La Collection

BÊTA PUBLIQUE

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Lorsqu'il s'était approché d'elle pour la relever, elle s'était jetée sur lui, essayant de lui arracher sa cagoule et de griffer son visage. Une lutte confuse s'en était suivie sur le sol du salon. Elle s'était mise à crier mais il était parvenu à lui couvrir la bouche. Elle l'avait mordu et couvert de coups de pied et de poing. Finalement, il était parvenu à l'immobiliser allongée sur le ventre et, assis sur son dos, à lui passer les menottes qu'il avait trouvées dans la chambre. Puis, il l'avait baillonnée au moyen d'un foulard et lui avait remis le bandeau sur les yeux. Après lui avoir lié les chevilles, il pu enfin ôter sa cagoule et reprendre son souffle tandis que sa victime continuait en vain à se tortiller en vain sur le sol

Lorsque elle fut calmée, il la souleva brutalement et la jeta sur son épaule en la retenant par les cuisses. Les fesses largement dénudées de sa captive étaient à la hauteur de son visage et, bien qu'il aurait aimé y déposer un baiser, ce fut une claque sèche et sonore qui résonna dans la pièce. Carla poussa un grognement de surprise assourdi par le bâillon.

Son colis sur l'épaule, il passa par le bar pour se servir un whisky puis alla s'asseoir sur un fauteuil du salon. Allongée sur le ventre, les jambes emprisonnées entre les cuisses de son bourreau, Carla s'agitait comme une anguille devinant ce qui l'attendait. Mais le bras de Jack la maintenait fermement en position et toute résistance était inutile.

La main s'abattit dix fois sur les fesses rebondies, accompagnée à chaque fois d'un claquement sec et sonore. Entre chaque impact, Frank laissait passer deux ou trois secondes durant lesquelles la chaleur se mettait à rayonner dans les entrailles de sa captive tandis que le souffle du ventilateur refroidissait temporairement la surface échauffée et brillante du cul délicieusement rosé. Puis il recommençait

A la dixième fessée, il s'arrêta pour boire une gorgée de whisky. L'administration de cette petite punition l'avait fortement excité et il cherchait dans l'alcool glacé un soulagement à une érection de plus en plus vigoureuse. Carla grognait dans son bâillon et, dans une tentative désespérée d'apaiser la brûlure, se frottait énergiquement les fesses de ses mains menottées. Jack lui écarta les mains puis baissa la culotte de dentelle dévoilant deux fesses rougies sur lesquelles il se mit à souffler doucement. Ensuite, entre deux gorgées de whisky, il y promena durant plusieurs minutes le cul glacé du verre. Carla poussa un grognement sonore, puis, l'effet de surprise passé, sembla se laisser aller à profiter de cet agréable soulagement. L'eau glacée coulait entre les fesses de sa captive et Jack eu le sentiment que ce n'était pas que de l'eau qui lui mouillait la cuisse sur laquelle reposait le sexe de Carla.

Puis Jack s'interrompit, sécha doucement le derrière qui avait repris sa douce couleur rosée et, lorsqu'il eut fini, délivra une nouvelle série de dix claques rapides sur les fesses nues de sa victime.

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A son réveil Carla mit plusieurs minutes à reprendre ses esprits. Le salon était sombre et silencieux. Elle cru d'abord avoir fait un rêve particulièrement intense mais les traces laissées par les cordes sur ses poignets, ses bras et ses cuisses suffirent à la convaincre qu'elle n'avait pas rêvé.

Elle était allongée sur le divan du salon. Elle portait toujours ses bas et ses sous-vêtements. Son soutien gorge et sa culotte avaient retrouvés leur place. Elle n'avait plus de bandeau, ses mains, ses bras, ses jambes étaient libres. Elle ne savait que penser. L'inconnu avait-il quitté la maison, était-il caché quelque part prêt à bondir sur elle dès qu'elle ferait un geste?

