Une belle nuit à l'Etoile

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Le récit d'une femme mariée d'une nuit avec un ami.
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Je me nomme Hélène B. Je suis une femme de la quarantaine. On me dit plutôt jolie et sexy...

J'aime conter quelques unes de mes aventures et faire quelques confessions des moments particuliers que j'adore accomplir de temps en temps avec mon ami et complice qui m'aide beaucoup par sa compréhension et son imagination, à assouvir quelques une de mes envies...

Il me faut vous dire aussi que je suis une assez jolie femme, plutôt sexy et très, très portée sur le sexe depuis toujours, surtout depuis que j'ai épousé un bel homme, de bonne position sociale et agréable à vivre, mais qui est aussi et surtout un très "mauvais coup" au lit. En fait ce que l'on appelle trivialement : " bonnet de nuit". J'aurai l'occasion de vous en parler...

L'histoire que je vais vous conter avec tous les détails nécessaires à connaître, se passait lors d'un de nos fréquents déplacements à Paris, à Jacques et à moi.

C'était, je m'en souviens très bien, un soir de février 1997 dans le quartier de l'Etoile. Il faisait froid et nous étions allés dîner dans un bon restaurant du secteur, avenue... Au cours du repas, j'avais remarqué un beau jeune homme d'environ 30 - 33 ans et que je trouvais très à mon goût : grand, mince, un visage aux traits réguliers, brun aux yeux bleus et en plus d'une certaine classe... D'ailleurs à plusieurs reprises dès le début, je surpris quelques uns de ses regards et même quelques sourires à mon adresse, qui m'indiquaient qu'il m'avait lui aussi remarquée et que je ne le laissais pas indifférent. Et donc durant tout le repas je lui avais, en provocation ou en invitation peu importe, laisser largement apercevoir mon entrejambes et le slip transparent en dentelles que je portais, prenant la précaution de bien écarter les jambes sous la table... Jacques, mon cher complice et ami de toujours, avait lui aussi remarqué notre manège et surtout mes regards appuyés sur le jeune homme de la table d'en face. Il me connaissait si bien!! Aussi, à la fin du dîner, je lui demandais sans aucune gêne :

- " Chéri!... Jacques mon ami, ce que je vais te demander ne vas pas t'étonner je le sais... Pourrais-tu aller inviter le beau mec qui finit de dîner en face de nous à venir s'asseoir à notre table et prendre le café avec nous? Ce serait super s'il acceptait... Ce soir j'ai très envie d'un de nos petits moments et ce type me semble très à propos pour cela... Tu veux bien s'il te plaît, faire cela pour moi?!"

Jacques avec un coup œil complice et un sourire sympa, se leva et alla lui parler. Au bout d'un court instant il revint accompagné du beau jeune homme. Il était encore plus beau de près : de beaux cheveux, un regard superbe, des lèvres très sensuelles, un visage intelligent, fin et subtil... Jacques le fit asseoir en face de moi et c'est lui qui engagea la conversation. C'est toujours ainsi que les choses se passent quand nous sommes ensemble et que je fais montre de mes envies : c'est Jacques qui prend contact, informe, invite avec un minimum de précisions et qui ensuite mène les négociations pour moi et en ma présence... C'est très confortable pour moi et cela me laisse toute le loisir d'observer à fond et avec précision les interlocuteurs, de surveiller leur réactions non verbales... Bref, Jacques est vraiment un complice super et qui m'aide énormément dans l'aboutissement de ce genre de situations, et ce qui plus est, en toute sécurité...

Dès qu'ils furent installés et les cafés servis, Jacques engagea directement la proposition :

- " Comme je viens de vous le dire en vous invitant il y a un instant, vous plaisait beaucoup à mon épouse et elle aimerait vous connaître plus intiment, si vous voyez ce que je veux dire...". Le jeune type me dévisageait et semblait abasourdi par la proposition aussi nette et directe... Il guettait sur mon visage un signe ou une expression qui aurait dit mon rejet de cette invitation. Je me contentais de lui sourire et de le regarder avec un regard mouillé et sensuel... Jacques continua :

- "Si vous êtes d'accord avec ce que je vous propose, vous pourrez passer un moment avec Madame et en ma présence. N'est-ce pas Anny? (Anny est le pseudo que Jacques emploie en pareille situation). Mais attention! Que tout soit dit : d'abord on regarde, c'est même surtout pour cela qu'on vous invite, on touche et on caresse si elle vous y autorise, ce sera sûrement le cas d'ailleurs, mais tout peut s'arrêter là, donc pas de frustration ensuite OK? De plus c'est Anny qui garde les initiatives, et ce de façon absolue. C'est d'accord aussi? " Le gars ne disait mot, je le subjuguais : il ne me quittait pas des yeux. Moi-même j'étais troublée par son beau regard et je sentais dans le bas du ventre et dans le plus profond de ma petite chatte intime quelques tiraillements de désir... Il finit par dire :

- " Oui, d'accord, mais qu'est-ce que je dois faire ou donner en échange? "

- " Rien, répliqua Jacques, vous n'avez rien à donner; seulement à faire ce qu'elle vous demandera... Je ne crois pas que vous ayez à vous en plaindre!... et il ajouta : pour vous faire prendre une décision en tout état de cause, vous allez suivre ce que je vais dire. Madame va descendre aux toilettes. Vous allez la suivre à 30 secondes. Elle va s'arranger pour être vue de vous un instant dans la situation qu'elle choisira. Vous la verrez et vous remonterez me voir, je vous dirais la suite si toutefois vous voulez continuer... D'accord comme ça? "

Pour confirmer le jeu engagé par Jacques, je me levais lentement, j'adressais un sourire et un regard d'invite à l'homme assis en face de moi, qui restait interloqué et je descendais aux toilettes. Je mouillais déjà abondamment et j'avais la chatte en feu à la seule pensée du jeu érotique qui s'amorçait...

Je me tenais un moment devant le lavabo, côté "femmes", porte ouverte, de façon à ce que l'homme puisse me voir en descendant. Je l'entendais descendre quatre à quatre... A ce moment, sous prétexte de rajuster mes bas, faisant mine de ne pas me savoir observée, je me tournais de trois quarts par rapport à la porte et je remonterais ma jupe plissée écossaise assez haut, me retroussant, tirant mes bas et m'arrangeant à montrer mes cuisses et même l'amorce de mon petit slip en dentelles blanches... Je savais le gars dans l'entrée de la porte et de savoir son état d'excitation, m'excitait moi-même énormément.

Puis, j'entrerais dans une des cabines de toilettes. Je savais qu'il y avait dans cet endroit des trous de voyeurs où les hommes entrant dans les cabines contiguës du côté "hommes", mataient les dames dans leurs moments intimes. Nous les femmes avons cette particularité de remarquer ces choses là dès l'entrée dans ces lieux et de s'en souvenir toujours... Donc, je savais qu'il y avait ce genre de "dispositifs d'observation" à cet endroit et après avoir vérifié dès en entrant que c'était bien le cas, je m'arrangeais à faire en sorte d'en laisser voir le plus possible, mine de rien... J'entendis la porte de la cabine à côté se refermer... Je remontrais alors bien haut ma jupe, baissais mon slip blanc et enjambant très haut et très écartée la cuvette des W.C., j'urinerais à demi fléchie sur le siège, laissant voir sans équivoque ma fente ruisselante... Puis, je m'essuyais longuement et de façon très appliquée écartant au mieux mes lèvres sexuelles et j'esquissais une furtive masturbation de mon clitoris et du haut de ma vulve. Juste à peine et sans insistance de façon à organiser le suspens et à provoquer plus d'envies que de choses résolues... J'imaginais aisément l'état dans lequel devait se trouver le type, à mater ainsi ma fente et mes dessous sans y être encore véritablement invité!

Sortant de la cabine, je m'arrête un instant au lavabo de nouveau, histoire de laisser le temps au mec de remonter et d'être seul un moment avec Jacques. Avant de remonter, je fis un examen rapide de mon slip le baissant à mi-cuisses, je remarquais que le fond était abondamment mouillé, malgré un essuyage rigoureux dans les toilettes...

Au moment où je les ai rejoints, le jeune mec était en train de dire, sans doute suite à une question de Jacques :

- " Oh oui!! Sûr!! Mais c'est vrai, je n'ai rien à donner??"

Cette gratuité l'inquiétait. Jacques le rassura encore :

- " Non, rien... Seulement faire ce qu'elle vous demandera et vous verrez que vous n'aurez pas à vous en plaindre!!". Et sans me laisser le temps de m'asseoir, nous partons tous les 3 à notre hôtel tout près d'ici, situé rue La Pérouse, en bordure du XVI° arrondissement.

Dès que nous fûmes dans la chambre, je quittais mon manteau et mes gants et commençais à aguicher l'homme : je venais me frotter à lui, l'entourer de mes bras, l'enlacer en lui caressant le visage, le cou de façon très furtive, lui effleurant le visage de mes lèvres... Et aussi à caresser de façon à peine sensible tout le bas ventre à travers le pantalon... Je sentais un renflement très prononcé et cela m'excitait beaucoup...

Je m'éclipsais un court moment dans la salle de bain où je me livrais à quelques ablutions rapides de ma fente alors très chaude et de mon entrejambes qui déjà dégoulinaient de mouille.

Deux ou trois minutes après j'étais de nouveau parmi les hommes, me présentant à eux en relevant ma jupe pour montrer mes jolis dessous de dentelles et mes fesses que je sais belles, rebondies juste ce qu'il faut et dont je suis très fière...

Je l'ai dit : j'adore être admirée et voir briller dans le fond des yeux des hommes qui me matent et me convoitent, l'étincelle du désir que j'y ai allumée... Rien n'est aussi fort pour moi et ce renvoi de l'émotion que je provoque, constitue le meilleur terrain à ma jouissance et sa condition essentielle... J'ouvre lentement mon corsage, dénude doucement ma poitrine et avec une extrême lenteur, je leur dévoile mes seins pour le seul plaisir de les faire voir, de les faire admirer. Puis, fixant les hommes bien dans les yeux, je me caresse doucement le bout des seins, passant de façon lascive ma langue sur mes lèvres et ondulant les hanches. Je défais ensuite complètement mon soutien-gorge et j'offre à leurs regards concupiscents ma poitrine que je sais belle et dont je suis également très fière...

Faisant cela, je vérifiais constamment l'état de la bosse dans leur pantalon et je dois dire que le bel Eric (c'était le nom de notre jeune inconnu) en avait une de bosse, particulièrement rebondie, laissant présager d'un bel engin... Cette observation et toute la situation augmentaient encore mon excitation. Je décidais de porter une première estocade...

- " Cela vous plaît mes chéris? Vous aimez mes seins? Moi je les adore pour le plaisir qu'ils me donnent et pour l'excitation qu'ils vous procurent...Vous voulez que je vous en montre un peu plus, hein n'est-ce pas?...".

Je monte sur le lit où je m'accroupis faisant ouvrir ma jupe plissée écossaise. J'adore cette jupe plissée : dans cette tenue, je me sens à la fois juvénile en diable et aussi excitante qu'une femme expérimentée.... Dans cette position je me caresse l'entrejambes et le fond du slip du bout des doigts, avec une lenteur calculée.

Eric commençait à se caresser la bosse à travers son pantalon et je le sentais, par son regard et les traits de son visage, à deux doigts de la rupture...

- " Je devine à vos yeux que vous mourez d'envie de voir ma petite chatte? Hein?!! Je vais vous la montrer par le bord de ma petite culotte!!..."

Et disant cela, j'écarte le bord de dentelles et je leur montre ainsi une bonne partie de ma fente à demi dissimulée sous mes poils blondinets. Eric a les yeux exorbités, ce qui amuse beaucoup Jacques dont je sais que même s'il ne le laisse pas paraître, est tout autant excité par mes exhibitions de petite cochonne... Je les encourage à mieux en profiter :

- " Ah oui, j'aime vous voir et vous regarder pendant que vous observez ma fente!! Vous la voyez là ma fente? Elle vous plaît? Approchez-vous entre mes cuisses pour la voir de plus près.... Vous n'avez pas envie de la caresser et de la regarder en détail? Oh si... Parce que je sais, que vous êtes de jolis petits salauds!! "

C'est vrai, j'adore être matée comme cela très en détails par des hommes dont je sais que cela les provoque et les excite ; ces situations font monter mon désir au plus haut point et constituent déjà le début de mes orgasmes... Je leur demande de retirer mes bas pour que je sente mieux leur présence entre mes cuisses. Ce qu'ils font, chacun s'occupant d'une de mes jambes. De les avoir là, ainsi, sous mes yeux, leur tête entre mes jambes très écartées, leur nez et leurs yeux à quelques centimètres de ma chatte, de sentir leur souffle chaud et rapide sur la peau de mes cuisses, déclenche dans mon bas-ventre une vague de plaisir et je décharge. Sur ce premier orgasme, ma fente se met à couler... J'écarte alors davantage mes grandes lèvres qui sont très développées et très enveloppantes et je leur donne à voir toute ma vulve aux petites lèvres gonflées par le désir et le plaisir, dégageant bien l'entrée du con dégoulinant de cyprine... Eric ne peut retenir un commentaire :

- "Ah! Putain, elle coule la belle Anny, c'est vraiment un coup super! Du jamais vu!! Jamais!!"

Cette remarque déclenche en moi un nouvel orgasme et je décharge une nouvelle fois. En effet, je ne sais pourquoi, mais quand je suis très, très excitée, et dans des situations de ce style, de telles remarques ou de tels commentaires même brefs, me procurent des orgasmes intenses et furtifs, mais violents et dont la décharge est tout aussi abondante... Je pense que je ne suis pas la seule femme à jouir grâce aux remarques que leur font leurs partenaires...

Voulant changer un peu la situation je les invite à s'asseoir sur la banquette en face du lit. Je me glisse alors à genoux à leurs pieds et j'entreprends de défaire les braguettes :

- " Montrez-moi vos jolies bites viriles, sans avoir honte... Il y a déjà un moment que je les vois pointer et faire la bosse dans les pantalons... Oh oui! Laissez-moi les sortir, que je les voie et que je les prenne bien en main...!".

J'avais de ma main gauche, libéré la bite de Jacques de son slip, mais de ma seule main droite, je n'arrivais pas sortir celle d'Eric de son cocon. Il faut dire qu'il avait un calibre, le type : mes doigts n'arrivaient pas à en faire le tour pour le saisir par dessous afin de l'extraire. J'ai dû lâcher le bouton de la ceinture et ouvrir complètement le pantalon libérant du caleçon un superbe membre d'au moins 21 -- 22 sur pas moins de 7 à 8!!

- " Ouais!! Bon Dieu l'engin!!! Superbe! Quel beau calibre!... Vous savez mes chéris : j'aimerais que vous enleviez complètement vos pantalons que je puisse bien voir vos couilles aussi et pouvoir les caresser! "

Ce qu'ils firent sans rechigner.

Je pris alors une bite dans chacune de mes mains, dans la gauche celle de Jacques qui n'était plus depuis longtemps une inconnue pour moi, et dans la droite, celle du bel Eric, dont la vue seule m'excitait déjà terriblement... Je palpais les bites, les branlais doucement, un moment descendant mes mains jusqu'aux couilles, caressant ces dernières, passant ma langue sur les hampes avant d'engloutir complètement le gland, alternativement de l'une et de l'autre. Eric était particulièrement bien monté et j'avais du mal à me mettre tout le gland dans le bouche, tant le diamètre était important... Il était terriblement bien membré par rapport à la dotation de Jacques, pourtant bien faite et d'une bonne moyenne : 16 - 17 par 4 ou 4,5 environ. J'accordais un temps et une attention plus importants à celle de d'Eric, par savoir-vivre car c'était lui l'invité, mais surtout parce que son sexe superbe m'excitait infiniment plus! L'inconnu sans doute et la taille il faut bien l'avouer...

A plusieurs reprises pendant que je le suçais, j'eus une très forte envie de me relever, d'enjamber le vit très dressé d'Eric et, en écartant le bord de ma culotte de venir empaler ma fente en feu sur ce beau membre. Cette seule évocation me faisait jouir et décharger de plus bel. Pourtant, j'avais encore plus envie d'autre chose :

- " Ah! Que c'est bon d'avoir des bites comme ça, en main et à portée de lèvres... Et je vois que vous avez très envie d'aller plus loin vous aussi et de me baiser!! Ce sera pour tout à l'heure!! Pour le moment j'ai envie que vous me regardiez encore...".

Et, me relevant, je leur demande se mettre debout, comme ça, la bite bien bandée à l'air... Je leur explique qu'ils vont devoir venir alternativement s'agenouiller devant moi et regarder sous ma jupe écossaise le beau spectacle de mon entrejambes ; pendant ce temps l'autre debout, bien devant moi se masturbera, à ma portée...

- " Eric, commence et vient entre mes jambes et toi Jacques vient devant moi que je te voie et te caresse!" Eric plongea entre mes jambes, sous ma robe et pendant que je regardais Jacques se branler devant moi, je sentais les cheveux d'Eric effleurer l'intérieur de mes cuisses, son souffle chaud dans mon entrejambes, son nez frotter mon pubis et mon clitoris à travers le tissu, sa langue passer sur le fond de mon slip et tenter de s'immiscer dans ma fente par les bords... Ce sont là des sensations à la fois subtiles et intenses et qui me font chavirer les sens, c'est dire combien je décharge sous de telles caresses et avec en prime la vue d'une bite à ma portée...

Puis à ma demande, ils changèrent de place : Eric se mit devant moi et Jacques sous ma jupe... Le jeu continua ainsi, mais cette fois alors que j'étais penchée en avant pour aspirer le membre magnifique d'Eric, le suçant et le branlant, et tandis que Jacques, excellent lécheur, me fouillait la fente de sa langue par le bord écarté de mon slip, je ne puis résister au désir insurmontable de me branler sur une bite aussi superbe. Je repoussais Jacques promptement, et remontant ma jupe sur mon ventre je baissais à demi mon slip, juste pour permettre au joli braquemart qui m'excitait tant, de passer juste au-dessus et, la saisissant d'une main, je me plante le gland sur le clito déjà bandé à l'extrême...

Dès que le bout de la verge frotta mon clitoris, je déchargeais comme une folle et je sentis dans la seconde, la bouche et le visage de Jacques inondés de mon foutre chaud. Il redoubla ses coups de langue et je continuais de frotter le bout du membre sur le haut de ma fente et sur mon clito en feu, par un va-et-vient calculé... Je jouissais sans discontinuer. J'adore me branler ainsi, en me passant l'extrémité d'une bite sur le clitoris et dans la fente. C'est une pratique que j'utilise très fréquemment au cours de nos moments coquins avec Jacques, et je dois dire que ce jeu de branlage par le gland d'une bite, surtout s'il est associé au léchage précis de mon entrejambes comme c'était le cas ici, me fait jouir bien plus rapidement et bien plus à fond qu'une pénétration traditionnelle de baise ordinaire...

Au bout de quelques minutes d'orgasmes ininterrompus au cours desquels j'avais sans doute perdu une grande quantité de cyprine, j'arrêtais les caresses et remontant mon slip à sa place, je m'affalais sur le lit en leur disant :

- "Ah, mes salauds! Vous m'avez eu!! Vous m'avez faite fondre! Vous m'avez vidée de mon foutre...et sans me baiser encore...! Putain que c'était bon!! Ta bite est bien dure Eric chéri, que s'en est un régal, tu m'as fait reluire mon petit bouton d'amour... Quant à toi, mon chéri, ta langue est superbe de finesse et j'adore que tu t'occupes de mes trous quand je jouis... Regardez dans quel état vous avez mis mon entrejambes de petite coquine gourmande...". Et disant cela, j'écartais les jambes pour montrer l'état de ma petite culotte toute imprégnée de ma mouille de femme jouissante.

J'avais à cet instant une envie folle d'être baisée. Quittant prestement ma jupe, je me retournais sur le lit de façon à me mettre en levrette, position qui est de loin ma préférée lors de ces extras... Je baissais mon slip et me mis à quatre pattes sur le lit, pointant mes jolies fesses vers eux et leur montrant ma raie culière et mon abricot très juteux. Par dessous mon bras, je les voyais prendre en main leur membre et continuer de s'astiquer en me regardant. J'adore m'exhiber dans cette position, sans honte ni pudeur, devant les hommes que j'aguiche, je sais l'effet produit par de telles images sur leurs désirs de mâles... Le seul fait de me savoir ainsi convoitée, me faisait décharger encore et je sentais ma fente couler. Jacques le premier s'approcha et me lécha sur toute la longueur de la fente, de ma rosette à mon clitoris devenu hypersensible... Comme à l'habitude sa langue était extra, précise et pointue et me faisait déferler de plaisir. Je lui demandais :

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