La déchéance d'Hélène 07

Informations sur Récit
Toute la famille travail à ma libération.
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/28/2020
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Le moment vient le surlendemain ; Vincent m'avait briffé, un mec allait passer et il s'occuperait de ma sœur..., il voulait que je la prépare bien.

J'étais quand même un peu jalouse du traitement de faveur auquel avait droit ma sœur ; mes premières passes avaient constitué en un viol massif, puis à de la basse prostitution de rue.

J'informait Leslie qui me répondit qu'elle était terrifiée et qu'elle ne voulait pas, qu'elle ne pensait pas en être capable.

Je lui répondit

« Tu sais Leslie, je suis passé par bien pire, et le mieux c'est que tu obéisses, crois-moi sur parole, maintenant, si ça peut t'aider, je peux rester avec toi pendant qu'il te saute »

« Oui je veux bien s'il te plait »

« D'accord, et aussi, il faut que tu sois souriante, que tu montres que tu aimes ce qu'il te fait, et tout et ou crois-moi, il finira plus vite comme ça et tu seras débarrassée...) ».

Je l'aidais ensuite à se préparer : une minijupe noire et un bandeau pour cacher ses seins. Du mascara en grande quantité, et bien sûr du rouge à lèvre bien criard. Ma sœur était fin prête, et allait prendre cher...

Le client arriva, il sentait déjà un peu l'alcool, et la sueur. Un homme d'environ 45 ans, un peu d'embonpoint, mais rien de choquant. Clairement le type de client normale qui faisait mon quotidien....

D'ailleurs, il m'avait peut-être déjà sauté, sa tête me disais vaguement quelque chose, enfin vu le nombre de mec qui m'était passé dessus....

J'expliquais au client que je resterais la, ce qu'il accepta en répondant:

« Et en plus tu veux mater, petite cochonne, en malaxant grossièrement mes seins... »

Ma sœur, était complétement tétanisée quand le client commença à peloter son corps de jeune pute. Je me tenais debout derrière elle au début, pour bien la plaquer contre l'homme.

Il la prit ensuite en levrette, pied au sol, et main sur le lit. Je me mis en face de Leslie, tout en lui caressant les cheveux et en lui murmurant des paroles rassurantes. Son regard était vide, ailleurs, pendant qu'un mec lui défonçait sa chatte par derrière. Le mec ne faisait aucun effort et ne pensait qu'a son propre plaisir.

Il décida ensuite de la retourner pour passer en missionnaire. Je tenais la main de ma sœur tout en captant son regard. Elle cherchait désespérément de l'aide.

Bien sûr je n'allais pas la sortir de cette situation...je lui souriais, ainsi qu'au client, afin de garder tout le monde dans l'ambiance.

Et puis l'homme accéléra, tout en écartant un peu plus les cuisses de Leslie ; il allait bientôt venir. Il se retira, enleva sa capote pour se préparer à jouir sur ma sœur. Je prenais alors son membre en main, afin de diriger l'abondant flot de foutre sur le ventre et les seins de ma sœur.

Je raccompagnais le client en dehors de la chambre, et retourna ensuite voire ma sœur. Je la trouvais la, allonger sur le dos, le corps maculé de foutre, en train de pleurer.

« Jamais je ne pourrais recommencer » dit-elle en geignant

« Au contraire, t'as fait le plus dur, tu verras, ça sera plus facile ensuite. Vraiment tu t'es vachement bien débrouillé, je te félicite... »

Elle continua de geindre et de se plaindre, mais je savais que c'était vain.

C'était devenu une pute comme moi, rien ne pourrait plus changer maintenant.

Vincent la congratula quand elle alla lui dire que c'était fait en pleurnichant. Elle sentait encore le foutre, mais Vincent, pour le féliciter, exigea une nouvelle pipe.

Ce qu'elle fit non sans verser une petite larme, ce qui lui valut une nouvelle décharge de sperme sur ses seins, avant d'aller au lit sans se doucher.

Cependant, au bout de deux semaines, ma sœur recevait régulièrement des clients, et semblait s'accommoder assez bien de son nouveau job, elle commençait à avoir des clients régulier, preuve de son talent tout juste naissant.

