Jung-Hyun & John 06 - Finale

BÊTA PUBLIQUE

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Mais jamais elle n'avait eu de sperme dans la bouche.

Là commençait l'inconnu.

John la surplombait, son corps robuste assis sur bord de la baignoire, ça main tendue vers elle qui enlaçait ses cheveux.

Cette posture patriarchale, inexplicablement, l'échaudait.

Il allait jouir dans sa bouche. De son large tube de viande en rut allait exploser un jet gras et chaud, épais et collant, lourd et visqueux. Elle s'imaginait les étapes qui allaient suivre, et cette perspective l'impressionnait.

Il n'y avait aucune chance que le fruit de son éjaculation soit aussi délicieux que le laissaient penser les actrices de films pornos qu'elle regardait la nuit en se tripotant. D'ailleurs, était-ce même du vrai sperme? De ce qu'elle savait les acteurs, même les plus aguerris, seraient bien incapable de produire les quantités exhibées à la fin de leurs vidéos. Et puis ce dont s'emplissaient leurs partenaires avec des mines assoiffées ressemblait parfois plus à du lait concentré qu'à une véritable lampée de foutre.

Cette nuit, ces trucages et artifices lui étaient interdits. John était érigé, ses deux grosses couilles étaient pleines, son sexe puissant était prêt accomplir son devoir suprême.

Il y avait la réflexion qui agitait son esprit, il y avait cet organe juste en face de son visage, et il y avait sa nature inaliénable de mammifère : puisqu'elle était nue et qu'il y avait une verge, c'est qu'elle devait la faire jouir, et ce serait dans sa bouche.

Son corps avait aussitôt accepté l'issu que son esprit délibérait. Sa bouche, déjà, salivait d'anticipation.

Elle ouvrit les lèvres, enfonça son gigantesque gland contre sa langue.

Combien de fois l'avait-il léchée jusqu'à ce qu'elle jouisse contre son visage occidental? Après tout elle se devait bien de le lui rendre.

Elle l'entendit expirer lentement, soufflant l'air chaud des profondeurs de son large buste dans ce qui se transformait en un râle de plaisir.

Elle le fit glisser contre son palais. Son membre était véritablement large. Il lui semblait que toute sa bouche en était occupée.

Et il était rigide, aussi inflexible que l'expression de son visage qui la regardait de haut en train d'accomplir pour lui cet acte obscène.

Cette fermeté dans les yeux verts du canadien lui était irrésistible, et son regard à lui seul noyait sa chatte de cyprine.

--Caresse-toi, lui dit-il dans un souffle.

Un ordre. Une bourrasque de désir sexuel soulevant son corps.

Elle s'exécuta aussitôt, et tandis que sa tête allait et venait serrée autour du sexe de son amant, sa main gauche attrapa ses mamelons excités qu'elle se mit à labourer. Sa main droite s'enfouis quant à elle entre ses cuisses nues.

Elle gobait John.

La coréenne découvrait cette nuit la puissance érogène de ses propres lèvres. Le sentir filer contre la fine surface rose enivrait ses sens de plaisir nerveux. Il était large et chaud. Il traversait sa tête comme une locomotive enragée qu'elle avalait inlassablement.

De toutes ses forces, Jung-Hyun l'aspirait en elle, suçant la viande vive de son maître.

Ses bruits devenaient plus forts, ses efforts devenaient harassants. Des « Hmf! » étouffés gémissait hors de sa gueule d'ange déchut. Le tumulte devenait total. L'air happé autour du membre qui pénétrait sa gorge à grand ravalements de salive s'emmêlait parmi les hennissements de son étalon d'amant.

Il se cabra. Elle se touchait. Son museau faisait l'amour au visage de John. « Gah! ». Sa gorge mangeait son rut à en désespérer sa vulve. « Gohp! ». Elle le sentit se raidir entre ses joues, et une complainte soudaine lui étrangla la gorge :

--Humpf!!!

*****

Il était temps, on ne l'arrêterait plus. Cette petite asiat' lui narguait la bite depuis trop longtemps et sa récolte était prête.

Entre ses cuisses se tenait un visage parfait. C'était un être divin arraché au ciel, ou peut-être la muse de lucifer en personne. Ses lèvres douces glissaient autour de lui. Ses joues de velours incurvées par la succion brutale.

