La Demande En Mariage Chapitre 06

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Surpris au début, l'inconnu passera la seconde très rapidement pour lui caresser les seins à travers son débardeur noir mais aussi pour lui caresser le cul en remontant sa ridicule jupe en jeans lui dévoilant l'absence total d'une culotte ou d'un string sous le collant translucide, en prenant le risque que quelqu'un s'aperçoive de leurs manigances si peut-être est-ce déjà fait.

Là suite se finira dans les toilettes publiques (comme quoi, ce genre de lieu à toutefois son utilité) où Gautier filmera discrètement Annie en train de bondir avec frénésie sur l'extraordinaire pieu noir de son amant assis sur un WC qui lui pourfendait en deux ses lèvres d'amours.

Le collant déchiré dans l'action, elle jouit comme une folle de se savoir baisé devant son futur mari se trouvant près d'eux, juste au dessus du petit mur qui sépare les deux compartiments, n'allant pas jusqu'au plafond de la pièce. Pointant d'une main tremblante d'excitation, son portable vers eux pour enregistrer la scène qui se déroulait devant ses yeux.

Gautier se souvient encore des rapides « Ah ah ah ah ah ah ah!!! » gémissements de sa futur femme à chaque fois que le gros gland de cet homme à peau noire, venait se nicher au fond de son utérus. Entendant au passage ses jolies fesses claquer contre le ventre musclé de cet homme, certainement très heureux d'avoir pris le métro ce jour-là.

Mais un autre souvenir lui revient aussi en tête... Plus d'une fois, Annie lui confia qu'un de ses patients, âgé de plus de 80 ans, qui s'était fait opérer d'un bras la regardait avec insistance, son jeune corps enfermé dans sa blouse blanche lorsqu'elle venait le voir pour prendre soin de lui.

Devinant son trouble d'être regardé de cette manière par à ce vieux papy veuf depuis un sacré bout de temps qui à l'âge de son grand-père, Gautier dû faire des pieds et des mains pour qu'elle accepte de faire ce qu'il lui demanda.

Le deal était pervers bien entendu, il fallait exciter ce vieux cochon pour qu'il retrouve la jeunesse de ses vingt ans le temps d'une soirée lors de ses gardes de nuit à l'hôpital.

Pour y aider, il insista qu'elle s'habille de bas noir à poids (les mêmes qu'elle portait le jour qu'elle lui présenta sa famille) et d'une culotte noire en dentelle fendue, nul besoins de soutien-gorge, pourvut que ses tétons pointent d'excitation se dessinant clairement à travers la blouse, s'était encore mieux.

Juchée sur ses escarpins noirs, qu'elle enfila peu de temps avant d'aller voir le vieil homme car le règlement de l'hôpital interdit aux infirmières de porter cela aux pieds. Elle jouera parfaitement le rôle de l'infirmière salope se baladant devant ses yeux devenus gros comme des balles de ping-pong pendant qu'elle lui donnait à manger puisque son bras dans le plâtre lui donnait l'impossibilité de le faire lui même.

Prétextant de venir apporter le repas de sa femme à l'hôpital, Gautier regarderait la scène derrière la porte, toujours son portable en main en train de filmer sa femme qui nettoie le bas de la blouse de son vieux patient après avoir fait exprès de faire tomber un plat dessus.

La tente proéminente qui pointait droit vers le plafond étonnait autant Annie que son amoureux qui bandait déjà, sachant la suite du scénario prévu.

Prétextant un nettoyage du bas de son corps après le casse-croûte, elle soulèvera la légère blouse pour dévoiler un pénis dur et veineux qui n'en finit pas de bander, couronné par un gros gland (plus tout neuf) à moitié sorti de son prépuce. La forêt de poils pubiens blancs et gris faisant rappeler à la jeune infirmière de plus en plus excitée, que cette magnifique dague de chair, avait plus de 80 ans au compteur.

Jouant au chat et à la souris avec cet homme qui vivait chaque jour par bonus depuis le décès de son épouse, elle finira par lui donner ce qu'il attend depuis plus d'une semaine. Lui taillant une pipe phénoménale en goûtant ce vieux pénis qui lui remplira entièrement la bouche, alors que le papy se régalera de la voir blouse blanche ouverte tandis que ses doigts de sa main non plâtré, explore avec gourmandise, son jeune minou à l'air libre entre les deux lanières de sa culotte noire ouverte prévu pour ce genre d'attention à son égard.

Consciencieuse du travail bien fait, Annie finira de traire ses vieilles couilles, en avalant tout son foutre comme une véritable salope devant le regard ébahi de son bonhomme qui devine clairement qu'Annie aime les vieux cochons.

Mais malgré ces pseudos aventures sous les regards de Gautier, Annie ne se voit tout de même pas en train de faire l'amour avec son propre beau-père.

— Chéri ... Tu te rends compte que c'est le jour de notre mariage quand même?

— Ooooh s'il te plaît, ne me dis pas que ça t'exciterais pas!!! Supplie-t-il avec un regard d'enfant tout en caressant sa cuisse sous la longue robe blanche.

Elle regarde autour d'eux en retirant sa main. Néanmoins, son regard à changé et un soupçon d'excitation se traduit dans ses yeux.

— Mais que va t'il dire ... De quoi j'aurais l'air moi après, quand on se reverra pendant les réunions de famille?

— Et ton témoin de mariage placé juste à tes côtés à notre table ... Tu t'es bien montré à lui alors que sa femme était assise près de toi non? Rétorque t'il en pointant le regard sur le témoin de mariage de sa femme qui s'amuse avec d'autres amis sur la piste de dance.

— Alors là tu es gonflé tout de même, je te signale que c'est toi qui as insisté que je fasse ça devant lui, j'étais morte de trouille que Sophie s'en aperçoive!!! Le gronde-t-elle en lui pinçant le bras par mécontentement de ses reproches.

Annie se souvient d'avoir avoué à Gautier (au début de leur liaison) que Arnaud, son meilleur ami depuis le lycée et aujourd'hui son témoin de mariage, qu'elle se doutait fortement que ce dernier avait le béguin pour elle. Cette confession n'était pas tombée dans l'oreille d'un sourd.

Et dès lors que leurs aventures libertines étaient devenues une routine, Gautier lui rappela cet aveu et après avoir maintes et maintes fois fait un caprice, Annie accepta d'aguicher délibérément son futur témoin de mariage.

L'ayant invité à la maison pour diner avec sa femme Sophie, le deal était de rendre fou le pauvre Arnaud qui rougissait et bandait à chaque fois qu'Annie (assise sur le canapé en face de lui, avec Sophie ) écartait ses cuisses gainées d'un collant chair ouvert pour lui montrer ses lèvres intimes à l'air libre puisque ce soir là, son futur époux lui demanda de porter une culotte fendue en dentelle blanche qu'il avait prit soin de lui offrir le jour même.

Faisant mine d'être occupée à parler avec Sophie ou de s'occuper de remettre convenablement sa boucle d'oreille etc. ... Le plus compliqué pour Annie, était de garder la tête froide et de continuer à parler comme si de rien n'était avec Sophie, alors que ses yeux fixant ses lèvres intimes offertes à lui, l'excite de plus en plus.

D'ailleurs Arnaud n'arrivait plus à suivre sa discussion avec Gautier, les yeux braqués sur l'intimité de sa copine d'enfance qui fur et à mesure qu'il fixait ses cuisses grandement écartées, devenait de plus en plus mouillée.

Une fois le soirée finie, Gautier constata l'état d'Annie devenue chaude comme de la braise.

La suite... les jeunes mariés le savent, ils ont baisé comme des bêtes , il lui arrachera sa robe, laissant Annie seulement habillée de ses talons rouges, de son collant chair ouvert et d'une culotte qu'encore aujourd'hui , Arnaud doit s'en souvenir!!! »

Baisant jusqu'à avoir la sueur au front, l'enculant jusqu'à la garde, tout en lui parlant de l'excitation qu'il a approuvé de savoir que durant toute la soirée, elle a aguiché comme une vrai salope, son meilleur ami et futur témoin de mariage avec comme cerise sur le gâteau, sa femme dans la même pièce qu'eux et qui n'y a vue que du feu.

