Jade Chapitre 06

Chapitre 6

Deux jours plus tard je suis repassé chez Madame Brigitte pour avoir quelques renseignements...

Sophie avait repris son apparence de jeune fille sage, et était occupée à montrer des guêpières indécentes à une bourgeoise chic. Ce devait elle qu'attendait devant la boutique, la Mercedes avec chauffeur. Mais la lingerie était-elle destinée à son PDG de mari ou...au chauffeur?

Madame Brigitte, plus stricte que jamais en tailleur noir, m'accueillit avec un très léger sourire.

« Vous avez-été satisfait de la livraison? »

« Oui justement je venais régler les accessoires »

« Vous les prenez-tous? Sophie vous a fait la réclame...en live, votre amie était très...intéressée

paraît-il »

La cliente chic ne perdait pas une miette de notre conversation, pourtant anodine, au premier abord.

« Madame P. a coté de vous les apprécie beaucoup aussi »

Me glissa dans l'oreille Madame Brigitte. Je jetais un coup d'œil, Madame P ne tourna pas la tête assez vite pour cacher sa rougeur subite.

« Sophie m'a dit aussi que vous pourriez être intéressé par nos ventes privées? Justement dans huit jours le jeudi après-midi, nous organisons une petite présentation, avec quelques clientes de choix, si vous souhaitez vous joindre à nous avec votre charmante amie. Prévenez là que ce sera très strict, mais peut-être que Sophie amènera quelques jeunes... »

Le jeudi vers midi, Jade sonna chez moi à l'heure convenue. Elle était habillée modestement au premier abord, quoique les bas noirs et les escarpins paraissaient plus sophistiqués que le reste.

Le printemps tardait et le manteau long que je lui avais demandé de porter n'était pas incongru.

« Allez, débarrasse toi, il est temps de se préparer »

Jade m'obéit sagement et déposa son manteau, son pull rouge et sa jupe noire, elle me jeta un coup d'oeil, et sans que j'ai besoin de parler, elle fit descendre sa culotte. Restant devant moi au milieu du salon, vêtue seulement d'un balconnet minimum de ses bas et de ses escarpins. Les yeux baissés, elle attendait. Je rectifiais légèrement quelques brides de ses soulier et de son soutien gorge qui n'en avaient pas besoin, simplement pour la sentir frissonner au contact de mes doigts. Sans qu'elle s'y attende je glissais dans sa fente déjà humide un des petits jouets de Sophie, ce qui la fit sursauter.

« Tu mouilles déjà? Peut-être depuis que tu es sortie de chez toi? Tu t'imagines des choses? »

« Oui »

« Oui qui? »

« Oui Monsieur Aldo »

« Maintenant on va mettre tes bijoux »

Je lui passais son joli collier de cuir, puis ses bracelets aux poignets, et aux chevilles, mais je rangeais les liens et la laisse dans ma sacoche de cuir.

Je regardais avec satisfaction Jade, les yeux mi-clos, un peu tremblante, déjà offerte.

Je glissais entre ses lèvres un verre de whisky pur qui qui la fit frissonner.

« Pour te donner un peu de courage. Bon, on peut-y aller maintenant »

Je surpris une lueur d'effroi dans son regard.

« Mets quand même ton manteau, tu vas prendre froid »

Le taxi nous attendait en bas et nous sonnâmes à la porte de la boutique à l'heure exacte. Un petit panonceau annonçait une fermeture exceptionnelle cet après-midi là.

Sophie nous ouvrit la porte, Était-ce idée de Madame Brigitte, mais elle était habillée aussi strictement que sa patronne. Chemisier blanc boutonné, jupe étroite grise, bas gris et ses bottines lacées. Un chignon serré et un maquillage minimal complétait son allure.

Elle regarda Jade assez froidement, puis brusquement ouvrit son manteau et le laissa tomber à terre.

« C'est bien dit-elle » et la saisissant par le coup, elle l'embrassa violemment, puis comme si de rien n'était ...

« C'est en haut, on vous attend »

« Une seconde » m'exclamais-je et je lui présentais les derniers accessoires sortis de mon sac,

« C'est encore mieux » Elle eu un petit sourire et accrocha soigneusement les mousquetons chromés aux boucles des attaches. Les mains dans le dos, les chevilles entravées mais laissant libre de petits pas et la laisse à son cou. Puis la tirant fermement elle lui fit monter l'escalier en colimaçon, derrière le comptoir.