Ses yeux de chatte noirs comme le chaos, bridés sous ses paupières en demi-lune l'implorait de ne pas jouir, de retarder l'inévitable.

« Glahp! » : ses plaintes inarticulées sortaient d'elle comme déracinées par sa grande queue. Tout ce travail le mettait en flammes. Il n'y avait qu'une issue, que Jung-Hyun le veuille ou non.

« Hulp! ». Il saisi la tête de cette démone qui poursuivait sa fellation et poussa une plainte d'homme, dominatrice et rauque en sentant les derniers liens craquer dans la chaleur de ses couilles.

Il fut soudain foudroyé. L'ouragan infernal l'emporta. Il balaya sur son passage toute ses futiles barrières qu'il dressait entre lui et la suceuse. Les cordes de semence féconde fusèrent le long de son sexe, il se vidait enfin.

« Humpf!!! » fit le visage angélique. Le désespoir et la naïve surprise inondait ses yeux. Elle était terrassée. Il s'accouplait avec sa gorge. Elle protestait sans s'arrêter de sucer, il jouissait plus encore.

« Galhp! ». « Gulhp! ».

Chaque à-coup chargé de foutre gras qu'il débitait au fond de ce délicat cou d'oiseau s'accompagnait d'une réponse gutturale et humide de la bouche de la coréenne. Sentir sa sève couler sans plus de contrôle dans la bouche chaude et humide de Jung-Hyun le transportait d'une satisfaction primale.

« Gahlg... ». « Ummh! ». « Gahp... ».

Le rythme ralentit, sa queue s'épuisait.

L'amante reprit pied, le suçait de haut en bas, lentement jusqu'au tarissement de la source.

Puis, sentant son homme rompu, elle plaça ses doigts autour de la base de son membre, tirant le gland hors de son capuchon une dernière fois, et suça les dernières gouttes de sperme bouillants hors de la tige en tirant sa tête vers l'arrière, arrachant un « Smack! » final au détachement de ses lèvres et de son gland.

Puis elle retomba à genou, bouche encore grande ouverte, ses fesses sur ses pieds nus, exténuée.

Les deux amants soufflèrent un instant, l'une d'avoir fait tant d'effort, l'autre d'avoir si bien jouit.

John redescendit les yeux sur le visage de sa bienfaitrice. Sa petite mâchoire sage avait l'air anéantie, et son asiatique ne bougeait pas. Elle respirait profondément, soulevant sa poitrine menue.

Puis il se pencha vers elle, et remarqua au fond de sa petite bouche sa langue qui était immobile. Elle la tenait comme pliée en creux, retenant adroitement en son centre la flaque de sperme blanc et translucide qu'elle y avait recueillit.

Sans doute avait-elle l'intention de recracher le fruit de sa peine dès que la force reviendrait à ses jambes pour se relever, pensa John.

*****

Il leva la main gauche à son petit visage, caressant les cheveux dans sa fragile nuque. Puis un instant plus tard, il leva la deuxième main qu'il porta aux lèvres ouvertes de l'innocente.

Elle écarquilla à nouveau les yeux de surprise, car l'index du Canadien s'enfonçait en elle.

--Chuuut, fit-il doucement.

Elle tressaillit en sentant le doigt glisser entre ses joues, mais il lui tenait fermement la tête et ses mains à elle n'osèrent intercepter l'intrusion.

L'index plongea dans l'épaisse flaque de sperme qu'elle réservait au creux de sa langue, patienta quelques longues secondes. Et puis enfin, le doigt se mit à tourner lentement autour de son muscle muqueux, charriant le fluide séminal dans sa petite bouche.

--Hommh!! protesta-t-elle.

La masse chaude et gélatineuse qu'elle avait consciencieusement collectée dans le creux de sa langue pour préserver sa bouche coulait à présent sur son palais, puis sur ses gencives. L'homme géniteur la forçait à savourer sa semence. Son gros doigt masculin, enfoncé entre ses joues, malaxait sa cavité buccale avec la puissance d'un pétrin. Il en parcourait la profondeur sans en oublier un repli, tapissant de son lait collant et salé chacune de ses dents, sous sa langue jusqu'au fond de sa gorge.