Tout l'appartement sera visité, baisant ensuite sur la table du salon puis de la cuisine, la buanderie y passera ensuite, hurlant de gémissement stridents tandis qu'il la sodomisera alors qu'elle se tiendra penché en avant, contre le lave linge. Demandant à Annie d'imaginer que c'est Arnaud qui la démonte comme un animal en rut.

Les coups de boutoirs faisant trembler le lit et lui administrant plusieurs claques au cul tout en la traitant de salope tandis qu'Annie (jouant le jeu ) lui en demande davantage en l'appelant Arnaud.

Déchargeant à plusieurs reprises par devant et par derrière, buvant son jus d'amour lorsqu'elle lui pompera la verge pour finir, jusqu'à avaler le foutre de ses couilles qui n'arrivent plus à en produire tellement que la soirée fut intense sexuellement.

— Oui c'est vrai c'est moi, mais ne dit pas que ça ne t'as pas excité de savoir qu'il t'a regardé durant toute la soirée non?

— (Soupir) Oui sans doute, mais ce n'est pas la question, je n'ai rien fait avec Arnaud ... Mais là, de le faire avec ton père, c'est très gênant!!! Se plaint-elle en étant pas du tout sûre de son idée foireuse.

—T'inquiètes, j'ai une super idée, il ne saura pas que c'est toi ... Tu as juste à faire ce que je te dis mon amour!!!

— (Soupir) Tu es chiant tu sais? C'est vraiment pour te faire plaisir que je fais ça!!!

— Mmmm menteuse, j'en suis sûr que l'idée te plait au fond de toi et de t'avoir dit qu'il a regardé ton décolleté tout à l'heure, ne t'as pas laissé indifférente, hein? Insiste Gautier avec un sourire coquin. Les joues rouges de honte d'avoir été démasqué aussi facilement par son époux, Annie prend un regard sérieux.

— Bon ... Ca suffit maintenant, dis moi tout de suite ton idée à la noix avant que je change d'avis!!! Lui prévient-elle.

— Tu sais que je t'aime plus que tout mon amour ... Et puis dis toi que tu vas rendre heureux ton beau-père... N'est-ce pas une attention généreuse de la part d'une jeune épouse? Ajoute-t-il, Annie lui tape le bras.

— C'est plutôt pour faire plaisir à un époux qui a des idées très perverses, oui!!! Lui fit-elle la remarque avec un sourire complice.

Une fois qu'il lui a expliqué son plan, Annie quitte la table sans vraiment être rassurée de son coup puisse vraiment marcher, tandis que Gautier se dirige vers la table où mange son père qui profite de danser un peu pendant que Claudine est partie aux toilettes. Il y pose un papier sur son assiette et s'efface rapidement.

Après avoir dansé, Jean-Pierre revient à sa place avant que sa compagne ne revienne. Il découvre le bout de papier et l'ouvre en se demandant ce que ça vient faire là :

« Jean-Pierre, je n'en peux plus ... Voilà trois ans que nous sommes ensemble et jamais tu ma prise bestialement en me faisant jouir comme une folle. J'ai décidé que ce soir serait le grand soir pour nous. J'ai pris une autre suite qui se trouve au dernier étage, la 389, nous y serons plus tranquille, on m'a dit qu'il n'y avait personne d'autres que nous à cet étage ... Je t'y attendrai. Claudine »

Étonné, l'homme de 63 ans aux cheveux et la moustache blanchâtre pourvu d'un ventre qui pousse un peu en avant sur sa chemise, regarde autour de lui pour savoir si ce papier n'est pas un canular. Il n'aperçoit pas Claudine qui tarde à revenir.

Au même instant dans le hall de l'hôtel, Gautier arrête net cette dernière qui sort des toilettes pour venir rejoindre son père.

— Claudine ... Claudine, je peux vous demander de l'aide s'il vous plaît?

— Mmm Pourquoi, dites-moi? Demande-t-elle sèchement.

