La Décoratrice Ch. 04

Informations sur Récit
Madame Leroy prend possession!
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Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 01/08/2021
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À peine fut elle partie que je me précipitais dans la salle de bain pour me rincer la bouche et enlever ce goût infect.

Je ne revenais pas de ce qui venait de se passer. Il y avait moins de quinze jours, j'ignorais tout des rapports de soumission.

Ça m'étais toujours apparu comme des rapports spéciaux réservés aux couples un peu pervers.

J'avais lu beaucoup de choses sur le sujet depuis et ça avait excité ma curiosité.

Mais après ce qui s'était passé ce soir, je ne pouvais plus nier avoir accepté la soumission vis-vis de cette femme et elle, de son côté ne semblait pas insensible à mon allégeance.

C'était la première femme avec qui j'avais des relations et c'était des relations de soumission à une femme qui aurait pu être ma mère. J'étais à la fois stupéfait et honteux de la manière dont tout ça avait commencé.

Je ne m'étais jamais senti particulièrement fétichiste, mais l'odeur de ses pieds, et l' air autoritaire qu'elle avait pris envers moi m'avaient excité comme je ne l'avais jamais été.

La semaine fut difficile. Je me masturbais pratiquement tous les soirs, mais m'arrėtais avant de jouir, lui dédiant ma 'retenue ', et l'état de frustration permanent dans lequel ça me mettait.

Mes parents rentrèrent le mardi soir. Il étaient détendus et bronzés, malgré la période de l'année à laquelle ils étaient partis.

Maman regarda ses rideaux et les trouva très réussi.

« Carole a fait du bon travail »

C'était la première fois que j'entendais le prénom de Madame Leroy et ça ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd.

Mes parents revenus, la vie redevint banale, si ce n'est que je me retenais toujours de jouir et que ça commençais à me peser vraiment.

Un soir, comme convenu, Madame Leroy revint chez nous pour discuter avec ma mère de la décoration de la maison. Ça me faisait bizarre de la revoir dans ce contexte familier. Mais le regard qu'elle me jeta me montra qu'elle n'avait rien oublié de nos précédentes entrevues. Moi non plus et j'avais le coeur qui battait en revoyant cette femme.

Mon oeil fut attiré par les escarpins qu'elle portait, l' imaginant se déchausser et me faire sentir les effluves de ses pieds en me piétinant sans vergogne. Cette simple pensée dépravée suffit à me faire bander et c'est le sexe raide dans mon pantalon que je m'efforçait d'écouter les deux femmes. Maman n'aurait pas compris que je les plante là, elle qui avait insisté pour que je sois présent à l'entretien, n'ayant, il est vrai, pas beaucoup d'efforts à faire.

« Pascal vous a aidé ? »

« Oui, il a été très serviable »

Ma mère avait dit ça sans arrière pensée mais la réponse de Carole, et le bref regard qu'elle porta sur ma braguette ne l'était certes pas. J'étais d'autant plus gêné que mon érection devait se voir maintenant dans mon pantalon léger.

Ma mère s'absenta pour aller chercher un outil. Madame Leroy en profita, elle vint vers moi en me regardant dans les yeux et pris ma verge à la main au travers de mon pantalon.

« Ben alors, Pascal, tu ne me dis pas bonjour ? »

Je ne comprenais pas ce qu'elle voulait dire puisque ma mère et moi l'avions salué à son arrivée. Elle tendit un pied vers moi et, obéissant à son ordre muet, je me mis à genoux et embrassait l'escarpin qu'elle me tendait.

Ma mère revint dans cet entre-fait.

« Ben, qu'est ce que tu fais à quatre pattes ? »

Madame Leroy avait retiré précipitamment son pied et je me trouvais ridicule à genoux devant elle. Je ne savais trop quoi dire quand elle vint à mon secours.

« J'ai laissé tomber ma bague »

Je sautais sur l'occasion et me relevais le plus calmement possible.

« Non, elle n'est pas là »

Maman semblait, très embarrassée par la situation et regardait Madame Leroy avec ennui.

« Je suis désolée, nous la retrouverons en faisant le ménage »

« Ce n'est pas une bague de grande valeur mais j'y tiens »

« Regarde encore si tu ne la trouve pas Pascal »

Je savais bien qu'il n'y avait pas de bague à trouver mais je me remis à genoux et fis semblant de chercher. Les deux femmes s'étaient assises dans la banquette et discutaient des prochains travaux de la décoratrice. J'étais à quatre pattes à leur pieds et fouillais sous la banquettes. Je fouillais du coté de Madame Leroy qui ne faisait rien pour me faciliter les choses. Au bout d'un moment, je me relevais la mine déconfite avec toujours une terrible érection. J'avais l'impression que tous le monde la voyait, Carole s'en était évidement rendue compte mais si ma mère le fit aussi, elle ne fit aucune remarque. Je ne comprenais pas pourquoi je bandais, rien dans la situation n'était excitant. Peut être était-ce seulement la simple présence de Madame Leroy, ma Maîtresse fantasmatique. Je m'assis dans un fauteuil en face de deux femmes et fit mine d'écouter leur conversation. Elles envisageaient de refaire la chambre de mes parents et se levèrent pour aller voir. Je les suivis bêtement. Maman montraient à Madame Leroy ce qu'elle voulait. Celle-ci écoutait patiemment en prenant des notes sur un petit carnet et opinant parfois de la tête. Ce fut elle qui rompit la conversation.