Son premier réflexe fut de s'extraire de son emprise, mais elle sentait sa grande main lui tenir la nuque, et son doigt patriarchal lui interdire tout mouvement. Alors elle desserra la mâchoire et laissa John lui repeindre la bouche de son sperme. Ses propres doigts glissèrent le long de son corps de femme, attrapant son sein et plongeant contre sa vulve.

Son canadien la tenait, sa fermeté masculine l'excitait. Il l'avait remplie de foutre dont il l'engraissait maintenant comme un animal.

Elle sentit ce mélange fécond mêlé à la bave qui naissait en abondance dans sa bouche déborder de ses lèvres. Le filet coulait le long de son menton et de sa gorge, et rejoignait ses mamelons érigés qu'elle caressait machinalement.

Comme elle le craignait, le sperme n'avait pas particulièrement bon goût. Il n'était clairement destiné qu'à remplir vagins et utérus, et non pour satisfaire les babines des filles. Mais c'était mieux encore, pensa-t-elle, car là se trouvait la preuve indubitable de son entière dévotion pour son amant.

Recracher le fruit qu'elle avait si patiemment fait naître au fond de lui? Ce jus fertile qui lui était destiné? Quelle ingrate elle avait été de vouloir le recracher!

Sa chatte en éveille la piquait de plaisir. Elle soufflait par ses narines élargies alors que l'index mâle lui obstruait la bouche et que sous ses propres doigts glissaient ses tétons durs huilés de semence et de salive.

Ses doigts massaient sa fente, son clitoris se déployait sous ses phalanges. Le plaisir moite lui enveloppait le ventre.

Mais le gros doigt profanateur s'immobilisa. Sentant sa bouche pleine et entièrement maculée, John le retira hors d'elle.

--Avale, fit-il avec une voix presque paternelle.

Elle referma enfin sa bouche pleine et souillée, sentant à présent tout le spectre de saveurs que John avait déposé sur toute sa surface. Elle l'avala, gorgée par gorgée, raclant chaque recoin de sa bouche pour récupérer le sperme éparpillé contre ses muqueuses et perdu entre ses dents.

C'était âcre, iodé, tiède.

***

Une larme solitaire et silencieuse coula le long de sa large joue gauche. Jung-Hyun avalait péniblement le contenu de sa petite bouche encore dégoulinante. John savourait quant à lui le spectacle, massant langoureusement entre ses mains la bite à demi molle.

Sa petite coréenne ne laissa pas une goutte trainer, et lorsqu'elle eut fini, poussa un soupir accompli.

Elle ramassa son téléphone qui trainait par terre, et regarda l'heure.

Puis sans dire un mot, la femme se releva et se retourna. Elle fit quelques pas vers le lavabo, y reposa ses mains. Puis elle se pencha en avant, écarta les jambes, cambra son dos en lui adressant son cul. A travers le large miroir situé en face d'elle, l'asiatique lui envoya un clin d'œil.

--T'attends quoi? Tu penses pas me quitter sans me dire au revoir?

John hocha la tête avec un léger rire du nez, et s'avança vers elle. Son amante le suivait des yeux. Son cul était ouvert pour lui, sa chatte dilatée prête à se faire à nouveau enfoncer par un organe trop gros pour elle.

Il se masturba dernière la belle qui attendait l'empalement en sirotant les dernières traces de sperme qui lui enveloppaient la bouche.

Il ne lui fallut que quelques lancées pour que sa tige ne retrouve une vigueur suffisante pour desserrer la fente coulante de Jung-Hyun, et sans attendre il plaça son gland contre ses petites lèvres écloses.

Puis, les jambes solidement ancrées au sol, il saisit les hanches de la coréenne et poussa sa lance en elle.

Elle gémit aussitôt, déliant la bouche entourée de ses mèches de cheveux noirs qui tombaient sur son magnifique visage. Il rentra entre ses fesses lentement, d'une traite et sans s'arrêter, pénétrant la femme jusqu'au fond. John resta là un moment, sentant sa masse reproductrice embrasser l'embouchure de l'utérus coréen.

Il revint en arrière, rendant un bref instant sa forme à l'organe reproducteur de son amante, puis rentra encore en elle tout aussi profondément. Elle soufflait, tantôt fermait les yeux, tantôt les ouvraient, observant son mâle en train de prendre à travers le grand miroir. L'expression de son doux visage à demi recouvert de mèches traduisait une sorte d'admiration ou de sidération insondable.

Il alla et vint entre ses organes, écartant son délicat trou rose parfaitement gainé autour de lui, adoptant un rythme ni trop rapide, ni trop lent.

La coréenne tremblait de tous les muscles de ses cuisses, et ses vaguelettes ondoyaient sur la chaire de ses fesses. Elle hennissait, il ne jouissait pas.

Sa petite asiatique avait particulièrement bien fait son travail, sa fellation avait été complète. Ses couilles étaient vides et John la farcirait sans compter les minutes. Tant qu'il plairait à sa belle de se faire écarteler les cuisses par son membre virile, John garderait la pulsation avec la régularité d'une horloge dont les deux grosses cloches fatiguées ne sonneraient pas.

***

Jung-Hyun quant à elle vibrait de plaisir, elle gémissait langoureusement, appréciant le membre de l'homme qui lui faisait l'amour sans empressement.

C'était là une récompense bien méritée. Il était rigide au fond d'elle, mais plus aussi dur que les dernières fois. Cette érection-là était parfaite pour durer, elle ne lui ferait pas mal, mais restait amplement assez large pour satisfaire son plaisir.

Elle sentait les cuisses de John frapper les siennes à chaque venue, et cela lui inspira une nouvelle envie. Sa main gauche solidement fixée sur le rebord du lavabo se souleva et plongea en arrière, attrapant une joue de ses propres fesses. Elle écarta la masse de chaire culbutée par son homme pour mieux dévoiler l'anus excité qui la piquait depuis quelques minutes déjà.

Une amante si dévouée était bien digne de ce dernier caprice, et n'ayant désormais que faire de la forme, elle prononça entre deux gémissements :

--Mets ton gros pouce... Dans mon trou du cul.

Elle sentait son rectum palpiter à chaque passage du sexe de John qui la regarda à travers la vitre avec un sourire joueur.

Puis elle senti une de ses grosses mains quitter ses hanches pour se poser sur ses fesses. Un pouce délicieusement intrusif lui caressa la raie, jouant avec les sensibilités tactiles de la surface de sa peau. Il contourna son anus, en caressa subtilement l'embouchure.

Puis il eut un geste qu'elle ne comprit pas sur le fait : John sorti sa queue de sa fente en chaleur, puis il la remplaça par ce pouce qui y entra et en ressortit sans aucune résistance. Il rangea ensuite son sexe à nouveau à sa place : bien calé dans sa fente, poursuivant ses allers venus réguliers comme si de rien était.

Son pouce dressé et à présent maculé de cyprine se reposa contre sa rondelle. Il écarta les ridules de son anus et poussa de toute sa détermination en elle. La première phalange, la plus large, lui déforma le rectum en entrant dans son palais secret. Son cul l'acceptait, l'aspirait vers son fondement jusqu'à ce la deuxième phalange, plus étroite, glisse dans son trou.

La sensation pénétrante d'un coup décuplée la fit crier de plaisir. Elle se sentait pleine, tendue autour de lui. Son rectum se contractait, il suçait la masse de son pouce alors que le membre l'engrossait toujours aussi bien.

C'était un des rares instants de sa vie qu'elle aurait pu qualifier de parfait. L'occidental, son infatigable éphèbe, la pénétrait sans intermittence, pavant brique par brique son chemin vers l'orgasme féminin. Ce pouce introduit en elle était la sucrerie, l'extravagance, l'aventure qui sublimait ce coït déjà délectable.

Cette phalange dure et grosse que son sphincter appelait vainement en elle lui laissait savourer chaque contraction. Il la transportait de passion jusqu'à ce qu'un filet de bave aux senteurs de sperme n'échappe à ses lèvres entre deux gémissements.

Elle se regardait dans la glace pendant qu'il la baisait. Cette femme échevelée, en sueurs, avait le teint rougit par la débauche. Ce fil de salive coulant sans contrôle de sa bouche tremblante terminait le personnage qu'il faisait d'elle.

Contrairement à la honte que cet inconcevable spectacle aurait dû lui inspirer, Jung-Hyun se trouvait belle. Tout son corps sautait à chaque pénétration. Sa chevelure dansait d'avant en arrière. Ses seins lâchés ballotaient sur son buste. Sa bouche crachait ses souffles de plaisir qui embuaient la glace.

Il la pénétrait inlassablement, elle profitait.

Derrière cette fille violentée se trouvait son homme, grand, au large buste bombé et aux abdominaux saillants qui tombaient jusqu'à derrière elle. Une main lui agrippait solidement les hanches, l'autre lui empalait le cul sans vergogne. Il faisait d'elle son jouet.

Elle ferma les yeux, dégustant chaque centimètre qu'il bourrait en elle. Il continua, poursuivit nul ne sut combien de temps au juste. Ce qui était certain, c'est que ses lèvres avalaient sa viande et que son tube vaginal l'emportait sur la voix d'un orgasme long et savoureux.

Lorsqu'elle rouvrit les paupières, une surprise l'attendait. A la chaude et faible lueur des chandelles se substituait des raies d'or qui traversaient la maison jusque dans la pièce : le soleil se levait enfin. Avec lui, l'extase si longtemps repoussée achevait son cycle.

Elle se trouva découverte, plus nue que jamais à la lumière du jour naissant.

Puis elle sentit à la pointe de l'extase éclore en elle. D'abord minuscule, filant dans ses chairs, déroulant un flot de plus en plus énorme de plaisir. Sa fragilité entièrement révélée avait déclenché son inarrêtable orgasme.

Elle jouit.

Elle héla, souffla, contracta sa vulve tendue autour de la grosse verge de John. Elle jouit sans le quitter des yeux, sans perdre un instant de son homme que le jour emporterait.

Bouche ouverte telle une animale, elle gémit fort et clair. L'orgasme était long, à la mesure de leur rapport. Il la prenait par vagues chavirantes, culbutant son corps usé par le mâle.

Ses cuisses bouffaient sa grosse queue, son sphincter avalaient son gros pouce.

Elle se laissa la tête basculer contre le lavabo, sirotant les dernières gifles de jouissance brute qui frappait ses organes.

Comme son orgasme semblait s'étirer éternellement, son homme décida d'achever le sien. Il l'empoigna plus durement, accéléra tout d'un coup le rythme et resserra son pouce dans son fondement qui se déliait.

Un soudain rugissement s'échappa du coffre du Canadien, et une nouvelle volée de foutre empli Jung-Hyun. Ce fut pour elle une remarquable apothéose que de sentir ce jus chaud inonder sa grotte, et John, exténué à son extrême, termina sa course.

***

Le corps souillé et faible de Jung-Hyun resta un temps immobile contre le lavabo. La cambrure de son dos doucement caressée par les rayons du soleil d'automne rejoignait en une ligne d'or la courbe bombée de ses fesses ouvertes.

Le jeu de lumière transformait progressivement ce tableau, et la vallée entourée des deux cuisses tendues de fatigue disparaissait peu à peu dans l'ombre que la puissance solaire générait par contraste. La fente entre-ouverte se réduisait en silhouette faite de contours luisants de cyprine. Elle palpitait encore du chaud souvenir de leur rapport tandis que son rectum libéré de son invité reprenait par salves successives son diamètre habituel.

Elle restait là, laissant la lumière du matin apaiser les fureurs érogènes de son petit corps qui tremblait encore du passage masculin de John.

Quelques contractions plus tard, la vallée asiatique s'inondait d'un fleuve. Jung-Hyun donnait une nouvelle fois naissance à son sperme blanc, perlant grassement d'entre ses petites lèvres et qu'elle laissa lascivement couler le long de sa vulve défaite. Scintillant à la lueur du matin d'or, le flot collant enroba son clitoris, dégoulina et disparu à travers le noir nuage pileux de son pubis.

Plus tard Jung-Hyun se rhabillerait, enfilerait une culotte sans même se laver. Elle garderait entre ses cuisse la semence chaude de son homme le plus longtemps possible tandis qu'elle le conduirait à la gare, accompagnée par un soleil d'une insolente gaîté.