Fermant la marche, j'entendis tout d'abord quelques exclamations admiratives avant de découvrir les autres invités.

La pièce était assez grande, les fenêtres sur la rue masquées par des rideaux laissait passer un peu de jour. Un grand tapis moderne recouvrait le parquet en son centre et tout autour quelques fauteuils, deux sofas et de nombreux coussins accueillaient les participants.

Madame Brigitte trônait sur un fauteuil, toujours stricte, mais elle portait à la place de ses escarpins habituels, une paire de bottines noires et son chemisier n'était déjà plus aussi soigneuse ment boutonné. Sur le divan de droite, une jeune femme aux cheveux roux, la quarantaine, l'air effacée regardais ses pieds déchaussés. Elle ne portait que ses bas et de la lingerie blanche qui lui donnait un air de servante du 18eme. A ses cotés une femme plus âgée, assez masculine, les cheveux courts, en costume d'homme, cravate comprise, dévorait des yeux l'apparition de Jade, en se passant une langue entre les lèvres.

Sur le canapé d'en face, Madame P., la grande bourgeoise de l'autre fois, semblait surprise en plein essayage d'un de ces corsets qu'elle semblait apprécier. Une très jeune fille, agenouillée à ses pieds s'occupait d'accrocher les jarretelles de son aînée.

Et à ses cotés deux jeunes éphèbes d'à peine vingt ans s'occupait de ses souliers. Ils portaient tous deux des bas blancs et leurs jeunes sexes se dressaient vigoureusement.

Sophie, promena lentement Jade au milieu de la pièce, la faisant admirer.

Discrètement je m'assis dans un angle de la pièce, fasciné par le spectacle offert.

« Bien nous sommes au complet, nous ne vous avons pas attendu et nous avons commencé les essayages, Comment trouvez-vous les neveux de Madame D? ils sont adorables ainsi, non?

Mais ne perdons pas notre temps, d'ailleurs vous êtes en retard, n'est-ce pas Sophie? C'est sûrement la faute de cette jeune Jade, il va falloir lui apprendre l'exactitude, Voulez-vous vous en chargez, Monique? » demanda-t-elle en désignant la femme masculine.

Jade tourna la tête vers moi, comme dans l'attente d'un secours, mais face à mon immobilité, elle s'agenouilla, sous la poussée ferme de Sophie, face à Monique, dans l'attente résignée de sa punition.

« Mais Monsieur Aldo, pourquoi vous m'avez emmenée ici? Y'a plein de gens bizarres... je les connais même pas... ils me regardent tous. Moi je croyais qu'on allait voir que Sophie. Je croyais qu'on allait jouer avec elle comme l'autre fois... Là je me sens très ridicule ici avec tous les trucs que vous m'avez mis. L'autre fois c'était excitant... je me soumettais pour vous Monsieur Aldo. Et Sophie elle était jolie et directive comme vous. Je me laissais aller entre vous deux comme si vous jouez avec une poupée... j'étais obéissante non?

Là comme ça que je suis tenue en laisse et les pieds et les mains attachés dans le dos devant tous les gens, c'est trop honteux... s'il vous plaît, emmenez-moi... faut qu'on parte d'ici... je suis vraiment pas à l'aise... s'il vous plaît, me laissez pas ici.

C'est ça que je veux vous dire mais vous êtes trop loin. Moi je suis plantée comme ça et tous le monde me regarde... c'est pas très gentil quand même... je vous vois même pas. Si ça se trouve vous êtes parti sans moi déjà... et moi je me sens très stupide. Je connais que Sophie et là elle est pas sympa du tout avec moi comme si elle me connaît pas... elle me tire comme un petit toutou... En plus c'est pas à cause de moi si on était en retard. Je veux pas Monique... elle a l'air super méchante cette femme. Moi je veux partir Monsieur Aldo je vous en prie! «

« C'est tout le monde qu'elle a fait attendre cette petite dévergondée, regarde Séverine, elle est déjà trempée, demande lui pardon pour commencer »

Sophie tire Jade par la laisse puis sort un foulard et lui bande les yeux puis lui glisse un mot à l'oreille, Jade docile se baisse et embrasse les pieds de Severine gainés de nylon.

