La Déchéance de Caroline - 03

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Déjà une première queue s'introduit dans son anus. Tandis que l'homme commence à la marteler, elle sent inexorablement la bite pousser dans son rectum. Elle est remplie par derrière comme jamais elle ne l'a été. Elle est pistonnée pendant ce qui lui semble être des heures. Le profanateur, tout en continuant à l'enculer, réussi à attendre son bourgeon d'amour et à le titiller. A la fois excitée et confuse, les yeux vitreux, elle est quasi instantanément terrassée par un orgasme dévastateur. L'instant d'après, à grandes saccades, le violeur anal se répand dans ses intestins. Un autre sexe lui succède quasi immédiatement, tandis qu'un autre soudard présente devant la bouche de la Blanche une pine imposante. Cette dernière, la bave aux lèvres, l'enfourne et commence à la sucer comme une morte de faim. Celui qui investit son derrière s'amuse à lui pincer ses mamelons tendus et tandis que les 2 pillards éjaculent en même temps et dans son cul et dans sa bouche, elle est victime d'un nouvel orgasme.

Elle est devenue une poupée de chiffon, esclave du plaisir, programmée pour ne faire qu'autre chose que de recevoir les hommages de nombreux mâles dans ses cavités utilisées sans arrêt. Les orgasmes, incontrôlables, se succèdent les uns après les autres. Les sensations sont si intenses qu'elle en pleure. Ses cris excitent les mâles en rut. Ils la regardent tenter, en vain, de se libérer du pilori. Ils la narguent avec des paroles crasseuses jusqu'à ce que Caroline, d'habitude très réservée, presque pudique, réponde de la même façon, en délirant telle une salope dépravée. Alors, à nouveau, de nombreux assaillants investissent ses 2 orifices. Ce que la Directrice ne sait pas, c'est qu'une grande partie de la scène est filmée...

Après plusieurs heures, tandis que les effets secondaires des aphrodisiaques s'estompent, le cadre du pilori est enfin relevé et l'esclave blanche libérée. Sous le regard hilare de Mama Wemba : - Tu as bien travaillé! 22 bites dans le cul et 14 dans la bouche! J'espère que tu en as bien profité, car demain, c'est la fin des vacances!

La future quadragénaire ne comprend pas cette dernière remarque. Elle est ramenée, toujours nue, dans la maison de la matrone. Et, une nouvelle fois, elle est lavée au tuyau d'arrosage, la géôlière s'amusant à nettoyer son anus et sa cavité buccale au jet d'eau. Après une ultime séance d'amours saphiques, où la femme noire profite avec indécence des charmes de la captive, celle-ci l'informe qu'elle peut rester dormir dans son lit, une première depuis de nombreux jours. Après une nuit enfin calme et reposante, Mama Wemba, après un dernier baiser goulu, précise : - Aujourd'hui, tu pourras librement vaquer à tes occupations. Ce soir, il te restera une dernière chose à effectuer, avant que tu regagnes ton pays! Vous allez être libérés.

La journée est des plus calmes : Caroline, toujours nue, passe son temps dans la maison de la geôlière. Le soir venu, la matrone lui tend un short, un débardeur et des sandales :

-Enfile - les! Ce sont tes affaires! Mais avant, voilà de quoi te mettre en grande forme!

Et ce faisant, elle passe sur le clitoris et les lèvres vaginales de la captive la pommade excitante, tout en contraignant la fille à absorber une bouteille contenant la préparation aphrodisiaque. Après quelques minutes, le temps que les produits fassent effet, la matrone emmène Caroline à l'extérieur. Cette fois, aucun collier n'est placé autour de son cou. Alors qu'elle pense se rendre chez le Chef du village, la prisonnière constate avec horreur que Mama Wemba prend le chemin de la maison où le Président Parmentier est en résidence surveillée. Déjà la porte s'ouvre et la jeune femme se retrouve face à son patron, dans ce qui est visiblement sa chambre de fortune, un lit défraîchi trônant au milieu de la pièce. Ayant de plus en plus de mal à contrôler ses sens, elle trépigne sur place, ses mains commençant à s'approcher de son entrejambe. Ses doigts, subrepticement, caressent sa vulve à travers le tissu du short. Sa gardienne lui donne alors des instructions : - Ton Président t'a sauvé la vie! Sans lui, tu serais déjà morte. Alors, il est temps de lui montrer ta gratitude et de lui offrir ton corps!

Ne pouvant plus contrôler ses pulsions sexuelles et sentant son désir monter irrésistiblement, la Blanche frotte sa vulve, sa main droite se déplaçant à nouveau vers son vagin humidifié, malgré un profond sentiment de honte et de culpabilité.

De nouveaux ordres fusent :

- Rapproche - toi et montre tes seins à ton patron!

Elle se rapproche, comme dans un rêve. Elle est désormais juste devant lui, à un mètre à peine.

- Plus près!

Elle avance à nouveau. Ses nichons sont désormais face au visage de Parmentier, qui s'est levé.

- Maintenant, enlève ton débardeur et ferme les yeux!

Elle fait ce que Mama Wemba lui demande. Elle sent les mains de son presque voisin toucher sa poitrine. Il soupèse lentement chaque globe, tirant sur les mamelons et les faisant rouler entre ses doigts. C'est ensuite la langue de l'intéressé qui parcourt, à tour de rôle, les seins de la malheureuse. Nyambo filme la scène dans son intégralité. Le souffle de Caroline s'accélère, ce dont profite sa tortionnaire :

- A présent, et toujours les yeux clos, retourne-toi, penche-toi et montre ta chatte à ton sauveur!

La Directrice fait demi-tour et s'abaisse. Les ordres fusent : - Avec les jambes plus écartées, c'est mieux!

Alors que celles-ci s'ouvrent, Parmentier peut voir la fente et l'anus de la jeune femme. Ses lèvres vaginales sont enroulées et fermées. Elle reste courbée pendant que le Président lui tâte les fesses. Nyambo, lui, la caméra toujours à la main, la filme de dos mais aussi de côté, capturant sur image ses seins fermes qui, vu la position, « pendent » vers le sol. - Retourne - toi! rugit la femme noire.

Elle fait ce qu'on lui demande, vaincue et soumise aux injonctions de sa géôlière perverse :

- Ouvre tes lèvres et caresse ton clito!

Elle obéit et maintenant, presque avidement, joue avec son sexe tout en ouvrant ses jambes de façon obscène et en poussant son entrejambe vers l'avant. Ses doigts taquinent son vagin alors qu'elle en ouvre les rabats et montre l'ouverture de celui-ci. Elle frissonne en frottant son bourgeon. Ses mains sont devenues plus pressantes.

Son corps se met à trembler, car sous l'effet de la drogue, sa sexualité explose. Le Chef de délégation est subjugué par la vue de cette nymphette qui se masturbe devant lui. Elle gémit tandis que ses doigts appuient frénétiquement sur son bouton d'amour. Pendant qu'il la dévore des yeux, ses jambes tremblent alors que son excitation augmente. Elle murmure soudain de manière à peine audible, ne pouvant attendre :

- S'il vous plaît...

- Qu'y a-t-il, chienne? interroge sa geôlière.

- J'ai... j'ai besoin... d'un phallus.

La femme noire la fait languir :

- Un quoi? Je ne connais pas ce mot. Sois plus explicite, chienne!

- J'ai besoin... d'une queue, Mama Wemba! Je veux... de... la bite!

- Voilà qui est mieux! sourit la femme noire. Mais tu dois mériter ta récompense! A genoux devant ton patron! Montre - lui, telle la chienne que tu es, comment tu suces une pine!

Alors, elle s'exécute. Extirpant le membre du pantalon, elle commence à l'emboucher, titillant le gland de petits coups de langue savamment dosés. Une scène assez surréaliste se déroule sous le regard malveillant de la matrone : Parmentier, habillé, braguette ouverte, se fait tailler une pipe par une femme nue, accroupie devant lui, les cuisses largement écartées. Celle-ci, sans mot dire, hormis un bruit de succion, s'escrime, telle une forcenée en manque de sexe, sur la mentule, de bonnes dimensions, qui a envahi la quasi intégralité de sa bouche. Le Chef de délégation, sentant l'orgasme approcher, lui intime d'arrêter et l'entraîne sur le lit. Alors, Mama Wemba, tandis que l'homme s'allonge sur le lit, empoigne Caroline par les cheveux et l'oblige à s'asseoir sur le pieu dressé du sexagénaire :

- Et bien, vas-y, chienne! Sers - toi : c'est l'heure de ta ration de queue! Il est temps pour toi de faire du cheval! Et donne du plaisir à ton sauveur en bougeant bien ton joli cul!

Le fier membre pénètre aisément dans l'organe distendu du vagin. La Directrice gémit et accélère le mouvement de manière sensuelle, montant et descendant sur le chibre. Parmentier, lui, la pilonne, faisant rentrer et sortir sa queue de la chatte affamée de la pouliche, tout en empoignant ses seins et en léchant leur bout. Sophie sent alors qu'on pose une pommade sur son œillet. La tortionnaire lui masse sa petite porte du paradis avec la même pommade excitante, et après quelques minutes, lui ordonne de s'enculer, le pénis s'enfonçant inexorablement dans son rectum. Bientôt, sous l'effet de la pine qui bouge en elle et des aphrodisiaques, la jeune femme, dans un ultime feulement, est terrassée par un violent orgasme.

Elle s'effondre sur son patron, tandis que ce dernier, presque au même moment, éjacule profondément et abondamment. Il se retire et, la laissant de côté comme un sac de viande, la chatte à la vue de tous, regarde le sperme s'écouler de son rectum.

La femme noire reprend la parole :

- Alors, chienne, tu as bien pris son pied? Tu devrais remercier ton boss. Et avec des mots crus. Allez!

La tête basse, tandis que Parmentier savoure la chaleur post-sexuelle, Caroline, dans un effort presque surhumain, s'efforce de répondre comme ordonné : - Je vous remercie... Monsieur le Président Parmentier... de m'avoir baisée... et enculée...

Au sortir de cette intense séance, elle n'est pas autorisée à s'essuyer et, penaude, tandis qu'elle retourne vers la maison de Mama Wemba, sent le sperme de son patron couler le long de ses jambes. Un lavement au tuyau d'arrosage l'attend.

Le lendemain, vers midi, elle se retrouve assise à l'arrière de la jeep volée par les pillards lors de l'attaque nocturne. Le Chef de la délégation est à ses côtés. Tous les 2 ont les yeux bandés. Le trajet dure plusieurs heures. Ils sont ensuite libérés dans la périphérie de Libreville. Rejoignant leur ambassade, après les formalités d'usage (interrogatoire sur leur lieu éventuel de détention, etc.), ils sont rapatriés dans les heures qui viennent et, fuyant la presse par une porte dérobée de l'aéroport où ils viennent d'atterrir, retrouvent enfin leurs familles. Caroline a supplié Parmentier de ne rien dire sur ce qu'elle avait subi. Officiellement, ils ont donc été bien traités.

Les prochaines semaines voient les deux otages essayer de retrouver une vie normale. Il faut d'ailleurs 2 mois à Sophie, en congé de maladie depuis son retour au bercail, pour faire à nouveau l'amour avec son mari, tentant de chasser de ses pensées les actes abjects auxquels elle a dû se soumettre. Le Président, lui, a eu la surprise de découvrir, en déballant ses affaires, une cassette vidéo sur laquelle il est simplement écrit « Souvenirs d'Afrique ». Après quelques jours, il se décide enfin à la regarder et découvre, avec stupeur et excitation, une compilation de tous les « exploits » sexuels de la Directrice. Voilà, se dit-il, qui ouvre des perspectives...

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

Très excitant, quelles réjouissances monsieur Parmentier a-t-il prévu pour Caroline désormais rompue et soumise aux pratiques sexuelles courantes . Va-t-il lui faire découvrir toutes les facettes de la sexualité féminine ?

AnonymousAnonymeil y a environ 1 mois

que d'émotions pour la pauvre Caroline. Je crains que son pervers de patron n'abuse de la situation. Enfin ne nous plaignons pas

AurailiensAurailiensil y a environ 1 mois

Bien excitant... je confirme merci

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