La Branleuse

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Elle aime branler les hommes dans les cinemas,
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C'était il y a vingt ans. À l'époque, j'avais onze ans.

Je suis allée au cinéma un mercredi après-midi.

Le film avait commencé quand un homme est venu s'asseoir à côté de moi.

Après quelques minutes, il a posé son bras sur l'accoudoir qui séparait nos sièges. Il touchait le mien. J'aurais dû lui laisser cet accoudoir mais je ne voulais pas lui céder la place.

Après quelques instants, il m'a caressé la main. Je trouvais cela bizarre qu'un inconnu fasse des caresses mais comme ce n'était pas désagréable, je l'ai laissé faire.

Ensuite, il a pris ma main et l'a amenée jusqu'à lui. Il l'a plaquée sur son jean.

Il l'a frottée sur le tissus et plus il frottait plus je sentais quelque chose grossir sous mes doigts.

Avec son autre main, il a descendu la fermeture Éclair de sa braguette. Il s'est contorsionné sur son siège en fouillant dans son pantalon. Il en a sorti quelque chose que je n'avais encore jamais vu. Je regardais de tous mes yeux tellement j'étais fascinée par ce bâton qui sortait de son slip.

L'homme a placé ma main autour de la tige. Il a commencé à imprimer un mouvement de va-et-vient vertical à mon bras. Je l'ai laissé faire. Je ne me rendais pas vraiment compte de ce qui se passait, tellement j'étais absorbée dans la contemplation de son sexe.

Il a augmenté l'amplitude et accéléré le rythme du geste. Le bout du membre se découvrait à chaque fois que je descendais ma main. Il était rouge et luisant.

L'homme a lâché ma main et m'a laissée continuer toute seule. J'avais pris le coup. Je maniais cette raideur exactement comme il me l'avait montré. Au bout du bulbe, il y avait un petit trou et cela semblait être de là que venait le jus translucide qui le nappait.

Je continuais mon mouvement de piston autour du cylindre. Je m'appliquais, sentant d'instinct que je devais maintenir un mouvement très régulier. J'aimais le contact de cette chair.

Je m'étais tournée vers son siège en me penchant au dessus de mon bras. C'était pour être plus confortablement installée, mais en plus, je voyais mieux, sans avoir à tourner mon cou.

Son visage se transformait. Il avait les yeux mi-clos, la bouche entrouverte. Il semblait essoufflé. Ses muscles se tendaient. Malgré cela, je poursuivais imperturbablement mon action, regardant alternativement son visage et son sexe.

Puis, il s'est raidi tout d'un coup, a laissé échapper un son rauque et du petit trou a jailli une giclée, puis une autre et ensuite, un liquide épais, crémeux s'est répandu, coulant entre mon pouce et mon index.

L'homme s'est rajusté, puis il s'est levé et est parti du cinéma, me laissant avec ma main poisseuse.

J'étais curieuse et j'ai porté les gouttes de crème à mes narines pour voir ce que ça sentait. Je n'ai pas osé goûter. Je me suis essuyée sur le velours du siège parce que je n'avais pas de mouchoir sur moi.

Le film ne m'intéressait plus vraiment. Je suis sortie du cinéma à mon tour et je suis allée manger une glace avant de retourner à la maison.

J'ai aujourd'hui trente-et-un ans et ce souvenir est resté en moi tout ce temps. Il m'arrive souvent de revoir la scène en fermant les yeux quand je me masturbe. L'effet est radical : je jouis dès que j'imagine que je sens le sperme monter et que je le vois fuser. À l'époque, j'ai eu ces sensations, sans les comprendre.

Je suis mariée depuis cinq ans. Mon mari et moi avons une sexualité très classique. Je ne lui ai jamais raconté l'histoire du cinéma. Peut-être n'aurait-il pas compris que je me sois laissée faire.

Mais à cause de cette histoire, ma sexualité intérieure est très éloignée de nos rapports. Ce souvenir m'obsède depuis toujours.