Elle décida de se lever, mais après quelques pas vers la porte du salon elle sentit sa jambe droite se bloquer et un fracas infernal retentir derrière elle. Affalée sur le sol du salon, elle se mit à pester. Contre l'inconnu, qu'elle aurait voulu pouvoir enfouir à jamais dans un tiroir secret de sa mémoire. Contre elle, d'avoir été aussi stupide et de ne pas avoir réfléchi davantage avant d'agir. Contre le monde entier qui ne faisait rien pour la libérer de son ravisseur

Elle n'eut guère le loisir de s'énerver davantage, puisque quelques secondes plus tard elle entendit des pas descendre l'escalier. Lorsqu'il alluma la lumière du salon, elle le vit pour la première fois devant elle. Il lui paraissait grand et musclé, vêtu de noir de la tête aux pieds et coiffé d'une cagoule qui ne laissait voir que deux yeux verts en amande. Il lui dit qu'elle avait dormi plus d'une heure et qu'il en avait profité pour se doucher et faire le tour du propriétaire.

Lorsqu'elle lui avait demandé sèchement ce qu'il attendait d'elle et combien de temps ce petit jeu allait encore durer il s'était mis à rire disant qu'ils avaient encore beaucoup de choses à partager ensemble. Hors d'elle, elle s'était jetée sur lui pour lui arracher sa cagoule.

La courte lutte qui suivit excita Carla au plus haut point. Lorsqu'il s'était retrouvé assis sur elle pour la maintenir immobile, sa poitrine et son sexe avaient été fortement pressés contre le sol, déclenchant un rayonnement de plaisir dans tout le corps

Elle su ce qui l'attendait lorsque allongée en travers de l'épaule de son ravisseur elle reçut sa première claque. Durant sa jeunesse, elle avait subi de nombreuses fessées d'un père trop autoritaire. Puis, plus tard, elle avait découvert le plaisir sensuel des fessées entre amants. Mais cela faisait plusieurs années qu'elle n'avait plus pratiqué ce genre de séance et encore moins contrainte et forcée comme elle l'était ce soir.

Après les deux premières claques, la sensation de brûlure céda le pas à un courant chaud irradiant toute la zone du bas ventre. A chaque fessée, elle sentait son anus et son sexe s'ouvrir comme s'ils étaient à la recherche de la fraîcheur extérieure. En même temps, son pubis s'écrasait sur la cuisse de son bourreau, renvoyant des ondes électriques à l'intérieure du vagin qui devenait de plus en plus humide. L'attente entre chaque impact contribuait à faire monter la tension et accroître l'intensité des sensations.

Elle ne pu s'empêcher de pousser un râle de plaisir lorsqu'après avoir baissé sa culotte, il avait fait couler de l'eau glacée sur ses fesses brûlantes. La combinaison du feu et de la glace eut pour effet d'inonder brusquement son entrejambe, et lorsque la session de fessée repris, sur son cul nu cette fois, ce ne fut plus qu'une succession d'orgasmes rythmée par les claquements sonores. Après la dernière claque, elle resta en travers des genoux, mouillée et tremblante de désir, attendant avec une inquiétude mêlée d'impatience l'arrivée d'une nouvelle fessée.

L'humide chaleur qui montait de l'entrejambe de son ravisseur lui fit réaliser qu'elle n'avait pas été la seule à jouir durant cette séance.

Après quelques minutes durant lesquelles les deux protagonistes semblaient reprendre leur souffle, il la souleva et la déposa sur le divan. Allongée sur le ventre, elle entendit à nouveau le déclenchement d'un appareil photo qui la mitraillait, à moitié nue, les mains menottées dans le dos, la culotte baissée et les fesses rougies du traitement qu'on venait de leur faire subir

Après lui avoir fait une nouvelle fois promettre de ne pas crier, il lui avait ôté son bâillon et fait boire une longue gorgée de whisky. Le liquide glacé et brûlant la fit frissonner et la réveilla de la torpeur dans laquelle la séance de fessée l'avait plongée.

Quelques minutes plus tard, elle fut une nouvelle fois soulevée et transportée dans les bras de son ravisseur. C'était la première fois qu'elle était réellement dans ses bras. Consentante, sans essayer de lutter ou de se libérer, abandonnée au bon vouloir de son tortionnaire. Lorsqu'elle sentit sa peau nue contre la sienne et pu respirer son parfum elle fut définitivement convaincue qu'il s'agissait de quelqu'un qu'elle connaissait, qu'elle avait déjà rencontré. Cette idée la tranquillisa quelque peu même si elle bouillonnait intérieurement à l'idée qu'une de ses connaissances puisse lui faire subir pareil traitement. Elle pensa à d'anciens amants mais aucun ne lui paraissait capable de mettre au point un tel scénario. Elle faillit révéler ses pensées à son ravisseur mais elle se ravisa préférant garder pour elle ce qu'elle considérait comme un avantage stratégique.

