La Demande En Mariage Chapitre 05

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

— Ooooh grande sœur chérie, relèves ta jupe, montre-moi comme tu es belle, s'il te plaît!!!

— Mais... Mais tu es fou mmmm... On pourrait être vus? Lance Annie qui ne semble pas refuser de lui montrer ce qu'il souhaite tant.

— Mais non, mais non, il n'y a jamais personne ici!!!

— Mais tu es sûr???

— Oui... Allez, montre-moi!!!!

Annie soulève les fesses et remonte sa jupe au-dessus de son bassin, laissant voir entièrement à son propre frère, son string à dentelle rose dont chaque lanière remonte jusqu'en haut de ses hanches faisant rentrer encore plus le gousset du sous-vêtement dans sa vulve qui se sépare en deux.

— Oooooh putain que tu es belle!!! Gémit-il en tirant son pantalon vers le bas pour faire jaillir un pénis qui bande triomphalement vers le plafond. Annie le regarde avec étonnement.

L'ayant pourtant vue la dernière fois dans la salle de bain en train de se masturber avec son sous-vêtement, elle ne le croyait pourtant pas aussi bien doté.

— Bon sang Thomas, mais que fais-tu avec ça... Remets tout de suite ton pantalon, je te prie!!!

— Non... Branle-moi sœurette, j'en ai trop envie!!!

— Quoi, mais tu n'es pas bien ma parole!!!

— Allez prends-le s'il te plaît, juste un peu!!! Commande Thomas qui attrape sa main pour la porter sur sa queue l'obligeant à le branler grossièrement.

— Toooom (soupir) T'es chiant, tu sais? Le gronde-t-elle, mais branlant quand même cette bite qui continue à grossir dans sa main.

— Oh mon Dieu... Elle est plus grosse que celle de Gautier, c'est clair!!! Constate-t-elle sans rien dire, repensant malgré sa situation à la hampe de son petit ami.

Cette évidence de taille l'excite davantage, le fait aussi que le pénis qu'elle est en train de branler dorénavant toute seule soit celui de son propre frère. C'est fou comme l'interdit anime la curiosité et l'excitation chez une personne.

— Aaaaah je savais que tu voulais toi aussi, suce-moi maintenant!!! Gémit Thomas qui pose sa main derrière sa tête pour la pousser vers sa verge.

— Non... Attends Tom... De te branler je veux bien, mais te faire ça, il en est hors de question, je suis ta sœur et je suis en couple!!! Refuse Annie qui se retrouve quand même les lèvres collées contre son gland.

Elle tente encore de le dissuader :

— Thomas, arrête Aaaoummm!!! » La moitié de sa verge pénètre sa bouche qui doit aussitôt la pomper puisqu'il appuie sur sa tête pour la faire aller et venir malgré ses plaintes étouffées de sa bouche déformée par le passage de son gland.

— Mmmmm... Mmmmmm... Mmmmmm... Mmmmmm!!!!

— Oh ouiii, suce-moi bordel... Suce-moi, ça fait si longtemps que j'en rêve!!! Lui répète son frère qui ferme les yeux de bien-être, passant sa main derrière son cul pour écarter la ficelle de son string sur le côté afin de lui administrer directement un doigt dans le cul qui lui fait lâcher un « Mmmm » de surprise après avoir relaché le pénis de son frère. Dandinant du cul et gémissant sous l'effet de l'intrusion.

Annie s'arrête là dans sa confession, se sentant trop mal à l'aise de raconter la suite, tandis que Gautier la regarde sans rien dire un bref instant.

— Et... après? Demande-t-il en voulant à tout prix savoir la fin.

— Il a joui sans m'avertir dans ma bouche, si c'est ça que tu veux savoir!!! Répond Annie, regardant ailleurs, ayant terriblement honte d'elle.

— OK... Mais y a-t-il eu d'autres fois?

— Non, mis à part tout à l'heure où il s'est jeté sur moi pour m'avoir surprise penchée en avant en train de ranger tes affaires et que sans faire gaffe, ma robe remontait derrière moi... Non!!!

Après avoir écouté sa confession, Gautier se surprend en train de bander en imaginant sa femme la bouche remplie par un autre pénis que le sien. C'est fou, il devrait être fâché, mais pourtant non, de l'avoir entendue parler de cela, l'excite.

