La déchéance de Juliette Ch. 02

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Obligée de se soumettre dans une chambre d'hôtel.
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Partie 2 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 06/02/2021
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Traduction d'un texte de TheDarkCloud

*****

Juliette fut très mal à l'aise lorsqu'elle arriva à l'hôtel vêtu à partir de la taille d'un simple soutien-gorge. Elle dut inventer une histoire embarrassante pour le gardien bourru (mais amusé) et la réceptionniste hautaine. Elle dit qu'elle était avec l'homme de la chambre 207 mais qu'on lui avait volé son haut. Pouvait-elle rejoindre son ami pour se rhabiller ?

Elle fut convaincante mais la réceptionniste appela quand même la chambre avant de lui permettre de monter.

Heureusement l'hôtel était calme. Elle ne rencontra personne dans les couloirs. Elle était gênée et avait peur d'être reconnue.

Elle prit l'escalier, ne voulant pas risquer l'ascenseur, et quelques minutes plus tard, elle se trouva devant la porte de la chambre, son cœur battant la chamade.

Elle se dit qu'elle pouvait encore battre en retraite mais lorsque cette porte serait ouverte, elle ne pourrait plus reculer. Elle pensa à sa carrière, à tout ce qu'elle avait fait pour réussir. Pour la préserver, elle allait souffrir et être humiliée durant toute la nuit.

Mais elle se motiva. Elle aurait sa revanche. Quand elle connaîtrait l'homme dans la chambre, elle pourrait découvrir l'organisateur du chantage. Et là, elle ferait de leur vie un enfer.

Pour le moment, elle prit une grande inspiration, elle se donna du courage et elle frappa à la porte de la chambre d'hôtel.

Elle attendit assez longtemps, se sentant dans une position inconfortable debout dans cette tenue au milieu du couloir. Elle entendit la porte de l'ascenseur s'ouvrir avec un « ping ». Puis elle entendit des voix sans savoir si elles s'éloignaient ou se rapprochaient.

Mais la porte de la chambre s'ouvrit. Un homme s'encadra dans la porte, empêchant Juliette d'entrer dans la pièce et ainsi réduire son embarras.

- Ah commissaire PORTIER, je suis tellement content de vous rencontrer. Je vous admire, de loin, depuis longtemps.

Juliette pouvait difficilement cacher son dégoût, non seulement du chantage, mais de cet homme de type maghrébin. Pourrait-elle faire quoi que ce soit avec lui ?

Elle avança, espérant qu'il recule pour la laisser entrer. Mais il ne bougea pas si bien qu'elle tapa contre lui.

- Allez ! Laisse-moi entrer ! Quelqu'un pourrait me voir.

- Ça me fait plaisir de vous voir aussi pressée d'entrer dans ma chambre. Mais je voudrais être sûr que vous allez faire ce que je dis. Enlevez votre soutien-gorge, libérez vos seins, laissez-moi voir vos gros nichons et je vous laisserai entrer.

Juliette était exaspérée. Elle détestait être commandée. De l'être par cet homme lui tourna l'estomac. Surtout qu'il souriait, sa bouche basanée révélant un ensemble de dents blanches en dessous d'une moustache.

- Oh très bien !

Elle consentit, désespérée.

Elle passa ses mains dans son dos et détacha son soutien-gorge, consciente de l'humiliation subie. Certains paieraient cher pour cela. Elle tira les bretelles, laissa tomber son soutif avant de couvrir ses seins avec ses mains. Mais l'homme lui dit non avec ses doigts et lui demanda de mettre ses bras sur le côté. Elle le fit à contrecœur, consciente que quelqu'un pourrait apparaître dans le couloir à tout moment.

Le type attrapa ses seins avec ses grosses mains et les malaxa durement. Puis il dit :

- Très bien, Vous devenez une chienne plus agréable. Maintenant, pour pouvoir entrer, vous allez vous mettre à genoux et embrasser mes chaussures.

- Quoi ? NON ! je ne veux pas !

Mais même si elle refusait, elle savait qu'elle devrait obéir pour qu'il la laisse entrer. Alors elle se mit à genoux, les seins nus au milieu du couloir. A ce moment, arriva dans le couloir un jeune couple manifestement ivre. Ils s'arrêtèrent et regardèrent cette rousse à moitié déshabillée puis se mirent à rire. Juliette entendit la jeune fille dire :

- Ça doit être une pute !

La policière rougit de honte et continua à embrasser les chaussures en cuir de son tourmenteur. Finalement celui-ci recula, la laissant entrer dans la chambre. L'entendre fermer et verrouiller la porte derrière elle la remplit d'effroi.

- Venez donc ici. Et prenez un verre.