— La porte de la cave à vin est bloquée et je n'arrive pas à récupérer des bouteilles!!!

— Et que voulez-vous que je fasse mon pauvre garçon? Demande-t-elle, appréciant très peu que l'on requiert ses services.

— A deux nous pourrons facilement la débloquer et ça m'embête assez de demander de l'aide à un des personnels qui sont débordés ... Venez je vous prie!!!

Soufflant fort, elle suit Gautier en traversant un sombre couloir et une fois arrivée face à une porte en fer, Claudine regarde le fils de son compagnon et appuie sur la poignée pour se rendre compte du problème. À sa grande surprise, la porte s'ouvre facilement et elle entre dans la pièce pour découvrir, non une cave à vin mais une pièce de rangement pour le matériel de nettoyage.

— Mais c'est quoi ses âneries, pouvez-vous m'expliquer Gautier? Se tourne-t-elle vers lui en pétard.

Mais ce dernier ferme d'un coup la porte et la bloque avec un manche en bois récupéré peu de temps avant dans la même pièce où Claudine se retrouve enfermée.

— Gautier ... Ouvrez cette porte ... Ouvrez cette porte, vous allez voir, quand votre père saura ça!!! Hurle-t-elle en tapant en vain sur la porte puisque le jeune marié a quitté les lieux aussitôt son coup réussi.

Au loin, il remarque son père qui prend les escaliers pour aller rejoindre la soi-disant Claudine. Il croise en même temps Suzanne en train de maintenir debout Richard complètement saoul, qui chante des refrains de chansons paillardes, sans doute apprises à l'armée.

— Ah, je vois que beau-papa a bu un peu trop ce soir!!! Remarque-t-il.

— Oui, je l'emmène dans notre chambre, il ne tient plus debout de toute manière. Je n'ai pas vu Annie, tu sais où elle est? Interroge Suzanne.

— Je crois qu'elle est allée aux toilettes, pourquoi? Ment 'il.

— Dis lui juste qu'elle ne s'inquiète pas et que je redescends aussitôt que j'ai couché son père!!!

Il les regarde prendre l'ascenseur, puis il se met aussitôt à foncer dans les escaliers pour rattraper son père.

Au même moment, Suzanne arrive à l'étage où se trouvent leurs chambres, elle croise Thomas, qui se dirige seul vers sa chambre.

— Tom ... Chéri aide moi s'il te plait, ton père est trop lourd, notre chambre est juste là!!!

N'étant guère joyeux d'aider cet homme qui l'a quasiment renié pour le restant de sa vie, Thomas met son bras par-dessus son épaule et l'emmène jusque devant leur porte.

— Je suis désolé mon chéri, de te déranger comme ça, il n'a pas su se retenir et il n'a fait que de boire!!! Se confie Suzanne qui ouvre ensuite la porte à l'aide d'une carte électronique.

Thomas se débarrasse de son père en le posant sans ménagement sur le grand lit. Sa mère lui retire ses chaussures pour qu'il soit mieux tandis que son fils regarde son lourd décolleté qui se sépare d'elle, du fait d'être penchée en avant.

— Voilà il sera mieux comme ça!!! Dit-elle en se relevant sans faire attention que son époux lui attrape le haut de sa robe bleue en le tirant vers lui, faisant jaillir ses énormes obus mammaires qui virevoltent complètement nue sous les yeux de son fils qui se paralyse en les voyant. « Richaaaaard,!!! »

Gênée, elle remet sa robe convenablement pendant que son fils à du mal à regarder ailleurs.

— Aaaaaah quand ton père a bu, il est incorrigible!!! Se plaint-elle les joues rouges : « Je suis désolée pour ce vilain spectacle mon cœur!!! »

— Moi j'ai trouvé ça magnifique maman!!! Complimente Thomas qui quitte la chambre les mains dans les poches pour rejoindre la sienne.

Malgré l'embarras que son fils ait pu voir ses énormes globes laiteux dans toutes leur gloire, Suzanne s'aperçoit tout de même du mal être de son fils et le suit dans le couloir :

— Thomas, qui y a t'il ... Pourquoi me sembles-tu si malheureux aujourd'hui?