Schlack!

« Haaaaïe!!! mais quoi???!!! j'ai embrassé ses pieds comme vous avez dit... »

Elle ne s'y attendait pas mais Monique a saisi sa cravache pour lui cingler les fesses.

« Mieux que ça »

Et Sophie appuie un peu plus sur le cou de jade.

« oui... madame...

Mes pensées sont trouble. J'y voit rien... Je comprends plus rien... Il est où Monsieur Aldo... je veux qu'il me ramène... j'aime pas cette Monique... moi je veux que jouer avec Aldo et Sophie comme l'autre fois... »

Je regarde la scène et je me demande si ce n'est pas trop sévère pour ma douce soumise mais tandis que Séverine se caresse, Monique glisse un doigt inquisiteur entre les fesses de Jade.

« Hooo oouuhhhff... »

C'est qui ce doigt? Ho non c'est pas la Monique j'espère... »

« Elle mouille déjà! »

Et malgré mes réticences, je m'aperçois que je bande.

« N'oublie pas mes filleuls, ils ne vont pas rester le bite raide comme ça » rappelle Madame D. à Sophie « Mets la à quatre pattes qu'ils en profitent bien »

« Quand j'entends ça moi je pense ho non faut arrêter... la vieille dame veut faire venir les deux mecs avec des bas... mais c'est quoi ce plan ici...? Et vous êtes où monsieur Aldo? Je reste sage... j'ai toujours été sage de toutes façon pour être bien élevée. Mais là... j'ai pas tellement envie de continuer... mais il est où, je veux dire qu'on s'en va... »

Sophie modifie les liens et dispose Jade les yeux toujours bandés, à quatre pattes sur le tapis.

Madame D tire la queue de cheval de la jeune fille qui était occupée à la lécher. « Allez, occupe toi de tes cousins » Ceux-ci continuent à embrasser les jambes et les pieds de leur « marraine », leurs jeunes queues raides se frottant contre le nylon. La jeune fille en saisit un par la queue et sans ménagement l'amène face à Jade puis présente le gland contre ses lèvres.

« Beuark c'est quoi ce truc... on dirait c'est une bite ou je rêve...? C'est chaud mouillé et ça sent la bite...noooonn... je sais même pas c'est qui...? »

Jade a un recul mais Sophie lui tient la tête et de nouveau lui parle doucement à l'oreille?

« bon d'accord Sophie... mais c'est pour toi alors... »

Jade ouvre alors ses lèvres et laisse glisser la queue du jeune éphèbe.

« Je ne vois rien... je le prends et je ne pense à rien comme si c'est machinal... juste pour faire plaisir à Sophie. »

La jeune fille va alors chercher l'autre garçon, de la même manière, et presse sa queue bien dure entre les fesses de Jade.

« J'y crois pas... c'est l'autre! Naan mais quoi je veux pas... c'est quoi ce plan... »

Comme elle ne réagit pas, la jeune fille claque ses fesses

« Naan arrêêêêêttez!!! Mais nooooonnn...!!! »

jusqu'à ce qu'elle écarte les jambes autant que les liens lui permettent. Et l'adolescent s'enfonce en elle.

« Haaaaaïe... noooonn... aaaaïïïe... mais aaaaaïïïe Naan... je veux pas!!!c'est trop fort!!! s'il vous plaît... doucement...!»

c'est l'hallu ce jeune comme il est gros et trop dur...

J'ai honte et j'ai mal aussi... en plus j'ai pas trop l'habitude de la sodomie... et j'aime pas trop comme ça si je suis pas lavée... »

Pendant ce temps, tandis que je suis fasciné par la scène, sans même que je réalise exactement, Séverine a entrepris de me déshabiller, je suis vite nu tandis qu'elle me caresse distraitement en regardant avec moi Jade pénétrée des deux bouts qui s'est mise à onduler. J'aimerais savoir ce que Sophie lui murmure et qui semble la pousser à s'abandonner aux deux étalons.

