La Boite à Fantasmes -01- Marjorie

BÊTA PUBLIQUE

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Son fantasme était très simple. Elle souhaitait faire l'amour avec trois hommes de couleurs d'au moins un mètre quatre-vingt, avec son mètre cinquante, elle allait vraiment être comme une poupée de chiffon.

En compagnie de mon assistant, nous l'attendions sur un banc de ce parc. Il était presque dix heures quand nous avons sa silhouette franchir la grille du parc et s'approcher de nous, souriante.

— Un bon point pour elle, dis-je à mon collaborateur, elle est ponctuelle.

— Oui et elle a aussi une carrosserie pas désagréable, j'imagine déjà ce que nous ne voyons pas...

— Cochon! Aujourd'hui, tu filmes, tu ne touches pas...

— On verra... me répond-il en souriant.

— Avec les trois types que je lui ai trouvé, je ne suis pas sûr qu'elle ait encore de l'énergie à la fin de la séance...

Il sourit, il avait lu le script de la séance et il savait que Marjorie allait passer une journée épuisante.

La main tendue, je m'approchais d'elle.

— Marjorie? Je suis Viktor votre interlocuteur de "la Boîte à Fantasmes"... On s'embrasse et on peut te tutoyer, bien sûr!

Tout en me serrant la main, elle approcha sa jupe. Je sentais le bouquet floral de son parfum. Tout en elle respirait la douceur. Cela contrastait fortement avec ce qu'elle nous avait demandé.

— Ludovic! Ton cameraman pour aujourd'hui.

Sans se poser de question, il lui posa les mains sur les hanches et l'embrassa. Je la vis trembler.

— Marjorie! Présente toi un peu et dis face à la caméra ce que vous avez demandé.

Marjorie se raidit et hésita un peu puis elle commença à se présenter.

— Tourne toi, comme pour faire voler ta jupe...

En disant cela, je savais que ses cheveux allaient un peu flotter autour de son visage.

— Tu es prête pour la suite...

— Oui! Je suis prête...

— Alors si tu nous mo trais un peu ce que tu caches sous ton chemisier...

Elle rosit un peu et commença à le déboutonner.

— Ecarte un peu...

Elle nous permit de découvrir la dentelle rose de son soutien-gorge.

— Le bas est assorti? demanda Ludovic intéressé.

— Oui bien sûr!

Je souriais de la voir si naturelle. Je lui demandais de nous montrer. Elle troussa lentement sa jupe, dévoilant ses cuisses pales et nous aperçûmes le triangle de fine dentelle rose.

— Culotte ou string? Montre....

En nous tournant le dos, sa jupe remontée jusqu'à la taille nous permit de voir ses fesses charnues qui dont les globes faisaient disparaître la ficelle du string.

— C'est un beau gros cul bien ferme... dis-je en lui palpant une fesse. Nos amis vont s'amuser avec!

Je l'entendais rire nerveusement.

— Il est vraiment vierge? Demanda Ludovic tout en filmant.

— Oui! Il l'est... murmura Marjorie.

— Dis le plus fort. Nos amis n'ont rien entendu.

— Oui! Il est vierge.

— Redis-nous. Qu'est ce qui est vierge?

— Mes fesses...

— Soit plus crue dans tes mots ma chérie...

Je la vis rougis quand elle dit :

— Mon cul est vierge...

— Tu vois ce n'est pas si difficile... pour nos amis, tu as un gros cul et une chatte.

Je faisais exprès de parler aussi crument. Elle nous l'avait demandé dans son message.

— Oui! Parvint-elle à dire. J'ai un gros cul et une chatte.

— Montre nous ta chatte de cochonne! Ecarte ton string...

Timidement, elle écarta le fin tissu qui masquait son intimité. Elle dévoila un pubis fraîchement épilé et des lèvres épaisses luisantes de désir.

Je passais un doigt sur sa fente et je pus constater l'humidité naissante. Je désirai accroitre notre emprise sur la jeune femme.

— Passe tes doigts entre tes cuisses et dis-nous comment tu es.

Sous l'objectif de la caméra, elle se caressa et prit une profonde inspiration avant de nous dire :

— Je suis trempée...

— Qu'est ce qui est trempée?

— Ma chatte est trempée.

— Ta chatte de salope...

-Oui ma chatte de salope, répéta-t-elle face à la caméra.

Satisfait, je rabattis sa jupe et l'invitais à me suivre jusqu'à la voiture. Ludovic nous filmait de dos et de temps à autre je soulevais sa jupe pour montrer ses fesses que je pelotais.

Je me suis installé à côté d'elle sur la banquette arrière du van aux vitre teintées tandis que Ludovic s'installait en face du nous dos à la route et continuait de filmer.

— Véronika, tu peux y aller...

Marjorie

Assise sur le cuir de ce van de luxe, j'étais soulagée. Viktor et Ludovic m'avaient poussée bien au-delà de ma zone de confort en me demandant de dévoiler ma poitrine et de retrousser ma jupe. De plus, jamais je n'avais parlé de moi de cette manière. J'étais de plus en plus troublée et je dois l'avouer de plus en plus excitée.

Viktor sortit une petite bouteille de champagne d'un mini frigo et deux flutes.

— Une première réalisation cela se fête! lança-t-il joyeux. Et nous avons une heure de route pour rejoindre le lieu où tu vas vivre ton rêve.

— Une heure? m'exclamais-je.

— Oui, sauf demande explicite, je ne réalise jamais les rêves de mes clients trop près de leur domicile. Surtout quand comme toi, ils demandent de le faire avec des inconnus.

— Je comprends...

— Trinquons maintenant!

Ravie, je levais mon verre et je trinquais avec Viktor à ma première fois.

— J'espère, pas la dernière!

— Nous verrons... répondis-je rougissante.

Nous avons parlé de moi, de ma vie, de mes envies. Je buvais tranquillement le champagne, je ne faisais pas attention à la direction que notre conductrice avait prise. Je savais seulement que nous étions sur l'autoroute.

Alors que je me finissais mon verre, Viktor me sourit.

— Montre nous comment tu te caresses quand tu es seule...

Je baissais la tête et glissait ma main entre mes cuisses en remontant ma jupe. Les vitres teintées du fourgon me rassuraient. Malgré les deux hommes qui me regardaient et Ludovic qui me filmait, je ne me sentais pas aussi exposée que dans le parc.

— Pose tes talons sur la banquette et ouvre bien tes cuisses... Retire ta culotte... Montre nous ta chatte...

Les ordres brefs me troublaient. Je fis glisser ma culotte sur mes chevilles, j'écartais mes cuisses. Je fondais. Ludovic fit un gros plan sur ma chatte luisante de désir.

— Elle mouille cette grosse salope...

Je rougissais.

— Sors tes nichons du soutif, demanda Ludovic. Caresse-les aussi!

Je passais ma main sur ma poitrine, je sentais mes tétons durcir. Je serrai les lèvres.

— N'aie pas peur, tu peux gémir et crier ton plaisir autant que tu veux, personne ne t'entendra.

Libérée je me lâchais complètement et la voiture fut emplie de mes cris de plaisir.

Comme dans mon lit, mes doigts jouaient avec mon clitoris, je les faisais aller et venir dans ma fente trempée. Je me tortillais sur le siège les yeux mi-clos. Je ne prêtais plus attention à la route.

Soudain, je sentis Viktor me glisser un objet entre les mains.

— Suce le avant de te le mettre dans le con...

Je léchais ce gode en latex noir. Quand il fut bien couvert par ma salive, je l'ai présenté à l'entrée de mon sexe et j'ai commencé à le faire aller et venir en moi. L'effet fut immédiat et je jouis en direct sous l'objectif de la caméra de Ludovic.

Il me fallut un peu de pour récupérer de mon orgasme. Les deux hommes me souriaient.

— Rajuste ta tenue, nous sommes presque arrivés...

Le remis mon soutien-gorge en place et boutonnais mon chemisier. Je cherchais mon string du regard sans le trouver, et d'un haussement d'épaules, je tirais ma jupe pour couvrir mes cuisses.

— Une chienne en chaleur comme toi n'a pas besoin de culotte...

Pour la première fois depuis notre départ j'entendais la voix de Véronika. Elle s'était retournée et elle me souriait.

— Vas profiter de ton fantasme. Je te reconduirais au parc quand tu auras fini.

Je suis sortie du van, accompagnée des deux hommes. Nous étions devant une grande maison de pierre au milieu d'un parc boisé. Je me retrouvais seule, isolée à une centaine de kilomètres de chez moi. N'étais-je pas en train de faire une grosse bêtise?

Viktor poussa la porte et je crus me retrouver dans un manoir anglais de la fin du dix-neuvième siècle. Il aperçut mon étonnement.

— C'est une des propriétés que nous possédons pour mettre en scène les désirs de nos clients... Il y en a pour tous les goûts. Mais suis-moi!

Je le suivi à l'étage et nous sommes entrés dans un immense pièce très bien éclairée par plusieurs projecteurs. Au milieu de cette espace, il y avait un immense lit rond, diverses armoires et commodes se trouvait le long des murs et trois fauteuils occupés par trois hommes noirs.

Ils se levèrent à notre entrée.

— Messieurs, je vous présente Marjorie qui est ici pour réaliser son fantasme... Faire l'amour avec trois noirs costauds... Je pense que vous pouvez venir l'embrasser.