Il l'avait portée dans sa chambre et elle s'était retrouvée allongée sur son lit. De l'eau coulait dans la salle de bain. A présent qu'elle était convaincue qu'elle connaissait son ravisseur, elle n'avait plus envie de lutter et était décidée, pour l'instant, à jouer le jeu et à obéir scrupuleusement à toutes ses demandes.

Quelques minutes passèrent, puis ses chevilles furent libérées. Lorsqu'elle sentit qu'il défaisait les jarretelles pour retirer ses bas, elle faillit se rebeller mais préféra finalement accompagner le mouvement. Ce fut ensuite le tour du porte jarretelles et enfin de la culotte, la laissant vêtue de son seul soutien-gorge et du bandeau qui lui cachait les yeux. Il l'aida à se lever et, le temps de libérer sa poitrine du soutien gorge, il lui défit puis lui remit les menottes dans le dos

C'est ainsi, aveugle et dévêtue, qu'elle fut conduite dans la salle de bain où il l'aida à se glisser dans un bain chaud et parfumé.

V.

En échafaudant son scénario Jack n'avait pas planifié la séance de fessée qu'il venait d'administrer, mais son déroulement l'avait tellement excité qu'il n'avait pas pu s'empêcher de jouir dans son pantalon lorsque le jus de Carla avait commencé à couler sur sa cuisse.

A la fin de la session, il s'était entièrement déshabillé et était resté nu devant elle alors qu'elle semblait endormie, allongée les fesses à l'air sur le divan. Il avait soufflé doucement sur le derrière encore rougi pour le rafraîchir, puis il l'avait prises dans ses bras pour l'amener dans sa chambre.

Après lui avoir fait couler un bain parfumé, il s'était mis à la déshabiller et elle s'était laissée faire comme si elle avait définitivement accepté son maître. Il l'avait d'abord regardée s'assoupir dans la chaleur soporifique du bain. Puis, alors qu'elle avait toujours les mains attachées dans le dos, il l'avait aidée à se relever et s'était mis à la laver longuement. Passant d'abord le jet de la douche, puis la frottant minutieusement d'un gant de toilette savonné.

Au bout de quelques minutes les tétons de Carla s'étaient durcis, se dressant fièrement au contact du jet bouillonnant. Jouant avec la force et la direction du jet, Jack s'amusait à repasser plusieurs fois sur les seins gonflés de sa captive. Chaque fois que l'eau venait frapper cette zone sensible elle poussait de petits cris de surprise. Le jet était ensuite descendu sur le ventre, sur les fesses encore vibrantes du traitement qu'on leur avait fait subir, puis sur le buisson perlé contre lequel il avait collé le pommeau de la douche durant de longues secondes. La morsure des jets d'eau microscopiques contre son clitoris et ses lèvres ruisselantes arracha un cri de plaisir à la belle captive. Jack raccrocha le tuyau de douche et se mit à fouiller frénétiquement de ses doigts gourmands la chatte dégoulinante. Debout dans la baignoire, Carla, fontaine ruisselante, se tortillait frénétiquement ne dissimulant rien de la passion brûlante qui la dévorait. Sa bouche avide s'ouvrait de désir cherchant aveuglément à attirer celui qui pour la troisième fois lui faisait franchir les portes de l'extase

N'y tenant plus, Jack se glissa dans la baignoire et s'agenouilla entre les jambes de sa prisonnière pour lui dévorer passionnément la chatte. L'eau qui bouillonnait dans sa gorge était abondamment salée par les secrétions intimes qui coulaient du sexe de Carla

Lorsqu'il se releva leurs lèvres se rencontrèrent et ils s'embrassèrent passionnément. Puis, après lui avoir saisi fermement les fesses, il la souleva et, tandis que les jambes de Carla se nouaient autour de sa taille, il fit glisser son membre gonflé dans le fourreau humide et brûlant de sa prisonnière. Après quelques minutes de soubresauts frénétiques et bruyants, ils jouirent ensemble dans un long râle de plaisir partagé.

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Tandis que son ravisseur la séchait doucement en silence, Carla avait voulu lui parler. Lui dire qu'elle ne lui en voulait plus, qu'elle désirait voir son visage, l'embrasser sur tout le corps, lui faire l'amour en plongeant ses yeux dans les siens. Mais elle s'était retenue. Après tout, c'était lui qui conduisait le jeu et jusqu'à présent, elle devait bien avouer qu'elle n'avait pas eu à s'en plaindre.

Après lui avoir ôté les menottes, il l'avait laissée seule dans la chambre en lui demandant de se maquiller et de mettre une perruque brune qu'il avait déposée sur sa coiffeuse. Dès qu'elle serait prête, elle devait remettre le bandeau et lui demander de venir la chercher.

Malgré sa curiosité, elle avait scrupuleusement obéi aux ordres qu'il lui avait donnés et c'est entièrement nue, les yeux couverts du bandeau noir, coiffée et maquillée pour le plaisir de son ravisseur, qu'elle l'avait attendue dans sa chambre.

Ce qui se passa ensuite fut une longue séance d'habillage et de déshabillage, régulièrement entrecoupée de caresses intimes, de baisers furtifs, de langues aventureuses, de morsures passionnées et de liqueurs glacées amoureusement versées dans sa bouche assoiffée. La succession ininterrompue de surprises ressenties au contact des matières et des mains qui glissaient sur sa peau et modelaient son corps, plongea Carla dans une troublante ivresse onirique.

Chaque essayage était scénarisé et longuement photographié. Elle fut d'abord menottée, dos au mur nu du salon, jambes légèrement écartées, les mains posées sur son sexe, vêtue seulement d'une guêpière, d'une paire de bas et d'escarpins à hauts talons. Une culotte de dentelle reposait à ses pieds.

Puis elle fut placée debout, jambes tendues, penchée vers l'avant, les mains posées sur les chevilles. Sa poitrine généreuse enserrée dans un soutien gorge de sport en coton blanc. Sur ses fesses tendues, enveloppées dans un mini short moulant, reposait en équilibre une cravache d'écuyer, annonciatrice d'une fessée qu'il lui administra à sa demande.

A un autre moment, il l'allongea, ficelée comme une dinde de Noël sur le plan de travail en marbre de la cuisine. Il l'avait vêtue d'une nuisette de soie rose largement ouverte sur des sous-vêtements de dentelle rouge. Un buisson de feuilles de carottes dépassait de sa culotte et les feuilles de deux bouquets garnis disposées en éventail décoraient les bonnets de son soutien-gorge. Un filet d'huile d'olive, quelques gousses d'ail sur le ventre et une tomate juteuse dégoulinant dans la bouche complétait l'appétissant tableau.

Plus tard, elle fut attachée à un arbre du jardin, une corde passée à une branche maintenait ses bras tendus au-dessus de sa tête. Ses seins étaient enserrés dans un demi soutien-gorge de dentelle blanche, les tétons reliés par une fine chaîne dorée terminée par deux pinces attachées à chacun. Sa culotte et ses bas blancs étaient partiellement déchirés comme si une bête fauve s'était amusée à jouer avec sa proie.

On l'emmena ensuite à la cave ou elle fut ligotée sur une chaise. Une mini jupe remontée au niveau des hanches laissait voir une petite culotte de soie semi transparente. Sous un chemisier largement déboutonné, un collier de perle disparaissait entre ses seins débordant d'un soutien gorge couleur chair. Quelques gouttes de cire écarlates parsemaient ses seins et ses cuisses. Eclairées par la lumière crue d'un simple ampoule, des coulées de sperme blanc translucide brillait sur son visage et ses seins

Puis elle fut conduite dans la salle de bain où lui passa un blouson de cuir noir ouvert sur des sous-vêtement de dentelle et des bas de même couleur. Après avoir baissé sa culotte sur ses chevilles il l'avait faite s'accroupir au-dessus du carrelage blanc et l'avait invitée à se soulager. Le jet fumant et bouillonnant ne mit que quelques secondes à jaillir de son con largement ouvert et à recouvrir le sol de la salle d'eau. Lorsqu'elle eut terminé il lui essuya doucement la chatte tout en l'embrassant longuement.

