La Découverte ou l'Ignorance 03

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Lucie continue à découvrir ce moment particulier.
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Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 11/07/2022
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Je retrouve les escaliers. Je questionne mes guides. Aucune réponse. Je les entends ouvrir la porte et ils me libèrent les poignets et les chevilles. Le sac est retiré et la porte se ferme. La lumière aveuglante ne reste pas et je me retrouve dans le noir. Epuisée, je m'effondre sur le petit lit.

Je suis réveillée par une envie pressante. Dans le noir, et à tâtons, je trouve la cuvette des toilettes et lorsque je fini de m'essuyer des coups sur la porte de ma chambre me font sursauter.

La lumière revient, claire, forte.

- Lucie? Réveillez-vous?

- Ummm, ma réponse est loin d'être assurée. Oui j'ai dû bien dormir, mais combien de temps je ne sais pas.

Sans plus d'attente la porte s'ouvre et je me retrouve face à deux hommes habillés mais portant les mêmes masques d'animaux que j'ai vu hier. Je recule. Tout se bouscule dans ma tête oui je suis nue, devant eux. Oui c'est vrai je suis ici mais je ne sais pas où je suis.

Je n'ai pas vraiment le temps de me reprendre. Ils sont déjà près de moi.

C'est rapide.

- Mettez-vous face au mur.

- En position, s'il vous plaît. Merci.

Ils me manipulent plus que j'obéis. Je suis les mouvements qu'ils me font faire avec leurs mains. Mes mains contre le mur au-dessus de la terre. Je sens leurs mains remonter mes cuisses. J'accompagne leurs mouvements.

- C'est bien. C'est mieux qu'hier.

- Mettez vos mains dans le dos, s'il vous plaît.

Je m'exécute et mes poignets retrouvent les bracelets suivis rapidement de mes chevilles. Mes poignets sont fermement dans mon dos mais ils laissent mes chevilles libres. Ils terminent en plaçant sur ma tête ce que j'appellerai un sac ou un cache yeux.

- Suivez-nous sagement.

Sans avoir le choix et prise en main par les épaules je les suis.

- Attention aux marches.

Peu à peu, je retrouve le peu de repères que j'avais hier soir. C'est donc le matin. Je me retrouve sur la chaise ou j'ai passé la nuit. Quelques voix, chuchotements puis les trois coups.

Mesdames, Messieurs, Lucie, nous avons délibéré et à l'unanimité nous vous déclarons coupable des infractions qui vous sont reprochées. Nous avons validé votre sentence avec Pierre. Elle est sévère mais méritée au vu de votre comportement.

Pour les faits d'outrages et rébellions lors de votre mise en retenue, nous vous condamnons au fouet. Vous le recevrez ce matin. Pierre appliquera la sentence.

Pour les faits de défaut d'obéissance à votre Maître, non-respect des règles de la communauté, nous vous condamnons à deux semaines de services dans un lieu de plaisir. Vous devrez vous y montrer totalement obéissante.

En sursis et si votre comportement n'est pas exemplaire, cette durée pourra être étendu de deux semaines supplémentaires. Pierre va contacter votre employeur pour organiser vos vacances.

Cette sentence est immédiatement applicable et vous serrez transporter par Hans et Maria ce soir pour vous mettre à votre service lundi.

- Avez-vous quelques choses à déclarer?

- ...

- Merci, votre silence nous montre que vous acceptez votre sentence.

- Non. Non je ne suis pas d'accord. Pierre tu es la? Vous avez parlé à Pierre. Je ne vous connais pas.

- Lucie, s'il vous plaît. Restez calme.

- Pierre? Qui êtes-vous? Je vous connais?

- Mélanie, amenez le bâillon, on va en avoir besoin. Vite.

Mes questions n'amènent aucune réponse. Je tourne la tête, et essaye de me lever de la chaise. Une main ferme me repousse.

- Ouvrez bien grand, allez.

- Uumm, mmm, mm.

- Eh bien voilà c'est déjà plus tranquille. Merci.

La boule s'enfonce dans ma bouche et repousse ma langue. Le bâillon est serre.

- Je note que la participante n'a pas présenté d'arguments contraire. La sentence est donc validée. Passons donc à son exécution. Je vous propose de prendre le chemin de la salle de travail.

Ces paroles, cette position m'ont réveillée. Qui sont-ils? Ok je suis avec Pierre mais pourquoi il n'est pas présent, ici avec moi. Merde.

Encore une fois, des mains fermes me déplacent, me guident. J'essaye de me libérer mais je suis leur objet. Ils me tiennent. Du bâillon ne doivent sortir que des sons inintelligibles et un peu de bave.