« Ce que Sophie m'a dit...? : « Jade faut être gentille sinon Monsieur Aldo sera déçu... je te dis de faire ce qu'il me demande... si t'obéis tu seras une fille bien élevée et moi je t'aimerai comme ça ».

Alors je me laisse faire... je sais me laisser faire pour faire plaisir avec mon mari... ce sera pas pire.. »

Ceux-ci d'ailleurs s'agitent, et successivement, l'un jouit dans sa bouche, débordant sur son joli visage, l'autre sur ses fesses qu'il profane.

« Je n'ai pas trop de réaction... je me laiss aller... ils ont joué et joui en moi... c'est comme je me laissait faire au lycée avec mes p'tits copains... lui qui m'a fait la bouche ça allait c'était classique qu'il met aussi son sperme sur le visage... il m'a pas choquée... mais ok l'autre direct gros et dur comme ça... wouaah ça fait mal quand même... c'est lui il m'a un peu cassée quand même... »

Jade s'écroule dans les bras de Sophie quand les queues l'abandonnent, et se laisse cajoler par sa nouvelle amie.

Les trois mégères, que la scène a excité, commentent crûment les événements.

« Quelle bonne pouliche »

« Elle vous a déjà léchée ma chère? »

« Voilà qui lui servira de leçon! »

« Elle obéira mieux la prochaine fois »

Subitement, à la surprise générale, Jade relève la tête et s'écrit sur un ton de révolte:

« Mais c'est lui le responsable, il me force, c'est un vieux pervers! »

« Oui Monsieur Aldo, je vous ai appelé... je voulais pas tout ça moi... je voulais que vous et Sophie! ».

Après un bref silence, les trois maîtresses femmes saute sur l'occasion pour débuter une autre diablerie.

« Elle n'a pas tort cette petite »

« Nous avons fait une erreur »

« C'est lui qu'il faut punir »

Je pense un instant qu'elles plaisantent mais je vois Sophie défaire les attaches de cuir de Jade et les tendre aux garçons, qui me les passent rapidement.

Avant que je réalise ce qui m'arrive, me voilà attaché au fauteuil, nu, mais la queue toujours raide.

« Le vicieux, ça l'excite! » s'exclame Monique.

« Il aime peut-être mes neveux » persifle Madame D.

« Laissons à Jade le choix de la punition » dit avec une satisfaction affichée Madame Brigitte.

Jade, toujours dans les bras de Sophie, me regarde, subitement à sa merci, et tandis que celle-ci continue à lui chuchoter à l'oreille, un petit sourire apparaît sur son visage.

« Ha ouiiii... je veux me venger... alors voilà mon idée... il faut aussi lui bander les yeux et les mains attachées derrière... et toutes les filles vont venir pour se faire lécher... et faudra qu'il devine c'est laquelle ma chatte...! Et si il trouve pas on recommence un tour. Après si il trouve pas il sera puni! »

Et c'est à mon tour de sentir se mêler à mon désir, la peur. Une peur qui ne diminue en rien ma raideur.

V6.2

Puni? Qu'est-ce qu'elle a en tête? J'ai pas le temps de me poser la question que me voilà par terre, les yeux bandés avec un coussin sous la tête, coincé par les deux éphèbes, tandis que les femmes s'entretiennent à voix basse.

Comment vais-je les reconnaître? Il n'y a pas deux chattes pareilles! Reconnaître celle de Jade, délicieusement nue, douce et charnue comme une huître docile... oui pas de soucis je la reconnaîtrai à son parfum avant même qu'elle ne la pose sur mes lèvres. Sophie aussi, je pense, son adorable duvet de blonde, son petit clito tout dur...oui elle aussi, bien sûr mais après? La jeune « nièce » de Madame D., ça ne devrait pas être si difficile, vu son âge, mais les quatre autres?

Et d'ailleurs qui me caresse doucement maintenant? Et qui me suce? Je n'ai pas le temps d'y réfléchir, qu'une chatte me frotte le visage,doucement d'abord, du menton au ned, un parfum très doux de vanille, une toison soyeuse, elle s'appuie peu à peu, doucement, comme si elle craignait de me blesser, puis accélère son mouvement de bascule, se frotte contre l'arête de mon nez avant de coller son sexe contre mes lèvres, son mouvement s'accélère, elle jouit très vitre retenant un faible gémissement. Sûrement le jeune femme effacée au service de Monique. Discrète comme son plaisir.