Il y a un mois, j'ai tenté de mettre mon mari sur la voie. Nous sommes allés au cinéma et j'ai essayé de reproduire ce qui s'était passé vingt ans plus tôt.

Au début, il faisait ce que je lui demandais. Il a pris ma main et l'a posée sur sa braguette. Jusque là, son geste pouvait être interprété comme une marque d'affection : un mari prenait la main de sa femme. C'était à sa demande à elle, mais cela ne changeait rien.

C'est quand j'ai commencé à le caresser que les choses se sont gâtées. Il m'a regardé d'une telle façon que j'ai compris qu'il n'était pas question de continuer. Il ne partageait pas du tout mon jeu.

J'ai repris ma main, nous avons regardé le film jusqu'au bout et nous sommes rentrés nous coucher, comme un vieux couple.

J'étais profondément déçue.

Malgré tout, je restais hantée par ce qui était devenu mon fantasme : branler un homme dans un cinéma jusqu'à ce qu'il éjacule.

Un soir, mon mari avait une réunion tardive à son travail. J'en ai profité pour sortir.

Je suis allée au cinéma. Le film importait peu. J'étais décidée dans ma tête, même si je n'étais pas tout à fait ferme sur mes jambes.

Je suis arrivée un peu après le début de la séance. Je me suis assise à côté d'un homme seul. Il n'y avait personne d'autre dans la travée. D'ailleurs, bien que les lumières soient éteintes, j'ai eu l'impression que la salle était très peu remplie.

J'ai posé mon bras sur l'accoudoir, à côté du sien. Il a eu un mouvement de retrait mais je lui ai chuchoté :

"Non, laissez, ça ne me dérange pas de partager."

Il a repris sa position initiale.

Après une attente de quelques minutes, je lui ai demandé, toujours en chuchotant et en rapprochant ma bouche de son oreille, de caresser ma main.

Il a eu un long moment d'hésitation. Puis, il a posé sa main sur la mienne, enserrant mes doigts dans sa paume.

Il n'osait pas aller plus loin. Sa timidité m'arrangeait parce que je pouvais le guider à ma façon. Je voulais retrouver mon souvenir de petite fille, que cela se passe exactement comme il y a vingt ans.

Je me suis de nouveau penchée vers lui et j'ai dit :

"Mets ma main sur ta queue."

En le tutoyant et en usant d'un vocabulaire cru, je voulais l'enhardir. Il fallait que je l'excite pour qu'il ait le courage de sortir sa bite et de se laisser branler.

Encore une fois, il s'est passé un long moment avant qu'il ne réagisse. Mais les hommes sont ainsi faits qu'ils ne peuvent pas résister à ce genre de proposition. Il a pris ma main et l'a posée sur sa braguette.

"Caresse toi avec ma main. Je veux te sentir bander sous mes doigts."

Cette fois, il obéit sans attendre. Il plaquait ma main sur le renflement de son pantalon et frottait de haut en bas.

"Sors la tige que je la vois."

Il défit les boutons de sa braguette et fouilla dans son slip pour extirper son sexe.

C'était une belle bite, de bonne taille, déjà bien dure. Le gland était encore recouvert par le prépuce.

De lui même, il plaça ma main autour de la colonne. Je me mis à effleurer le membre sur toute sa longueur.

"Baisse ton pantalon pour que je puisse toucher tes couilles."

Il eut un regard circulaire pour scruter nos voisins dans la salle. Cela dû le rassurer parce qu'il défit sa ceinture, ouvrit le premier bouton, souleva ses fesses et se dénuda jusqu'à mi cuisses.

Je lui ai empoigné le paquet, décollant les bourses du bassin. Je faisais délicatement rouler les testicules sous mes doigts. J'ai remonté ma main sur la verge et j'ai lentement décalotté le gland. Il était déjà gluant et gorgé de sang, magnifique. J'aurais voulu l'emboucher mais je tenais à rester fidèle à mon histoire. J'ai tout de même posé mon index sur le méat pour recueillir une goutte de liquide qui perlait et je l'ai étalée sur mon pouce, savourant le contact de ce nectar. Je me suis amusée à séparer mes deux doigts pour voir un fil translucide s'étirer. J'ai recommencé plusieurs fois, recueillant tout ce que je pouvais de la surface du gland.

Puis, j'ai commencé à le masturber en tenant son sexe juste en dessous du prépuce, l'index caressant le frein pendant que ma main montait et descendait en serrant le cylindre de chair.

J'ai pris un rythme le plus régulier possible, sans précipitation. Je voulais qu'il s'habitue et se laisse aller jusqu'à l'assouvissement. Quand j'ai compris qu'il était enfin à la recherche de son plaisir, j'ai commencé à diminuer progressivement la cadence.

Il avait fermé les yeux et il tendait progressivement les muscles de ses cuisses. Il avait ses deux bras sur les accoudoirs, s'agrippant au tissus.

J'avais les yeux rivés sur le petit trou au sommet de son gland. J'attendais le jaillissement.

Je continuais mon mouvement de plus en plus lent. Je sentais le sang battre dans son sexe, le gonfler périodiquement. Je tirai de plus en plus fort vers le bas la peau du prépuce, forçant sur le frein, avant de remonter et de recommencer.

J'en étais à un va-et-vient toutes les trois secondes. C'était très lent. Mais je sentais que sa tension ne se relâchait pas, au contraire. Il devait vouloir que j'en finisse mais je le laissais languir. Je voulais que son désir se prolonge, indéfiniment si cela avait été possible, tellement cela m'excitait. Je sentais que ma culotte était de plus en plus mouillée. Je n'en finissais pas de sécréter de la cyprine.

À force de ralentir mon mouvement, j'ai fini pas l'arrêter. Je maintenait ma pression sur le phallus, tirant vers le bas, excitant le frein du bout de mon doigt, attendant l'éjaculation qui commençait à monter le long de l'urètre.

C'est lui-même qui a déclenché son orgasme, par sa pensée. Pour ma part, j'étais devenue inerte, me contentant de guetter avec ma paume les prémices de l'éruption. Il a décollé ses fesses du siège, tendant son pubis vers le haut. Il n'y avait plus de place pour la pudeur à cet instant.

Son sexe s'est encore gonflé au moment du premier jet. La giclée est allée assez haut pour retomber sur le pantalon. L'homme a contracté ses fesses, ce qui a déclenché un second jet qui s'est écrasé sur le dos de ma main. Puis, le reste du sperme est apparu au bout du gland, coulant lentement vers mes doigts.

Quand il a été entièrement soulagé, j'ai ramené ma main à ma bouche et j'ai léché mes doigts. Ce que je n'avais pas osé faire à onze ans, je le savourais à trente-et-un ans.

Enfin, je me suis penché vers son siège, j'ai attrapé ses couilles et j'ai soulevé sa bite. Je l'ai engloutie jusqu'à la base. Je l'ai ressortie de ma bouche et je l'ai branlée pour lui redonner de la rigidité. Je l'ai nettoyée avec ma langue, aspirant le reliquat de nectar au bout du gland. J'ai déposé un dernier bisou au sommet du bulbe et je l'ai laissé se reculotter.

Nous nous sommes regardés. Dans ses yeux, je lisais un intense remerciement. Je ne sais pas ce qu'il voyait dans les miens, mais ce que je ressentais, c'était aussi un immense remerciement, pour m'avoir fait revivre l'émoi de mes onze ans.

Nous sommes sortis du cinéma sans attendre la fin du film. Sur le trottoir, il a pris ma main et l'a embrassée.

"On se reverra?"

"Je ne sais pas. Donnez moi votre numéro, on ne sait jamais."

C'est sur ces mots que nous nous sommes quittés.

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