« Bon, je vous envoie un devis dès qu'il est prêt. »

Son regard tomba sur moi comme si elle me découvrait

« Votre fils pourrait m'aider, ça diminuerait le prix »

« C'est une excellente idée, et puis, ça l'occupera »

J'étais à la fois enthousiaste à l'idée d'être le bras droit de Madame Leroy, et douché par la réflexion de ma mère. Je n'avais pas besoin d'être 'occupé' et mon statut de 'chercheur d'emploi' ne l'autorisait pas à penser que je ne foutais rien.

Quand Madame Leroy nous quitta, j'étais en colère contre ma mère et me réfugiai dans ma chambre.

---------

« Ça y est, je l'ai. »

Maman criait dans l'appartement, couvrant le ronronnement de l'aspirateur. Elle tenait une bague à la main comme un trophée. J'étais stupéfait. Je savais que cette histoire de bague égarée était un mensonge, et je ne m'attendais pas à ce que ma mère retrouve cet objet imaginaire.

« C'est bien, tu va pouvoir la rendre à la décoratrice »

Elle coupa l'aspirateur, l'air sévère.

« Non, c'est toi qui va lui rapporter »

J'étais à la fois épouvanté et séduit par une telle opportunité de la revoir. Je résistais presque pour le principe.

« Pourquoi moi ? »

« Parce-que »

L'argument était irréfutable et je vis dans ses yeux qu'elle n'entendait pas en démordre.

Je me rendis donc chez Madame Leroy pour lui rapporter sa bague. Elle habitait un vieil immeuble de standing en centre ville, une plaque de marbre appliquée sue le mur donnait le nom de l'architecte et la date d'érection du bâtiment: 1903. Un peu intimidé, je sonnais à l'interphone

'Oui'

'C'est Pascal, je vous rapporte votre bague'

'Ma bague ? Ah oui, monte, c'est au deuxième'

Un déclic m'informa que le porte était ouverte. Je montais un escalier de marbre avec un tapis rouge fixé en son milieu, les porte épaisses étaient en bois ciré. Tout respirait le luxe et je me sentais de plus en plus étranger. Au second, je trouvais une porte entre-ouverte et frappait le battant.

« Entre »

Je passais la porte et restais en arrêt. Madame Leroy était en robe de chambre de soie, des mules aux pieds.

J'étais habitué à la voire préparée et pénétrer ainsi son intimité me mit mal à l'aise. Mais elle mit vite fin à mes pensées.

« Qu'est ce que tu fais encore habillé ? »

Elle avait pris, pour dire ça, un ton directif et je lui obéis docilement, retirant précipitamment mes vêtements et me mettant nu devant elle.

« Tu ne bandes pas ! »

Je ne la reconnaissait pas, ce laisser-aller, cet air autoritaire, ces paroles crues, cela ne ressemblait pas à l'idée que je me faisait d'elle. Je regardais ma queue flasque sur mes jambes.

« Non Madame »

« Tu te masturbes souvent ? »

C'était très intime et cela ne la regardait pas. J'aurais pu...j'aurais du botter en touche mais, je ne sais pas pourquoi, je lui dit la vérité.

« Presque tous les soirs Madame, mais je ne jouis pas »

« Tu te masturbes et tu ne jouis pas ? »

« Vous me l'avez interdit Madame »

Elle me regardait avec surprise, avançant sa mule, elle ajouta

« Tu ne m'a pas dis bonjour »

J'avais tout dit, elle savait que j'étais à sa botte. Je me mis à genoux et embrassais le pied qu'elle me tendait. Au bout d'un moment, elle retira son pied.

« Bon, tu me ramènes ma bague »

Sortant d'une sorte de transe, je me dirigeai vers le pantalon que j'avais laissé et qui reposait sur le sol.

« Tenez, la voici »

Elle la prit avec une sorte de soulagement et la passa sur son annulaire. C'était un simple anneau d'or et je me demandais un instant si il s'agissait d'une alliance. Je ne m'étais jamais imaginé qu'elle puisse être mariée et n'avais jamais rencontré son mari. La maison semblait avoir une décoration typiquement féminine, mais sûrement qu'une femme comme elle devait avoir trouvé un homme.