La prochaine étape était de faire le trottoir. Bien sûr, Vincent m'avait demandé assez vite de « sortir » ma sœur, ce que je fis un soir ou il faisait beau.

Ma sœur avait préparé un legging blanc qui moulait bien son petit cul, avec un débardeur qui s'arrêtait juste en dessous des seins. J'étais pour ma part en minijupe en jean, et débardeur filet.

J'allais dans mon coin habituel, et je présentais Leslie, à mes copines putes. En vrai, j'avais pris un gout pour ces cessions, car elles me permettaient d'avoir un minimum de relations sociales.

Pour montrer l'exemple, je m'occupais du premier client. Ma sœur devait me suivre de loin, afin de regarder comment cela se passait.

Après 10 minutes à sucer un mec lambda dans sa voiture, je libera le client. C'était maintenant au tour de ma sœur.

Elle ne tarda pas à être abordée, et être sélectionnée (pas étonnant, ma sœur était plutôt canon...) ; heureusement pour elle, le mec voulait la sauter. Elle pourrait être passive, ce qui est quand même plus facile quand tu commences à devenir une pute de rue. Elle ne se débrouilla pas trop mal, le mec se jetât sur elle comme un mort de faim, avant de la pilonner en levrette contre un arbre. Au bout de 10 minutes le mec fini dans sa chatte... Ma sœur fit preuve de dignité, et fit comme si ce n'était pas grave, mais je sentais quand même le désespoir dans ses yeux...qu'importe, il fallait finir la nuit....

Je la menaçais ensuite, n'exigeant d'elle que 2 passes supplémentaires, avant de rentrer à la maison. Ma sœur s'endormit tout de suite, épuisé de fatigue, l'odeur de ses clients encore sur elle, pour lui rappeler le lendemain matin son appartenance à quiconque pourrait se la payer....

Nous passâmes encore 1 mois comme cela, à enchaîner régulièrement les passes. C'était plutôt avec le recul une bonne période, j'étais beaucoup moins seule qu'avant, même si la beauté supérieure de ma sœur me posait quelques problèmes ; en effet, j'avais de plus en plus les clients les plus pauvres et les plus sales, car Leslie était plus cher, et plus demandée...je décidais d'y remédier....

Ma sœur prenait une douche, et je venais d'achever de sucer Vincent pendant son petit déjeuner quand je lui demandais :

« Vous savez Vincent, je vois que je décroche un peu par rapport à Leslie, elle est plus jolie et je vois qu'elle te rapporte plus que moi ; quand tu amènes les clients ici, ils choisissent plus souvent ma sœur, ça me dévalorise »

« Hum, c'est vrai qu'en plus tu l'as bien formé cette petite pute...que veux-tu, c'est la vie »

« Bah en fait je me disais, que, comment dire, si vous m'offriez une poitrine plus grosse, je suis sûre que je te ramènerais plus, et puis je me sentirais moins dévalorisée... »

Il se rapprocha de moi et commença à palper ma poitrine avec fermeté

« Tes seins sont déjà assez gros, tu ne penses pas »

C'est vrai que mon 90 C était déjà pas mal, mais il fallait que je passe la vitesse sup, pour ne pas finir par ne faire que les hommes les plus dégeulasses

« S'il vous plait, comme ça je serais vraiment une Bimbo, et puis je paierais avec mon cul, je ferais le trottoir tous les jours s'il faut, ça ne vous coutera rien, je te le promets »

« On dirait les promesses de ton père, enfin je ne vais pas me plaindre, ça m'a rapporté deux petites pétasses, dont une à l'air très motivée...c'est ok, tu l'as bien mérité... »

Quelques semaines plus tard, j'étais à la clinique, j'étais crevée, car j'avais fait beaucoup d'heure sup afin de trouver les 5000€ nécessaires. Les quelques prestations supplémentaires que j'avais dû accomplir à l'équipe qui allait faire le travail n'avait pas arrangé les choses. Le médecin, juste avant de m'opérer, et en remettant son pantalon m'avait conseillé de bien regarder mes pieds, car je n'allais bientôt plus pouvoir les voir....