Enfin il l'allongea sur le lit où elle fut entièrement dévêtue, à l'exception de son bandeau qu'elle n'avait jamais quitté. Ses membres largement écartés furent attachés aux quatre extrémités du lit et une parure de sous-vêtements de soie fut pudiquement posée sur les parties les plus intimes de son corps. Toute autour d'elle étaient disposées les plus belles pièces de sa collection de godemichés.

Ce fut le dernier tableau.

Attachée sur son lit, elle fut longuement léchée et embrassée sur tout le corps. Des doigts fureteurs explorèrent méticuleusement ses orifices intimes. Puis, elle reconnu ses godemichés qui, l'un après l'autre, vinrent honorer sa grotte inondée et l'orifice étroit de sa petite dragée rose. A chaque stimulation intime, elle tirait sur ses liens comme un animal sauvage venant d'être capturé. Au début, elle essaya de se mordre les lèvres pour ne pas crier mais rapidement ses râles de plaisir se mirent à résonner dans toute la maison et c'est avec soulagement qu'elle accueillit la culotte de soie qu'on lui glissa dans la bouche.

Lorsqu'il la détacha enfin, ses fesses baignaient dans une flaque de secrétions intimes. A peine libérée, elle se jeta sur lui, le renversa sur le dos et quelques secondes plus tard elle le chevauchait comme une amazone en furie. Alors qu'elle aurait pu aisément se défaire de son bandeau elle préféra se concentrer sur sa cavalcade et l'explosion de sperme qui l'inonda quelques minutes plus tard fut le dernier souvenir qu'elle conserva de la soirée.

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Après l'avoir abandonnée dans la chambre tandis qu'elle faisait sa toilette, Jack s'était mis à préparer les éléments nécessaires à la conclusion de son scénario

Il était sortit en silence de la maison pour aller chercher une valise dans le coffre de sa voiture. La valise contenait la nouvelle collection de lingerie dont Carla avait été chargée de préparer le lancement. Il aligna chacun des ensembles sur la table du salon et après avoir récupéré les cordes dans son sac de sport il remonta à l'étage où il attendit son signal.

Elle l'appela enfin et lorsqu'il la découvrit maquillée nue debout dans la chambre, vêtue uniquement de son bandeau noir, il eut beaucoup de mal à ne pas interrompre le jeu pour se jeter sur elle et lui faire l'amour immédiatement sur le lit.

Il la conduisit en bas des escaliers. En lui tenant la main pour descendre, il sentit qu'elle tremblait mais le fait qu'elle n'ait rien tenté pour ôter son bandeau le rassura sur la complicité qui les unissait à présent.

Tout au long de la séance d'habillage elle se laissa faire docilement. Habiller et déshabiller cette superbe créature comme s'il s'agissait d'une jeune enfant aveugle excitait Jack au plus haut point. En même temps, il veillait à la surprendre et à l'exciter en frôlant sa bouche du bout des doigts, en posant un baiser sur son ventre, en lui caressant les seins. De temps en temps, il lui donnait à boire une gorgée de whisky glacé qui rafraichissait son corps et échauffait son esprit.

Il variait les positions, les environnements, les éclairages afin de mettre les dessous en valeur. Il lui semblait qu'à chaque photo Carla se livrait davantage. Sa bouche, ses seins, son sexe semblaient répondre au quart de tour au cliquetis métallique de la caméra.

Jack avait joui à deux reprises durant la séance de photo

D'abord lorsqu'à la demande de Carla il lui avait cravaché les fesses. Mais alors qu'il se contentait d'administrer de petites tapes sur le mini short moulant, elle l'avait supplié de s'y prendre comme lors de leur première expérience. Il avait donc baissé le short pour administrer cinq volées sèches et sonores sur chaque fesse. A la fin de la punition, il avait glissé la cravache entre le jambes tremblantes de sa victime pour la ressortir brillante et coulante d'un jus salé qu'il avait léché avidement. Réalisant qu'il ne pourrait se retenir plus longtemps, il eu juste le temps de poser son sexe sur le derrière de sa captive soumise avant de couvrir son dos d'une abondante coulée de sperme épais et chaud.