La Décoratrice Ch. 03

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Nouvelle étape.
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Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/08/2021
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Quand elle fut partie, je restais hébété. Ce qui venait de se passer me remontait en mémoire et j'étais perdu. La honte me submergeait. Je baissais à nouveau mon pantalon, observant le sperme collant qui maculait mon ventre. Je bandais encore à demi. Jamais je ne pourrais revoir cette femme sans éprouver à nouveau cette honte que je ressentais.

En me changeant, les choses prirent une autre tournure. Après-tout, loin d'avoir fuit, elle était entrée dans mon jeu et m'avais même masturbé. Bien que ça ne fasse pas baisser ma honte, je me raccrochais à cette idée pour tenter de me persuader que ce n'était pas si grave.

La soirée me sembla longue. Je n'expliquais pas mon comportement. C'était la première fois que j'éjaculais ainsi sans me toucher et ça me tourmentait. Étais-je un éjaculateur précoce prêt à jouir au moindre prétexte? Jamais, je n'avais pensé ça mais cette idée me mettait mal à l'aise.

J'oubliais ces pensées noires les jours suivants.

J'eus envie de me masturber une ou deux fois en lisant des histoires érotiques comme à mon habitude mais, je ne sais pas pourquoi, je m'abstins. La pensée de son geste sans équivoque me poursuivait et j'éprouvais une sorte de gène à l'idée de me branler. Je réunis de nouvelles histoires salaces, toutes portées sur la domination féminine. Elles me faisaient bander mais je me retenais de jouir, portant la main sur mon sexe mais m'arrêtant avant l'explosion finale. Mes préférées parlaient de chasteté imposée par une femme tyrannique qui se faisait un malin plaisir à exciter leur soumis, sachant qu'il ne pouvait rien faire pour calmer la tension qu'elles faisaient naître en lui. Lisant ces histoires, je m'aperçus que je n'étais pas le seul à être attiré par les pieds des femmes. Chaque fois, c'est à Madame Leroy que je pensais quand je lisais ces histoires perverses.

Le mardi suivant, mes parents m'appelèrent pour me dire que leur voyage se passait bien et qu'ils restaient encore un peu plus dans le sud de la France. Cette nouvelle me déçue. Je ne m'imaginais pas recevoir à nouveau la décoratrice sachant ce qui s'était passé entre nous. Pourtant, au fond de moi, je ne pouvais me retenir de ressentir une certaine excitation.

Elle sonna à ma porte le jeudi soir, comme convenu. Elle fut surprise que je lui ouvre.

« Bonjour Pascal, tes parents ne sont pas là? »

« Non, ils restent un peu plus en voyage »

Elle me fixa avec un regard ambigu. J'étais terriblement gêné mais je ne le laissais pas paraître. Elle entra, passant devant moi sans un mot. Je fermais la porte et la suivis au salon. Elle retirait machinalement son blouson, perdue apparemment dans ses pensées. Je crus bon d'offrir mes services.

« Vous avez besoin de l'escabeau? »

Elle me regarda avec intensité.

« Oui...mais il faudra que tu le tiennes »

En disant ça, son visage s'éclaira d'un léger sourire qui me glaça. J'avais dit ça sans arrière pensée, mais son sourire me renvoyait à mes fantasmes et j'avais la sensation qu'elle pensait que je l'avais dit de manière intéressée.

J'amenais l'escabeau, elle retira ses chaussures et monta en me regardant fixement Je tenais fermement l'échelle branlante, la tête à quelques centimètres de ses pieds. Leur odeur me saisit à nouveau et je sentis ma verge raidir dans ma culotte. Elle me regardait en souriant, consciente de l'effet qu'elle avait sur moi.

« Retire ta culotte, tu vas encore jouir dedans »

Un peu interloqué, je la regardais pour savoir si elle plaisantait. Son regard amusé me montra que ce n'était pas le cas. J'hésitais un instant et, finissant par obéir à son ordre, retirais mon pantalon. Ma verge raide jaillit de mon slip, ce qui la fit rire sardoniquement.

