La Demande En Mariage Chapitre 07

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L'histoire touche à sa fin...
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/09/2021
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Résumé de l'histoire:

Voilà maintenant un an qu'Annie et Gautier sont en couple. Etant sûre d'être tombée sur l'homme de sa vie, la jeune femme décide de le présenter à toute sa famille.

Mais lors du séjour dans la maison familiale, Gautier se blesse aux poignets en glissant dans les escaliers extérieurs et reste là-bas pendant une semaine sous les soins de sa belle-mère, Suzanne. Attiré par le charme naturel de cette femme mature, qui lui fait des avances dés la première nuit d'absence de sa fille, le jeune homme trompe plusieurs fois sa petite-amie avec elle.

Les surprenant tous les deux dans une situation compromettante, Justine, la petite sœur d'Annie, profite elle aussi de lui en jouant de ses charmes et de sa malice.

S'en voulant énormément de s'être laissé aller pendant l'absence de sa dulcinée, Gautier décide de lui avouer la totalité de ses infidélités, mais lorsqu'il la découvre en train de le tromper à son tour avec son frère Thomas, il se ravise, découvrant au passage, le plaisir procuré par la vue de sa bien-aimée faisant l'amour avec un autre homme devant lui.

Devenant ainsi soumise à ses caprices de libertinage, Annie qui cherche à se faire pardonner, va dès lors coucher avec des inconnus jeunes ou vieux selon les envies lubriques de son amoureux qui ne cesse de trouver des idées aussi perverses les unes que les autres.

Le jour de leur mariage ne fera pas exception puisque Gauthier envoie Annie dans le lit de son père sans qu'il se doute qu'il s'agit de sa belle fille. Pendant ce temps, Thomas est sur le point de craquer et d'avouer son attirance pour elle à sa mère...

Chapitre 7: Prends soin de toi

Tout en se déhanchant du bassin sur le membre dur de beau-papa, Annie regarde du coin de l'œil son mari qui la filme avec son portable. Ce dernier, excité comme jamais, s'applaudit presque de cette ingénieuse idée, si tant est qu'elle le soit, qui lui a traversé l'esprit le jour même de son union avec Annie devant l'église.

— Mmmm oh Claudine, je ne te savais pas aussi coquine, oui continues, frottes toi contre moi!!! L'encourage Jean-Pierre qui semble apprécier plus particulièrement les coups de bassin que sa belle-fille donne à son pieu en pleine vigueur.

D'un signe de main, tremblante d'excitation, Gautier fait comprendre à son épouse de lui enlever son pantalon en smoking noir. Lui obéissant, comme toutes les fois où elle a dû assouvir ses fantasmes, la jeune femme ouvre sa ceinture et sa braguette en faisant attention à la bosse proéminente qui pousse son slip bleu. Pantalon aux chevilles, les yeux toujours bandés et les mains encore attachées, le père de son époux est prêt à passer à la casserole.

Pourtant une certaine hésitation commence à naître chez Annie, malgré qu'elle soit excitée de se retrouver comme ça en petite tenue, le jour de son mariage avec son beau-père. Elle regarde une nouvelle fois Gautier avec un regard qui laisse deviner la question qu'elle lui pose : « Es tu vraiment sûr que je dois faire cela avec ton père? »

Mais complètement pris par le feu de l'action, ce dernier ne se rend pas compte de son désarroi. Tenant d'une main son portable qui enregistre la scène et l'autre se frottant l'avant de son pantalon dû à l'excitation que ça lui procure, il lui fait signe de continuer d'un geste de la tête en la traitant sans se rendre compte sur le moment, non plus comme son épouse mais plutôt comme une vulgaire pute.

Dévouée à cet homme pour lequel elle a, cet après-midi même, accepté les liens sacrés du mariage à l'église, Annie se met à quatre pattes entre les jambes de son beau-père et penche son visage pour se retrouver juste à quelques centimètres de la bosse qui déforme le slip. De là où se trouve Gautier, Annie est magnifique, le cul séparé par son string blanc, bien cambrée en l'air devant son père.

Sans faire de bruit, il fait le tour pour approcher son portable près du visage de sa femme qui, les joues en feu, commence à sortir sa langue pour venir lécher la bosse à travers le tissu bleu.

Toute tremblante de honte, mais aussi d'excitation, Annie lèche fébrilement la bosse tandis que Jean-Pierre gémit comme un fou en sentant les coups de langue.

