Isabelle Ou Esclave N°38

BÊTA PUBLIQUE

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« Avance. »

Isabelle sortit et vit un jardin à l'anglaise entretenu. Son gardien la prit par sa laisse et la conduisit dans ce jardin. Ils laissèrent celui-ci sur leur droite et marchèrent dans une parcelle non entretenue. Les herbes hautes caressaient les jambes d'Isabelle qui avait du mal à marcher dans l'herbe avec ses escarpins et ses menottes.

La Maîtresse les attendait devant un trou creusé très récemment. Une toupie de béton était stationnée juste à côté du trou.

« Alors Esclave 38, ta réponse? »

« Jamais! »

« Mets-là dans ce trou ». Le gardien tira sur la laisse.

« Assise salope. Et descends là-dedans! »

Isabelle devenait de plus en plus inquiète, ce qui faisait sourire la Maîtresse. Sur un signe de la maîtresse, le gardien tira sur une manette et la toupie tourna plus vite dans un bruit de gravillon qui glissait sur du métal. Puis du béton coula de la gouttière et tomba dans la cavité. Isabelle fut éclaboussée par la laitance et du béton qui coulait sur elle. Elle essayait de se dérober au béton et se protégeait le visage avec ses mains menottées qui étaient couvertes de béton, ses cheveux et son visage étaient couverts de béton.

« Arrêtez, stop! »

Mais la Maîtresse fit signe de continuer. Le béton arrivait déjà aux cuisses d'Isabelle.

« Tu ne nous sers à rien, et ici, on se débarrasse des gens qui ne nous servent à rien. »

Le béton continuait de couler et arrivait désormais au niveau du ventre d'Isabelle.

« Pitié Madame, je vous en prie, je ne veux pas mourir, sortez-moi de là. Je ferai tout ce que vous voudrez! »

La Maîtresse lui fit répéter :

« Je n'ai pas très bien entendu avec le bruit de la toupie. Tu peux répéter salope? »

Alors que le béton lui arrivait à hauteur des seins :

« Je ferai tout ce que vous voudrez! »

« Je n'entends rien, tu peux répéter esclave! »

Alors que le béton lui couvrait le menton, Isabelle hurla :

« Je serai votre esclave! »

La Maîtresse fit signe et le béton s'arrêta de couler. Isabelle tendait sa tête pour pouvoir respirer car le béton lui couvrait la bouche. Elle tendait ses bras pour qu'on la sorte de cette fosse. Le gardien voulut la tirer mais le béton faisait ventouse. Il prit une chaîne qu'il attacha au treuil de la toupie et mit en route celui-ci. Isabelle criait car la tension était très forte sur ses bras. Mais son corps sortit de la gangue de béton. Isabelle haletait fortement, elle avait vu la mort de près et pensait être noyée dans du béton, destin funeste réservé aux mouchards par la mafia japonaise.

« Alors, prête à obéir maintenant. »

« Oui Madame. » répondit Isabelle afin de satisfaire la Baronne.

« Dorénavant tu m'appelleras Maîtresse. D'abord tu vas aller te nettoyer et passer à la visite médicale. »

Isabelle fut amenée dans une salle d'eau et son gardien lui ordonna se doucher. A peine séchée, l'un des deux hommes lui posa un masque noir en latex sur la tête qui lui occultait les yeux et un ball-gag, la souleva et la prit comme un sac de pomme de terre pour la déposer dans le coffre d'une voiture. La voiture se rendit au cabinet du « docteur ». Le véhicule stoppa devant l'interphone.

Maîtresse Agnès appuya sur le bouton rouge de l'interphone.

« Bonjour Docteur, c'est pour une visite médicale spéciale. »

Une voix grésillante se fit entendre dans le petit haut-parleur.

« Je vous ouvre Maîtresse Agnès, stationnez-vous au sous-sol. »

Le portail coulissa et la voiture s'engouffra dans l'allée menant à un garage. Isabelle fut extraite du coffre et l'homme la reposa sur son épaule comme un sac. Ils montèrent par l'escalier de service et arrivèrent directement au cabinet du docteur. L'homme jeta littéralement Isabelle dans un fauteuil et lui ôta le ball-gag et son masque. Elle fut éblouie par la lumière lorsqu'elle recouvrit la vue.

« Enlevez-lui ses menottes pour que je l'examine. »

« Comment t'appelles-tu? »

« Isabelle, Docteur. »

« Je me fous pas mal de ton prénom, c'est ton nom d'esclave que je te demande. »

« ...Esclave 38. » dit Isabelle après un temps de réflexion et d'hésitation.

Le docteur ouvrit un fichier sur son ordinateur.

« Je vais te poser des questions sur tes pratiques sexuelles, tu réponds simplement par oui ou non. »

« Tu suces la bite? »

« Oui, de temps en temps. »

Le docteur cocha une case...

« Tu avales? »

« Non, jamais! »

« Sodomie? »

« Non! »

« Donc pas de double pénétration, pas de gang bang.»

« Jamais!! »

« Pratique SM?»

« Non! »

« Pratiques homosexuelles? »

"Qu'entendez-vous par là Docteur?"

« As-tu déjà couché avec une femme et léché sa chatte? »

« Non! Quelle horreur! »

« Il y a du travail Madame la Baronne. »

« Bien, je vais t'examiner. »

Le docteur s'approcha d'Isabelle.

Le docteur posa son stéthoscope froid sur le cœur et écouta les battements. Il passa dans le dos et fit de même. Il tata les ganglions au cou, aux aisselles, à l'aine.