Je me réveillais vaseuse, et après quelques jours de convalescence, je pus admirer mon énorme 95 E, modèle Bimbo. En vrai j'en était très fière de mes énormes seins.

Je ne pu résister longtemps à l'envie de tester mes nouveaux jouets auprès du personnel hospitalier. Ce qui est sûr, c'est que j'ai pu bénéficier de soins tout particuliers de l'ensemble de l'équipe masculine avant ma sortie....

En retournant chez mes parents Vincent laissa conduire cependant Leslie, et passa la majorité du trajet à me bourrer à couille rabattu, visiblement excité par mes nouveaux attributs.

L'arrivée chez mes parents ressemblait à d'habitude. Ma mère était mi-heureuse, mi-honteuse, probablement parce qu'elle se payait sont nouveau train de vie avec le cul de ses deux filles.

Malgré tout on passait un bon moment. Le samedi étant principalement passé à honorer les dettes et petit arrangement de ma mère, parce que les sacs à mains et la fourrure, visiblement ce n'est pas gratuit....

La maison familiale se transformait au fil des semaines en bordel local, la grange ayant été réaménagé pour comporter deux chambres décorées et avec accessoires.

En réalité, notre activité de putain fonctionnait bien, et je savais de la part de Vincent qu'on commençait à éponger nos dettes. il nous annonça un jour qu'il nous libérerait bientôt. Je ne savais pas trop quoi en penser, étant maintenant parfaitement habitué à agir comme une petite pute servile.

Il restait cependant un dernier sujet qui me taraudait. Il me restait une sœur......et pas question qu'elle ne soit pas un peu associée à nos activités...

Elle avait maintenant une vie plutôt rangée,elle travaillait comme caissière à mi-temps, et passait l'autre partie à s'occuper de la maison ; son mari ne foutant pas grand-chose en terme de taches ménagère. Nous profitâmes d'un weekend pour sortir faire du shopping avec elle, et s'assoir à une table de café avec ma sœur.

« Tu sais, nous on trouve que tu pourrais un peux nous aider, on trouve ça assez injuste d'être les seules à faire trimer nos culs pour la famille, alors que toi t'as ta vie bien rangée!

Je sais ça », répondis t'elle « mais que veux-tu, je ne sais pas comment vous faite les filles, moi je pourrais jamais, et puis j'ai un mari »

« T'es pas obliger de lui dire, et je t'assure ce n'est pas compliqué. Tu prends l'argent et t'écarte les cuisses, ou bien tu te met à genoux, le reste ça passe tout seule - franchement tu pourrais faire ça.... »

« C'est mort je vous dis, je ne le ferais JAMAIS »

Il fallu donc passer au plan B. On alla voir maman, et lui fit le deal suivant : « tu dois nous aider à convaincre Charlotte de se prostituer, en attendant, on arrêtera de coucher pour que tu puisse maintenir ton train de vie de nouvelle bourgeoise, fini les sacs et bijou payé à la sueur des miches de tes deux putes de filles! »

« Mais elle ne voudra jamais »

« Débrouille toi, tu te sers bien de nous! »

« Hum....ok, mais je vais avoir besoin de vous.....faudrait qu'un des deux se dévoue pour se taper le mari de Charlotte »

« Mouaif t'abuse un peu maman, ça ne se fait pas »

« Tu sais, j'ai bien prostitué mes deux filles juste pour mon train de vie, alors ce qui se fait ou pas... »

« Bon et ensuite,? »

« Ensuite je m'en occupe, votre sœur rejoindra bientôt votre club de petite pute, et je continuerais à me payer des sacs à main.... »

Je me dévouais pour me taper le mari de ma sœur, il n'était pas plus moche qu'un autre de toute façon...

Allumer Stephen ne fut pas très dur, il semblait tellement hypnotisé par mes nouveaux seins.... C'était passablement bien, mais je m'appliquais pour que lui passe un bon moment. Je lui laissais même le luxe de se vider sur mon visage.