Aussitôt je fus entourée par ces trois hommes qui me dominaient de plus d'une tête. L'un d'eux se pencha sur moi et posa ses lèvres sur les miennes. Je frissonnais et sans hésiter je laissais sa langue fouiller ma bouche tandis que je sentais ses mains descendre sur mes fesses et me remonter la jupe. Un des deux autres me pressait un sein au travers du chemisier.

— Elle a des sacrés nichons...

— Et en plus! Elle n'a pas de culotte... Elle est vraiment en manque! dit le troisième.

Celui qui m'embrassait se recula et celui qui jouait avec ma poitrine m'embrassa à son tour avant de laisser son tour au dernier.

Viktor prit alors la parole.

— Messieurs, je pense que vous devriez montrer à Marjorie ce qu'elle va déguster aujourd'hui.

Ils rigolèrent et je les vis ouvrir leur pantalon et me présenter leurs sexes déjà à moitié dressés.

— N'aie pas peur Marjorie! Tu peux toucher et goûter...

Je me suis alors accroupie devant eux. J'ai pris un des membres entre mes doigts et j'ai commencé à le caresser.

— Tu as deux mains et une bouche! lança VIktor.

Il n'eut pas besoin de répéter et j'en pris un entre mes lèvres pendant que je branlais les deux autres. Ils me caressaient aussi et rapidement, je me suis retrouvée seins nus. Je les entendais gémir et râler pendant que je les prenais chacun leur tour dans ma bouche. Ils durcissaient de plus en plus et au bout d'un moment, l'un d'eux me porta sur le lit et retira ma jupe. J'étais complètement nue, allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes.

Je sentis une bouche et une langue venir jouer avec mon clitoris, m'aspirer les lèvres. J'étais en pleine extase. Quand un sexe se présenta devant ma bouche, je n'hésitai pas une seconde à l'avaler. Celui que je suçais me tenais par les cheveux pour m'imposer le rythme de la fellation. Il forçait ma gorge, je râlais et bavais comme jamais cela ne m'était arrivé.

Soudain celui qui me léchait s'arrêta et frustrée je tendis mon bassin en avant. J'entendis un rire et immédiatement ma chatte fut remplie par un sexe vigoureux. Je refermais mes chevilles autour de sa taille pour le garder en moi alors qu'il faisait de lents et profonds aller-retour. J'étais comblée.

J'allais jouir, je voulais jouir avec ce membre qui me ramonait la moule. Mais il se retira. Malgré celui que j'avais en bouche, je poussai un soupir de désespoir. Heureusement, son compagnon qui attendait la place me pénétra aussitôt.

— Elle est bonne! grogna-t-il. Juste comme je les aime... Oh putain! Je crois que je vais lâcher la purée...

Pas maintenant! pensai-je. Mais je le sentis s'enfoncer brutalement au fond de mon ventre et il fut pris de spasme en me remplissant la chatte de son foutre.

Je n'eus pas beaucoup de répit car celui que je suçais le remplaça aussitôt dans mon ventre et une nouvelle queue se présenta à ma bouche. Je reconnus celle de celui qui venait de jouir. Elle était couverte de ma mouille et il en coulait encore un peu de sperme.

J'entendais les deux autres se moquer de lui, il tentait de se justifier en disant que j'étais la première blanche qu'il baisait et que cela l'avait trop excité.

— Ne vous inquiétez pas, j'ai encore du jus...

Ils éclatèrent de rire et ensemble, ils se reculèrent pour me proposer une nouvelle combinaison.

Celui qui me pilonnait s'allongea sur le dos et m'invita à le chevaucher. Je montais à califourchon au-dessus de lui et je m'empalais sur son sexe toujours aussi impressionnant. Il m'attira contre lui. Des mains me caressèrent les fesses et je sentis des doigts caresser mon petit trou. Je me raidis un peu. J'étais encore vierge par ce côté et la taille des membres de ces trois hommes me faisaient peur.

Je poussai un petit cri quand le doigt força mon anus.

— Elle est vierge! lança un des hommes.

Viktor confirma cet état de fait et il leur proposa de tirer au sort celui qui aurait le privilège me prendre cette virginité.

Ils s'installèrent alors dans les fauteuils pour discuter entre eux. Ils me demandèrent de venir à genoux entre eux pour continuer à les sucer et les branler tandis qu'il se mettaient d'accord. Ce fut le plus âgé qui proposa la méthode.

— On va chacun lui tirer un cheveu. Celui qui aura le plus long lui prendra le cul, le suivant la chatte et le plus court la bouche... mais on y passera tous...

Ils repartirent à nouveau d'un éclat de rire tonitruant et je sentis leurs doigts dans mes cheveux.

— un... deux... trois... tirez!

Je poussai un petit cri plus de surprise que de douleur et ils comparèrent leur prise.

Je fus soulagé en découvrant que celui qui aurait la chance de me déflorer le cul fut celui qui semblait le moins bien monté.

