Je ne me reconnais plus

BÊTA PUBLIQUE

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Elle masturbe toujours son petit cul. Son majeur est, maintenant, tellement entré loin dans son corps que sa paume repose à plat sur ses fesses. Je devine dans le miroir qu'elle bouge son doigt dans son petit tunnel bouillant pour se procurer du plaisir. Elle ne cesse d'échapper des petits « oui » dans un souffle court et je devine les contractions de désir, de plaisir et de frustration mélangés de son vagin, volontairement délaissé. De sa main encore posée sur la table, elle prend la mienne et la serre. Elle parait, elle aussi, vivre les pires difficultés pour ne pas caresser son doux minou embrasé.

Elle me signifie, dans un regard que le plaisir fait chavirer, que je peux m'abandonner complètement à eux, sans retenue ni appréhension, dans une confiance absolue de leur parfaite considération de moi. Ils n'ont qu'une envie : le plaisir sexuel le plus intense, le plus dense, le plus riche pour nous trois...

Julien s'agenouille alors derrière moi. Il embrasse mes fesses et entreprend en même temps de descendre ma culotte minuscule le long de mes jambes. Le contact de ses doigts sur mes hanches et sur mes jambes me rend folle. Sa bouche sur mes fesses, puis sa langue souple et agile, m'encouragent à me cambrer. Se faisant, je me penche sur la table et le visage de Lucile n'est plus qu'à quelques centimètres de moi. Elle me parle tout bas, enrobant de miel sauvage chaque parole qu'elle me prodigue, comme autant de caresses intimes. Elle m'enflamme de mots crus et évocateurs, que sa voix élégante, sa prononciation raffinée, rendent plus étourdissants.

Puis elle s'approche encore de moi, penche son visage sur le coté, et lèche mes lèvres. Je sens le parfum de son rouge à lèvres et le souffle de son petit nez sur le mouillé de mes lèvres. Je tremble d'émotions nouvelles, comme une herbe fragile qu'un vent doux vient dévergonder de son frôlement. J'entrouvre ma bouche. Sa petite langue rose et fraîche s'enroule autours de la mienne, dans un baiser intense et langoureux, que je n'aurais jamais soupçonné désirer d'une femme...Je ne me reconnais plus...Mes mains se crispent sur la nappe, mes poings se serrent sur l'étoffe rouge et provoquent le tintement cristallin des verres qui vacillent. Elle suce alors ma langue comme une petite queue adolescente, inexpérimentée et timide. Elle l'aspire avec gourmandise entre ses joues moelleuses et entreprend d'en lécher la pointe avec la sienne, à l'intérieur de sa bouche. Elle suce ensuite mes lèvres passionnément, puis m'embrasse à pleine langue, mêlant nos gémissements dans nos bouches avides. Je découvre l'incomparable volupté d'un baiser de femme...

Pendant nos délices lesbiens, Julien entreprend d'empoigner mes fesses et les masse fermement. Il les écarte et lèche d'une langue souple ma rose de Sodome...ce petit puits de plaisir si souvent ignoré, si souvent refoulé par d'encombrants tabous frelatés. Moi!?... j'adore ça!...Je sens parfois sa langue descendre un peu plus bas, le long de ma vallée intime, jusqu'à l'orée de ma forêt automnale. Je pense alors ne pas pouvoir résister à la tentation d'étendre mon buste sur la table, de saisir sa tête, derrière moi, à pleines mains, et de diriger sa langue sur mon sexe enfiévré. Il s'en éloigne alors de nouveau, rendant le jeu à peine plus tolérable. De la pointe de sa langue, il s'immisce au cœur de ma rose, qui n'attendait que cette exploration dévergondée pour éclore.

Je regarde, dans le miroir, le cul magnifique de Lucile qui se détend à mesure qu'elle le sollicite. Elle retire son doigt un instant pour me faire profiter de la vue, furieusement excitante, de son si joli cul...accueillant et maintenant bien ouvert. Elle joint alors l'index à son majeur et les lèche ensemble, en les faisant luire de salive. Elle plonge, d'un côté, son regard de braises dans le mien...et, de l'autre, ses doigts longs entre ses fesses. Elle soupire d'abandon et sa fleur anale s'ouvre plus encore pour accueillir les deux visiteurs impudiques. A chaque fois que je vois, enserrant ses doigts, sa bague pourpre et froncée se relâcher, je sens la mienne, par un mimétisme exacerbé, s'ouvrir plus encore et avaler la langue humide et dextre de Julien. Il lèche et suce avidement mon petit trou polisson, qui suce à son tour sa langue curieuse. Après quelques minutes de cet exercice volcanique, il retire sa langue et je sens, l'espace d'un instant, dans mon petit tunnel intime, mouillé et grand ouvert, la fraîcheur érotisante de l'air, qui le visite opportunément.

Je me retourne, par-dessus mon épaule, pour regarder Julien porter vers sa bouche sensuelle sa main, un peu rugueuse, de travailleur. Il lèche son majeur, large et musculeux, tout en s'excitant de la vue de mon cul, offert tout à lui. Je gémis de plaisir intense lorsqu'il m'introduit son doigt au plus profond, lubrifié de sa salive. De son autre main, il masturbe sa queue et les muscles de ses bras roulent sous sa peau. Sa chaînette, autour de son cou, danse une transe, comme envoûtée. La vue de sa belle queue...prisonnière extatique de sa puissante main vaudou...me provoque une envie incommensurable de la sentir au fond de moi. Cette perspective détend plus encore mon entre fesses. Julien en profite pour m'introduire un second doigt. Après une légère douleur aux premiers instants, grâce à la patience sensible et attentive de mon amant, mon petit cul se détend totalement, prêt à accueillir ses envies les plus folles. Mon bas ventre est si bouillonnant qu'il m'en fait presque mal. Je rêve d'y introduire tous mes doigts, à l'assaut de mon vagin. Je meurs d'envie de me masturber fougueusement, à la façon que j'aime tant, pour essayer de dompter le feu qui gronde au fond de mon ventre.

Lucile, qui câline toujours son petit derrière avec ses deux longs doigts réunis, libère sa main qui me tient amoureusement. Elle ouvre le tiroir d'un meuble juste à côté d'elle, et en extrait un magnifique gode vibrant, souple, en gel translucide violet. Je rêve de cette délicieuse femme comme d'un bonbon que j'aurais attendu toute mon enfance, toute ma vie. Les perles fruitées de son collier...son parfum chocolaté... le velours suave de sa peau...et, à présent, le choix acidulé de son jouet lubrique!...Elle m'envoûte de plus en plus! Je suis dans la boulangerie...avec quelques pièces jaunes dans le creux de ma main...et, indécise devant le rayon multicolore, je ne rêve que de la boulangère!...

Elle entreprend de lubrifier son nouveau partenaire, chaudement glissé entre ses joues. Elle l'introduit de toute sa longueur, avec de petits bruits de sucions comme s'il s'agissait d'une sucette fruitée. Julien s'empresse de jouer le jeu du miroir : il est impatient de connaître les délices de ma bouche et la sensation nouvelle de ma langue experte sur sa hampe. Il s'approche de mon visage, à coté de moi, prend ma joue dans sa paume, sa queue dans l'autre et me demande simplement, la voix grave et les yeux brillants d'envie :

« Tu veux bien?..., s'il te plait... »

Quel amant viril et délicat à la fois!...d'une élégance rare et tellement érotisante!... Je me redresse un instant et me permet d'embrasser ses lèvres, en guise de réponse, puis me penche en prenant doucement entre mes doigts son membre dressé. L'excitation fait bondir, d'un spasme vivant et incontrôlé, sa queue dans ma main. Elle semble durcir encore lorsque j'ouvre grand ma bouche et englouti son bel outil le plus profond possible, jusque dans ma gorge, levant des yeux charmeurs vers les siens. Sans le quitter des yeux, je commence à faire aller et venir mes lèvres sur sa colonne de chair bouillante, contrôlant savamment les réflexes de mon corps, lorsque son gland plonge loin dans ma bouche. Je me saisis de ses couilles, dans une main, et je les masse doucement, tout en le suçant. De mon autre main, en passant mon bras sur mes reins cambrés, je me rentre, à mon tour, deux doigts dans le fourreau volcanique et dilaté de mes fesses. Je commence à me masturber l'anus, encore trempé de la salive de Julien, mais aussi, maintenant, du désir de sodomie que mon corps appel de tous ses sens...

Julien est fou d'excitation. Il se penche de coté, vers mon entre fesses et, pendant que je lui fait une pipe langoureuses et appliquée, regarde mes doigts aller et venir, dilatant ma petite porte de l'enfer dans un spectacle qui l'enivre totalement. Il caresse mes bas sur mes cuisses, monte masser mes fesses en les écartant d'un geste volontaire, juste assez ferme pour ne pas être brutal. Puis il redescend caresser ma jambe, qui s'offre à la portée de sa main, en passant ses doigts sous ma jarretière, dénudant ainsi la peau satinée de ma cuisse. Il alterne la vision de mon entre fesses offerte, rien que pour lui, avec le reflet, dans le miroir, de la croupe de Lucile, qu'elle doigte toujours avec autant d'ardeur. Celle-ci ne perd rien de la pipe savante que je prodigue à son homme. Elle suce son jouet de silicone comme s'il s'agissait de la queue de son mari. Ce dernier profite, alors, d'être près de sa femme pour se pencher, de l'autre coté, vers elle. Elle sort le gode violet qui occupe toute sa bouche, et l'embrasse avec passion. Je m'avance à mon tour, abandonnant pour un instant la queue de mon amant, pour me joindre à leur baiser, mêlant ma langue aux leurs.

Après notre long baiser fougueux et collectif, Lucile décide, impatiente, de s'introduire son gros gode vibrant dans le fondement. Elle le pose contre son bouton de rose, à peine refermé, et pousse l'entrée souple qui l'accueil généreusement. Lorsque la bague de son anus passe les premiers centimètres, que le gland de gel violet est entré dans la chaleur de son cul, elle pousse un gémissement bref, suivi d'un râle de plaisir. Nous la regardons tout deux, Julien et moi, dans le miroir, pousser le gode dans la fournaise profonde de son corps. Elle miaule de petits « ohhh » de jouissance et finit par le rentrer jusqu'à la garde, dans son étui anal. Je regarde la fascinante bague de chair sombre, entre ses fesses rondes et laiteuses, sucer avec langueur le gel transparent du gros gode. Je sens alors mon cul éclore radieusement, comme une fleur, invitant Julien à me posséder de toute la longueur de sa belle queue. Il pose ses mains sur mes hanches et appuie légèrement pour m'inviter à me cambrer. Lucile a repris ma main et la serre, en me suppliant dans un souffle :

« Racontes moi tes sensations, ma chérie, je t'en prie...»

Je m'appuie de nouveau sur la table et me penche vers Lucile. Nous nous embrassons sensuellement, pendant que je sens Julien poser son gland brûlant sur ma fleur épanouie. Me prenant avec détermination par les hanches, il commence à me pénétrer avec une facilité à laquelle je n'étais encore jamais parvenue lors d'une sodomie. Je gémis de plaisir dans la bouche de Lucile. Julien m'encule si profond que je sens les poils de son pubis caresser la raie de mes fesses à chaque pénétration. Je tente de reprendre mon souffle en interrompant mon baiser avec Lucile. Je lui cris presque mon excitation à me faire prendre de cette manière par son mari...devant elle...pour elle...je lui décrit, de mots crus qui brûlent mes lèvres, ma fleur de Sodome ouverte, avalant avidement la queue puissante de son homme. J'évoque fiévreusement son gland, gonflé d'excitation, qui ondoie follement aux plus intimes tréfonds de mon corps. Je lui parle de ses mains, fermement plaquées sur mes hanches, qui guident vigoureusement mon bassin en arrière, claquant mes fesses ouvertes sur son ventre ferme.

Lucile me sourit et ferme ses paupières pour savourer mes paroles. Elle me répond, la voix tremblante et essoufflée :

« J'ai envie de m'occuper un peu de toi, moi aussi, ...Tu veux?... »

Mon regard trouble lui répond sans ambiguïté. Elle retire son gode de ses entrailles, entre ses reins cambrées, le pose sur la table et tend ses bras vers moi. Elle prend mes seins dans ses mains et les malaxe doucement et passionnément. Une vague de plaisir me submerge et je noie mon cri de plaisir dans sa bouche, ma langue léchant avidement la sienne. Je cherche à tâtons les globes généreux de sa poitrine. J'en rêve depuis qu'elle s'est déshabillée tout à l'heure, mais je voulais respecter les règles de notre jeu de miroir. Ses tétons sont durs et tendus à l'extrême. Je les pince légèrement entre mes doigts et Lucile se met à gémir bruyamment dans ma bouche. Je respire son souffle... Un court instant, j'ai la sensation véritable, profonde et viscérale, d'être devenue elle! C'est alors, au bout de quelques minutes d'intense plaisir, que Lucile interrompt notre baiser et prend une merveilleuse initiative. Elle demande, en faveur, à son mari :

« Mon Amour, allonge toi sur le dos, s'il te plait. »

Julien se retire doucement de la fournaise de mes fesses et s'exécute. Il s'étend sur le tapis persan du salon. Lucile contourne alors la table et nous rejoint. Sa démarche élégante et racée, son corps nu, haussé sur les talons de ses bottines blanches, ses jambes déliées, gainées de ce rose tendre si féminin, me procurent de nouveaux émois. Elle prend ma main, me conduit auprès de Julien. De quelques gestes délicats, elle me guide pour que j'enjambe son mari, lui tournant le dos. Elle imprime alors une légère pression explicite sur mes hanches pour que je m'accroupisse, mes chaussures hautes à lanières de chaque coté des hanches masculines. Elle prend amoureusement le sexe dressé de Julien, écarte habilement mes fesses des doigts experts de son autre main...passant entre mes cuisses, frôlant ma chatte trempée...et réintroduit le membre viril dans l'étui chaud et mouillé de mon petit cul. Julien soulève lentement son bassin et me pénètre au plus profond de mon corps, puis commence un lent et intense va et vient étourdissant.

Lucile m'invite alors, toujours de quelques délicates pressions de ses mains sur mon corps tendu, à me cambrer en arrière, reposant mon dos sur le torse puissant de Julien.

Pendant que Julien tient mes fesses, à pleines mains, en me sodomisant par houles affolantes, Lucile nous enjambe, une bottine de chaque côté de nos visages, nous tournant le dos et offrant ses fesses délicieuses à notre vue. Elle se penche sur mes seins, jambes tendues, pour me les embrasser... Quelle souplesse!...Son charmant minou n'est qu'à quelques centimètres de mon visage et de ma bouche...Je m'enivre des senteurs étourdissantes de son sexe, mêlées à son parfum chocolaté. Je déglutis en pensant à la saveur de son intimité.

Elle me lèche la poitrine, me procurant un plaisir électrique indescriptible. Elle enveloppe mes seins du velours de ses mains et passe sa langue agile sur mes aréoles, puis sur mes tétons, durs à en hurler. Elle me presse ensuite tendrement, dans ses paumes tièdes, et finit par caresser ses propres seins contre les miens, s'accroupissant un peu sur moi, pour le bonheur de mes sens... Sa bouche s'aventure ensuite partout, lèche jusqu'à mon ventre, et hume amoureusement le duvet odorant et roux de mon minou, en posant ses mains sur le sol, à coté des hanches de son mari.

Durant tout ce temps, je me délecte de la vue de son entre jambe, au dessus de mon visage, et de ses seins magnifiques, qui dansent entre ses bras. Julien me sodomise très lentement à présent, me torturant avec délice. Je sens le souffle de Lucile sur ma chatte, mais sa langue ne se décide pas à explorer les recoins trempés de mes lèvres. Les perles d'or de mon désir ruissellent le long de mes cuisses, de manière discontinue à présent, et se perdent dans la raie de mes fesses et sur la queue de Julien.

Lucile me vole tout à coup la vue délicieuse de son entre cuisses. Elle nous contourne, se poste face à nous et nous regarde, amoureusement, son mari et moi. Ainsi cambrée sur le torse de Julien, mes cuisses grandes écartées m'offrent entièrement à sa vue. Elle est fascinée par la queue de son mari, qui entre et sort de mon petit cul. Elle s'approche à nouveau de nous et commence par tendre la main pour caresser voluptueusement les couilles familières de mon amant. Julien gémit et grogne de plaisir à cette sensation. Il se contrôle merveilleusement pour continuer à me sodomiser en retenant son plaisir, mais je sens son membre durcir encore sous les caresses de sa femme. Je commence à crier sans retenue, tant le plaisir me submerge.

Lucile se met alors à quatre pattes entre nos cuisses. Elle se penche sur mon minou, soulevé par les lents va et vient de Julien. Elle ouvre la bouche et sort sa petite langue sensuelle et mouillée de salive. Elle s'approche de mon clitoris...je brûle de sentir qu'enfin elle va s'occuper de ma chatte...Elle se penche plus encore avec une insoutenable lenteur sadique, un supplice calculé...ses yeux enamourés sont tournés vers les miens...jusqu'au moment ou, à chaque coup de queue dans mon petit cul, mon clito vient se faire lécher sur sa muqueuse fraîche et mouillée, sans qu'elle ne bouge. Ce ne sont plus des cris qui sortent de ma gorge, mais de longs feulements et des hurlements incontrôlables.

Julien entreprend de saisir à pleines mains mes seins durs comme du marbre et me les caresse en les pressant juste ce qu'il faut pour me donner plus de plaisir. Puis il les quitte à regret, pensant tout à coup qu'il peut faire mieux pour moi : il plaque ses mains larges sur mon dos, tend ses bras et me redresse. Il ralentit encore le rythme de son bassin et devient langoureux. Je me retrouve adossée confortablement sur ses paumes puissantes, et mes mains libres peuvent se saisir tendrement du visage de Lucile. Un garçon prévenant envers une femme est déjà rare...Mais un amant qui reste galant avec sa queue glissée entre vos fesses offertes!! : C'est une perle extraordinaire!!!!

Je passe une main derrière la nuque de mon amante, glissant mes doigts dans sa chevelure bouclée, et plaque ses lèvres sur celles de mon minou enflammé. De l'autre, je caresse sa joue, souple et douce, son cou fin, dans lequel coule la liqueur de mon plaisir. La langue de Lucile lape passionnément tous les recoins trempés de mes lèvres en feu et s'attarde sur mon clito, près à exploser de bonheur. Puis elle plonge sa langue souple et déterminée vers les mystères pulpeux de mon vagin, qui se contracte de violents spasmes à mesure que sa langue se fait aventureuse. Je suis une marionnette entièrement soumise aux désirs les plus fous de mes hôtes. Ils disposent de tout mon corps comme ils le souhaitent et je suis folle de ça. Ce sont des amants de rêve...

J'entends Julien me souffler :

« J'ai envie de te donner du plaisir maintenant, Eloïse, laisses moi faire... »

Quoi?!!...Comment?!!! ...Cela peut être pire?...meilleur?...je ne tiendrais jamais!!

Julien entre alors sa queue jusqu'au fond de mon corps. D'un coup de reins déterminé, il plaque son pubis sur mes fesses. La bouche de Lucille suce goulûment ma chatte trempée avec gourmandise. Nous sommes immobiles lorsque, tout à coup, d'une légère tension musculaire de son membre, Julien réussit à bouger dans mon fourreau bouillonnant, provoquant d'immenses sensations nouvelles dans tout mon bas ventre.

Puis il se retire lentement, en descendant ses fesses musclées sur le tapis, jusqu'à sortir entièrement son membre de mon anus. Il me maintien ainsi, soulevée par ses mains dans mon dos, un court instant qui me parait une éternité. Son gland appui de nouveau sur ma rose, entre de quelques centimètres...il bouge de nouveau le muscle de son sexe... m'empale plus loin...Recommence ses contractions affolantes... puis me possède à nouveau à fond, contractant violemment ses abdominaux pour se plaquer contre mon cul, caressant mon entre fesses des poils de son ventre. Je deviens complètement folle et perd définitivement pied avec la réalité...

Lucile, abandonnant à regret son baiser saphique sur ma chatte, s'allonge face à nous, entre les jambes de Julien, les cuisses grandes écartées. Elle lèche ses lèvres langoureusement, pour déguster la saveur de mon sexe. Tout en me faisant puissamment sodomiser, je la regarde s'introduire de nouveau son gros gode souple et vibrant, en contournant sa hanche pour se prendre par derrière. De son autre main, elle saisit une de ses fesses et l'écarte, tant pour faciliter l'introduction de son jouet que pour me donner plus de plaisir visuel. La vue de son cul dilaté, si près de moi, me provoque de nouvelles sensations dans ma propre sodomie. Sa chatte est grande ouverte, luisante de désir fou, et je meurs d'envie d'y enfouir mon visage et ma langue pour m'étourdir de son odeur et du jus de sa source intime. Je m'abandonne totalement...