— Écoute Annie, j'aimerais savoir... As-tu fait ça avec d'autres hommes?

— Eh ben... Oui, un médecin qui est à la retraite maintenant. Il n'arrêtait pas de m'offrir des cadeaux que je jetais à la poubelle avant de rentrer chez nous. Puis un jour, il m'a offert de la lingerie fine en me disant sans se cacher qu'il aimerait me savoir dedans sous ma blouse d'infirmière... Sur le coup, je l'ai pris très mal et je l'ai giflé!!! »

— Mais... Mais ça vient de lui cette lingerie? Tu m'avais dit que tu l'avais achetée toi-même en faisant les magasins!!! S'écrie Gautier en se rappelant que le lot comprenait un soutien-gorge blanc en dentelle à bonnet à taille basse, une culotte fendue en dentelle blanche elle aussi et des bas autofixants blancs.

— Non... Je t'avais menti car je ne savais pas comment tu allais le prendre!!! Affirme-t-elle.

— Et... Ensuite?

— (soupir) Ben, il n'arrêtait pas de me tourner autour. Il insistait encore et encore pour que je porte ce qu'il m'avait offert... Alors un soir quand j'étais de garde et lui aussi, j'ai mis sa lingerie sous ma blouse pour lui faire plaisir et qu'il me lâche enfin. Je n'ai pas eu besoin de lui dire, il s'en est rendu compte tout de suite. Il a vu cela comme un appel de ma part et il s'est jeté sur moi en arrachant ma blouse pour l'ouvrir. Si au début j'essayais de le repousser, je me suis ensuite laissée aller et nous avons fait l'amour dans une chambre vide pendant quasiment toute la nuit... Voilà!!! » Raconte Annie, se rappelant de cet amant plus vieux que son père qui lui avait fait l'amour sur un lit d'hôpital au nez et à la barbe de ses collègues de travail, et avec qui elle a joui plusieurs fois comme une folle.

Avalant difficilement sa salive, Gautier se rend compte que les aveux de sa femme le rendent complètement dur dans son jeans. Un blanc s'installe dans la chambre et ne supportant plus son silence, Annie lui parle :

— Je vais te ramener à l'appartement et là-bas je prendrai mes vêtements pour déménager et te laisser tranquille, tu es d'accord? » Propose-t-elle alors que des larmes se remettent à coller le long de ses joues, sans doute à cause de la fatalité de ses mots.

Ne sachant pas quoi penser en ce moment même, Gautier accepte et se lève avec elle du lit. Lorsqu'ils reviennent tous les deux dans le salon avec leurs sacs Suzanne et Justine, toujours, assissent à la table de la salle à manger, se lèvent pour écouter ce qu'ils ont à leur dire :

— Bon... Ben voilà, merci pour cette semaine, j'ai apprécié d'être parmi vous!!! Remercie Gautier à sa belle-mère.

— Heu... Pas de soucis, je suis ravi d'avoir fait ta connaissance moi aussi!!! Lui répond Suzanne qui ne sait plus vraiment comment réagir devant lui et sa fille. Après les embrassades, ils quittent la maison pour prendre le chemin du retour dans la nuit. C'est une fois seule que Suzanne s'empresse de demander à Justine :

— Tu es vraiment certaine qu'il voulait lui dire, car je n'ai pas l'impression que ta sœur soit fâchée contre nous?

— Non... Moi non plus, c'est bizarre tout de même!!! Réfléchit Justine qui se frotte le menton en regardant l'Audi rouge quitter la cour.

— Vous en vouloir pourquoi? Demande Thomas qui regarde un match de football à la télé. Les deux femmes se regardent en silence puis se taisent, de peur qu'il en sache trop.

Plus tard, l'Audi conduit par Gautier prend l'autoroute qui les conduit tout droit vers chez eux. Annie ne dit pas un mot, elle regarde les véhicules qu'ils dépassent à tour de rôle.

De son côté, Gautier se repasse les aveux de sa femme et l'imaginer en train de le tromper, stimule énormément l'érection qui pointe ente ses jambes. Ce qui rend sa conduite beaucoup plus difficile à suivre. Au bout d'un certain temps, ne tenant plus, il décide de lui en faire part. Tant pis si cela la choque, ils ne sont plus à ça près de toute manière.