L'homme lui tendit un verre de champagne. Juliette, après tout ce qu'elle avait enduré ce soir, sentit qu'elle en avait besoin. Elle avala tout d'un seul coup. Elle tendit le verre à son hôte et essaya de reprendre le contrôle de la situation.

- Vous savez qui je suis. Et croyez-moi, je saurais qui vous êtes, pour qui vous travaillez. Alors arrêtons cela avant que ça n'aille plus loin. Laissez-moi partir et j'oublierai à jamais ce qui est arrivé.

Mouloud eut un grand sourire et secoua la tête tristement. Puis il lui parla comme à un enfant buté.

- Je ne pense pas commissaire. Vous connaissez les conséquences si vous ne faites pas ce que l'on vous demande. Vous avez obéi jusqu'à présent, la suite va être facile. Et puis je vous assure que votre corps va apprécier. J'ai l'habitude des femmes de caractère et vous êtes si attrayante, cela va être très amusant pour nous deux.

Juliette fulminait. Elle accepta un deuxième verre de champagne qu'elle descendit d'une traite encore.

- Vous voulez m'humilier encore plus. Vous voulez que je m'étale sur le lit, jambes écartées pour que vous puissiez prendre du plaisir. C'est cela ? Très bien !

Que ce soit la boisson (qui avait été droguée par Mouloud) qui commençait à faire effet ou qu'elle fut résignée à son sort n'avait pas d'importance. Elle fit ce qu'elle avait dit. Elle déboutonna rapidement son pantalon d'uniforme et le jeta sur le sol. Rapidement, ses chaussettes blanches et sa culotte suivirent le même chemin.

Nue, elle se laissa tomber sur le dos sur le lit de la chambre. Puis elle écarta les jambes, avec un air de défi.

- Allez Salaud ! Qu'est-ce que tu attends ? Tu veux me baiser, alors viens.

Mouloud sourit et enleva sa veste.

- Oh ma chère, si vous saviez comme vous êtes sexy quand vous êtes en colère. Oui je veux te baiser mais ce n'est pas ce que je prévoyais pour l'instant. Je veux te voir, chère commissaire, à genoux devant moi. C'est ta bouche qui doit m'honorer en premier.

Durant ses paroles, il enleva sa chemise, révélant un torse musclé et poilu. Puis il déboutonna son pantalon.

Juliette ferma les yeux, se demandant pourquoi elle devait faire cela. Mais elle était trop engagée, elle ne pouvait plus reculer. Elle descendit du lit et s'agenouilla devant l'homme dégoûtant.

Elle se prépara, en essayant de saliver sur sa langue, à goûter sa première bite depuis plus de cinq ans. Elle comprit qu'elle devait enlever le caleçon elle-même. Elle le fit avec un regard dégoûté sur le visage qui ne s'améliora pas lorsqu'elle vit le membre durci devant ses yeux.

- Allez Commissaire PORTIER, j'ai attendu longtemps et payé beaucoup pour ce moment. Sucez-moi ! Sucez votre maître !

« Son maître ? » pensa Juliette. Mais elle n'eut pas le temps réfléchir alors qu'il enfonçait sa bite raide dans sa bouche. Elle entoura le membre de ses lèvres, et lentement, elle le travailla sans enthousiasme avec sa langue. Ce fut une erreur. Ennuyé, Mouloud plongea sa bite profondément dans sa gorge ce qui étouffa la policière. Puis dans un mélange de bile et de salive, il continua à cogner la bouche sans l'aide de la femme.

Puis il sortit la verge de la bouche afin de la faire rebondir sur les lèvres et le menton, souillant le visage de Juliette. Il utilisa son membre comme une brosse à dents sur toute la surface dentaire et il prit un grand plaisir à pousser sa bite à l'intérieur contre les joues. Il essuya sa queue dans les cheveux en désordre et la fit glisser sur la face de la policière humiliée.

Juliette, agenouillée, lui permit tout, pensant à sa réputation à garder.

L'homme la souleva afin de la jeter sur le lit, les jambes grandes ouvertes. Il approcha son visage de la chatte de la femme, écarta les petites lèvres avant de plonger deux doigts dans le trou afin de le sonder.

- Quel est le problème Commissaire ? Vous ne mouillez pas ! Dois-je vous exciter ? Voulez-vous des stupéfiants ? Il me semble que ça vous stimule normalement.

Juliette grimaça et se mordit la langue, déterminée à ne pas lui donner la satisfaction d'une réponse. Mais ses doigts rugueux continuaient à triturer ses parois vaginales si bien qu'elle ne put s'empêcher de se tortiller à ce contact tout en laissant échapper un gémissement. Elle se détesta de se voir réagir ainsi mais c'était instinctif et elle ne pouvait se contrôler. Quand il enfonça ses doigts plus profondément, elle se sentit mouiller. Les phalanges de Mouloud glissèrent de plus en plus facilement. Il se moqua :

- Voilà qui est mieux. Maintenant voyons voir si ma bite veut bien entrer.