Bien sur une caméra posée préalablement avait tout filmé....

La suite fut assez évidente, ma mère ayant été assez machiavélique!!

Elle montra la vidéo à Charlotte, qui alterna entre de la colère envers moi et son mari. Ma mère, tout en écoutant, distillait insidieusement des paroles visant à culpabiliser ma sœur. Et puis elle trouva un argumentaire assez original :

« Tu sais, ton mari fait partie des hommes qui aiment les prostituées, crois en tes sœur, ils sont presque tous comme cela, alors pour qu'il t'aime, il faudrait que tu..... »

« Que quoi, je fasse la pute? »

« Et...oui, visiblement Stephen n'est plus trop satisfait, et tu sais quoi faire pour l'exciter à nouveau... »

« Je sais pas trop.... » Elle craquait

« Ecoute fait le, tu verras, ton mari reviendra vers toi, et en plus tu participera aux revenu de ton foyer, ça changera... »

« Tu crois que si je me prostitue, cela plaira à stephen? tu penses que je devrais faire cela pour qu'il revienne vers moi? »

« j'en suis convaincu! tu peux le reconquérir si tu lui donne ce qu'il aime!! - regarde comme il à pris du plaisir à coucher avec ta soeur» - Se faisant, Maman remontrai la vidéo à Charlotte.

« Je ne sais pas » dis t'elle une nouvelle fois

« Bah il faut essayer, tu verras bien, de toute façon il faut crever l'abcès avec Stephen »

« Bon...d'accord, je suis prête à tout, je l'aime »

« Bon, ok, on va faire ça tout à l'heure avant que ton mari rentre », je vais te chercher de quoi aguicher un peu le client

« euh ok, mais un truc pas trop vulgaire stp, parce que parfois mes sœurs portent des trucs un peu..... »

« Tu veux dire des trucs de pute? tu sais c'est pas pour rien ; leurs clients adorent et sont plus excité comme ça ils finissent plus vite. »

Quelques heures plus tard, ma sœur était prête. Elle était vêtue d'une minijupe blanche avec des bas autofixant dont l'attache apparaissait clairement, et un petit débardeur rose complétait. On n'avait pas trop chargé sur le maquillage, mais les chaussure plateforme ne laissait aucun doute sur son « activité... »

Je lui avais choisi un de mes client régulier, un mec pas top (Les mec beau était pour ma sœur, plus jolie), mais qui prendrait les choses en mains et qui était relativement doux.

Il baisa ma sœur pendant 20 minutes, et ressortit l'air comblé. J'allais voir Charlotte. Bien entendu elle était en larme, sur le lit, nue et recouverte de foutre sur le ventre et les seins.

Le client avait posé les billets sur la table de nuit.

« Oh non, qu'est-ce que j'ai fait, je ne suis rien qu'une pute comme vous maintenant »

« Tu sais ce n'est pas la mort non plus, ça va passer ; bien sur tu n'oublieras pas ton premier client, moi je m'en souviens très bien, et pourtant ça fait longtemps que j'ai arrêté de compter le nombre de mecs qui me son passé dessus... ; tu verras Stephen sera excité comme au premier jour j'en suis sur »

« J'espère que tu as raison...... je vais me doucher maintenant »

« Non surtout pas, garde l'odeur de cet homme sur toi, cela l'excitera plus, fait moi confiance »

Elle me raconta ensuite quand son mari revient ; elle l'amena dans la chambre :

« Stephen, il faut qu'on parle, je sais que tu t'es tapé Stacy, elle m'a tout avoué »

Il rougit, visiblement embarrassé, mais ma stupide sœur en porta la responsabilité

« Je sais bien que je t'apporte plus trop ce que tu veux, alors j'imagine que c'est un peu normal pour toi d'aller voir des femmes comme mes sœurs »

« Euh, ben c'est à dire que...... »

« Mais je refuse de t'abandonner, alors voilà, j'ai une chose pour toi »

Elle lui tendit les quelques billets que son corps lui avait rapporté il y quelques heures

« Quoi, qu'est ce que...t'a fait la pute? toi? mais t'es malade? »

Ma sœur alluma son mari

« Oui je sais, j'ai été vilaine de vendre mon corps, mais je sais que tu aimes les catins comme moi »

Elle se leva, posa deux mains sur le bureau de la chambre, et cambra un peu les reins.