— Heu... Annie, j'ai quelque chose à te dire?

— Oui... Dis-moi.

— Tu vas trouver ça bizarre, mais voilà... Tout à l'heure en t'ayant surpris avec ton frère, j'ai... J'ai joui!!!

Annie le regarde un moment, ne s'attendant pas à ça de sa part, elle ne réalise pas tout de suite le sens de ses mots.

— Tu es en train de me dire quoi... Que tu as été excité de me voir te tromper avec Thomas?

— Hum, oui... Oui, mais pas seulement avec ton frère, j'étais en train de t'imaginer à l'instant en train de faire l'amour avec ce docteur et... Ben heu!!! S'arrête Gautier en lui faisant comprendre qu'il devait regarder plus bas vers son entrejambe.

Annie découvre son érection et rougit rapidement en constatant l'effet que ça lui procure de l'imaginer ainsi avec d'autres hommes que lui.

— Je... Je dois avouer que je ne m'attendais pas à ça de ta part. Je te savais plus jaloux que cela!!!

— Mas je suis jaloux... Mais en même temps ça me procure un effet de fou lorsque je t'imagine faire ça!!!

— Le souci c'est que je t'ai vraiment trompé Gautier, ce n'est pas qu'une simple imagination!!! Lui rappelle Annie qui s'en veut toujours autant.

Gautier pose sa main droite sur la sienne comme pour la rassurer.

— Annie... Oui, tu m'as trompé, mais ce que je suis en train d'essayer de te dire... C'est que ça m'excite de te savoir avec d'autres hommes!!! Se lâche-t-il en caressant ensuite ses cuisses toujours habillées de son collant ouvert noir fantaisie.

Ne disant rien, Annie regarde sa main relever le pan de sa robe turquoise, dévoilant ainsi son string en dentelle rouge qui lui rentre dans les lèvres de sa moule.

— Oooooh Annie, tu étais si belle tout à l'heure lorsque ton frère te sodomisait!!!

— Attends... Doucement, il y a des poids lourds de mon côté, on pourrait me voir comme ça!!! Avertit la jeune femme qui devient à son tour excitée.

— On s'en fout et à vrai dire tant mieux... Je veux que l'on te voie, je veux que l'on te trouve belle mon amour!!!

— Chéri... Ca t'excite tant que ça, tu ne m'en veux pas, t'es sûr??? Demande Annie qui passe sa main sur la grosse bosse de son pantalon pour en examiner la dureté.

— Non au contraire, regarde!!! Affirme-t-il en appuyant sur un bouton se trouvant juste en dessous du rétroviseur intérieur qui éclaire l'avant du véhicule.

— Gautier... Attends, tous les chauffeurs de poids lourds peuvent me voir comme ça, tu es fou!!! Angoisse Annie qui regarde les camions que l'Audi rouge dépasse les uns après les autres.

Entre temps, Gautier a ouvert sa braguette pour sortir son pieu dur comme du bois.

— Vas-y chérie, branle-moi et caresse-toi en même temps... Je ne tiens plus!!!

— C'est vraiment ce que tu veux mon cœur? Questionne Annie qui attend une confirmation de sa part.

— Oui... Oui sois salope ma chérie, branle-moi et caresse-toi comme une traînée devant les yeux de ces chauffeurs qui demandent que ça sur l'autoroute!!!

Sans plus attendre, Annie attrape le pénis de son homme et le branle frénétiquement tandis qu'elle passe une main sous son string dorénavant tout mouillé pour se caresser comme une folle devant tous les chauffeurs routiers qui regardent du côté de l'Audi dont la lumière qui éclaire l'intérieur de la voiture attire leurs regards.

Certains se mettent même à klaxonner, comme signe de reconnaissances et d'encouragements pour ce joli spectacle.

— Oh putain chérie... Écoute-les, ils te trouvent belle, tu les excites... Tu les excites!!! S'écrie Gautier complètement en transe.

En entendant son homme lui dire ça, Annie gémit en s'en mordant les lèvres d'excitation, tandis qu'elle bondit à présent sur le siège passager alors que sa main tripote ses lèvres intimes sous l'avant de son string en dentelle rouge qui se déforme dans tous les sens. Il n'en faut pas plus pour le jeune ambulancier pour éclater dans sa main, déversant son foutre qui enduit les doigts d'Annie.