A travers son slip, la pointe de la tente commence à s'humidifier par les premières gouttes qui sortent de son gland gonflé de plaisir.

— Oh mon dieu Claudine... Tu ne m'as jamais fait cela avant mmmm!!! Est-ce le mariage de mon fils qui t'as donné cette idée-là? S'écrie-t-il, croyant toujours que c'est sa nouvelle compagne qui à eu cette idée folle de s'envoyer en l'air au dernier étage de cet hôtel.

Peu importe, serrant la base de son pieu pour le branler, sa belle-fille ouvre grand la bouche pour emboucher son gland toujours couvert pour pouvoir le pomper. Le slip empêchant tout moyen de faire glisser ses lèvres le long de la verge, Annie émet de courts allers et retours tandis que Jean-Pierre se tord de plaisir.

— Aaaaah ah bon sang ... Ah ouii c'est bon, continues!!!

Son fils continue d'enregistrer en trouvant géniale l'idée de sa femme de cette fellation à travers le slip. Mais fini de jouer, il lui fait comprendre d'un nouveau geste de la main qu'il est temps qu'elle rentre vraiment en contact avec le gland de son beau-père. La jeune épouse lui obéit et baisse le slip qui rejoint le pantalon aux chevilles et fait face au pénis de beau-papa.

La longueur et la grosseur de son sexe l'étonne, si on doit faire une comparaison «père/fils », disons que le père remporte la main, il est dorénavant l'heure de rendre hommage à cette érection qui n'attend plus qu'elle pour jouir. Ayant bien l'intention de lui vider les bourses, en tout cas, c'est ce qu'ordonne presque son mari, Annie ouvre grand la bouche pour accueillir le gros gland chaud et brillant de cet homme qui gémit immédiatement après avoir compris ce qu'elle lui fait.

— Ooooh ooooh c'est divin mmmm c'est diviiiiiin!!!! Hurle-t-il presque en donnant de son côté des coups de rein pour pouvoir encore plus s'enfoncer dans la bouche de sa belle fille.

S'en est trop pour Gautier qui ouvre sa braguette afin de pouvoir se masturber en regardant sa femme en pleine action. Sans rien dire, il se place derrière elle en la filmant encore, puis sans lui en avertir, il lui donne une claque aux fesses, ce qui fait sursauter Annie lâchant un gémissement déguisé.

— Mmmm!!!!

— Mais... Mais quel est ce bruit? Tu te donnes toi-même une fessée, c'est ça? Questionne Jean-Pierre.

En réponse, Gautier souriant diaboliquement, répète son geste en faisant encore claquer sa main sur le cul rebondi d'Annie qui gémit une nouvelle fois.

— Oh alors tu aimes être fessée hein vieille garce? Mmmm tu me l'avais jamais dit espèce de salope, attends tu va voir quand on rentrera à la maison, je t'en donnerai moi des fessées aaaaah!!!! Affirme le vieil homme qui prend un pied énorme en se faisant sucer le manche.

Car si la jeune mariée était timide tout à l'heure avec les bijoux de famille de beau-papa, c'est maintenant un festival de coups de langue et de pompage entre les lèvres qu'elle lui donne, comme si sa vie en dépendait.

Mais un nouveau geste de Gautier la fera sortir de son état second, il est l'heure de monter sur ce braquemart pour se la fourrer dans le baba.

Grimpant sur le lit toujours habillée de sa lingerie de mariée, la voilà en califourchon au dessus de lui, la queue à l'air qui frotte contre son vagin seulement protégé par son string en dentelle blanc. C'est son tendre époux lui-même qui va écarter la fine ficelle afin de libérer un puits d'amour qui mouille comme une fontaine.

Le regardant derrière elle, Annie saisit l'information et vient s'empaler sur la verge du père de son époux qui glisse comme une lettre à la poste entre ses lèvres jusqu'à que ses grosses couilles poilues entrent en contact avec son superbe cul cambré.

— Mmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm!!!! Gémit-elle en se mordant les lèvres afin de s'empêcher de dire un mot.

— Oh nom de dieuuuuuuuuuuuuu que c'est bonnnnnnnnn aaaaaah!!!! Chante en cœur Jean-Pierre, qui ressent un bien être fabuleux aussitôt après que son pieu soit enfermé dans le ventre de sa belle-fille.

Mais ce n'est plus l'heure des préliminaires, la jeune femme bondit aussitôt sur ce magnifique gourdin qui entre et qui ressort de son sexe trempé.

Plaquant ses seins libres aux tétons dressés et durs contre le torse velu de beau-papa, Annie l'embrasse dans le cou puis sur les joues avant de venir lui rouler une formidable pelle. Se joignant a cette belle initiative, Jean-Pierre entremêle sa langue avec la sienne, gémissant tous les deux comme des animaux en chaleur.

Médusé, les regardant faire, Gauthier se branle en ayant la tête qui tourne. C'est vrai que ce n'est pas la première fois qu'il envoie sa femme dans les bras d'un autre, mais là, avec son père, l'excitation est à son paroxysme.

Se relevant sur ses hanches tout en continuant de bondir sur le pénis de son beau-père, Annie regarde Gautier en se caressant les seins, se mordant les lèvres devant son mari qui vient d'un coup et éjacule de partout sur le sol tellement son orgasme est intense.

— Oh oui encore Claudine... Oui encore, je vais venir, je vais jouir oooooooooooooh!!! Prévient Jean-Pierre qui se tord un coup sur la gauche puis sur la droite.

Tout de suite après ce signal, Annie s'enlève puis se jette sur son membre brillant pour le sucer à nouveau tout en le branlant à la base. En lâchant des gémissements stridents, Jean-Pierre ondule du bassin tandis qu'Annie a la moitié de sa verge dans la bouche.

— Oooooooooooooooooooooooh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii aaaaaaaaaaaaaaaaaaah!!!! Hurle Jean-Pierre qui n'a pas jouit comme ça depuis bien des lustres.

Annie tente de se retirer immédiatement mais la main de Gautier posée sur sa tête lui empêche toute tentative, le message est clair, elle doit recevoir le foutre de beau-papa qui s'accumule giclée après giclée dans sa bouche.

Ne pouvant plus faire autrement, Annie avale ensuite le breuvage épais de Jean-Pierre en fermant les yeux et fronçant les sourcils. Gautier immortalise les dernières images en filmant sa femme léchant le gland gluant de son père qui ramolli peu à peu.

**********************

Un peu plutôt, à l'étage d'en dessous, Suzanne regarde la tente qui déforme l'avant du pantalon de son fils.

— Thomas mon dieu.... Mais qu'est ce qu'il te prends voyons, tu n'as pas honte d'être dans cet état devant ta mère? Le gronde-t-elle faiblement sans pour autant lâcher du regard son entre-jambe.

— Je crois que la honte ne m'atteint plus maman. Regardes papa, crois-tu qu'il n'a pas honte d'avoir un fils comme moi!!! Se plaint Thomas qui ne fait rien pour cacher son érection grandissante à sa mère.

Médusée par la taille de cette bosse qui semble en dire long sur la grosseur de l'engin qui s'y cache, Suzanne sent monter entre ses cuisses une chaleur érotique. L'alcool ingurgité durant la journée y aidant sans doute, il faut dire qu'elle a bien fêté le mariage de sa fille...

Mais pas autant que son mari qui ronfle comme un porc dans la chambre d'en face. Mais ce n'est pas le moment de craquer comme elle l'a fait dans le passé avec son gendre, il s'agit de son fils, elle se doit de réagir malgré ses joues qui rougissent et ses sens féminins qui s'affolent.

— Chéri voyons, je sais qu'entre toi et ton père c'est compliqué et que ça te tracasse!!! Dit-elle en regardant toujours cette maudite bosse, sans pouvoir en détacher son regard.

— Je me moque bien de ce que pense papa de moi, mon problème c'est avec toi maman!!! Reprend-t-il en s'approchant de sa mère qui ne comprend pas où il veut en venir.

— Avec moi... C'est-à-dire?

— Ne fais pas l'innocente, crois-tu vraiment que je ne me suis pas rendu compte que tu savais que je te regardais dans la salle de bain? Interroge Thomas qui s'avance encore tandis qu'elle recule pour se retrouver dos au mur de la chambre.

— Thomas... Mais que dis-tu, voyons, je ne l'ai jamais su!!! Ment-elle sans vraiment être persuasive.

— Tu mens... La porte était à chaque fois grande ouverte pour me permettre de te voir dans tes lingeries qui me rendaient fou tous les jours!!! Insiste-t-il en prenant d'un coup le bord du décolleté de la robe bleue foncée de sa mère en le tirant d'un geste brusque vers le bas.

— Thomaaaaaaaas mais!!!!!! S'écrit-elle alors que ses énormes seins se retrouvent à nouveau dénudés comme tout à l'heure, ondulant de façon obscène devant les yeux de son fils.

Complètement sidérée par cette attaque incorrecte, Suzanne tente de remonter rapidement sa robe mais Thomas l'en empêche, maintenant ses mains vers le haut afin de lui laisser le temps de bien se rincer l'œil. Plus Suzanne se débat, plus ses énormes mamelles laiteuses se balancent dans tous les sens.

— Tom... Ça suffit, laisses moi, je suis ta mère!!!!

— Non maman, je ne veux pas, tu es belle... Tu m'excites avec tes gros nibards!!!! Ajoute-t-il crûment, agrippant à nouveau sa robe pour la tirer encore plus bas, jusqu'au sol malgré les plaintes de sa mère.

— Thomas, mais tu es fou, ma robe!!!! Rougit Suzanne qui se retrouve seulement habillée d'un porte-jarretelles bleu qui maintient ses bas noirs à coutures et d'une petite culotte en soie bleue recouvrant tant bien que mal ses poils pubiens.

Juchée sur ses talons bleus qui allaient pourtant si bien avec sa robe maintenant au sol, sa mère est terriblement sexy, même si toutefois, elle est habituée à porter ce genre de lingerie sous ses tenues de tous les jours. Thomas la regarde de la tête aux pieds avec le regard d'un félin en quête d'une proie, alors qu'elle essaie encore une fois de le raisonner.

— Thomas stop, tu n'es pas dans ton état normal, ça suffit!!!!

Son fils s'approche d'elle en tendant ses mains vers sa poitrine dénudée mais elle le repousse brusquement puis se dirige rapidement vers le couloir pour quitter la chambre de son fils oubliant son accoutrement. Mais très vite, Thomas s'interpose en se plaçant devant la porte entrouverte, il pousse ensuite sa mère vers les toilettes se trouvant juste à côté de la porte du couloir.

— Thomas... Non chéri, laisses-moi m'en aller!!!! Supplie Suzanne tandis que son fils défait nerveusement la braguette de son pantalon faisant jaillir une bite colossale dont le gland pourpre est déjà sorti du prépuce.

Regardant cette barre de chair pointer vers sa direction, Suzanne se sent défaillir.

— Oh mon dieu chéri mais... Mais!!!! Essaie-t-elle en vain de le faire revenir à la raison alors que son corps la trahit.

En effet, ses tétons pointent comme des pointes de crayons tandis que son entre-jambe brûlant de désir à la vue sur cette merveilleuse queue, inonde sa culotte bleue.

— Je sais que tu en as envie maman, tout autant que moi!!! Tu es une femme frustrée car mon conard de père ne te fait plus l'amour comme tu le mérites tant!!! S'écrie Thomas qui retourne sa mère face aux toilettes en tirant d'un coup sec sa petite culotte qui se déchire sans opposer une seule résistance.

Là voilà cul nue devant son fils qui installe son pieu entre ses fesses pour se branler comme un fou entre elles.

— Oh mon dieu Tom, nooon, arrête, ça suffit!!! Supplie Suzanne sans pour autant tenter d'empêcher quoi que ce soit, au lieu de ça, elle se tient penchée en avant les mains plaquées au mur carrelé d'en face.

De sentir ce membre chaud et dur, glisser entre ses grosses fesses, l'excite incroyablement d'autant que savoir que c'est son fils qui semble abuser d'elle la fait encore plus mouiller.

C'est fou comme l'interdit peut parfois servir d'aphrodisiaque dans ce genre de situation!!!

Bien qu'il n'y ai aucune pénétration, la barrière morale de l'inceste est tout de même là mais Thomas ne compte pas de se contenter d'une simple branlette Espagnole dans la raie du cul de maman, il veut plus.

— Maman, c'est peut-être la seule fois où j'aurai la chance de te faire l'amour alors ....!!! Il s'arrête de parler, pour placer son gland là où il souhaite le faire aller.

— Quoi Tom... Que comptes-tu me faire dis moi... Dis le moi??? Demande Suzanne qui sent tout de suite le pieu chaud comme la braise entrer en contact avec son anus.

— Je vais t'enculer maman, tu m'entends, je vais t'enculer comme jamais tu l'as été!!!! Lui lance-t-il en commençant à appuyer sa verge contre les parois du trou du cul maternel.

— Non... Oh mon dieu Thomas, tu ne vas tout de même pas oser me faire ça? Angoisse Suzanne qui se rappelle malgré sa situation, qu'il y a bien longtemps qu'elle ne s'est pas enfoncé son gros godemichet dans le fion lors de ses plaisirs solitaires quand elle se retrouve toute seule à la maison.

Tentant de le repousser en appuyant faiblement sa main contre son torse, l'idée audacieuse de son fils allume tout de même sa curiosité de pouvoir sentir ce superbe pénis, élargir sa rondelle. D'ailleurs, voici que son gland pénètre dans son cul, lui faisant lâcher un cri de douleur, découvrant avec surprise au passage, que la queue de son fils est plus grosse que celle de son père ainsi que de son godemichet.

— Oh mon dieu Thomas mon dieu.... Tu es rentré!!!! S'exclame-t-elle inutilement puisque ce dernier, tout en sentant l'anneau du fion de sa mère serrant sa colonne veineuse, en ouvre la bouche de bonheur tout en levant le visage au plafond.

— Ooooooooooh maman.... Je t'encule.... Je t'encule, c'est bonnnnnnnnnnnnn!!!! Gémit-il en continuant de forcer le passage pour faire rentrer le reste de son dard.

— Aaaaaaah non non.... Retires toi chéri, retire toi, j'ai en plus envie de faire pipi, laisses moi!!!! Le repousse-t-elle en gémissant aussi.

Elle voudrait tant l'encourager de continuer de la sodomiser comme jamais son père n'a su le faire après plus de 25 années de mariage, mais son rôle de mère lui empêchant de dire un mot.

Non mieux vaut continuer à jouer la victime en faisant celle qui n'est pas d'accord. Néanmoins, l'envie d'uriner se fait toujours pressante et cette queue qui lui bombarde l'arrière train, augmente la pression sur sa vessie.

— Chéri mmmmm.... Retires toi aaaah, je vais faire pipi, je ne vais plus pouvoir me reteniiiiir!!!! Prévient-elle qui sent que ses forces l'abandonnent.

— M'en fous, m'en fous!!!! La terre peut s'écrouler, je continuerai de t'enculer quoiqu'il arrive aaaaaaaaah!!!! Refuse Thomas qui attrape la jambe droite de sa mère par derrière la cuisse et la soulève bien haut comme un chien le fait pour pisser contre un arbre. «Voilà pisses maman, pisse pendant que je te sodomise!!! »

— Aaaaaah aaaaaaaaaah Thomas nooooon!!!!! Hurle Suzanne morte de honte, qui se lâche impuissante en urinant de partout devant elle, une jambe en l'air et le sexe dur et long de son fils enfouit jusqu'aux couilles déchargeant un torrent de foutre qui circule dans ses intestins «Oooooooh mon dieu oooooooooh c'est... c'est si embarrassant!!! » Crie-t-elle en même temps, ne pouvant contenir son émotion tandis qu'elle finit de pisser.

Plus la peine de faire semblant, maman vient de prendre un pied fou, d'être sodomisée par son propre fils, et d'avoir jouit en ayant vidé sa vessie en même temps est une sensation extraordinaire.

— Maman, j'ai encore envie de toi!!! Annonce Thomas qui s'écroule contre son dos pour se remettre de ses émotions.

— Mais, mais tu viens de jouir... Comment peux-tu être encore excité? Lui demande-t-elle en se tournant vers lui, l'air surprise.

***************************

Plus haut, Gautier regarde sa femme couchée dans le lit à côté de son beau-père qui s'est rapidement endormi en ayant toujours les mains liées et les yeux bandés.

Sans faire de bruit, il s'approche de l'oreille de sa femme pour lui chuchoter:

— Je descends en bas sinon ils vont tous se demander où l'on est, rejoins moi quand tu peux OK?

— Mais ton père, je fais quoi? Lui demande-t-elle le regard inquiet.

— Détaches lui simplement les bras, demain il se réveillera en retirant son bandage aux yeux et se dira que Claudine à quitté la pièce avant lui, c'est tout!! Lui explique-t-il en s'en allant.

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