Jung-Hyun & John 06 - Finale

BÊTA PUBLIQUE

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Elle ne savait pas grand-chose en matière de fellation, mais elle savait tout de même que sucer une queue était rudement fatiguant. Alors elle détendit la mâchoire pour ménager ses muscles, et tant pis si un filet de bave coulait déjà de son menton : de ce qu'elle sentait dans sa bouche, son homme ne s'en formalisait pas.

Elle ne bougea pas. La poutre excitée se tendait en elle par lentes palpitations comme pour initier déjà le va-et-vient qu'il attendait ardemment. Pareil à une bête furieuse, ce membre tirait par à-coups sur sa laisse, ne pouvant plus attendre qu'on lui rende sa liberté.

Son maître, lui, semblait sidéré. De toute évidence il peinait à croire ce qu'elle était en train de lui faire en ce moment même. De sa belle mâchoire carrée entr'ouverte sortait un souffle tremblant de plaisir. Ça, pensa-t-elle, voilà qui était beau à voir. John ravala sa salive, peinait à masquer sa respiration qui s'emballait alors que la fièvre montante le dévorait.

Alors sans cligner une seule fois des yeux, Jung-Hyun recula lentement le visage. Ses lèvres étirées autour de sa bite rendirent le membre en feu, veine par veine, jusqu'à sentir la couronne du gland rouler sous ses parois labiales.

D'un coup, le sexe s'échappa hors d'elle dans un appel d'air qui lui fit trembler les joues.

La tige nue se tendait face à elle, droite comme la loi. Elle se lécha les lèvres. Il était rentré en elle tout froid et tout petit, il ressortait énorme et fulminant. La métamorphose était complète, elle s'en félicitait.

Elle lui offrit un sourire silencieux, plein de coquinerie ; lui restait là, stupéfait et en érection.

Le filet de salive qui coulait de sa bouche à son menton était toujours là, elle ne l'essuya pas. Au contraire, elle tendait la tête et les deux boules de ses seins nus pour qu'il la voit mieux dans la lueur des bougies.

--Alors mon grand, on fait quoi?

Il ne répondit que par des syllabes hébétées. Lui avait-elle retiré la parole en le suçant? Elle soupira d'un air amusé.

--On continu? chuchota-t-elle.

Il hocha légèrement la tête de haut en bas.

***

Jung-Hyun rapprocha à nouveau la tête, avalant sa queue sans plus de ménagement. Il peinait à le croire. La sensation de ses douces lèvres chaudes caressait son gland, sa langue s'enroulait autour de sa tige.

Elle glissait ses chairs chaudes et humides autour de lui, l'enveloppait du velours de sa bouche jusqu'à ce qu'elle arrive au bout.

Jung-Hyun recula à nouveau, suçant sa queue avec la force d'une animale comme si sa gorge tentait de le retenir en elle alors que sa tête s'en éloignait. Il ne put cette fois-ci étouffer une complainte de plaisir. Toutes ses chairs délicieusement aspirées par cette innocente petite gueule d'ange le transportait d'extase.

Elle l'attrapa par les hanches comme pour mieux maitriser son mouvement, et se mit à alterner d'avant en arrière, faisant disparaitre sa tige en elle avant de la dénuder à intervalles de plus en plus soutenus.

Cette petite asiatique était une surprise de tous les instants. Elle qui n'avait jamais connu de passion était à présent d'elle-même en train de lui faire une fellation incroyable. John n'en revenait pas. Sa petite bouille plate gobait sa bite comme s'il s'agissait une délicieuse sucette. S'il n'avait pas déjà joui cette nuit-là, il était certain qu'il n'aurait pas tenu longtemps dans la douceur des lèvres de la coréenne.

Elle s'arrêta un instant, maintenant son gland serré juste à l'entrée de sa bouche. Relevant à nouveau vers lui ses grands yeux noirs comme un mystère, elle lui fit un clin d'œil aussi discret que licencieux.

Puis, calé dans la fournaise de ses joues, il sentit la petite langue lentement glisser sous le capuchon de son prépuce. Elle étira la toile fine et délicate autour de son gland gonflé, s'immiscent dans les recoins les plus érogènes de son corps.

La sensation presqu'un peu râpeuse de cet appendice musculeux le fit tressaillir ; la curieuse orientale explorait la fine surface tissée de nerfs tout en le fixant de ses yeux innocents.

La langue aventureuse tournait autour de lui, léchait de sa chaleur incandescente son gland ivre d'extase. Il gémit, elle continua.

Toute sa queue était en flammes, la louve n'en laisserait aucun millimètre vierge de son passage. Elle le massait par mouvements appuyés et fermes, comme pour marquer sa chair qu'elle mettait à vif.

Lorsqu'elle eut terminé de lécher la couronne de son gland, elle se dirigea vers le sommet de son sexe, jouant de la pointe de sa langue avec le trou de son urètre.

Comment cette petite devinait-elle si bien ce qui échaudait le plus ses terminaisons nerveuses? Ce mystère n'en était pas un. Lui qui était si doué pour jouer la comédie lorsqu'il s'agissait de vendre des prestations à plusieurs millions de dollars était, en cet instant, incapable de contenir les sourds sursauts de plaisirs que la Coréenne créait en lui. Leurs éruptions se lisaient sur son corps et sur son visage et sa délicieuse prédatrice n'avait plus qu'a frapper là où cela faisait le plus mal.

Elle le ressortit de sa bouche, la mâchoire visiblement fatiguée de sucer sa grande verge. Elle se releva en se massant les tempes alors qu'il restait debout, une érection de pierre entre les jambes.

--Alors, ça te plait? murmura-t-elle après quelques instants.

Elle essuya le filet de bave qui pendait négligemment de son menton.

--T'es incroyable. J'arrive pas à croire que tu n'as jamais fait ça de ta vie.

Elle souffla du nez en haussant des sourcils.

--Et si j'étais pas aussi innocente que tu le penses, ça te ferait quoi?

--Eh bien, hésita-t-il, rien de plus et rien de moins, je te le promets.

Il y avait donc bien un secret quelque part sous ces délicieuses paupières bridées et l'énigme, pensa John, allait enfin se dévoiler.

--Tu as eu d'autres amants? reprit-il.

--Pas pendant mon mariage, non.

--Avant? Ça remonte à longtemps alors.

Elle hocha la tête avec un léger sourire.

--Longtemps, oui, j'imagine qu'on peut dire ça.

--Un collègue de travail? Ou un supérieur?

--Non, d'ailleurs je ne travaillais pas encore à l'époque.

Il se frotta le menton alors qu'il réfléchissait. Jouer aux devinettes devenait excitant.

--Attends, ne me dit pas que... Petite coquine, ce serait pas un prof, par hasard?

--Ha! rit-elle, ça t'amuserait bien que j'ai un fétiche pour les professeurs. Non plus, mais c'était pas trop mal visé.

--Alors t'avais un mec à l'université?

Cette éventualité lui paressait surprenante. De ce qu'il savait, Jung-Hyun n'était jamais sortie avec le moindre garçon du temps qu'ils se parlaient, alors l'imaginer avoir une relation sexuelle à cette époque était d'autant plus incroyable.

--On dirait que ça pique ta curiosité, tu vas pas cesser d'y penser jusqu'à ce que tu sache, c'est ça?

Il voulu dire non, mais c'était si juste que ses lèvres retirent ses mots en lui.

--Tu me promets que tu vas pas en faire toute une histoire? reprit-elle.

--Euh... oui bien sûr, mais je comprends tout à fait que tu souhaites pas...

--C'était à la fête du nouvel an, quand on était aux Etats-Unis, tu étais rentré au Canada. On avait pas mal bu, j'avais un crush sur un mec, on est monté dans une chambre et c'est arrivé comme ça.

John resta en suspens, retenant son souffle de peur d'effaroucher la vérité qui passait soudain comme une apparition devant lui. L'homme ne tenta pas un seul mot, il savait qu'il ne rencontrerait cet animal là qu'une fois dans sa vie. Elle continua :

--Quelques minutes avant j'avais surpris Emiko qui taillait une pipe à un autre mec super sexy et super con comme elle les affectionnait. Alors quand je me suis retrouvée avec mon crush la bite à l'air dans une chambre d'ami j'ai même pas réfléchi, je l'ai mise dans ma bouche et je l'ai pompée. Pas très longtemps, quelques dizaines de secondes à peine parce que monsieur ne tenait plus en place. Et puis on a fait l'amour sur le lit, pas très longtemps là encore.

Elle se tenait nue, debout face à lui, racontant sa première fois dans la lumière chaude des bougies avec un détachement apparent.

--On peut pas dire qu'on ait fait un chef d'œuvre ensemble, cette nuit-là, reprit-elle.

--C'est... rarement le cas la première fois.

Elle hocha la tête avec un sourire presque nostalgique, et John sentait ses deux perles noires sonder son visage.

--Ta curiosité est satisfaite?

--Euh... Oui, enfin...

--Enfin tu meurs de savoir de qui il s'agissait.

Il bredouilla encore, elle visait si juste que s'en était désarçonnant.

--Tu te souviens que t'as promis de pas en faire tout un plat? fit-elle.

Il acquiesça.

--Brayden MacKinney.

Il écarquilla les yeux de sidération.

--Brayden?

Cet enfoiré? Ce crétin prétentieux? Il avait donc bel et bien réussi à se taper toutes les étudiantes étrangères de leur groupe d'amis, pesta-t-il intérieurement. Il pencha la tête en arrière en prenant une inspiration.

--Sérieusement? Reprit-il, incrédule.

Elle haussa les épaules.

--Bah... Oui. Avec lui on s'amusait, et puis je savais pas qu'il était si con à cette époque.

--Et puis il avait une grande baraque, ça le rendait sans doute largement plus intéressant...

--Ne me dit pas que t'es jaloux maintenant que tu gagnes une fortune?

--...Et puis sa caisse! Toutes les filles rêvaient de monter dedans. Il a dû t'emmener faire un tour dans sa Porsche, tel qu'il était.

--Sa Porsche? Tu veux dire celle de papa qu'il empruntait quand il avait le dos tourné!

--Tiens, alors le mythe s'écroule.

Jung-Hyun lui fit une moue moqueuse.

--ça blesse ton égo, on dirait.

Il secoua la tête.

--Mais pas du tout. Et puis de toute manière il était nul au lit, d'après ce que je comprends.

--Oh oui, fit-elle, vraiment nul.

La coréenne se rapprocha de lui en répondant.

--Vantard, et précoce?

--Précoce, terriblement.

Elle se trouvait à présent si proche que les pointes de ses seins frôlaient les abdominaux de son homme.

--Avec une petite quéquette?

Elle saisit le membre de John qu'elle se mit à masser langoureusement.

--Minuscule! Pas comme certains.

Il eut un rire détaché.

--Eh bien ça me rassure.

Elle colla son visage sur son buste tout en le fixant de ses yeux de chatte.

--Ha! Il te faut pas grand-chose. Voilà, ça te réconforte?

Elle poursuivait sa masturbation d'un mouvement ample et lent.

--Oui.

--J'ai été très vilaine.

--Tu souhaites te racheter?

--Oui, mais comment pourrais-je effacer une faute si grave, si terrible et si odieuse? fit-elle d'un ton ironique.

--Oh ça va, je suis pas si vexé que ça.

Elle gloussa en se pinçant les lèvres.

--Mais si, tu as l'air profondément blessé dans ton amour propre.

Sa main caressait le sexe mâle avec la souplesse d'une violoniste. Le rythme cardiaque de John se mit à accélérer tandis que la main de son amante se resserrait comme un cercle autour de sa queue trop large pour que ces petits doigts ne se rejoignent. Il ravala sa salive.

--C'est vrai que c'est frustrant.

--Uh-hum?

--Je ne suis pas fâché contre toi, mais contre lui.

--Tu bouillonnes de colère, fit-elle lascivement.

--Penser que cet imbécile...

--Ce jeune fanfaron!

--...qu'il ait osé te toucher, te tripoter...

--Me dévêtir et glisser ses sales pattes sur moi!

--Jouer avec toi...

--...avec mes petits tétons de vierge toute excitée...

--Te pénétrer...

--...me déflorer!

Ses doigts glissaient autour de la tige raide comme un pic avec une parfaite régularité.

--Et puis... Ejaculer en toi comme un gros dégueulasse!

--En souillant mon corps irrésistible de petite asiat' bien sage.

Elle chuchotait, à présent, avec un air moqueur. Il ne répondit pas.

--T'as souvent pensé à moi à cette époque, seul dans ton lit?

--Je... Qu'est-ce que tu veux dire?

--Combien de fois tu as joué avec ta saucisse en pensant à moi?

--Eh bien... Pourquoi tu voudrais savoir ce genre de truc?

Sa voix se perdait dans son souffle qui accélérait.

--Je te faisais cet effet là, à l'époque? Tu te les imaginais comment mes petits seins? Tu mourrais d'envie de les prendre dans tes mains, hein?

A ces mots elle le fit assoir sur le rebord de la baignoire tout en poursuivant sa masturbation.

--Euh... oui, murmura-t-il.

--Oui quoi?

--Oui, ça m'arrivait...

Ces mots inspirèrent à la coréenne un rire concupiscent.

--Tu vois, vous êtes tous pareils.

Elle lâcha le sexe qui se tendit vers le plafond en ondoyant comme un ressort.

--On va conjurer le sort, murmura-t-elle, gommer cette petite erreur du destin.

Il fit une mine à la fois interrogative et débordante d'excitation. Qu'est-ce que cela voulait dire?

--C'est toi, grand nigot, qui aurait dû être dans cette chambre cette nuit-là. Alors t'as qu'a imaginer qu'on est de retour à l'université.

Il la regarda un instant, un léger rire s'échappa de son nez.

--Pour moi c'est facile, t'as à peine changée.

--Chuuut... fit-elle d'un air farouche.

Elle porta ses deux mains à son buste et s'accroupit face à John. Puis s'approchant de lui, elle attrapa son membre en érection qu'elle plaça entre les doux monticules de ses seins. Usant de ses deux petites mains elle écrasa ses humbles mamelles autour de la tige.

Derrière ce compliment un peu mielleux, John mentait à peine en regardant les chairs presqu'inaltérées de son amante. Dans le clair-obscur des bougies vacillantes il n'aurait eu aucun mal à la croire encore étudiante.

D'autant que la branlette espagnole était effectivement une de ces pratiques pouvant sembler jouissive à quiconque manquait d'expérience et qui se révélait souvent décevante en réalité : il s'agissait bien là d'une technique d'étudiante, se dit-il, voir même de Lycéenne pressée de reproduire les performances surjouées de quelques acteurs de boulards moyen.

Et pour que la mise en abyme soit parfaite, sa petite asiatique la mettait en œuvre avec sa paire de nénés désespérément trop chétive. Observer cette petite coquine aplatir ses deux mandarines sans avoir la moindre chance d'entourer correctement sa grande bite d'adulte avait de quoi projeter ce presque quarantenaire vingt ans en arrière.

--C'est mieux comme ça? chuchota-t-elle.

Sa petite orientale toute dévouée à son plaisir lui offrait son irrésistible sourire, comme la cerise au sommet du gâteau qu'était son corps nu.

Sans attendre la réponse elle se redressa, faisant disparaitre la poutre dans sa poitrine. Puis, redescendant le buste, fit glisser le membre masculin contre ses chairs grasses et délicates.

Toute aussi touchante et candide que la frêle coréenne paraissait entre ses jambes d'homme, il devait admettre que la sensation chaude de ses seins de velours se déformant au passage de son rigide bâton ne le laissait pas indifférent.

Il glissait parmi ses mamelles qu'elle écrasait ensemble, et entre ses doigts de fée pointaient ses tétons roses et durs.

D'un sommet de ses oscillations son gland ressortait jusqu'à caresser son fin cou de moineau, et lorsqu'il disparaissait dans sa poitrine John sentait ses lourdes couilles rouler le long du ventre chaud de la femme.

C'était amusant et original, naïf et innocent. Tout aussi impossible qu'il lui était de jouir tant le mouvement de sa belle était mal commode, il fallait apprécier l'attention à sa juste valeur. D'autant que sentir la douceur délicate de ses petits seins frotter contre sa grande tige l'avait suffisamment échaudé pour faire naître en son extrémité une belle et brillante goutte de precum.

Il l'arrêta.

Elle le fixa sans questionnement, libéra le sexe dont la sève lui avait souillé la gorge et s'accroupi entre ses jambes d'homme.

John lui caressa les cheveux, passant les doigts entre les mèches noires de la Coréenne.

--Suce moi, lui dit-il.

Elle le regarda un instant, sans aucune protestation. Son visage plat et raffiné à l'expression distante empruntait à présent la beauté froide de la lune.

Sans un seul mot elle avança la tête, ouvrit ses deux lèvres pâles et plongea les joues entre ses cuisses. La pointe de sa langue s'arrêta au sommet de son gland, lécha la noisette de precum clair et visqueux.

Elle la ramena dans sa bouche, goûtant ce nectar que ses charmes avaient fait naître.

--T'aimes ça?

John parlait tout bas. Il tenait ses doigts toujours enlacés dans les cheveux noirs de Jung-Hyun.

Elle releva les sourcils, sourit en faisant mine de déguster un alcool inconnu.

--Un peu salé, fit-elle simplement.

Puis sans plus de tergiversation elle l'enfourna entre ses deux joues rondes, avançant d'avant en arrière, noyant sa bite dans un soudain déluge de chaleur moite.

John gémit langoureusement. Cette bouche était exactement ce que sa queue réclamait.

La petite langue s'enroulait autour de lui, glissant à nouveau dans les sensibles recoins de ses chairs tendres. Les lèvres asiatiques montaient et descendaient contre la tige, ne ménageant plus aucun bruit de succion. Et dire que de tels talents auraient pu se perdre, se figura-t-il.

Elle poursuivait, luttant contre la fatigue pour le servir. Ses élans étaient tantôt rapides et concentrés sur son gland, tantôt lents et si profonds que le nez de la petite Coréenne venait chatouiller son pubis.

Elle énervait tous les sens de John et sa queue exultait. Dans la fournaise mouillée de cette bouche délicieuse, nul doute qu'il devait à présent l'inonder de la saveur iodée de son precum.

Après une rapide succession d'allers et venues de cette bouche qui incendiait son gland de plaisir, elle avala à nouveau toute sa longueur en elle, enterrant cette fois-ci son large membre le plus profondément qu'elle pu, et se maintint immobile dans cette position, laissant les muscles du fond de sa gorge masser le gland énorme qui s'introduisait en elle.

Alors qu'elle l'ingérait, des « gah » et des « glop » étouffés s'échappaient de son nez. John la sentit enserrant sa queue de tous ses muscles buccaux qui luttaient contre la volonté de leur maîtresse. Et sa bite tout à coup se tendit dans une convulsion irrépressible, qui sans doute provoqua le réflexe de la glotte de son amante.

--Hmmf!!

Elle le déglutit de toute sa longueur dans une série de toux obstrués par l'énorme sexe, luttant difficilement pour retenir le contenu de son estomac en elle.

Sa queue brillante de salive, droite comme un gourdin, pointait dans l'air froid tandis qu'elle reprenait son souffle. Elle s'essuya la bouche avec le revers de sa main, et le regarda comme si elle cherchait ses mots.

--C'était comment? fit-elle d'une voix un peu gênée.

Il lui cessait toujours les cheveux.

--C'était génial.

--Qu'est-ce que tu veux que je te fasse maintenant?

Elle semblait soudain reprendre confiance en elle.

Il pencha la tête de côté, observait sa petite Coréenne nue et à genoux. Il savait précisément ce qu'il voulait, mais fallait-il insister? Il considéra ses prochains mots quelques instants dans son esprit avant de les prononcer.

--Tu as commencé quelque chose... fit-il calmement sans finir sa phrase.

Elle se pinça les lèvres, réfléchissant visiblement au sens de ce que venait de lui dire John. Puis ses paupières s'écartèrent dans un saut presqu'indiscernable. Elle venait de comprendre. Elle délia la bouche, prit une inspiration John devinait qu'elle explorait les réponses possibles. Son visage se recomposa, puis elle poursuivi dans un chuchotement :

--D'accord.

*****

Elle regarda la bite, grosse et dure sous ses yeux, dévisageant l'instrument qui devait la maculer. Une appréhension notable grandissait au fond de ses pupilles noires.

Oui, elle avait déjà sucé une queue. Des queues, devrait-elle dire à présent : celle de John, qu'elle satisfaisait à grand efforts depuis tout à l'heure, et celle de Brayden qui avait un tour rapide entre ses joues il y a des années.

Oui, elle venait de goûter la saveur du precum de John, substance presque sans goût et sans texture.