La débauche de France Ch. 03

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La fête continue.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 03/22/2022
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Une fois encore je me retrouvai dégoûtée de moi-même. Qu'avais-je fait et comment allais-je me tirer de cette galère? 

Norbert tendit la caméra à Laurent, ouvrit sa braguette et extirpas sa queue bandée de son caleçon. Norbert m'intima de regarda la caméra et de faire d'autres commentaires tous aussi obscènes qui commençaient a me faire monter une excitation malsaine. Je pris une nouvelle goulée d'air, avalais ma salive et clamais :

- Je suis tout à fait prête à sucer une autre pine noire! 

Je fermai les yeux, ouvris la bouche et entrepris de mener à bien ma tâche. Elle était grosse, elle était chaude. Pour rendre cet acte moins dégradant je m'imaginai que je suçais la bite de mon mari et que le tout ne se passait pas sous l'objectif d'une caméra qui enregistrait la scène.

Il me sembla que déjà mon excitation grandissait. Je bavai comme une folle alors que je le suçai de plus en plus avidement. J'entendis alors Laurent dire :

- Je crois qu'elle commence à aimer tailler des pipes aux noirs! 

Ce commentaire acerbe me ramena dans la réalité, mais c'était bien trop tard. Mes efforts avaient mené Norbert si près de l'orgasme que sans un seul mot il projeta des flots de foutre chaud au fond de ma bouche. J'avalai instinctivement ce qu'il projetait dans ma gorge veillant à ne pas laisser en échapper une goutte.

Je pensais qu'ils en avaient maintenant terminé avec moi, pour l'instant tout au moins, je poussais un soupir soulagé. 

Mais deux mains puissantes me relevèrent alors que deux autres mains me débarrassaient sans vergogne de mon short. Ils me dirent de grimper sur la table basse et de danser, ils avaient mis du rap, une musique que je haïssais d'ailleurs m'ordonnant de danser de façon érotique.

Je tentai d'imiter ces filles qu'on voyait danser à la télé en faisant de mon mieux pour copier leurs gestes. Je leur demandai que si je me montrais très docile et que je leur obéissais de mon mieux ils me donneraient les enregistrements.

Ils se regardèrent l'un l'autre en riant et Laurent s'esclaffa :

- Pour l'instant occupe-toi de danser salope et ne te tracasse pas pour la façon dont on va employer ces cassettes...

Norbert me tira vers le bas et m'informa qu'il allait me baiser comme jamais je ne l'avais été. Je paniquais et braillais !

- Non, Pas ça, Je ne veux pas, laissez-moi tranquille!

Il me répondit en me projetant sur le canapé. Allongée sur le ventre je vis que Laurent s'était mis à filmer la scène.

Il m'avait prévenue qu'ils allaient me déposer entièrement nue sur le trottoir si je refusais de dire ce qu'ils voulaient entendre. A mon grand désappointement je dus répéter à voix haute :

- Je vais me faire baiser par une grosse bite noire!  Soupirais-je anéantie.

Lorsque Norbert me pénétra, il me fit atrocement mal. C'était inscrit sur mon visage que jamais chose aussi énorme n'avait pénétré dans ma grotte d'amour. Le membre de mon mari mesurait treize cm et je m'imaginais que tous les bites avaient cette taille.

Il commença à coulisser difficilement au fond de mon puits d'amour, la douleur diminuait peu à peu. Il m'empoigna aux hanches, il pouvait ainsi s'enfoncer plus profondément dans mon utérus, la douleur avait disparu. Il amplifia le rythme de son pistonnage, sa monstruosité coulissait maintenant aisément dans ma grotte élargie, il allait et venait en moi comme un piston en vitesse de croisière.

Je me sentais si pleine de lui, il allait si profondément dans mon intimité que je pensais que personne ne pourrait plus jamais me faire ressentir de telles émotions. J'étais choquée d'y prendre du plaisir?

Beaucoup de plaisir. Je poussai des petits cris comme toutes femmes succombant à un orgasme massif. C'était le plus intense orgasme auquel j'ai jamais succombé, Laurent filmait attentivement mon visage, il me dit qu'il voyait que je jouissais et que j'en étais heureuse, il s'exclama :

- Tu as aimé n'est ce pas ma petite voisine? 

- Non ! Rétorquais-je d'une voix ténue, peu convaincante.

Norbert reprit sa chevauchée et nouvel orgasme aussi puissant me submergea, Laurent s'approcha la caméra toujours en main et me murmura à l'oreille :

- Tu aimes que cette queue noire te pistonne la moule n'est ce pas salope? 

Je trouvai la force de répondre encore une fois :

- Non !!

Cette fois Norbert lâcha les chevaux, je jouis si fort que mon corps tressautait alors que mes yeux se vidaient. Laurent s'approcha encore plus près et intervint :

- Dis-nous que cette grosse bite est la plus grosse qui t'ais jamais pénétrée! 

Je le regardais, et molle comme une chiffe, vidée de toute énergie je concédais :

- Plus grosse ? Bite ? Oh oui ! La plus grosse ?

Il éclata de rire et me dit d'y ajouter bite.

Je répétais alors :

- Oui ! La plus ? La plus grosse ? La plus grosse bite que j'ai jamais accueillie dans ma moule!

Puis tout devint sombre.

En revenant à moi, je constatais qu'ils avaient inversé leurs rôles, Laurent me chevauchait alors que Norbert tenait la caméra. J'étais toujours allongée sur le dos, Laurent coulissait aisément en moi.

Il me vint soudain à l'esprit que jamais je n'avais appartenu à un autre homme que mon mari jusqu'ici, et voilà que je me faisais baiser successivement pour la seconde fois en une journée par deux martiniquais bien montés. Un énième orgasme me terrassa, je me mordis les lèvres pour rester calme.

Laurent m'inonda de son sperme, sperme qui s'ajouta à celui que Norbert venait de m'injecter dans les profondeurs de mon utérus saturé. Je me souvins alors que je ne prenais pas la pilule alors que ces deux gaillards venaient d'éjaculer dans mon intimité.

Qu'est ce qui m'a pris? Me demandais-je avec inquiétude. Que penseraient mes collègues de travail s'ils me voyaient agir ainsi?

Oh mon Dieu et qu'en penserait ma famille? 

Laurent coupa mes pensées en plongeant son épaisse bite dans ma bouche me disant de la nettoyer en bonne petite ménagère soucieuse de terminer son travail. Je dus aussi lui lécher les couilles et le trou du cul. Il me dit d'aller prendre une douche et de venir les rejoindre chez eux pour prendre à nouveau du plaisir. Lorsqu'ils me quittèrent, je m'assis dans la baignoire et pleurais toutes les larmes de mon corps.

Jamais je ne m'étais sentie aussi faible, aussi désarmée, en même temps j'avais pris beaucoup de plaisir à me faire baiser ainsi, cela avait été la meilleure expérience sexuelle de toute ma vie. J'étais confuse, je ne savais pas quoi faire.

Une fois que je me fus habillée, j'empoignais le téléphone pour appeler Éliane ma seule amie. Elle était la seule à qui je puisse confier en partie mes tracas, la seule qui m'écouterait sans me juger.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a plus d’un an

Je suis follement excitée. Je me suis masturbée. C'est bon. Je pense à ces grosses queues. Est-ce que les testicules sont en rapport? Cà inonde?

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Bravo, c'est non seulement exitant, mais bien écrit!! Dans la ligné des deux premiers chapitres. J'attends la suite avec impatience

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