Je le dis au jeune garçon qui me tient la tête, comme si j'avais l'intention d'échapper à ma « punition », lécher six chattes! Il me confirme que je ne me suis pas trompé. Je sens qu'il profite de sa position pour frotter sa queue dans mes cheveux! Je peux lui accorder ce plaisir.

La seconde est facile, je reconnais immédiatement le con tendre de Sophie, mais elle ne considère pas que je peux m'arrêter pour autant, tant qu'elle n'a pas joui, et n'ayant plus à masquer son identité me susurre des obscénités sur ce que Jade et elle vont me faire subir, de toute manière. Elle glisse jusque ma langue lèche son petit trou puis revient pour que je suce son clito comme une petite queue. Heureusement qu'elle jouit assez vite, je ne suis pas sûr que j'aurais encore tenu longtemps.

Changement complet avec la troisième! La violence avec laquelle elle plaque sa chatte broussailleuse sur mon visage, humide et odorante, aucun doute bien sûr, il s'agit de Monique. J'essaie de me dégager instinctivement mais les deux garçons me tiennent fermement et en profitent pour frotter de plus belle leurs queues contre moi. J'ai l'image de Jade aux prises avec eux et fouettée par Monique, et d'un coup j'ai pitié d'elle, où l'ai-je entraînée? Et lorsque Monique saisissant derrière son dos, mon sexe d'une main et me libère enfin je m'écrie « Jade! » non bien sûr que je les confonde, mais encore marqué par les images de ses épreuves.

A moins qu'inconsciemment, je ne veuille pas que mon châtiment s'arrête...

Madame D. et Madame Brigitte, peut-être frustrées de ne pas avoir eu leur tour se déchaînent :

« Ah Ah il a perdu! »

« Il ne sait même pas reconnaître la chatte de sa protégée! »

« Il ne la mérite pas, qu'il nous la laisse »

« Donnons-le à mes filleuls, ils sauront bien quoi en faire »

« Oui laissons les ensemble! Viens ici ma petite Jade »

Mais Sophie, enlaçant Jade tendrement, intervient alors:

« Non, il faut respecter la règle, c'est encore à Jade de décider de la suite... »

« Oh ouiiii Sophie c'est moi décide maintenant... il a perdu Monsieur Aldo... il a pas pu se retenir. En plus il même pas attendu pour que je vienne sur lui... on va le punir... du coup c'est moi qui décide comment? C'est ça?... »

« Oh oh! Que va-t-elle inventer? «

« Oui dis-nous tout »

« D'accord. Ben moi je crois que c'est pas une punition si on laisse les filleuls de madame Brigitte avec Monsieur Aldo... ben oui hein quand ils se frottaient sur lui j'ai vu qu'il aimait bien... Alors c'est pas une punition ça pour lui... faut une vraie punition pour lui!

Alors moi je dis il faut l'attacher fort les pieds et les bras sur une chaise là juste devant le tapis... c'est vrai hein vous avez vu comment il bandait quand les 2 ados se frottaient sur lui?!

Et ben voilà... moi je vais me donner à ces 2 beaux garçons sur le tapis devant Monsieur Aldo... c'est eux qui feront ce qu'ils veulent... je vais me mettre à 4 pattes... ils feront ce qu'ils veulent avec moi... et je regarderai Monsieur Aldo et faudra qu'il dise rien et surtout faudra bien le surveiller qu'il bande pas... sinon vous le mettez dehors et il part! »

Et moi qui la plaignais! Elle est bien pire que je croyais.

Elle s'installe à quatre pattes sur le tapis, face à moi et me regarde dans les yeux, tandis que les deux garçons se présentent la bite raide.

Elle les suce, l'un après l'autre en se pourléchant les babines. Sophie de son coté amène la jeune nièce de Madame D pour compléter le tableau et celle-ci sans prévenir Jade se glisse entre ses jambes et entreprend de la lécher, puis amène un des garçons qui la pénètre en même temps.

Et elle voudrait que ça ne me fasse pas bander?