« Bien, pour l'instant c'est parfait. Ouvre la bouche et fait aaahhhhhh. »

Le docteur inspecta la bouche d'Isabelle et sa dentition.

Il prit la mesure des seins d'Isabelle. Puis il tira sur les tétons, l'esclave 38 se courbait sous la douleur.

« Les seins sont fort développés, les tissus extensibles mais elle a une ptose mammaire due à des régimes, je pense. Si vous voulez des seins plus fermes, il faudra lui gonfler les nibards. »

« Mais il n'est pas question... » Intervint Isabelle qui n'eut même pas le temps de finir sa phrase qu'un coup de cravache s'abattit sur ses fesses, elle sursauta sous la douleur.

«C'est vous le spécialiste Docteur, je suivrai vos recommandations. » dit La baronne.

« Ecarte les cuisses.»

Isabelle obtempéra et le docteur passa sa main sur son sexe pour décoller les petites lèvres. Il tira sur celles-ci pour connaître la sensibilité de l'esclave mais aussi pour savoir de combien Madame pourrait les étirer.

« Les lèvres sont recroquevillées mais je pense qu'on pourra bien les étirer.

Puis il glissa un doigt dans sa fente, puis deux, puis trois. Isabelle ferma les yeux.

« Sa cyprine est bonne, mets tes mains sur le bureau, penche-toi et jambes écartées. »

Le docteur cliqua les fesses d'Isabelle car il jugea qu'elle n'avait pas assez écarté les jambes.

Le docteur enduisit ses doigts de gel et enfonça son index dans l'anus d'Isabelle. Celle-ci se releva en sentant l'intromission mais le docteur l'empêcha de se relever et poursuivit sa fouille. Il sortit son index et ajouta son majeur. Isabelle se crispa et eut un rictus de douleur.

« Elle est bien vierge du cul Madame. »

« Ce sera un régal de la voir se faire défoncer le cul pour la première fois! J'aime les culs vierges! J'aime voir une esclave crier lorsqu'une bite lui défonce le cul pour la première fois. »

« Je vous enverrai sa fiche par mail. Vous pouvez la reprendre. »

Madame fit un signe et les deux hommes menottèrent de nouveau Isabelle. Ils partirent tous les quatre au sous-sol et reprirent le véhicule. Isabelle fut à nouveau masquée et balancée dans le coffre avec un ball-gag sur la bouche.

Arrivée au manoir, Isabelle fut conduite au sous-sol dans une cellule et attachée au lit comme un animal dans sa cage. Une écuelle remplie d'eau se trouvait au pied du lit. A défaut de manger, elle but toute sa gamelle d'eau. La cellule était propre comparée à celle où elle avait passée une semaine entière,. Elle s'allongea et s'endormit...

Isabelle fut réveillée par les premières lueurs matinales qui traversaient la fenêtre de sa chambre. La chaîne l'empêchait d'aller à la cuvette pour ses besoins. Elle commença à serrer les cuisses pour ne pas uriner sur le sol. L'homme détacha la chaîne du lit.

« Tu peux aller au chiotte si tu veux. »

Isabelle ne se fit pas prier et couru à la cuvette ui se trouvait dans une coin de sa cellule, mais pisser en présence de quelqu'un n'est jamais chose facile. Aucun jet ne se fit entendre.

« Je te donne encore 5 secondes pour pisser sinon terminé! »

Isabelle poussa intérieurement sur sa vessie et enfin elle se soulagea. Elle n'eut même pas le temps de finir que l'homme tira sur sa chaîne et elle mouilla légèrement ses cuisses. L'homme lui indiqua du doigt la gamelle dans laquelle se trouvait de la nourriture.

« Mets-toi à quatre pattes comme une chienne et mange ça. Et tu dois tout finir! »

Isabelle se mit à quatre pattes et vit la nourriture de la gamelle. Celle-ci sentait fort et ressemblait à s'y méprendre à des boulettes pour chien avec des morceaux de carottes et de la gelée.

« Lèche ton assiette, pétasse! Rien ne doit rester dans ta gamelle! » Hurla l'homme.

Isabelle sursauta et se mit à lécher la gelée qui restait dans son écuelle.

Lorsque la gamelle fut propre, l'homme tira sur la chaîne et emmena Isabelle hors de la chambre pour une destination que seul l'homme connaissait. L'homme la fit entrer dans une pièce. Madame était assise dans un fauteuil. Elle était vêtue d'une culotte en cuir ornée de clous. Ses jambes étaient gainées par des collants noirs en résille et des cuissardes en cuir à semelles compensées. Elle portait un soutien-gorge en cuir clouté lui aussi. Ses bras étaient partiellement tatoués. Ses mains étaient gantées de cuir.

Une cage se trouvait sur une petite estrade.

L'homme stoppa sa marche et positionna Isabelle au centre de la pièce. Madame se leva et s'approcha d'Isabelle.

« Tu as bien déjeuné esclave 38? »

« Vous appelez ça de la bouffe, des boulettes pour chien! »

Madame leva le menton d'Isabelle avec une cravache.

« Ici, tu n'es qu'une esclave, Mon animal! Si j'ai envie de te faire bouffer des boulettes pour chien, tu boufferas des boulettes pour chien. Si j'ai envie de te faire bouffer de la merde, tu en mangeras! Tu m'appartiens et je fais ce qui me plaît avec toi. »

En disant cela, elle porta sa main gantée sur le sein droit d'Isabelle. