Jeux Pervers - 03 (En Famille)

BÊTA PUBLIQUE

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« Seulement comme ça? ... Ou un peu plus? »

« Euh ... beaucoup plus », répond Maxime d'une voix cassée par le désir.

Alors Laura se redresse et se sert de son poids pour s'empaler sur l'énorme membre de son fils. La dilatation lui arrache des petits cris. Lorsque le gland touche le fond de son vagin, il reste encore plus de cinq centimètres de cette grosse bite hors d'elle. C'est maintenant elle qui fait tout le travail, coulissant sur le membre, pressant à chaque fois plus fortement. Maxime la laisse faire, pensant qu'elle doit d'abord s'habituer à la taille de son sexe. Laura sait qu'elle n'arrivera à prendre en elle tout le sexe de son fils que si elle y va franchement.

Elle se laisse alors tomber d'un coup. En une fraction de seconde, elle sent que les couilles touchent sa chatte et a l'impression que le gros gland vient de lui retourner le col de l'utérus. Il lui échappe un hurlement de plaisir et de douleur mêlés, que Maxime tente de couvrir en plaquant sa main sur la bouche de sa mère. Sans déloger le sexe en elle, Laura se penche lentement pour venir embrasser son fils sur la bouche, dans un long baiser passionné, celui de deux amants.

Puis Laura reprend le mouvement. Sous elle, son fils projette son ventre vers le haut. Elle crie à chaque fois, sans se retenir, alors que Maxime lui dit :

« Maman, pas si fort ! Papa pourrait entendre », ce qui fait dire à Laura :

« Ce n'est pas grave. Ton père est un cocu, un vrai ! Je suis certaine qu'il se branle en ce moment en nous écoutant. »

« Tu crois ... vraiment? », s'inquiète encore Maxime.

Pour le convaincre, Laura lui dit :

« C'est ton père qui vient de m'offrir cette nuisette pour que je la mette pour nos petites séances de baisers du soir », puis elle ajoute :

« Quand j'irais le rejoindre, il se contentera d'un petit nettoyage. »

Ils reprennent alors leur coït avec plus de vigueur et sans retenir leurs cris de plaisir. Laura a l'impression que son fils en rajoute, alors elle fait de même, pour le grand plaisir de son mari qui est venu dans le couloir et a collé l'oreille à la porte de la chambre, tout en se branlant. Lorsque Maxime sent qu'il ne va plus pouvoir se retenir et demande à sa mère où il peut jouir, Laura lui répond :

« En moi, mon amour, en moi ! »

C'est ce que fait Maxime, obéissant à sa mère. Laura est complètement remplie d'un sperme abondant qui dégouline sur ses cuisses. Elle est alors surprise de voir son fils se relever, nu, et la reconduire jusqu'à sa chambre. Maxime, maintenant complètement libéré, dit à son père :

« Papa, je te ramène ta femme qui a besoin d'un bon nettoyage. »

« C'est vrai », rajoute Laura, « fais-le rapidement car je suis dans une période très risquée. »

Hervé se met à la tache devant son fils que la situation excite.

Le lendemain matin, Laura, qui prend sa température tous le jours pour suivre son cycle, voit un changement en regardant son thermomètre. C'est peut-être aujourd'hui son ovulation. Elle en a même une impression physique. Pour le confirmer, elle utilise le test que lui a prescrit son gynécologue et c'est positif. Le résultat n'est pas sûr à 100 % mais c'est une bonne indication, d'autant plus que trois informations concordent.

Le soir, au coucher, Laura se confie à son mari à ce sujet.

« Ne voudrait-il pas mieux passer au préservatif? », questionne Hervé.

« Pour toi, bien sûr, mon chéri », répond Laura, qui équipe tout de suite son mari.

Elle n'a rien dit de particulier à Maxime qu'ils accueillent ce soir dans leur chambre ou plutôt dans leur lit. Celui-ci s'étonne dès son arrivée :

« Pourquoi papa a-t-il une capote? »

« C'est toujours comme ça pour les maris cocus », lui répond sa mère.

Sans plus de questions, Maxime s'occupe de sa mère. Il l'embrasse, la caresse, lui dit des mots d'amour. Il veut que son père sache que c'est lui, Maxime, l'amoureux, l'amant de sa mère. Il fait l'amour à Laura, avec beaucoup de tendresse. Hervé se sent dépossédé d'un domaine qu'il pensait lui être réservé. Alors, pour ne pas être complètement exclu, il caresse doucement un sein de sa femme pour lui montrer qu'il est encore là, lui, son mari.

Puis Maxime réagit en se déchaînant sur sa mère, dans sa mère. Il ne fait plus l'amour, il baise, avec force, presque violence. Il doit montrer que c'est lui le chef, que c'est lui qui a cette femme, sa mère, pour lui seul. Il va même jusqu'à donner une forte claque sur le sein de sa mère. Était-ce pour montrer sa domination ou pour repousser la main de son père qui avait repris possession de ce sein? Laura ne réagit pas par un rejet, bien au contraire. Elle paraît si excitée que Maxime continue à claquer les deux seins, mais beaucoup moins fortement, pour donner du plaisir plutôt que de la douleur. Alors qu'en même temps, son gros sexe pistonne le vagin de Laura, leurs orgasmes arrivent ensemble, accompagnés de cris de jouissance. Sa mère, qui sait bien la particularité de cette journée, est heureuse que son fils, en mâle dominant, n'ait pas demandé s'il pouvait jouir en elle. Il l'a câlinée comme un amant pour finir par la prendre comme un soudard, se dit-elle. Le plaisir de Laura a été immense.

Lorsque Hervé, s'apprête à faire le nettoyage indispensable, sa femme l'arrête en disant :

« Pas ce soir. Tu as le droit de me prendre, mon cocu chéri ... en gardant ton préservatif évidemment. »

Hervé s'exécute et y prend beaucoup de plaisir. Il est heureux de cette exception, surtout après l'humiliation qu'il vient de subir. Laura ne sent pas grand-chose d'une si petite bite encapuchonnée, après l'énorme sexe qui vient de la défoncer. Ce qui l'excite, c'est de sentir que son mari, avec son préservatif, pousse plus loin en elle le sperme de son fils.

Jusqu'au départ de son fils pour les USA, trois semaines plus tard, ils se retrouvent dans la chambre conjugale pour des nuits de plaisir. Maxime baise sa mère sans la moindre précaution à côté de son père, qui n'est plus qu'un simple voyeur. Hervé n'a maintenant plus droit qu'à ça, sa femme ne souhaitant plus de nettoyage et encore moins de pénétration, même avec préservatif.

Peu de temps après le départ de Maxime, les règles de Laura n'arrivent pas. Ce retard se prolongeant, elle fait un test de grossesse positif. Le gynécologue confirme. Laura ne souhaite pas en parler à son mari et encore moins prévenir Maxime. Elle attendra jusqu'à ce que son état soit visible. Seuls sont au courant le gynécologue et son amie Marthe.

A partir de ce moment, Laura se contente de se faire du bien elle-même pour calmer des envies fortes et fréquentes. Son mari doit se contenter de quelques branlettes que Laura espace de plus en plus. Lorsqu'elle a une bonne raison de remercier son mari, elle lui accorde une petite fellation exceptionnelle.

Trois mois plus tard, Hervé, regardant sa femme se déshabiller, lui fait une remarque :

« Chérie, ne te vexe pas, mais on dirait que tu as pris un peu de ventre. »

« C'est normal », lui répond Laura, « puisque je suis enceinte. Tu feras un papa parfait, même si tu n'es pas le père biologique. Si c'est un garçon, j'espère qu'il tiendra plus de son père que de toi ... si tu vois ce que je veux dire. »

« C'est merveilleux, ma chérie, mais ne faudrait-il pas prévenir le pè..., euh ... Maxime? », réagit Hervé.

« Je préférerais attendre encore un peu », lui dit Laura.

Au neuvième mois de grossesse, Laura demande à son mari de prendre une photo d'elle, nue. Elle se tient de profil pour bien montrer son gros ventre et tourne la tête vers l'objectif, arborant un grand sourire.

« C'est pour Maxime », lui dit-elle.

De suite, elle tape ce message pour son fils :

Mon chéri,

J'espère que tu vas bien.

J'ai adoré nos moments ensemble et je regrette ton absence, mais j'ai gardé un très bon ... souvenir de toi.

N'oublie pas de regarder la pièce jointe.

Ta maman ... et plus ... qui t'aime.

Peu de temps après, elle reçoit cette réponse :

Mon adorable Maman,

Je suis très content pour toi ... et pour papa.

Ici, je me fais une nouvelle vie. J'ai rencontré une belle américaine. Comme elle est très religieuse, il n'est question ni de contraception ni de rapport sexuel avant le mariage. Pour l'instant, je dois me contenter de flirt un peu poussé, comme tu me l'as appris.

Je vous embrasse tous les deux ... et toi particulièrement.

Je t'aime.

Le père de ton enfant.

PS : n'oublie pas de regarder les pièces jointes.

La première est une photo de son fils enlacé à une belle blonde plantureuse. Dans la seconde, Laura découvre une photo qui lui fait dire :

« Oh ! Le cochon ! »

On y voit, dans une corbeille napée d'un mouchoir aux couleurs des USA, une jolie petite culotte brodée dont l'entre-jambes est complètement recouvert de sperme.

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... Fin ...

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