— Ooooh oooooh Annie, oooooh mon amour comme c'est bonnnnn de te savoir si salope!!! Gémit-il alors qu'elle se colle contre lui pour lui donner un tendre et long baiser sur sa joue droite.

— J'avais si peur de te perdre... Oh mon chéri, je t'aime tellement si tu savais, je ferais tout pour toi!!!

— Moi aussi mon cœur!!! Rajoute-t-il en voyant au loin une aire d'autoroute :

— « Excuse-moi, on s'arrête un moment, j'ai envie de pisser et comme ça, toi, tu pourras te laver les mains, OK? »

— Oui, très bonne idée. Acquiesce Annie tandis que l'Audi bifurque sur la droite pour pénétrer dans l'aire de repos.

Quelques minutes plus tard, après avoir fini de se vider la vessie, Gautier sort des toilettes pour hommes et attend que sa femme sorte à son tour des toilettes pour femmes.

Quand il entend tout à coup deux hommes plus grands et surtout plus costauds qui lui, qui s'approchent des toilettes en discutant sans être discrets.

Gautier les observe sans se faire voir, dans l'ombre de la nuit. L'un est gras, portant une moustache épaisse et un bonnet sur la tête et l'autre est barbu, le crâne rasé et ses gros bras dénudés portant un débardeur noir (malgré le froid de l'hiver) sont marqués par des énormes tatouages.

— Putain, t'es chiant quand tu ne me crois pas... Elle se caressait juste devant mes yeux tandis qu'elle branlait son bonhomme qui conduisait!!! S'écrie le moustachu.

— Avec la lumière éclairée, pour bien se faire voir tu vas me dire???

— Mais je t'assure que si, putain de merde!!!

Aussitôt, Gautier réalise que ces hommes, qui doivent certainement être des chauffeurs de poids lourds, parlent de sa femme et de leur partie de plaisir qu'ils se sont donnés peu de temps avant d'arriver ici.

Mais le pire, c'est qu'ils entrent tous les deux, sans se poser de questions dans les toilettes pour femmes où se trouve Annie en ce moment même.

— Merde... Mais pourquoi ils entrent ici, ces enfoirés??? Se demande-t-il en suivant discrètement leurs pas.

Dans les toilettes pour femmes, Annie qui se sent beaucoup plus soulagée maintenant qu'elle sait que l'amour de sa vie lui a pardonné ses aventures avec son frère et le docteur, finit de se sécher les mains à l'aide d'un sèche-mains.

— Je ne le savais pas comme ça... Je suis contente qu'il m'ait pardonné même si je m'en veux toujours, mais... comment notre couple peut-il fonctionner avec tout ça? Se questionne-t-elle tout en se tournant vers la sortie pour retrouver Gautier.

Mais entre d'un coup les deux chauffeurs de poids lourd et tombe nez à nez avec ces deux hommes qui n'ont rien à faire ici. Annie le sait, mais ne connaissant pas ces deux inconnus qui ont en plus un physique à faire peur, elle passe sur le côté en gardant néanmoins la politesse que lui ont enseignée ses parents.

— Bonsoir!!! Lâche-t-elle sans demander son reste.

— Bons... Mais attends... Lâche le moustachu qui la retient d'un coup par le bras : « Mais tu es la petite chaudasse dans la voiture, c'est ça??? »

— Quoi, mais... Mais lâchez mon bras voyons!!! Prend peur Annie qui tire en vain sur son bras pour le faire lâcher prise, tandis que l'autre chauffeur les regarde tous les deux, consterné.

— Si si putain, regarde Franky... Une robe turquoise et un collant noir comme je te l'avais dit!!! S'écrie-t-il tout content de prouver à son collègue de la route qu'il ne mentait pas tout à l'heure.

— Ouais... Ouais, c'est vrai que ça y ressemble!!! Admet l'autre qui reluque la jeune et jolie châtain aux yeux bleus qui essaye de se débattre sans grand résultat.

— Attends, une dernière chose pour être sûr!!! Reprend son collègue qui soulève d'un coup sa robe dévoilant à leurs regards pervers, le string rouge en dentelle enfilé par-dessus son collant ouvert noir qui laisse le haut de ses jolies cuisses dénudées.

— Eh, mais vous êtes pas bien... foutez-moi la paix, merde!!!

— Ah si tu vois... Elle porte un string rouge, putain c'est bien elle nom de dieu ahahahah!!! Ricane le moustachu qui s'en lèche les lèvres.

— Putain, t'avais pas tort Lucien, elle est super bien gaulée cette petite salope!!! Il l'attire sans aucun mal, vu leurs physiques imposants comparant au sien, vers un compartiment des toilettes. Juchée sur ses escarpins rouges à brides aux talons hauts, Annie n'a pas vraiment d'appui au sol, pour freiner leurs attentions.

— Mais lâchez moi!!! Hurle-t-elle lorsqu'il la plaque contre la porte du compartiment et que le moustachu se colle contre elle en amenant son visage tout près d'elle, lui faisant sentir son horrible haleine puant le tabac froid.

— Comment ça « Lâchez moi? Tu nous excites dans ta bagnole en jouant les chaudasses et maintenant tu nous envoies chier... C'est pas sympa ça!!! »

— C'est pas ça, c'est mon copain qui mmmm!!!! Tente-t-elle de se justifier sans qu'il lui laisse le temps de finir en plongeant sa bouche contre ses lèvres pulpeuses, lui léchant sa langue avec la sienne.

— Mmmmm mmmmm!!! Gémit-elle en essayant encore de se débattre en tapant des poings contre ses larges épaules pendant que l'autre en profite pour remonter sa robe pour lui peloter son joli petit cul rebondi coupé en deux par la ficelle rouge de son string.

— Ah ouais putain que tu me plais toi!!!

Gautier, qui s'inquiétait dehors, entre dans les toilettes et découvre ce qu'il se passe. Pourtant, au lieu de secourir sa bien-aimée, son premier réflexe et de se cacher derrière le mur et écouter ce qu'il se passe.

— Non laissez-moi maintenant, je veux partir!!! Supplie-t-elle alors qu'on la force à s'asseoir sur la lunette fermée des WC. derrière la porte.

— Aaaah allez, tu vas tout de même t'occuper de nous avant de partir, pas vraie chérie??? Demande le plus gros des deux qui s'installe à ses côtés.

— Ouaiiiiis, en plus, tu vas te régaler quand tu verras ce que l'on a à t'offrir ma belle!!! Rejoint l'autre en ouvrant son jean pour sortir une bite d'une grosseur monumentale dont le gros gland de couleur pourpre est sorti de son prépuce, prêt à être sucé par la jolie bouche d'Annie.

— Oui voilà, suce-nous, j'en suis sûr que tu en meurs d'envie!!! S'écrie le moustachu qui sort quant à lui, un pénis épais et veineux dont l'énorme gland relâche une odeur âcre qui dégoûte Annie.

— Oh non s'il vous plaît, je ne veux pas, j'ai un copain et je l'aime!!!

— On s'en fout de ton mec, on veut juste que tu nous pompes le nœud... J'en suis sûr que tu mouilles entre tes cuisses rien qu'en voyant nos queues!!! Insiste le barbu qui lui gifle le visage avec son membre d'une longueur peu commune.

Le mec en question apparaît d'un coup à leurs vues, le regard excité et l'avant du jean déformé par une érection comme il n'a jamais eue jusqu'à ce jour. Sans doute en voyant sa femme harcelée par deux grosses queues bien plus grosses que la sienne.

Ne s'attendant pas qu'ils soient surpris, les deux chauffeurs le regardent sans plus dire un mot, tandis qu'Annie fixe son visage après avoir réalisé qu'il bande terriblement en la voyant de cette délicate situation.

Vibrant d'excitation, les joues rouges. Il ouvre la bouche, d'où ces mots en sortent :

— An... Annie, s'il te plaît... Suce-les!!!

Fin du chapitre...

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a presque 3 ans

Bravo ! Toujours aussi excitant ! Je ne le croyais pas possible Et bien raconté

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Gautier se découvre candauliste, et du coup, il ne lui a pas confessé ses propres coups de canif dans le contrat comme il avait prévu de le faire.

AnonymousAnonymeil y a environ 3 ans

Quelle sacrée famille ! ! !

Rudy

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE