Jung-Hyun & John 02 - Découverte

BÊTA PUBLIQUE

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Toute illuminée de la lumière rougeoyante de l'astre mourant, elle se sentait comme clouée sur un pilori, absolument impuissante en face de l'homme vêtu d'ombre qui l'attouchait sans aucune pitié.

Il atteignit la limite de ses sous-vêtements. Son sang battait contre ses tempes. Elle senti un doigt glisser contre sa culotte le long de ses grandes lèvres. Elle réfréna encore avec beaucoup de peine ses muscles qui tentaient de resserrer ses cuisses l'une contre l'autre.

Elle étouffa une complainte, grimaçant face à John qui lui palpait la fente en la regardant droit dans les yeux.

Il passa ses doigts dans l'abondante flaque qui inondait le fin tissu à l'embouchure de sa grotte, caressant cette humidité chaude. L'irrépressible impatience montait graduellement en elle.

Puis sa main entière s'étala contre sa vulve excitée, l'enserrant fermement.

A cet instant ses jambes tremblantes ne la soutenaient presque plus ; l'asiatique fluette se serait déjà laissé tomber au sol si l'autre main du Canadien ne lui immobilisait pas les bras en l'air, la fixant au mur avec une force d'acier.

La grande main lui malaxait la fente. Elle soupirait de plaisir devant lui, laissant les stimulations l'emplir et l'emporter.

Il poursuivi vigoureusement, déformant ses muqueuses à travers la culotte détrempée.

Elle gémit, son bassin se tortillait pour accompagner les caresses de l'homme.

Puis soudain il attrapa l'élastique de la culotte et la tira jusqu'aux genoux de la Coréenne.

Sa fente était nue sous sa jupe, ses fragiles lèvres lubrifiées se délectant de l'atmosphère de la pièce.

Elle le senti appliquer sa grande main contre son sexe en ébullition. Deux doigts plongèrent entre ses lèvres, coulant dans ses muqueuses surexcitées.

Elle étouffa timidement un gémissement. La sensation devenait soudain trop intense pour ses deux cuisses qui s'écrasèrent l'une contre l'autre autour de la main de John.

Il transgressait toutes les barrières de son intimité, sans aucune retenu. Cela la rendait folle. Elle voyait couver au fond des yeux de l'homme un insondable brasier de désir mâle.

Lentement, sentant ses doigts en elle et sa paume virilement compressée contre son sensible clitoris, elle fit tous les efforts du monde pour rouvrir ses deux jambes.

Il resta immobile, attendant qu'elle s'ouvre à nouveau, qu'elle s'offre entièrement à lui., qu'elle l'invite à malmener ses parties les plus intimes et les plus sensibles.

Elle ouvrit les cuisses plus grand encore, sentant sa vulve plus vulnérable et plus exposée que jamais. Lorsqu'il jugea l'effort suffisant, il reprit son massage par petits cercles qui devinrent de plus en plus larges.

Il la masturbait d'une poigne infatigable. La source au creux de ses cuisses devenait peu à peu ruisseau coulant entre les larges doigts. L'orgasme montait.

Du larynx serré de la petite asiatique ne sortaient que de minuscules plaintes qu'elle tentait encore d'étouffer.

—T'aimes ça? lança-t-il dans un souffle.

Elle acquiesça de la tête. Ses soubresauts étranglés sortaient involontairement de sa bouche au rythme des clapotis humide que la main produisant. Il la malaxait virilement et de plus en plus intensément.

—Réponds-moi.

Seuls restaient dans son esprit la sensation des grosses mains d'homme qui la soumettaient, sa fente brulante et la voix grave, dominante de John.

—Réponds-moi, fit-il sévèrement.

Les cordes vocales de la petite asiatique se dénouèrent tout à coup, sa voie se déploya enfin dans la pièce silencieuse :

—Oui... Continu!

A partir de cet instant ses complaintes étouffées se changèrent en un chant incontrôlable.

Elle senti la poigne lui labourer l'entre-jambe plus durement encore alors qu'elle lâchait prise. Son visage s'approcha d'elle, son souffle brutal s'écrasant contre l'oreille de la Coréenne.

—Dis-moi que t'aime ça. Dis-moi que t'aimes te faire écraser ta petite chatte.

La terrible muselière que formait sa grande main chaude lui labourait la fente. Elle était entièrement domptée, entièrement à lui.

—Je vais... Bientôt... John!

Ces mots erratiques sortaient entre ses gémissements désordonnés. Elle se sentait rompre contre l'invincible main dégoulinante de ses jus.

—Dis-le!

Cet aboiement la projeta tout au bord du déchirement.

—Oui! Ecrases-moi... Ecrases-mois la chatte!

Ces obscénités sortaient d'elles-mêmes de sa bouche. Tout son corps se raidi.

—Tu vas me faire... Jooohn!

Le plaisir la dépassait. Son sexe se contractait, effréné. Ses jambes se liquéfiaient.

L'orgasme se déversa soudainement en elle, comme un coup de feu brutal.

Les deux grosses mains masculines la clouaient au mur, ses pieds se soulevèrent du sol.

Elle jouit librement, bruyamment contre le creux de la main chaude et puissante. Son bassin se tordait. Ses hanches chevauchaient la poigne qui la faisait jouir sous sa jupe.

Ses convulsions secouaient les murs, faisant tomber à terre les objets alentours. Sa vulve se vidait de jouissance et de cyprine contre la paume de John.

L'orgasme dura une bonne quinzaine de secondes de plaisir animal.

Enfin ses gémissements s'espacèrent, ses jambes se décontractèrent et se pieds retombèrent au sol. Elle soufflait comme une bête fourbue.

L'emprise de John se relâchait. Abattue, elle glissa lentement le long du mur, les joues rosées, la respiration saccadée, jusqu'à ce que ses fesses tombent à terre. Un de ses deux bras que John ne retenait plus tomba négligemment au sol. L'autre reposait contre le mur au-dessus de sa tête. Cette position lui donnait l'air d'une poupée violentée puis jetée négligemment au coin du mur. A ses poignets, l'emprise de John avait laissé ses traces rouges qui seraient visibles encore quelques heures.

La culotte rose mouillée, tombée à ses chevilles complétait le tableau de défaite complète que Jung-Hyun offrait à son amant.

Ils soufflèrent ensemble, assis à terre l'un face à l'autre pendant de longues minutes. Les deux doigts de l'homme restaient immobiles entre ses lèvres tuméfiées par l'orgasme, la paume coincée entre les deux cuisses de l'asiatique qui s'étaient enfin refermées autour de lui.

Puis elle senti glisser ses doigts en dehors de sa vulve. La sensation un peu sèche et désagréable la fit grimacer. Sa jupe détrempée recouvrait toujours son sexe dont les pulsations se faisaient les répliques de l'infernal séisme.

***

John était assis au sol devant elle. Il portait toujours son pantalon de ville et sa chemise blanche. Reprenant son souffle, elle lança un rapide coup d'œil à son entre-jambe.

—Est-ce que tu ne veux pas... que je t'aide avec ça?

Elle désigna des yeux l'érection clairement visible sous la braguette du mâle. Il lui adressa un regard intéressé.

—Je suis curieux de savoir comment tu proposes de t'y prendre, dit-il.

Elle prit un ton presque offensé :

—Tu dis ça comme si j'avais jamais vu un homme de ma vie, vous n'êtes pourtant pas compliqués, les garçons. Vous fonctionnez tous de la même manière.

—Eh bien, tant mieux. Tu vas pouvoir mettre tes talents à profit.

Un sourire de défiance illumina le visage de la Coréenne.

—C'est ça, alors déshabilles-toi.

John se leva et déboutonna sa chemise.

—Plus lentement, ordonna-t-elle, fais-moi profiter du spectacle.

C'était son tour d'être autoritaire. Il s'exécuta silencieusement. Il se retrouva debout, en boxer face à l'asiatique qui l'observait, bras croisés assise par terre contre le mur de la chambre. Elle portait toujours son chemisier à moitié déboutonné et avait remis sa jupe en place.

—Qui t'as dit de t'arrêter là? fit-elle avec un léger rire.

John retira le caleçon, libérant sa queue à demi molle qui surplombait ses lourdes couilles gonflées. Le buisson châtain clair de son pubis était fourni, quoique bien entretenu. Ce grand sexe a besoin d'un peu d'encouragement, se dit-elle. Jung-Hyun décroisa les bras et lui fit signe de s'avancer.

Lorsqu'il arriva devant elle, l'entre-jambe à hauteur de son menton, la femme saisi la base de la tige. L'odeur musquée de la pauvre bête restée enfermée pendant qu'elle jouissait à tout rompre inonda à ses narines.

Elle monta les yeux à ceux de son homme en se pinçant les lèvres. Au contact de ses doigts fin sur son large tube de chair, elle lut dans son visage la fébrilité qui naissait en lui.

D'une main elle engloba les testicules, la deuxième glissa le long de la tige, remontant jusqu'à sentir la tendre délicatesse du prépuce roulant autour du sensible gland.

Puis, le fixant toujours des yeux, elle pinça légèrement le sommet et décalotta lentement le sexe. Au fur et à mesure qu'elle le déshabillait, elle pouvait sentir les bourrasques de sang pulser et emplir la bite qui se durcissait entre ses doigts.

Elle tira le prépuce jusqu'au bout, mettant à nu toute la surface du champignon rose. Elle ressentit alors la satisfaction toute féminine de tenir entre ses mains à la fois le sceptre rigide et les joyaux fragiles de l'homme. Sans doute, se dit-elle, que manipuler un beau sexe animait les mêmes parties du cerveau que de porter un bijou précieux. Elle contempla la tige occidentale qui s'érigeait par battements jusqu'à ce que John se déploie entièrement devant elle.

—C'est bien, dit-elle, tu as gagné une récompense.

Elle lâcha l'organe génital pour défaire son chemiser, dévoilant ses deux seins en le guettant du regard. Puis, consciencieusement, plia le vêtement sur le lit.

Jung-Hyun resta quelques instants assise à genoux face à lui, ne portant plus que son ample jupe. Elle observait les yeux du mâle qui s'aventurait sur son buste nu, attirés par les tétons rose sombre. Elle resta d'abord immobile comme une offrande, le fixant du regard. Ses yeux en amande étaient sages et son sourire polisson.

Puis elle détacha ses cheveux, laissant sa crinière noire et ondulante tomber derrière ses épaules. Elle porta ses mains à ses seins, attrapa les mamelles grasses et douces et se caressa silencieusement devant son amant.

Il aimait manifestement la voire jouer avec son corps, se dit-elle, car sa queue déjà raide se cabrait d'elle-même vers le ciel par pulsations régulière.

Elle poursuivi jusqu'à ce qu'elle sente ses tétons se raidir sous ses doigts. Puis, estimant qu'il avait déjà bien attendu, elle reprit le sexe de John entre ses mains. L'expression de son visage s'illumina.

La Coréenne joua avec la délicate bourse, massant les lourdes olives de l'homme. De son autre main, elle encercla la tige depuis sa base, puis remonta vers le gland.

La peau était fine, le tube chaud, les veines charnues. Elle redescendit en tirant la membrane de cuir le long du phallus.

Elle répéta le mouvement de plus en plus vite tout en se délectant de l'expression que John laissait malgré lui paraître sur son visage. Une tempête naissait dernière ses yeux bleus, comme si le flot de sang qu'elle remuait par le mouvement de son poignet créait des remous jusque dans son esprit.

Elle garda le rythme. John respirait fort. Elle sentait cette grosse machine lutter entre ses petites mains.

Elle s'amusait. Mais une question à laquelle elle aurait probablement dû réfléchir plus tôt lui vint à l'esprit : où donc allait-il se débarrasser du fruit de son orgasme? Elle consulta dans son esprit un rapide historique de ses visionnages sur internet. A vrai dire, dans la plupart de ses recherches privées ce point ne semblait jamais être un réel problème ; ses clips préférés aboutissaient en majorité par des éjaculations internes dans d'extravagantes explosions de cris orgasmiques.

Ce n'était pas non plus la première fois qu'elle se retrouvait dans cette position. Avait-elle toutefois correctement évalué l'imminence de l'orgasme de John? Elle s'inquiétait ; la large érection de son homme était bien plus intimidante maintenant qu'elle se trouvait juste devant son visage.

Cependant son bras se fatiguait, car le membre était d'une grosseur considérable par rapport aux doigts chétifs de l'asiatique. Elle dû ralentir le rythme. John, qui respirait fort, prit la parole.

—Attends, pas trop vite.

Il fallait faire durer le plaisir, expliqua-t-il, savoir faire monter la pression graduellement. En effet, pensa-t-elle, il était nécessaire de faire des pauses ne serait-ce que pour éviter la fatigue du poignet.

Et puis, John lui montra comment caresser un sexe. Tout ne reposait pas uniquement sur les vas-et-viens, apprit Jung-Hyun, il y avait tout une gamme de caresses capables de rendre un homme fou tout en retardant son orgasme.

Bientôt la femme alternait avec une expertise toute nouvelle entre une masturbation énergique et des massages d'une sensualité irrésistible.

La clé résidait dans le timing, observa-t-elle. Dès que le cheminement de ses mains du haut en bas de sa tige l'approchait trop de l'orgasme, elle stoppait ses mouvements. Puis, les doigts trempés du precum dégoulinant de la pointe de sa queue, elle parcourait avec une formidable lenteur le tour de la sensible couronne du gland de son amant.

Lorsque ses nerfs à vif étaient à nouveau échaudés à leur maximum, elle reprenait la masturbation, laissant le cheminement de ses doigts serrés autour de la longueur du tube remplir les sens de son mâle d'un plaisir infernal.

Elle poursuivi cet exercice sept ou huit fois, s'émerveillant à chaque tour de l'effet produit. Il était à présent dur comme du marbre et son visage tendu exprimait la peine qu'il avait à se contenir. A nouveau elle le senti qui s'approchait de ses limites, et Jung-Hyun poursuivi plus longtemps encore. Jusqu'où saurait-elle l'emmener? se demanda-t-elle. Cette fois-ci c'est elle qui avait le contrôle et elle ne se priverai pas pour en abuser.

Quant à l'atteinte de l'orgasme, eh bien se dit-t-elle, elle aviserait le moment venu.

Elle s'arrêta brusquement. Il se gaina, gémit de frustration. Après quelques contrariantes secondes, elle massa le frein de ses petits pouces et le prépuce de ses deux index, glissant la pulpe de ses doigts autour du gland sensible et mouillé.

Lorsqu'elle senti que la pression était suffisamment retombée en lui, elle le saisi à nouveau à pleine tige le caressa de haut en bas, plus vite et plus régulièrement que jamais.

—Tu vas jouir?

La queue se raidissait contre sa paume. Elle poursuivi plus hardiment encore.

—T'as envie de jouir sur moi?

La respiration de l'homme se changeait en grognements. La frontière de l'orgasme était juste là, à portée de main.

—Tu veux pas me dire?

Elle gloussait effrontément. Aucun mot ne sortait de la bouche de John, que des onomatopées qui traduisaient l'extase qui l'emportait.

—Alors retiens-toi, fit-elle sèchement.

Elle lâcha le gros sexe au bord de l'orgasme. John gémit de contrariété, serrant fort tout ce qu'il pouvait pour retenir le volume de sperme qui s'apprêtait à jaillir hors de lui. Elle le regarda, immobile avec un sourire le plus innocent du monde.

—T'apprends vite, fit-il entre deux grognements.

La bite se tendait devant elle, se débattant en vain dans les airs. Elle patienta quelques cruelles secondes devant l'homme qu'elle plongeait dans une agonie sans fin.

Mais John fermait les yeux, elle trouvait ça très déplaisant. Est-ce qu'elle ne faisait pas l'effort de lui exposer ses seins?

—Si tu veux jouir, tu dois me regarder. Sinon je ne touche plus à ton machin.

Il baissa les yeux vers son visage aux courbes douces et angéliques, vers ses seins de déesse. Ses yeux fins et bridés s'ouvraient comme deux entailles sur son visage plat d'où émergeait son petit nez asiatique. Sa petite langue parcourait la commissure de ses lèvres et sur sa grande bouche se dessinait un sourire gourmand. Tout dans cette femme lui ravageait l'esprit.

Elle ramena les mains chaudes à sa verge en détresse. Puis elle le masturba à nouveau dans un mouvement ample et lent, savourant chaque pli de sa peau entre ses petits doigts.

Devant Jung-Hyun et son sourire salace et cruel, ses mouvement réguliers enserrant la tige de sa base à son sensible gland, les sens de John atteignaient leur dernières extrémités. L'orgasme était devenu inévitable, irrépressible. Il pria pour qu'elle ne s'arrêta pas une fois de plus.

Elle poursuivait. Il la fixait. Un rayon de joie traversa la figure de la coréenne alors qu'elle sentit sa bite durcir et s'apprêter à expulser sa rivière de semence.

Il se gaina tout à coup. Ses vaisseaux cédaient enfin à la puissance de l'orgasme.

La jouissance l'anéantit face à la figure de l'asiatique dans une explosion bruyante et grandiose.

Jung-Hyun braqua promptement l'érection vers sa gorge lorsque la rivière féconde de son homme jaillit enfin de son organe érigé qu'elle continuait de masser une dextérité sans égal.

Au creux de sa paume gauche elle pouvait sentir l'énergie se vider de ses deux énormes amandes. Sous les doigts de sa main droite qui allaient et venaient frénétiquement le long du membre rigide elle percevait le flot de sperme rugissant intérieurement en s'expulsant du tube de chair.

Le sexe de John se déchargeait sans retenue. Toutes les digues avaient sautées. Ses bourses se vidaient contre la belle peau douce de Jung-Hyun. Les yeux fins de la coréenne, son sourire innocent, ses seins blancs de lycéenne ; il la recouvrait toute entière de ses épais filets de sperme.

Passage après passage, elle sentait la grande queue expulser le fruit de ses couilles. A chaque mouvement tirant le tube de peau vers elle, une nouvelle giclée bouillante s'écrasait contre son cou et son buste.

Puis elle remonta le sexe vers sa figure d'ange, ferma les yeux et tendit la tête. La pluie chaude de semence s'abattait maintenant sur son visage qui l'accueillait avec un grand sourire chaste.

Les grosses gouttes blanches et collantes lui recouvraient les paupières, le nez, les pommettes. John continuait de gémir en l'enterrant sous ses couches de foutre.

En ayant enfin extrait la dernière goutte de fluide, elle relâcha la bite fourbue de son homme et resta là quelques secondes, le masque de gelée dégoulinant lentement sur ses traits asiatiques pointés en l'air.

Son corps était souillé, sa jupe tâchée, ses cheveux mêmes n'étaient pas épargnés.

Elle dû libérer ses paupières et sa bouche en les essuyant de ses mains avant de pouvoir les ouvrir à nouveau. John la regardait, haletant, le sexe encore gros dégoulinant d'un filet blanc. Quelle délicieuse dépravation, se dit-elle, cela en valait largement la peine.

Ils se relevèrent. Le soleil était mort entre les montagnes. Dans la pénombre du crépuscule qui éclairait vaguement la pièce, la lumière blafarde d'un réveil électronique perçait.

Elle expira avec une douceur mélancolique. John voyait la même chose qu'elle, Jung-Hyun devrait partir dans vingt minutes.

—Tu as le temps de prendre une douche, il y a une serviette propre sous le lavabo.

Elle rassembla ses cheveux maculés et se dirigea vers la salle de bain sans rien dire, mais il lui attrapa le bras au passage.

—Demain matin, tu peux passer ici avant d'aller au travail?

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 1 an

Excellent... quelle description, encore plus efficace qu'une vidéo ! Merci Cobalt_Blues

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