Je N'en Reviendrai Pas

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Je suis mise à l'abattage dans un bordel au Sénégal.
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Histoire totalement fantasmée mais chaque fois que nous en parlons avec mon époux il me baise et je jouie très fort. En secret quand même j'aimerais que ce fantasme devienne réalité.

je suis Sonia, une belle brune de 44 ans, et comme on dit dans le milieu libertin, je suis une belle salope. Lui s'appelle Alexis, il a à peine 20 ans et est mon amant. Avec mon homme nous sommes libertins depuis 20 ans, trio, partouze, Gang bang et autres plans sexe Tabous sont nos pratiques sexuelles. Mais jamais, mais vraiment jamais je n'avais trompé mon mec car il était toujours avec moi lors de nos frasques sexuelles. il m'a vu en gang bang avec 35 mecs et prise en double voir en triple pénétrations mais il n'est pas cocu car il était toujours là à me baiser avec la meute.

Et pourtant j'ai craqué pour Alexis, il est d'une beauté incroyable, une chevelure courte et légèrement bouclée, des yeux bleus et candides, des dents magnifiques et surtout un sourire qui me fait fondre. La première fois que je l'ai vu il discutait avec l'un de nos fils, ma chatte a mouillée instantanément et je me suis liquefiée en devenant toute rouge. Moi la grosse pute, comme s'amuse à me dire mon mec, la grosse chienne qui se prend des queues a la chaîne et qui écarte les cuisses sur un claquement de doigts de mon chéri, j'étais trempée juste à regarder sourire un jeune homme de 20 ans.

Lui aussi était troublé, il me le confia plus tard, il avait déjà une belle expérience, mais il avait surtout baisé des filles de son age, et j'étais sa première MILF.

je n'oublierai jamais la première fois où j'ai senti la pression de sa queue sur mon œillet pour le forcer et m'enculer. La force de ses jets de sperme au fond de ma chatte. Son râle en jouissant de mon corps de putain. Sa reprise de vigueur seulement quelques minutes apres avoir joui pour de nouveau me conduire vers l'orgasme.

Mais alors que s'est il passé? Et bien mon mari, mon dominant, mon maître, celui qui a fait de moi cette chienne reconnue dans le milieu libertin de notre ville et même de la région, celui que j'aime et qui me possede corps et âme, a découvert qu'il était cocu lors d'une partouze quand une de nos amis m'a demandé sans la moindre discrétion les coordonnées de mon amant. j'ai cru mourir. Mon mari n'a pas eu la moindre réaction mais je savais qu'il avait compris, que ça allait se compliquer. Cette soirée là je n'ai pas réussi à prendre le moindre plaisir alors que pourtant les mecs de la partouze défilaient dans mes trous.

Pas un mot dans la voiture en rentrant, pas plus en allant au lit vers les 4h du matin mais je savais que ça allait mal car il ne m'a pas baisé comme il le fait après chaque plan comme pour reprendre la possession de mon corps, comme pour dire que je suis a lui, que je suis sa pute mais aussi pour profiter encore une fois de mes trous gorgés de sperme car il adore me limer pleine.

La confrontation arrivera au petit déjeuner, la question est tombée comme un couperet, " c'est qui?" je pris le temps de lui expliquer qui était Alexis, qu'il me baisait depuis trois mois. Qu'il ne représentait rien pour moi, il restait impassible, sans la moindre réaction, cela m'effrayait d'autant plus.

Qu'elles sont tes intentions me demanda t'il? Mais rien mon cheri, je veux que rien ne change.

Je ne peux pas accepter cela, tu m'as trahi, je pars travailler et ce soir quand je rentre tu n'es plus là. Prends tes affaires, tout ce que tu veux je m'en moque, tu te casses.

j'ai cru m'évanouir. L'homme de ma vie me chassait. Pour aller ou, pour faire quoi, ma vie était ici avec lui.

Non cheri je t'en supplie, ne me chasse pas, je t'aime je ferai n'importe quoi pour effacer mon erreur, je t'en supplie.

N'importe quoi?

Oui tout ce que tu veux!

Sans limite?

Tout ce que tu veux, pourvu que tu me gardes.

Va faire un sac de voyage, prends le minimum, la ou tu vas tu n'auras pas besoin de grand chose.

Mais je vais ou?

Ferme la et obéi, dégage, j'ai des coups de fil à passer.

Moins d'une heure après nous étions en route pour l'aéroport, direction M'bourg au Sénégal.

Voilà ton billet, arrivée à Dakar, un dénommé Bana viendra te chercher, je te conseille de ne pas le contrarier car je le saurai aussitôt.

Mais c'est qui ce Bana et je vais faire quoi avec lui et y a quoi au Sénégal?

Tu vois je t'offre des vacances, une semaine complète, Bana est un ami de toujours, il gère mon business pour tout l'ouest africain, il a une délégation de propriété sur toi pour une semaine.

Une délégation???? ça veut dire quoi ces conneries?

Écoute moi bien petite pute car je ne répéterai pas, tu as accepté tout sans limite pour que je te garde donc tu prends cet avion et quand tu vois Bana tu lui fais un grand sourire et tu obéi sans rien dire sinon nous deux c'est fini et tu te démerdes pour rentrer par tes propres moyens.

Tu es à lui corps et âme. Clair?

Oui j'ai compris.

Moins de quatre heures plus tard j'arriverai sur le sol du Sénégal et en effet un plutôt beau mec la trentaine m'attendait.

C'est toi Sonia?

oui

Ok on est parti

Je me suis dit tres bêtement qu'une semaine au Sénégal à me faire baiser par ce tres beau black, y avait pire comme punition. Je sais je suis stupide parfois.

1h30 de route direction nord de Dakar, on arrive à M'bourg, principal port marchand d'Afrique, pas un mot dans la voiture, je n'ose pas poser des questions et du coup je n'ai pas de réponse.

Il fait super chaud, on est fin juin, plus de 35° déjà en cette fin d'après midi. Je transpire de chaud et d'angoisse car je ne comprends pas ou je vais.

On entre dans la zone industrielle du port, des hangars partout, on roule encore un bon quart d'heure longeant parfois les quais et parfois en s'enfonçant dans la zone.

On arrive enfin.

Descend la pute, on est arrivé.

Arrivé OK mais ou?! je ne comprends rien.

Dessapes toi, à poils et donnes moi tes papiers et ton passeport, tu n'en auras pas besoin ici.

Comment ça à poils, on est au milieu de nulle part???

Écoute ma belle, tu es a moi pour la semaine, soit tu obéis en fermant ta gueule soit tu finis au fonds d'un puit, tu sors de la caisse, tu mets tout dans le coffre et j'arrive.

J'étais terrifiée mais je n'avais pas le choix, je suis sortie en regardant de partout mais il n'y avait personne, ou plutôt je ne voyais personne.

Je me suis déshabiller en mettant tout dans mon sac de voyage comme je pouvais. Bana est sorti de la voiture et a maté la marchandise, putain t'es bonne, je vais me faire un max de frics.

Comment ça du frics, on est ou la?

Le hangar derrière toi est le plus gros bordel du continent, y a des filles de l'est, des africaines, des asiates et plus rare des putes françaises comme toi. On est pas dans un bordel de luxe, c'est de l'abattage, le port de M'bourg c'est plus de 200 bateaux marchands par jour donc y a pas le temps de discuter, de 19h à midi le lendemain tu seras sur une table les cuisses ouvertes et les mecs vont défiler.

Je venais de prendre un énorme uppercut, j'étais sonnée, j'étais à poils a l'arrière d'un bâtiment et un mec m'expliquait que j'allais y passer une semaine complète en plan abattage de pute française. j'avais du mal a respirer, j'allais me réveiller.

Mais non c'était bien la réalité. Une porte à l'arrière du bâtiment s'est ouverte est une jeune femme d'à peine 20 ans en est sorti, elle était nue aussi, s'est approchée de moi et enfin m'a demandé de la suivre. Que pouvais je faire d'autre? je l'ai suivi.

En entrant dans le bâtiment je fus conduite de suite vers des douches, en fait une grande pièce avec des pommes de douche au plafond, dans un anglais approximatif la jeune femme me demanda de me laver en utilisant des morceaux de savon jetés à même le sol, mais en me montrant un tuyau elle me fit comprendre par des mimes sans équivoques que je devais aussi me nettoyer les trous, elle insista en me montrant son anus. J'avais bien compris pas besoin de me faire un dessin.

Je fus gênée qu'elle reste la, le lavement rejetant quand même pas mal de saletés, elle regardait ça sans plus d'émotion sur son visage.

Une fois propre je passais dans une autre pièce et la je fus pétrifiée, une dizaine de mecs tous black jouaient aux cartes. En me voyant entrer ils se sont tous levés d'un bloc, haaa voilà la pute française, putain t'es super bonne, écarte ta chatte qu'on voit bien ton trou, hoooo putain on dirait que c'est tout neuf.

Je me disais que ça allait commencer mais non eux c'étaient juste les gardiens des lieux, ceux qui font en sorte que les mecs payent et consomment pour ce qu'ils ont payé, pas plus ni moins. Et je fus donc déplacée dans un box, putain plus glauque ça n'existe pas, des boxes de 3 ou 4 m2 à peine avec une table d'abattage et des sangles à chaque coin.

La jeune femme qui ne m'avait jamais lâchée depuis l'extérieur me demanda de m'installer, sur le dos en écartant les cuisses, elle me fit comprendre, toujours avec son anglais maladroit que soit je me tenais tranquille doit je serai attachée. Je lui expliquais que je me tiendrai de la façon la plus docile possible pour ne pas avoir d'ennui.

Elle ressortie et me laissa seule, il y avait des mouvements dans l'allée principale, des tas de jeunes femmes toutes nues elles aussi, sorties de nulle part, allaient s'installer dans les boxes à côté, certaines jetaient un oeil pour voir la nouvelle mais avec des regards vides, sans expression.

L'un des gardiens vint dans le boxe, il matta ma chatte, écarta les lèvres sur le trou, introduisit un doigt dans ma chatte et avec un très bon français me dit que j'étais mouillée, il me tendit une fiole et me dit sniffes ça dinon tu ne tiendras pas, je refusais, t'as tort mais tu fais comme tu veux.

C'est ta première nuit, on arrêtera les compteurs a 70 passes, les mecs arrivent, selon se qu'ils ont réglés ils te baisent la bouche, la chatte ou le cul avec ou dans capote la aussi selon ce qu'ils ont payés. Excites les si tu veux qu'ils viennent vite, mais la aussi c'est toi qui voit, si tu fais chier on t'attache et on te baillonne.

Je n'entendais plus rien en fait j'étais dans un cauchemard.

Le premier client arriva, un gros mais avec une belle bite, il devait etre russe ou autre pays de l'est je ne comprenais rien a ce qu'il disait, il m'a enculée sans capote, en moins de cinq minutes à me limer comme un bourrin il se vidait dans mon anus. Il se retira et essuya sa queue sur ma chatte, à peine sorti qu'un autre client entra. Il vit mon trou encore ouvert et décida de m'enculer aussi en me baisant dans le foutre du mec d'avant. Lui aussi éjacula tres vite.

Je pense que les quinze premiers m'ont tous enculée, mon cul restait béant et degueulait de foutre, les suivants ont préféré me baiser la chatte, mais très vite je débordait aussi par la et donc l'un des gardien arriva avec un tuyaux et me l'introduit direct dans le cul pour y envoyer de l'eau, l'eau était froide et ça faisait un mal de chien, il me nettoya la chatte de la même façon. Tu n'es qu'à la moitié de ta production, tu veux sniffer ou toujours pas?

Je lui dis oui et là j'ai tout oublié, je planais, les mecs entraient, sortaient, me baisaient, je n'étais plus là. Au bout d'une paire d'heures de plus j'avais fait mon quota et un gardien vint me faire sortir du boxe, il m'aida à marcher car mes jambes ne me portaient plus. Il me conduit dans une autre salle, je pensais que mon calvaire au moins pour cette nuit était fini mais non, j'étais au service maintenant des gardiens et tout a leur activité avec les clients suivants qui baisaient les autres putes ils m'ont tous baisé à tour de rôle. J'étais une poupée. Ils me prenaient dans tous les sens en me remplissant de leur sperme. Je ne réagissais plus.

Je me réveillais le lendemain sur une paillasse à même le sol avec une cinquantaine d'autres filles, toutes nues et d'âges divers. Certaines discutaient, d'autres dormaient encore, nous n'étions que de la viande. J'étais affamée, machinalement je regardais ma chatte, mes levres étaient rouges d'irritation mais propres, je n'avais aucun souvenir de m'être lavée, je tendis mes doigts vers mon petit, il était béant, merde, mon cul ne s'était pas refermé, j'allais etre incontinente. J'étais en mode panique mais les filles à côté de moi en rirent en me voyant et me dire que ça se refermait toujours.

Une autre équipe de gardiens nous apporta de quoi manger. Celui qui semblait etre le chef nous dit que nous avions quartier libre sur place pour trois heures et que les prochains clients allaient arriver.

Toi la française, la nouvelle, vient avec nous!

Mon dieu mais ils allaient faire quoi de plus, j'étais devenue une pute d'abattage, y avait quoi de pire?

Ben si y avait pire.

Tu vas nous suivre, on t'emmène sur le Betkine.

c'est quoi le Betkine? je peux m'habiller? j'y vais pourquoi?

Y avait tempête sous un crâne, j'étais une fois de plus en mode panique.

Bon le Betkine c'est un navire marchand, Russe, mauvaise nouvelle il est en quarantaine car sa soute est remplie de migrants, avant que la situation parte en live complet il faut une pute pour qu'ils se vident et que la pression baisse, sinon ils vont s'entretuer. On t'y emmène car tu es encore assez fraîche, tu y resteras deux jours, peut etre plus on verra. Apres on te rendra a ton mec car tu ne serviras plus a rien ici.

Comment ça deux jours? Pourquoi je ne servirai plus à rien, mais ils sont combien en soute?

J'étais terrorisée.

Et non tu restes a poils, tu es tres bien comme ça.

Je me suis mise a pleurer, ça allait trop loin, ils allaient me tuer dans ce bateau et je ne reviendrai jamais. Je ne reverrai plus mon homme et je pensais qu'il n'avait pas voulu ça non plus.

Je suis monté à l'arrière d'une camionnette et en 5 minutes j'étais sur la passerelle d'un immense bateau. Mes jambes tremblaient et me portaient à peine.

Je suis passée dans des coursives, j'ai descendu des escaliers, escortée par le gars du bordel et un mec du bateau que je ne comprenais pas.

Arrivée devant une porte, comme une porte de coffre fort, le gars du bordel m'a prise a part et me dit. écoute c'est simple, ils sont peut etre 200 là-bas dedans peut être plus, j'en ai aucune idée et j'en ai rien à foutre. Tu entres et la seule façon d'en ressortir c'est de les laisser faire tout ce qu'ils veulent sinon tu seras violée et ça va mal tourner pour toi.

Tu auras de quoi boire mais rien à manger, je reviens te chercher dans deux jours.

Il se tourna et parti.

Je voulais mourir.

Le russe ouvrit la porte et la une odeur terrible me parvint, mélange de sueur, de saleté, de pisse, j'avais la nausée.

Il me poussa légèrement pour que je rentre dans la soute.

Je fis un pas puis deux, j'étais dedans, la porte se referma derrière moi.

Déjà une quinzaine de mecs d'une saleté repoussante m'attrapaient par le.bras pour me conduire sur le fond de l'espace, il y avait des dizaines et des dizaines de mecs assis à même le sol. Je suis arrivée vers une table qui leur servait à manger j'imagine car il y avait quelques assiettes elles aussi plus sales les une que les autres posées dessus.

Ils m'ont fait monter dessus, allonger sur le dos, ont écarté mes cuisses et à ma grande surprise, sans querelle ni violence entre eux comme si une hiérarchie existait de fait, ils ont commencé à me baiser, le cul, la chatte, la bouche, tout mes trous étaient utilisés. Avec un vieux chiffons ils me nettoyaient la chatte et le cul quand je débordais trop. Mais aucun ne rechignait à limer un trou plein du foutre de ceux qui étaient passés avant.

Ça a duré 48h, je perdais parfois connaissance, je m'endormais aussi, mais cela ne les arrêtait pas. Quand je revenais à moi, un mec me baisait sans se soucier de moi. Je n'existais plus, j'étais juste un trou.

Au bout de deux jours, un gars est venu me chercher, je ne pouvais pas marcher, avec deux autres gars ils m'ont porté comme un sac de patates, jusqu'à la camionnette et ils m'ont ramené au bordel.

Je ne réagissais pas, j'étais brisée. J'eu à peine le temps de voir, ou cru voir mon mec, il était là, il discutait avec les gardiens.

Je me suis endormi, mon calvaire était fini.

24h plus tard je me réveillais toujours sur la paillasse et toujours nue.

Mon mec arriva et en se penchant vers moi me demanda.

"Tu recommenceras à me tromper?"

Non, plus jamais.

Ok alors je te ramène à la maison.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Glauque et mal écrit, désolé.

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

C'est vraiment très mauvais comme style d'écriture.

Le scénario est aussi très peu original...

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