L'air est maintenant frais. On me maintient fermement lorsque mes poignets sont libérés mais seulement quelques instants. Mes bras remontent, je résiste sans succès. La tension dans la corde se ressent dans mes muscles et je me débats pour ne pas être soulevée. Les mains s'éloignent. Je respire plus doucement. Des pas, des voix m'entourent.

- Mesdames, Messieurs, s'il vous plaît mettez vos masques ... Voilà parfait je vois que vous avez tous envie de voir ce qu'il va se passer.

Lucie cessez de vous agiter s'il vous plaît

Mélanie allez me chercher la queue de cuir.

Oui allez-y, retirez-lui le bandeau.

Une nouvelle fois, mes yeux doivent s'habituer à la lumière. La pièce n'est pas très grande. Oui je suis bien suspendue au plafond. Les masques sont toujours là. Et il y a bien des femmes et des hommes, tous habillés. La femme que j'avais aperçue hier est encore la dans la même tenue. Elle tient dans les mains un fouet.

Ils me regardent, se parle. Je ne saisis que quelques mots. Un homme s'approche, me caresse les seins.

- Elle est belle et rebelle, une très belle femelle.

- Regardez ces fesses. Tu as raison, elle est belle, lui répond une voix féminine derrière moi.

Une main ferme s'appesantit sur mes fesses. Glisse lentement entre mes cuisses et s'éloigne.

Plusieurs fois, des mains, des bouches s'approchent et touchent, caresses chuchotent.

- Enfin tu es là. La voilà. Comme je t'avais dit. Prêtes à recevoir ce qui est dû.

- Lucie tu es superbe. Toujours rebelle.

Pierre. Tu es là. Cette phrase ne sort pas de ma bouche bâillonnée. Je le cherche.

Le voilà, devant moi. Masque mais présent. A cote de lui une femme un peu plus âgée, châtain, yeux noirs. Elle ne porte pas de haut mais un jean.

- Lucie, je t'étais à Paris comme tu sais avec Florence. Je suis revenue pour te voir dans cette position. Je t'avais prévenue. J'attends de toi une obéissance totale. Nous attendons cela de toi. Et si tu rebelles alors nos lois s'appliqueront. Je suis d'accord avec votre sentence. Elle le mérite.

- Pierre, peut-on commencer.

- Attends un peu Michel, je pense que tu lui as déjà indiquer de bien se tenir.

Merde, merde. J'écarte les cuisses. Pierre me regarde et sourit.

- Regarde, tu vois Michel. Elle sait bien qu'elle n'est pas très obéissante. Cela fait même rougir un peu. Tu me la fait compter à haute voix, je veux l'entendre. Et tous les cinq, je te propose de la faire lécher. On a nos deux servantes elles peuvent y mettre un peu du leur au lieu de juste regarder ce joli spectacle.

Cet homme, Michel, s'approche. Me regarde et retire mon bâillon. Avant que j'aie pu dire un mot.

- Lucie, tu ne parleras que pour compter. Rien d'autre. Tu ne voudras pas aggraver ton cas. Nous ne voulons rien entendre. Pierre en sera le juge si nécessaire.

- Michel, tu en ajouteras 5 pour les cuisses qui étaient fermées quand je suis arrivé, demande Pierre.

- Tout à fait.

-

C'est au tour de Pierre de s'approcher, chuuut. Maintenant il va falloir compter. Soit forte.

Même en sachant que cela allait arriver, je laisse échapper un cri suivi d'un fort un.

- C'est bien, Lucie.

Je me tortille sur mes poignets et le numéro deux suit, trois quatre et cinq suivent en rythme.

- C'est bien, Lucie. Mais reprends ta position, s'il te plait.

Ce que je fais rapidement.

- Florence, a toi de jouer. Tu vois ce bel entre-jambes.

- Oui, Pierre

- Fais-le briller avec ta langue d'esclave. Mains dans le dos, Allez, vite.

Qui es-tu Florence? Pierre la guide. Elle s'agenouille et lentement s'avance. Je recule un peu mais sa bouche rejoint mon sexe et sa langue, gourmande, s'active. Pierre me regarde fixement.

- Michel, je crois que le cuir lui a ouvert l'appétit.

- Tu as fait du très bon travail avec Florence. Regardes moi cette gourmande. Elle avait envie d'une belle mangue.

- Merci. Mais tu sais avec les femelles, c'est un travail collectif.

-

Les personnes présentes se rapprochent, s'éloignent. J'ai du mal à les suivre. Je baisse la tête pour chercher à voir cette femme, cette langue.

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