— Ce n'est rien maman, retourne t'amuser et ne te fais pas de soucis pour moi!!!

Thomas entre dans sa suite, mais sa mère qui veut savoir ce qu'il lui arrive, lui empêche de fermer la porte et entre avec lui en la fermant derrière elle.

— Chéri, je ne partirai pas d'ici sans savoir ce qu'il t'arrive? Persiste-t-elle, faisant retourner son fils vers elle, les yeux rouges et une bosse proéminente qui pointe entre ses jambes en direction de sa mère qui s'en aperçoit immédiatement. « Tom, mais ... Tu!!! »

Au dernier étage de l'hôtel, Jean-Pierre arrive devant la chambre prévue. Il regarde d'un côté et de l'autre dans le couloir puis il frappe à la porte. Celle-ci s'ouvre, la lumière est éteinte. Après un bref instant d'hésitation, il pénètre dans la pièce en parlant à haute voix pour se faire entendre :

— Claudine ... Claudine heu, c'est moi!!! Dit-il lorsqu'il découvre un ruban noir sur le lit et un mot avec marqué en grand dessus. « Si tu veux prendre un maximum de plaisir, mets cela sur tes yeux .

Agréablement surpris, le père de Gautier se laisse faire au jeu et serre le ruban sur sa tête, trouvant cette idée amusante et excitante:

— Mmmm Alors on veut jouer à cache cache, c'est ça ma chère?

N'ayant aucune réponse, il reste là, tandis que la lumière s'éclaire. Annie est là-devant lui, toujours dans sa robe de mariée. Restant silencieuse, elle pousse gentiment son beau-père contre le lit. Ce dernier, d'un air amusé, se couche dessus, attendant la suite des évènements.

— Alors mon amour, que faisons-nous ensuite, qu'avez-vous prévu? J'avoue être agréablement surpris de votre initiative!!!

La jeune mariée sourit en l'écoutant parler, elle lui attrape un bras et accroche, à l'aide d'un autre ruban noir, sa main droite au barreau du lit puis de même pour sa main gauche. Se trouvant complètement à la merci d'une femme qui n'est pas celle qu'il croit être.

Gautier arrive discrètement à ce moment-là il remarque son père couché et les mains liées puis il regarde sa femme qui ne semble pas vraiment être sûr d'elle. Souriant à son épouse, il passe derrière elle et défait l'arrière de sa robe de mariée qui tombe ensuite à ses pieds.

Là voilà habillée seulement de sa lingerie qu'elle avait soigneusement choisi pour son futur époux avant leur mariage et non pour son beau-père. une guêpière blanche sans bonnets, laissant ses magnifiques seins à l'air libre dont les tétons pointent en direction de son beau-père. Des bas blancs à pois et un string blanc en dentelle. Ses escarpins blancs à talons complètent cet ensemble de sous-vêtements rendant immédiatement dur son époux qui en a du mal à avaler sa salive.

Annie est superbe dans cette tenue normalement choisie pour son futur époux, mais c'est son père qui va pouvoir en profiter sans le savoir. Quelle ironie du destin!

Comme une sensation de ne plus pouvoir faire machine arrière, les cheveux toujours attachés par le voile blanc transparent qui ajoute une touche très érotique à sa tenue, elle se dirige vers le lit puis monte en califourchon au-dessus de Jean-Pierre en posant son délicieux petit cul rebondit et coupé en deux par la ficelle de son string, sur l'énorme tente qui déforme l'avant du pantalon tailleur de ce beau-papa bien chanceux.

Comme un rituel bien huilé, Gautier sort son téléphone portable de sa poche et met en marche l'option vidéo pour immortalisé une nouvelle fois les folles aventures extraconjugales de son épouse... la première depuis leur union à l'église.

Sentant sa barre de chair qui pousse contre son cul, elle ne peut s'empêcher de gémir : «Mmmmm!!!» Se mordant les lèvres inférieures pour se retenir de hurler son excitation grandissant lorsqu'elle le sent contre elle, un autre pénis que celui de son époux, la nuit même de son mariage.

Fin du chapitre...

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE