La Demande En Mariage Chapitre 05

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Annie avoue son infidélité...
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/09/2021
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Chapitre 5 : Le secret d'Annie.

— Bon appétit!!! Souhaite Suzanne qui commence à manger sa salade accompagnée d'une terrine de sanglier, suivie des autres convives assis à table qui souhaitent à leur tour, un bon festin.

Richard est le seul absent de ce repas où chaque personne joue la comédie, faisant style de n'avoir rien à cacher ou même se reprocher, alors que Gautier possède une véritable bombe qui mettrait un sacré foutoir au sein de sa belle-famille.

Tout en mâchant sa terrine, Justine regarde sa sœur en essayant de capter son humeur du moment.

En effet, Gautier étant parti droit vers la maison pour tout lui avouer ce matin même, elle est en ce moment persuadée qu'elle est au courant de tout, mais curieusement, rien chez elle n'inspire un ressentiment de haine envers elle et leur mère.

Entre-temps, elle ne sait pas que son beau-frère est tombé sur une scène impensable, où il a surpris sa sœur en train de se faire tout bonnement sodomiser par son frère Thomas.

Ce qui le stoppa net dans sa décision de lui avouer son infidélité. Seule Suzanne qui n'est ni au courant de leurs aventures nocturnes ni au courant que sa fille aînée s'envoie en l'air avec son frère mange sans se rendre compte que l'ambiance familiale peut basculer à tout moment... Mais elle-même serait elle-même exempte de tout reproche puisqu'elle s'est aussi fait sauter par son gendre en début de semaine.

Regardant du coin de l'œil Annie, Gautier touche à peine à son assiette tellement tout est confus dans sa tête. À vrai dire, c'est assez compréhensible, ce n'est pas tous les jours que l'on tombe sur sa femme en train de se faire ramoner le fion par son propre frangin... Et quel ramonage!!!

Le pieu de Thomas, long et gros écartelait l'entrée anale de sa chère sœur qui gémissait de bonheur à chaque fois que ses couilles venaient frapper son magnifique vagin luisant de mouille.

Tandis qu'il l'enculait sans distinction, elle se laissait aller avec cet amant assez original, lui laissant carte blanche avec son membre qui la faisait jouir de plaisir. C'était saisissant et Gautier, s'est lui-même surpris à bander en voyant sa femme le tromper juste devant ses yeux.

— Aaaaah ouiiii, ah c'est bonnnn... Une chance que ton bonhomme ne soit pas là ce matin, ça nous laisse le temps de bien jouir!!! Précisait Thomas en plongeant à toute vitesse sa longue queue tout au fond de ces entrailles.

Ses mots obscènes adressés à l'amour de sa vie résonnent encore dans sa tête, mais aussi les gémissements d'encouragement qui sortaient de la bouche de sa femme. Pourtant, il ne peut pas le nier, lorsque Thomas a joui dans son cul, Gautier a lui aussi déchargé dans son froc, dans un orgasme foudroyant, avant de s'être retiré sans se faire voir.

Plus tard, il fera semblant de venir vers elle, jouant celui qui n'est pas au courant de ce qu'il vient de se passer. Annie lui sauta dessus en l'embrassant, heureuse de le voir enfin. Jouant la petite amie qu'il l'aime d'un amour sans faille alors que sans doute, le foutre à son frère était encore au fond de son cul pendant qu'elle était dans ses bras.

Il est temps pour lui de faire le constat après cette semaine folle passée chez sa belle-famille.

Et d'une... Il se croyait fidèle de cette magnifique femme qu'il voulait demander en mariage, mais voilà qu'en une semaine, il s'en va tirer sa mère qui se sent seule au fond de son plumard quand son mari est absent et sa sœur qui semble avoir le diable au cul et pas qu'un peu. Et de deux... Voilà qu'il apprend que celle qu'il aime, profite de son absence pour se faire dégorger l'anus par son propre frère.

Il y a de quoi se gratter la tête et se demander où tout cela va le mener. L'esprit trop embourbé et n'ayant pas faim du tout, il se lève d'un coup de table tandis que les autres convives le regardent faire sans comprendre.

— Désolé, cette terrine est très bonne, mais je n'ai pas faim du tout... Je vais monter pour finir de ranger mes affaires pendant que vous finissez de manger!!!

— Chéri, ça ne va pas??? Demande Annie, avant de répéter une seconde fois devant l'absence de réponse de sa part : « Chéri... Réponds-moi bon sang!!! »

Annie se lève en regardant sa mère aussi surprise qu'elle et ensuite sa sœur qui vient de réaliser qu'elle n'est pas encore au courant de ce qu'il s'est passé cette semaine.

La jeune châtain part aussitôt le rejoindre pendant que Thomas se met à critiquer son beau-frère :

— Ah ben voilà... Une semaine à la maison et il se permet de quitter la table quand il a envie celui-là!!!

— Thomas s'il te plaît, on n'a pas besoin de commentaire!!! Lui lance sa mère.

— Quoi... Mais c'est vrai merde, il pourrait au moins rester à table!!!

— Que tu ne puisses pas le blairer est une chose, mais arrête de t'en prendre à lui comme ça... Tu es vraiment con quand tu t'y mets!!! Rajoute Justine.

— Oula... Ben vous savez quoi? Moi aussi, je sors de table, je vais aller me fumer une clope... Comme ça, je vous laisserai le temps de vous détendre. Annonce-t-il en se levant.

— (soupir) Tu m'avais dit que tu avais arrêté de fumer? Interroge Suzanne qui n'apprécie pas de voir son fils sortir son paquet de cigarettes de la poche arrière de son jeans troué.

— Si si... Regarde maman, j'arrête!!! Ironise-t-il en sortant sur la terrasse après avoir éclairé les lampes extérieures.

Un moment de silence s'installe où Suzanne ne tient plus à attendre comme ça, alors que sa fille est-elle, persuadée que Gautier est en train de tout lui expliquer, attendant le retour en pétard de sa sœur.

— Bon... Je me demande ce qu'avait Gautier, il n'avait pas l'air d'être dans son assiette!!! S'inquiète la blonde mature.

— Il est en train de tout lui dire... Lâche soudainement Justine qui regarde sa mère dans les yeux, les genoux et les bras croisés.

— Pardon... En train de lui dire quoi? Demande Suzanne qui ne comprend pas là où elle veut en venir.

— Que tu as couché avec Gautier!!! — Quoi, pardon??? S'étouffe sa mère, qui regarde sa fille complètement abasourdie par ce qu'elle vient de lui dire, mais pensant à une blague de sa part, elle enchaîne en jouant celle qui ne sait pas de quoi elle parle : « Justine... Mais tu es folle? Tu te rends compte de ce que tu viens de dire, ce n'est pas drôle, tu sais? »

— Oh non maman, ne joue pas à ce petit jeu-là avec moi s'il te plaît... Je vous ai surpris tous les deux dans la cuisine en début de semaine, tu sautais sur lui en gémissant tellement fort que je t'ai entendue crier du sous-sol!!!

— Mais... Mais!!! Bégaye sa mère qui ne sait plus où se mettre ni quoi dire.

— Il n'y a pas de mais... T'as couché avec ton gendre et t'as pris ton pied... Ce n'est pas plus compliqué que ça!!! Suzanne regarde un moment les yeux de sa fille puis baisse son regard sur son assiette. Le repas pour elle est fini, les mots durs, mais justifiés de sa fille lui ont définitivement coupé l'appétit.

— Mais... Qu'entends-tu par « Tout lui dire? » S'inquiète ensuite Suzanne qui sait désormais qu'il est inutile de continuer à mentir à Justine.

— Oh t'inquiète pas, tu n'es pas la seule à être dans la merde... J'ai couché avec lui lors d'une partouze à quatre, hier soir chez Angéla!! Avoue la jeune blonde en manquant complètement de tact, ce qui scotche sa mère sur sa chaise en cuir.

— Pardon... Mais, mais... Tu plaisantes là?

— J'ai l'air de plaisanter maman? Enfin bref... Ce matin, se trouvant mal vis-à-vis d'Annie, il a décidé de lui dire ce que toi et moi avons fait avec lui. J'ai essayé de le convaincre de ne pas le faire, mais c'était mort!!!

— Mon Dieu, mais Annie, comment va-t-elle le prendre??? Stresse Suzanne en mettant ses deux mains toutes tremblantes sur la bouche, commençant à avoir les yeux rouges.

— Tu connais Annie... Attends-toi qu'elle descende pour nous en mettre plein la gueule, de le dire à papa et que notre famille soit à jamais fâchée!!! Anticipe-t-elle à l'avance et qui rajoute avec bon sens : « D'un côté, elle aura raison de le faire. Comment le prendrais-tu toi, si tu apprenais que ta mère et ta sœur profiteraient de ton absence pour se jeter sur ton homme, dis-moi? »

Suzanne baisse la tête en signe de résignation devant la réalité des faits, ce qu'elles ont fait derrière le dos d'Annie est impardonnable. Dans un silence de plomb, elles attendent leur sentence alors que pendant ce temps-là, Annie a rejoint Gautier dans sa chambre, qui s'affaire à fermer ses sacs maintenant pleins.

— Gautier... Chéri, dis-moi ce qu'il se passe?

— Rien... Laisse-moi, s'il te plaît!!!.

— Non... Tu n'es pas bien, je l'ai senti dès que l'on s'est vu tout à l'heure... Dis-moi ce que tu as!!! Insiste Annie qui lui enlève le sac des mains. Gautier la regarde un moment puis il s'assied sur le lit, suivi de sa femme qui se colle à lui pour l'écouter :

— (soupir) Ben... Je t'ai surpris tout à l'heure en train de... Ben, de te faire prendre par ton frère!!! Avoue-t-il avec beaucoup d'hésitation. Annie se sépare de lui, la gorge nouée. Le choc est si violent, qu'aucun mot ne sort de sa bouche pour s'expliquer.

Toute pâle, elle se lève en se dirigeant vers la porte qu'elle ferme aussitôt à clef comme si elle voulait éviter que quelqu'un les écoute. Gautier la regarde faire sans dire un mot lui aussi. Le front collé à la porte, d'un ton faible et tremblant, elle lui pose une question :

— Pourquoi... Pourquoi tu n'es pas intervenu sur le moment?

— Je... Je ne sais pas Annie, j'étais tellement surpris, je m'attendais pas à te trouver comme ça avec Thomas!!!

— Écoute je... J'imagine bien que tu me trouves sale et que tu m'en veuilles à mort!! Dit-elle en se retournant vers lui, les yeux pleins de larmes.

Elle se dirige ensuite vers le lit pour fermer les sacs qui s'y trouvent, sans pouvoir le regarder dans les yeux : « Je vais te ramener à l'appartement et je prendrai mes affaires puis je disparaîtrais je te le promets!!! »

Gautier la regarde faire, estomaqué par cette si brusque et fatale décision. Il se lève en venant vers elle pour lui parler :

— Annie, mais que dis-tu, voyons... Annie!!! Tente-t-il de la raisonner quand d'un coup, elle se jette dans ses bras en pleurant.

— Mon Dieu Gautier... Mon Dieu mon amour, qu'est-ce que j'ai fait... Je suis désolée chéri, je m'en veux si tu savais!!!

— Calme-toi... Calme-toi!!! Console Gautier qui devient aussi mal à l'aise qu'elle du coup, sachant ce qu'il a fait cette semaine avec sa mère et sa sœur. Lui qui voulait tout avouer, s'est résigné à ne rien lui avouer pour l'instant.

Ils s'assoient de nouveau tous les deux sur le lit et Gautier attend qu'elle se calme pour pouvoir la questionner :

— Dis-moi chérie... J'ai besoin de savoir, comment tout ça a commencé? Demande-t-il.

Annie prend une pose puis décide de tout lui raconter :

— Ca faisait un petit moment que je m'étais aperçu que Thomas ne me regardait plus comme un frère lorsque je revenais à la maison, à l'époque, il n'avait pas encore 18 ans... Je le surprenais souvent à regarder mes décolletés et mes cuisses lorsque j'étais près de lui. Cela me troublait évidemment, mais en faisant attention à lui, j'ai remarqué qu'il en faisait de même avec ma sœur et ma mère, alors j'ai pris ça pour de la curiosité, vu qu'à cet âge, les hormones des garçons sont en pleines effervescences » commence-t-elle tandis que Gautier écoute attentivement sa confession.

— Puis, il y a deux mois de cela lorsque je suis venue en vacances ici pendant deux semaines tandis que toi tu travaillais... Tu te souviens?

— Oui... Oui, je m'en souviens!!! Confirme-t-il.

— J'avais pris une douche avant d'aller au salon pour regarder la télé avec mes parents. Mais au bout d'un certain temps, je me suis rappelé que j'avais oublié d'étendre ma serviette sur le porte-serviettes de la salle de bain pour qu'elle sèche. Je suis remontée et je suis tombée sur mon frère avec le string que j'avais porté la journée même, qu'il avait entouré autour de son pénis qui se masturbait avec!!! »

— « Qu'as-tu fait... Tu es entrée pour l'engueuler?»

— Non... Non, j'étais sur le coup surprise et troublée!!! Je suis restée là à l'observer faire ça et... Au bout d'un certain temps, il a joui dedans. Je ne savais pas quoi penser sur le coup, qu'il me regarde était une chose, mais de là, qu'il pique mes sous-vêtements pour se libérer dedans en était une autre!!! »

— « Tu lui en as voulu? »

— (soupir) Non... Au contraire, les journées qui ont suivi, je me suis trouvée touchée par cette attirance qu'il avait à mon égard, même si j'étais sa sœur et que cela était interdit. Thomas est tellement mystérieux et froid... Alors de savoir qu'il fantasme en cachette sur moi, sa sœur, m'a émue de sa part!!! Répond Annie, visiblement embarrassée.

— Et... Comment, enfin... Comment vous en êtes venus à passer à l'acte?

— Ben... Disons que... Je l'ai un peu aidé dans ce sens sans vraiment penser que l'on pouvait en venir à là!!!

— C'est-à-dire?

— Les jours qui ont suivis, je faisais tout pour attirer ses regards sur moi... Je remontais ma jupe très très haut lorsque j'étais assise au salon avec lui, je faisais style de ne pas m'en rendre compte, mais je savais très bien que la lisière de mes bas autofixants était en vue. Parfois, je m'asseyais en face de lui en faisant semblant de lire un bouquin et j'écartais les cuisses devant lui afin qu'il puisse voir la dentelle de mon string. Je faisais exprès de laisser, après ma douche, ma lingerie en évidence dans le bac à linge sale pour qu'il puisse se libérer avec. Je sais, c'est complètement pervers, mais pourtant... J'ai fait ça!!! »

— Mais pourquoi... Tu étais en manque, je te faisais mal l'amour!!!

— Non, tu n'y es pour rien du tout là-dedans. C'est juste... je ne sais pas (soupir). Cherche à s'expliquer Annie en se frottant le front : « L'attirance qu'avait Thomas pour moi était tellement interdite et cet interdit m'obligeait à lui donner ce qu'il voulait, je ne sais pas comment l'expliquer. Je t'aime et je sais que ce n'est pas bien de faire ça dans ton dos, mais une force intérieure m'oblige à braver cet interdit... C'est difficile à expliquer!!! »

— Alors... Que s'est-il passé ensuite?

— C'était à la fin de mon séjour chez mes parents, ma mère m'avait demandé d'aller chercher du pain à la boulangerie. En sortant de la maison pour prendre ma voiture, Thomas est intervenu en prétextant vouloir conduire notre voiture pour voir comment elle marchait, selon lui. J'ai accepté et puis...

— Et puis??? Demande Gautier qui sent que l'hésitation de sa femme en dit long sur cette simple balade en voiture.

Annie se revoit ce jour-là, il faisait beau en ce mois d'octobre alors, elle n'avait pas pris la peine de prendre son manteau. Seulement habillée d'un débardeur blanc à manches courtes, d'une minijupe rouge lui arrivant à mi-cuisses, elle descendait les marches d'escalier.

Les mêmes où Gautier a glissé et s'est blessé aux deux poignets, sauf qu'à cette époque-là de l'année, il n'y a encore aucun risque de gel. Malgré la chaleur, Annie avait pris le soin d'enfiler des bas autofixants gris pour ne pas avoir froid aux pieds, détestant cela.

Les talons hauts de ses sandales noires claquent sur les pavés lorsqu'elle s'approche de sa nouvelle Audi rouge fraîchement achetée avec Gautier.

— Annie... Attends-moi!!! Surgit Thomas qui sort du garage à toute vitesse pour la rattraper devant sa voiture.

— Qu'est-ce que tu veux? — Ben, je me disais que j'aimerais bien essayer ta toute nouvelle caisse, en plus c'est une boîte auto et ça m'intéresse bien de savoir ce qu'elle a sous le capot!!! Répond-il devant le regard interrogateur de sa sœur qui prend un petit moment pour accepter sa requête sachant qu'il aime bien rouler vite.

— (soupir) OK, mais tu roules doucement d'accord? Cette voiture n'est pas qu'à moi!!! Prévient-elle.

— Pas de souci, grande sœur!!! Tiens, je t'ouvre même la porte!! Déclare Thomas qui ouvre la porte passager pour la laisser entrer.

Sans rien dire, elle entre dans l'Audi sachant très bien ses intentions. Portant une jupe courte, automatiquement, elle se retroussera sur ses cuisses qui s'écarteront devant son regard avide sur son string en dentelle rose qui moule bien sa vulve.

Annie le sait, mais elle ne fera rien pour l'empêcher de profiter de la vue. Écartant même plus ce qu'il le faut les jambes, le haut de ses bas autofixants gris ne sont plus cachés par sa jupe qui remonte encore et encore.

Les étincelles plein les yeux, Thomas observe sa tendre sœur se mettre en place dans le véhicule puis ferme la porte et s'en va s'installer à son tour au volant.

Ne parlant quasiment pas durant le trajet, le jeune homme passe son temps à regarder la route et les cuisses presque entièrement dénudées de sa tendre sœur qui ne fait rien pour les couvrir. Sachant très bien qu'elle est observée, Annie sent monter en elle une chaleur sensuelle qui la rend toute chose. Après avoir pris le pain chez le boulanger, elle recommencera ce petit jeu « Regarde-moi puisque tu en as envie » en remontant encore plus sa jupe rouge, le rendant encore plus fou quand il aperçoit à nouveau son string rose épouser parfaitement ses lèvres intimes.

Prenant un chemin à travers les bois peu fréquenté pour lui permettre d'accélérer l'Audi, Annie se décide à parler de Gautier, que sa famille n'a encore pas rencontré à l'époque :

— Au fait, je pense présenter Gautier en décembre, à mon avis, tu t'entendras super bien avec lui, car lui aussi il adore les voitures!!! S'enthousiasme Annie.

— Je m'en fous... Je n'ai pas envie de le rencontrer!!! Rejeta Thomas.

— Mais pourquoi tu dis ça, tu ne l'as pas encore vu?

— C'est pas ça... Je n'ai pas envie de croiser ce type qui pose ses mains sur ma sœur, voilà tout!!! Rajoute-t-il tandis que sa sœur qui ne comprend pas sa réaction le regarde perplexe un instant et pensant que son frère souhaite simplement la protéger, ce qu'elle trouve mignon et surprenant de sa part.

— C'est gentil de t'inquiéter pour moi... Mais tu sais, Gautier est quelqu'un de très bien!!!

D'un coup, Thomas tourne à gauche et prend un petit chemin en terre qui s'enfonce dans les bois puis stoppe net le véhicule d'un grand coup de frein devant sa sœur médusée.

— Mais tu es malade, pourquoi tu as pris ce chemin-là?

— J'en peux plus, Annie je n'en peux plus!!! Lâche Thomas qui pose directement sa main droite sur sa cuisse gauche gainée de son bas gris.

— Mais... Thomas, qu'est-ce que tu as... Tu en as marre de quoi??? L'interroge-t-elle en posant ses mains sur la sienne en essayant de l'empêcher d'aller plus haut sur sa cuisse sans pourtant lui enlever.

— Mais je suis fou de jalousie envers ton mec... Tu es si belle, si femme, tu m'excites tellement Annie!!! Avoue Thomas.

— Mais Tom, t'es pas bien, je suis ta sœur... Tu t'imagines si maman et papa apprenaient ça? Tente-t-elle de raisonner.

— Mais je m'en fous, papa est un connard qui ne m'a jamais accepté pour ce que je suis et puis ne me dis pas que toi aussi tu n'as pas envie?

— Quoi, mais non, pas du tout!!! Rougit Annie en regardant partout autour de la voiture pour s'informer s'il n'y a personne d'autre qu'eux dans les bois qui pourraient les surprendre.

— Menteuse... Toute la semaine, tu n'as fait que ça de m'aguicher et ne fais pas l'innocente!!! Enchérit Thomas qui force sur sa main droite pour se dépêtrer de la molle barrière d'Annie qui lâche, lui laissant remonter sous sa jupe afin d'atteindre son string.

— (soupir) Thomas, mais t'es vraiment con hein... Arrête ça, je suis ta sœur, c'est immoral merde!!! Le gronde-t-elle sans lui interdire quoi que ce soit. Sa main passe rapidement sous son string pour venir lui caresser ses lèvres intimes.

— Tu me dis ça, alors que tu me laisses te caresser, et je vois en plus que tu es toute mouillée... Avoues, ça t'excite que je bande pour toi!!!

— « Non... Non ça suffit, rentrons!!! » Lui dit-elle en gémissant, son bassin ondule sous l'effet de ses caresses. Sa main gauche le tient au niveau de son bras, mais ne l'empêche pas pour autant de faire quoi que ce soit.

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