C'était étrange mais penser à ce supposé mari me mit mal à l'aise, me rendit jaloux et je ne pus m'empêcher de lui poser la question.

« Vous êtes mariée ? »

Elle me regarda comme si elle émergeait d'un rêve.

« Je l'ai été mais il est mort »

Je me sentis brutalement stupide.

« Je suis désolé, je ne savais pas »

« Ne le soit pas, c'est une vielle histoire »

Je vis soudain l'étrangeté de la situation, j'étais nu, les mains dans le dos, et je parlais avec elle comme avec une vieille amie. Et pourtant, je n'avais qu'une envie, c'était de me jeter contre ses jambes et de l'embrasser. Elle était ma Maîtresse, elle le savait, et ma nudité ne faisait que prouver cet état de fait. Elle me fixa un instant avec une mine ambiguë.

« Attends, je reviens »

Elle revint quelques instants plus tard avec une petite boîte en carton défraîchie qu'elle me tendit.

« Tiens, mets-ça »

J'ouvris la boîte pour y trouver un tube courbé grillagé en acier chromé et un bracelet du même métal. J'avais reconnu une cage de chasteté mais je la regardais bêtement

« Tu sais ce que c'est ? »

« C'est...c'est une cage de chasteté »

« Oui, mets-là »

« Pourquoi ? »

« Parce que je te le dis »

Surpris par sa réponse, j'hésitais. Certes, je lui avais déjà abandonné ma sexualité, mais là, c'était autre chose. Si je mettais ce truc là, je n'avais plus le choix. Une question me vint à l'esprit.

« Comment avez-vous eu ça ? »

« C'est celle de mon mari, je pense qu'elle t'ira »

Plus elle donnait de réponse et plus les choses devenaient opaques. Ainsi, son mari portait une cage et Madame Leroy n'était pas ce qu'elle paraissait être.

Je ne savais pas si je devais lui obéir ou partir en la traitant de folle, mais l'idée de vivre sans elle me parut insupportable et, la mort dans l'âme, j'enfilais le dispositif.

La boucle qui passait derrière mes testicules était étroite et j'eus du mal à la fermer. Des tenons maintenaient la cage que j'enflais douloureusement sur ma verge. Un petit cadenas de laiton fermait le tout et j'entendis le 'clic' final avec un frisson dans le dos. Il n'y avait pas de clé dans la boîte. Je le regardais avec appréhension. Mon monde basculait, jamais, je n'avais envisagé d'aller aussi loin. Une foule de question se bousculaient dans ma tête. C'était surtout la surprise de découvrir cette face cachée de Madame Leroy qui me sidérait.

« Et si j'ai un accident ? »

« Les médecins pourront toujours couper le cadenas »

« Mais...mais ils sauront »

Elle me fixa à nouveau

« Oui, ils sauront que tu es encagé »

Elle sembla hésiter.

« Écoute-moi mon petit Pascal, je pensais que tout ça était derrière moi et que c'était mort avec mon mari, mais te voir si humble, si docile m'a donné envie d'essayer. Si tu veux, je te retire cette cage et tu peux partir, dans le cas contraire, tu viens m'embrasser les pieds. Réfléchit bien, c'est une décision sans retour »

Je la regardais indécis, pesant le pour et le contre. Il était impensable de ne plus la voir, la considérer comme ma Maîtresse, d'un autre côté, je me voyais mal porter ce truc dont le métal froid commençait à me tirer sur les testicules.

Je finis par me décider et me jetais à genoux à ses pieds. Elle portait des mules dont la fourrure ma rentrait dans le nez. Elle me regardait faire, l'air satisfaite,t un brin hautaine.

« Tu aimes les pieds, n'est-ce pas ? »

Disant ça, elle sortit un pied de sa mule et me le tendit. Son pied nu sentait différemment, une très légère odeur de moisi qui ne me fit ni chaud, ni froid, néanmoins, j'embrassais ce pied avec une sorte de délectation primitive, comme on rend hommage à une déesse. Cela dura un moment puis elle remit son pied dans sa mule.

« Bon, ça suffit, rhabille-toi et va-t-en »

Elle me regarda calmement tandis que je remettais mes vêtements, puis me raccompagna à la porte.

« Je t'attend ici mardi soir »

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Anonymous
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4 Commentaires
Silvain004Silvain004il y a plus d’un an

Délicieux récit. La maman va t elle découvrir le secret de son fils, à savoir sa soumission à cette décoratrice dont il aporécie de respirer ses odeurs de pieds ? De devenur son esclave docile et honteux ? Et ce farçon va t il connaitre la honte de découvrir les odeurs dss orteils de sa maman. J’attends une suite avec impatience .......

Sium38Sium38il y a presque 3 ans

Une décoratrice de rêve !

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Excellente idée ! Impatient de la suite

Aurailiens

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Une histoire

à lire encagé !

Encore !

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