« Tu peux punir mon petit cul de putain comme tu le souhaite, je ne dirais rien »

Stephen était excité comme un fou. Il se leva, la bite déjà bien dure. Il s'approcha de sa femme, souleva délicatement la robe, et puis.....claqua violement la fesse gauche de sa femme, qui ne répondit pas.

« Dis-moi ce que tu es »

« Je suis ta pute »

« Bien » - suivi d'une deuxième claque, un peu moins forte.

«Pour combien tu as vendu ton cul? »

« Stacy à négocier pour moi, 50 € je crois. »

Troisième claque

« Ton corps ne vaut même pas la moitié, ta pute de sœur t'as survendue. Tu suceras pour 10€ et t'ouvrira tes cuisses pour 20, ok? »

« Euh..bien »

Il n'ajouta rien et s'approcha de sa femme, qu'il pénétra sans douceur. Il mit néanmoins une grande vigueur à besogner sa femme, qui n'avait plus l'habitude d'être prise de la sorte. Il malaxait ses seins, et elle prit beaucoup de plaisir à cette baise bien brutale. Elle encouragea son mari

« Baise ta petite pute, remplis moi comme les autres me remplissent, comme leur outre à foutre bon marché »

Il se vida à peine quelque seconde après l'orgasme de sa femme.

Ma sœur me raconta comment elle avait vraiment apprécié cette baise, et donc qu'en accord avec son mari, elle recommencerait de temps en temps à faire la pute....

J'avais donc atteint mon but de vengeance...après avoir été désigné pour payer de mon corps les dettes familiales, j'avais enfin réussi à faire tomber mes autres sœurs dans la même déchéance que moi. Bien sûr, Vincent fut assez vite remboursé par nos culs réunis ; il feta cela en nous baisant tous les trois en même temps. Le lendemain, on était tous les trois dans le salon, en tenu de pétasse (on n'avait plus que ça de toute façon).

Nos parents s'excusèrent longuement, mais on sentait bien que personne n'avait vraiment envie de revenir à nos déboires financiers initiaux. Même si nous ouvrions bien volontiers nos cuisses pour Vincent quand il repassait à la maison, nos fesses travaillent pour nous maintenant, et pour encore de longues années j'espère....

FIN.

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Je suis content que Hélène a fait grossir ses seins. J'adore les transformations physiques surtout pour des énormes seins.

Dans les précédents chapitres il y avait aussi la coloration des cheveux.

Est-ce que Charlotte a aussi passé au blond platine ?

Est-ce que le sexe des trois sœurs est glabre ?

Est-ce que la mère est seulement maquerelle, ou elle fait aussi des clients ?

Vincent a perdu une grosse partie de ses revenus ?

Rudy

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Déjà fini ?

Bonjour ! Hélène est une bonne poire et j'aurais aimé déguster encore la suite de ses aventures. le mari court toujours à se perte en jouant… Les dettes vont revenir.

En tout vas, je lirai avec plaisir vos textes à venir.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Très bien, mais perfectible

Bonne histoire, qui aurait pu être prolongée un peu.

Des fautes de grammaire gâchent un peu la lecture, notamment lorsqu'il est écrit une terminaison -é alors que c'est censé être une fille -ée qui raconte.

On attend la prochaine

trouchardtrouchardil y a plus de 3 ans
Pour la totalité de ton récit !

Ton récit est très bien, les idées sont très bonnes et l'intrigue bien construite.

Malheureusement tu n'as pas vraiment fait attention à l'orthographe et à la grammaire. C'est dommage, ton texte aurait été plus agréable à lire.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Au final, après avoir remboursé les dettes à Vincent, les 3 filles sont maintenant les gagne pain de la famille et leur mère est leur maquerelle et se charge de leur trouver des clients

OlivX

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