repensant à ce qu'elle vient de voir.

— Pardon, je n'ai pas compris? Demande sa tante qui commence, sans le savoir, à agacer sa nièce.

— Non... Pardon, Gautier va bientôt revenir et je ne sais pas où sont mes parents!!! Ment-elle en se retenant de pleurer devant eux.

Une fois seule à nouveau, elle s'assied sur sa chaise, à la table d'honneur en regardant son alliance en or que Gautier lui a enfilé au doigt à l'église cet après-midi même.

— Moi qui m'en voulais tant de l'avoir trompé... Et voilà que j'apprends qu'il me trompait et avec ma sœur et ma mère en plus. Le mariage, le plus beau jour de ta vie... Que je suis conne, je n'y ai vu que du feu!!!

D'un coup, une personne s'installe à ses côtés, c'est Gautier qui revient sourire aux lèvres.

— Hello mon amour, désolé pour le retard, je suis allé dans les toilettes de notre chambre pour pisser un coup. Alors j'ai loupé quoi? Ment il, sûr de lui tandis qu'elle le regarde un instant sans lui répondre. «Tu me réponds pas, ça va pas?» Ajoute-t-il devant l'absence de réponse.

— Oh excuses moi, si tout va bien, je suis juste un peu fatiguée!!! Elle ment à son tour en regardant au loin sa sœur revenir à son tour dans la salle de bal.

S'apercevant que cette dernière la regarde, Justine lui fait coucou avant de rejoindre la piste de danse.

Gautier regarde à son tour Justine puis regarde à nouveau sa femme qui le fixe droit dans ses yeux, le mettant mal à l'aise.

— Bon heuuuuu.. Je vais aller boire encore un coup avec mes potes moi!!! Annonce-t-il en se levant pour rejoindre ses copains qui rigolent bien devant le grand bar.

— Chéri, je vais aller me coucher, je suis vraiment crevée!!! Dit-elle, se levant à son tour.

— Ok, pas de soucis, je te rejoins après!!! Lâche Gautier la prenant dans les bras pour venir poser un baiser dans son cou tandis qu'elle ne fait aucun geste pour l'aider à l'embrasser par là.

Trop sûr de lui, le jeune marié ne se rend pas compte qu'elle est en train de retenir sa main droite pour ne pas le gifler devant tout le monde.

— Mmmmm et quand je monterai, je te ferai voir comme je suis excité de t'avoir regardé baiser comme une salope avec mon père hein qu'en dis-tu? Ajoute-t-il en souriant du coin des lèvres, la traitant sans s'en rendre compte comme son objet sexuel.

Sa main droite tremble de plus en plus, elle se tend derrière elle, ses sourcils se froncent... Mais au dernier moment, elle serre le point et détend son bras.

— Oui... Oui, je t'attendrai chéri, amuses toi bien!!!

Elle quitte la salle de bal, pour revenir prendre l'ascenseur et lorsque les portes s'ouvrent, sa mère en sort, toute recoiffée avec son chapeau à voile et sa robe bleu foncée.

— Oh ma puce, mais où vas-tu comme ça? Demande sa mère, l'air de rien.

— Je... Je vais me coucher maman, je suis fatiguée!!!

— Oh, très bien, j'étais... J'étais en train de coucher ton père, il était complètement ivre, je suis désolé de mon absence!!! Ment-elle.

— Ah... Non ce n'est pas grave maman, bonne nuit!!! Dit-elle en prenant l'ascenseur sans même lui laisser le temps de répondre.

Une demi-heure plus tard, Annie a quitté sa robe de mariée et sa lingerie. Normalement elle devrait être dans son lit, pour attendre que son mari arrive afin de lui offrir son corps pour cette première nuit en tant qu'épouse.

Mais ce n'est pas le cas, habillée d'un jeans bleu et d'un débardeur rose, elle est assise à une petite table en train d'écrire un mot.

Après s'être relue, elle s'assied et retire son alliance en la regardant un instant puis la pose sur sa lettre.

Sans plus attendre un instant, elle quitte la chambre et emprunte les escaliers extérieurs se trouvant derrière l'hôtel, prévus en cas d'incendie. Passant sans être vue par qui que ce soit, elle quitte les lieux dans la pénombre de la nuit tandis que la musique résonne encore au loin.

Deux heures plus tard, après avoir dansé, rigolé et bu avec ses copains, Gautier décide qu'il est temps de retrouver sa femme.

Dans le hall, il entend une femme qui semble se plaindre en hurlant sur un serveur de l'hôtel. Gautier réalise qu'il sagit de Claudine qui à du être libérée de la salle où il l'a enfermé et aussitôt, il s'empresse de prendre l'assenceur pour ne pas être vu par cette dernière.

D'un air amusé et ne pesant plus du tout le poid de ses bêtises, il repense à tout ce qu'il vient de se passer aujourd'hui tandis qu'il monte les étages.

— Aaaaah ma belle famille, je kiffe, mais je kiffe bordel... Pour un peu, je pourrais peut-être baiser Justine tandis que mon beau-frère sautera Annie... Oh et pourquoi pas Annie et Justine qui se gouines devant moi!!! Dit-il en s'imaginant les scénarios les plus salaces qu'il soit sans plus y mettre une seule limite et sans se rendre compte qu'il souhaite mener la femme qu'il aime à la débauche.

Une fois à l'étage, il traverse le couloir en silence et en bonne conscience puis frappe à la porte de la chambre avant d'y entrer.

— Chérie, ton homme arrive... Et je vais te... Mais??? S'arrête-t-il de parler lorsqu'il découvre un lit vide et non défait, avec la robe de mariage d'Annie soigneusement pliée posée dessus.

Ne comprenant pas ce qu'il se passe, Gautier entre dans la chambre en regardant de partout autour de lui. C'est là qu'il aperçoit la lettre sur la table avec son alliance posée dessus.

Faisant beaucoup moins le fier, il s'empresse de la lire sur le champ.

« Gautier.

Tu ne peux pas te rendre compte à quel point je me sentais sale de t'avoir trompé deux fois dans le passé. Je ne pouvais plus me regarder dans un miroir et rongée par le remords, j'aurais voulu te le dire moi-même mais j'avais tellement peur de ta réaction et que tout soit fini entre nous que je n'ai pas osé le faire et ce fut une terrible erreur de ma part.

Malheureusement, tu es tombé sur mon frère et moi et lorsque tu m'as avoué nous avoir vus, j'ai cru que mon cœur allait s'arracher de ma poitrine.

J'éprouvais une telle honte, je pensais que notre histoire serait finie et j'aurais mérité cette sentence.

Puis nous nous sommes retrouvés dans les toilettes publiques avec ses deux chauffeurs de poids lourd qui attendaient quelque chose de sexuel de ma part, et toi, à ma grande surprise, tu m'as demandé de leur donner le plaisir qu'ils attendaient de moi.

Tout est allé très vite dans ma tête... Bêtement, je me suis dit que si cela pouvait te faire plaisir et me faire pardonner de mes erreurs, alors pourquoi pas.

J'aurai fait n'importe quoi pour que tu me gardes près de toi.

Tu m'as demandé ensuite ma main, je me sentais la femme la plus heureuse du monde.

Je nous voyais déjà heureux, unis dans une petite maison de campagne avec nos enfants que l'on verrait grandir pendant que nous vieillissons main dans la main, nous aimant toujours autant.

Mais tout à changé à partir de ce jour là, ton regard envers moi est devenu différent, tu ne me regardais plus comme avant, ce regard naïf, tendre et amoureux que j'adorais tant.

C'était le regard d'un homme pervers, vicieux qui attendait de moi que j'étanche sa soif de fantasmes de me donner à des inconnus devant toi.

Pendant que tu prenais plaisir à me voir faire cela... Moi je me forçais à prendre du plaisir en jouant le jeu de la femme soumise aux moindres de tes désirs obscènes comme une vulgaire traînée. J'avais l'espoir que le jour de notre mariage allait changer cela, mais quand tu as osé me demander de coucher avec ton propre père, j'ai compris que c'était peine perdue.

Je ne comprenais plus notre couple et son avenir et toi je ne te reconnaissais plus du tout. Je préférais cet homme un peu maladroit et pas sûr de lui, c'était mon chéri, mon Gautier, mon homme tout à moi. Puis il y a eu le point de non retour...

Je te surprends en train de coucher avec ma propre sœur devant mon frère qui couche avec ma mère. Et selon tes propres mots, ce n'était pas ta première fois avec Justine, en plus d'apprendre aussi de m'avoir trompé avec ma maman.