« Il était temps »

Je repris mon service à moitié nu, le sexe bandé balançant au bas de mon ventre. Elle semblait s'être désintéressée de moi et s'occupait du rideau. Je me sentais ridicule mais cela évoquait certaines de mes lectures et je trouvais dans cette déchéance une curieuse satisfaction. Je regardais travailler cette femme, sans doute de l'âge de ma mère, avec un oeil neuf, la considérant comme la maîtresse qui emplissait mes fantasmes.

Sans sembler y prendre garde, elle plaqua un pied humide contre mon visage, augmentant encore mon trouble. C'était étrange, à la fois je détestais cette odeur puante, à la fois elle avait sur moi un terrible effet. Je me sentais au bord de l'orgasme et il n'aurait pas fallu grand chose pour que j'éjacule.

Elle avait pris sur moi un ascendant évident et se tourna pour constater mon état. Un filet translucide coulait de mon gland, montrant évidemment l'excitation que je ressentais.

« Tu vas jouir? »

« Je...Je ne sais pas »

Ma voix me paru bizarrement rauque en disant ça.

Posant ses outils, elle descendit de l'escabeau et me regarda droit dans les yeux.

« Enlève ton tee-shirt »

J'obéis silencieusement, retirant le dernier vêtement qui me séparait de la nudité complète.

« Branle-toi »

Je n'étais plus moi, j'étais dans une sorte de transe érotique et ses paroles raisonnaient dans ma tête comme un mantra. Je portais la main sur mon sexe, cela fut suffisant pour me faire atteindre le point de non retour et j'éjaculais piteusement, projetant de longs jets de sperme sur le parquet.

Elle me regardait jouir en silence, les yeux brillants. Je me sentais grotesque, éjaculant ainsi devant elle sans presque m'être touché. Elle s'était écartée pour éviter les giclées que j'évacuais rythmiquement. J'avais encore plus honte de moi quand ce fut fini mais elle ne fit rien pour me tranquilliser.

« Ça a été rapide »

Je la regardais des larmes dans les yeux, tenant bêtement mon sexe à la main. Elle me souriait, les joues rouges. Son regard tomba sur les traînées blanchâtres sur le sol.

« Lèche »

Je fus à la fois stupéfait et dégoûté par ce qu'elle demandait. Je n'avais jamais goûté mon sperme et ça ne m'était jamais venu à l'esprit. Maintenant que j'avais jouis, mon excitation était tombé et ça me paraissait totalement répugnant. Je la regardais stupidement. Son air autoritaire ne laissait pas de doute sur ses intentions.

Alors, surmontant ma répulsion, je me mis à quatre pattes et lapais mes sécrétions sur le sol. Plus que le goût acre, c'est la consistance glaireuse qui m'écoeurâ et je finis ma tâche aux bords du vomissement. Je me relevais en silence, le coer au bord des lèvres, mais avec une certaine fierté d'avoir obéi à son ordre.

Elle me fixait, les yeux dans le vague. Moi, je luttais contre l'envie de vomir, le goût acre dans la bouche, le voile gluant qui me couvrait le palet, tout concourait à me donner la nausée.

J'avais la sensation de reprendre conscience. J'étais là, nu devant cette femme et je mis bêtement les mains sur mon sexe dans l'espoir absurde de le cacher.

Elle ne me regardait pas en remettant ses chaussures et son blouson. Je me sentais stupide. J'avais dépassé le stade de la honte, de l'humiliation. Je la regardais faire sans rien dire, sans même songer à me rhabiller. Elle se releva, me fixant dans les yeux.

« Bon, je m'en vais, je reviens quand tes parents seront rentrés »

Curieusement, la manière dont elle avait dit ça raisonnait comme une éternelle présence.

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2 Commentaires
chaussetteschaussettesil y a presque 3 ans

Ça me rappelle des souvenirs!

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Je suis à deux doigts de partager les émotions de ce jeune puceau...

Aurailiens

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