Il n'avait pas mis de préservatifs et elle ne prenait aucune contraception. Mais elle n'eut pas le courage de se plaindre, sachant que cela ne servait à rien.

L'homme prit ses jambes au niveau des chevilles, il glissa facilement son membre en elle, puis il commença à la baiser.

Juliette sentit un mélange d'émotions montées en elle. D'une part, elle se sentait humiliée d'être utilisée de cette manière, de n'être pas plus qu'un objet au service de cet homme. Mais son corps n'avait pas connu cela depuis longtemps. Il y avait belle lurette qu'elle n'avait eu un petit ami. Elle se consacrait seulement à son travail.

Son corps réagissait à l'action de MOULOUD. Il se déplaçait pour être en rythme avec les coups de butoirs du maghrébin. Ses mamelons s'étaient raidis et sa chatte de venait de plus en plus humide à chaque pénétration.

Ne pouvant lutter contre l'embrasement de son corps, elle décida d'essayer de reprendre l'ascendant :

- Viens salaud ! C'est tout ce que tu peux faire ? Il m'en faut plus pour me satisfaire.....

Mouloud sourit cruellement et martela plus puissamment le bassin de sa partenaire. Il tendit ses mains pour saisir et peloter rudement les seins charnus, les griffant tout en grinçant des dents sous l'effort fourni pour baiser cette chienne.

- Tu parles trop Salope de flic. J'ai un bien meilleur usage de cette bouche.

Il se retira de la chatte, et grimpa sur le lit, de façon à avoir son aine près du visage de Juliette. Puis il poussa une nouvelle fois sa bite dans la bouche de la policière, lui faisant lécher et sucer son propre jus.

- Tu en veux plus Salope ?

La réponse de la femme ne fut que grognements et gémissements. L'homme retira sa verge gluante de la bouche haletante. Juliette se laissa retourner facilement. Son persécuteur la pénétra brutalement en levrette. Il se pencha pour attraper les cheveux roux complètement ébouriffés et s'en servit comme des rênes. Avec enthousiasme il martela le sexe de la policière tout en giflant son cul.

Elle ne pouvait rien faire. Mais l'excitation sexuelle de son corps lui fit perdre toutes inhibitions et défenses. Elle sentit un frisson courir le long de sa colonne vertébrale lorsqu'un doigt commença à sonder son petit trou du cul serré.

Tout d'un coup, cette femme dure et intransigeante dans sa vie professionnelle, supplia en gémissant pour que l'homme ne lui prenne pas son cul encore vierge. Elle s'y était toujours opposée même plus jeune, pendant ses années d'étude.

Mais elle ne put trouver les mots pour le convaincre. Il était trop occupé à la baiser et à enfoncer le plus profondément possible son doigt dans son cul. Soudainement, il éjecta sa bite de la chatte et le conduisit dans le petit trou serré. Et il la sodomisa violemment avec de grands va-et-vient. Il tint son emprise sur les cheveux roux tout en accélérant le rythme.

Aussi rapidement, il se retira et fourra sa bite dans la bouche ouverte de sa victime.

- Et voilà ! Regardez donc cette fière commissaire de police sucer ma bite qui sort de son cul. Allez Salope, suce bien !

Juliette prit tout le membre, trop fatiguée pour se plaindre. Elle sentit la queue exploser, pulvérisant du sperme collant dans toute sa bouche. Mouloud finit d'éjaculer sur son visage, laissant des traînées de foutre épais sur les joues et le nez. Avec ses doigts il les récupéra afin de nourrir la bouche encore ouverte.

Puis il se dirigea vers la salle de bain.

Le stress et la tension de la journée, combinés aux efforts physiques et aux grands verres de champagne eurent raison de Juliette qui se tourna et s'endormit presque immédiatement. Ainsi, elle échappa à l'horreur de ce qu'elle avait subi.

Elle se réveilla quelques heures plus tard, trouvant la chambre déserte. Tous les signes de présence de son violeur avaient disparu. Tous ses vêtements (et même la chemise qu'elle avait jeté à la poubelle) étaient soigneusement pliés et disposés sur la petite table de la chambre.

Alors que les souvenirs de la nuit remontaient, elle s'habilla rapidement et elle s'enfuit de cette chambre de luxure.

Elle voulait enquêter sur ce Mouloud et sur l'homme qui l'avait fait chanter. Vu sa position, elle ne pouvait permettre que ça se reproduise. Elle se jura de faire souffrir ces hommes.

Le matin, bien que fatiguée, elle voulut arriver au travail sans retard. Elle ne voulait pas montrer à ses tourmenteurs qu'ils avaient gagnés et qu'elle était affectée par cette nuit.

Elle se doucha longuement, afin de laver les souillures de son corps et de son esprit. Elle s'habilla avec son costume le plus professionnel. Elle se sentit de nouveau puissante alors qu'elle rejoignait, le visage fermé, le commissariat.

Elle pénétra dans son bureau, fermant la porte derrière elle. Elle était soulagée de retrouver la sécurité de cette pièce.

Mais ce soulagement fut de courte durée car elle aperçut une autre enveloppe kraft posée sur son sous-main. Elle resta figée un moment, puis elle déchira férocement le pli, laissant tomber deux vidéos et une note imprimée.

Presque à bout de souffle, elle commença à lire :

« COMME PROMIS ? VOUS TROUVEREZ LA VIDEO ORIGINALE DE VOS EBATS AVEC MONSIEUR DAVID.

SUR LA SECONDE, VOUS POURREZ VOIR UN FILM TRES TRES CHAUD. NOUS AVONS TRAVAILLE TOUTE LA NUIT DESSUS. IL S'AGIT DES EVENEMENTS DE LA CHAMBRE 207. JE SUIS CERTAIN QUE VOUS ALLEZ ENQUÊTER SUR MOULOUD AFIN DE SAVOIR QUI IL EST REELLEMENT.

CE N'EST PAS UTILE. SON NOM EST MOULOUD BEN ARFI, IL A 33 ANS ET VIENT DU MAROC. JE SUIS CONTENT QUE VOUS VOUS SOYEZ SI BIEN ENTENDUS.

J'OUBLIAI DE VOUS DIRE QU'IL A DEJA ETE CONDAMNE POUR TRAFIC DE DROGUE. IL A ETE LIBERE IL Y A 8 MOIS. SA BANDE EST SOUPCONNEE D'AVOIR ORGANISE LA NUIT DERNIERE UN GO FAST ENTRE BARCELONE ET PARIS.

HEUREUSEMENT QUE MOULOUD AVAIT UN ALIBI N'EST-CE PAS ? »

Juliette s'effondra dans son fauteuil en cuir. Elle relut la note, l'incrédulité et l'horreur s'affichant sur son visage. C'était un cauchemar.

Elle vit que le dos de la note était écrit aussi, alors elle lut la dernière partie :

« ALORS MA CHERE ? COMMENT PENSEZ VOUS QUE REAGIRAIENT VOS EMPLOYEURS AINSI QUE VOS COLLEGUES EN VOUS VOYANT PASSER LA NUIT AVEC UN TRAFICANT DE DROGUE DEJA CONDAMNE PENDANT QUE SA BANDE IMPORTE LA PLUS GROSSE QUANTITE DE DROGUE DE CES DERNIERES ANNES ?

JE PENSE QUE VOUS SUBIRIEZ UNE ENQUÊTE APPROFONDIE AVANT D'ÊTRE ARRÊTEE.

ALORS SOYEZ A LA CABINE TELEPHONIQUE DE L'AUTRE NUIT DANS VINGT MINUTES OU J'ENVERRAI CES PREUVES A QUI DE DROIT »

Dans un état second, Juliette expliqua à ses collègues qu'elle ne se sentait pas bien et comme un zombie, elle se dirigea vers sa voiture pour rejoindre la cabine. Elle attendit deux minutes avant que le téléphone sonne.

La voix de la nuit dernière parla, ne la laissant pas commenter :

- Très bien Commissaire, il semble que vous apprenez à obéir. Maintenant, si vous voulez que notre petit secret reste entre nous, vous allez devoir effectuer le premier jour de travail honnête de votre vie.

- De quoi parlez-vous espèce de tordu ?

- Quelle insulte Commissaire ! Mais peu importe ! Dans quelques minutes, une limousine noire va arriver pour vous prendre. Vous allez travailler une journée dans un bordel spécialement sélectionné pour vous. Si vous faites ce que l'on vous demande, si vous obéissez toute la journée, personne ne saura pour MOULOUD. Dans le cas contraire, je vous laisse deviner les gros titres des journaux de demain. A vous le choix Commissaire !

La ligne fut coupée. Juliette se tourna à droite et vit une longue voiture noire venir se garer le long du trottoir. Elle hésita une seconde et, à contrecœur se dirigea vers le véhicule. Elle ouvrit la porte et s'engouffra dedans.

A suivre...

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1 Commentaires
milfoliviamilfoliviail y a presque 3 ans

J'adore, hâte de connaitre la suite

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