Celui que je devais recevoir dans ma chatte s'allongea sur le dos et je m'installais à califourchon, empalée sur sa queue. J'eus à peine le temps d'apprécier l la sensation d'être remplie que des mains écartèrent mes fesses et je sentis le gland appuyer sur mon petit trou. Je me raidis et grimaçais.

— Attends! Dis le troisième. On va lubrifier un peu.

Un liquide froid coula entre mes fesses et un doigt força mon anus. J'émis un petit couinement mais le doigt qui glissait en moi me faisait du bien et il coulissait sans douleur.

Après avoir été assouplie, je sentis de nouveau la pression du gland. Il était bien plus gros que le doigt et son passage m'arracha un cri et quelques larmes.

L'homme pris son temps et attendit que je fus plus détendue pour continuer sa pénétration.

La sensation d'être prise des deux côtés à la fois était juste magique.

Quand il fut au fond de mes reins, il s'allongea sur moi. Être prise en sandwich de cette manière déclencha un orgasme soudain et je jouis d'un coup. Ils en furent surpris mais cela accru leur excitation.

Le troisième se présenta devant ma bouche et ce fut sans aucune hésitation que je le suçai. Il me tenait par les cheveux pour me dicter le rythme de mes mouvements tandis que les autres remuaient en cadence en moi.

La pièce était remplie de leurs grognements et de mes gémissements. J'apercevais de temps à autre Ludovic venir faire des gros plans de mon visage. Je supposais qu'il en faisait de même avec les autres parties de mon anatomie cela m'excitait

Ils étaient endurant et cela faisait de longues minutes qu'ils allaient et venaient en moi, j'étais parcouru de vagues de plaisirs incessantes.

Avec une synchronisation parfaite, ils jouirent ensemble dans mes trous. Je sentis leur sperme me remplir la chatte, couler entre mes cuisses et mes fesses quand ils se retirèrent et j'avalais ce que j'avais reçu dans ma bouche et qui n'avait pas couler sur mon menton et mes seins.

Instinctivement, je me remis à genou entre eux pour leur redonner de la vigueur avec mes mains et ma bouche. Ils me caressaient les cheveux la poitrine, le ventre, les fesses. Parfois ils introduisaient un doigt dans mon cul ou ma moule et me le donnait à lécher où étaler le sperme qui le recouvrait sur ma peau.

Quand ils eurent repris des forces, nous reprîmes nos ébats et celui qui avait profité de ma bouche allait maintenant profiter de mon cul à son tour. Une dernière rotation permit au troisième de prendre ce trou qui n'était plus vierge. Je ne savais plus combien de fois j'avais jouis, mon corps réagissait à la moindre caresse et j'étais prête à accepter tout ce qu'ils avaient envie de me faire.

Quant à la fin de la séance, ils me mirent à genoux pour se branler au-dessus de mon visage, je les laissais faire souriante.

Après avoir reçu leur sperme partout sur mon corps, ils me laissèrent épuisée sur le lit. Je leur dis au revoir de loin.

Viktor entra alors dans la pièce et m'invita à aller prendre une douche avant de me rhabiller. Je profitais longuement de cette douche. Je me suis nettoyée le plus intimement possible et je profitais du nécessaire de maquillage mis à disposition dans la salle bain pour me refaire une beauté.

Ce fut donc toute pimpante que je regagnai la pièce ou je venais de vivre l'une des expériences les plus fantastiques de ma vie.

Viktor m'attendait avec un dossier.

-J'espère que tu es satisfaite!

-Oh oui je ne m'attendais pas à jouir autant.

Il me tendit un document et il me demanda si j'acceptais que les images qu'ils avaient filmées fussent montées et diffusées sur le site de "La Boîte à Fantasmes".

Sans hésiter, j'ai donné mon accord et signé cette autorisation. Viktor sourit et me dit que Véronika allait me raccompagner au parc pour que je pus rentrer chez moi.

-A une prochaine fois! me lança-t-il alors que je fermais la portière du van.

Ce n'était pas une question mais bien une affirmation.

Je savais au fond de moi que cette expérience ne pourrait pas rester isolée et que je reprendrai contact avec eux pour vivre une autre expérience.

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5 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a plus d’un an

Je me suis imaginée avec 3 beaux garcons, membrés comme des chevaux, et mon ventre inondé de leur sperme!

Ah que c'est plaisant de fantasmer!Je suis hyper excitée, ma culotte est trempée! Bisous sur ces belles bites d'hommes puissants. J'enfile mon vibromasseur noir!

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
superbe histoire très excitante

Vite une suite !!

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans

quel dommage de ne plus vous lire ?

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 4 ans
Hahaha

pour Trouchard, Albert et Isabelle, bien sûr ou alors d'autres?

trouchardtrouchardil y a plus de 4 ans

ça me fait penser à un certain site. Merci qui ?

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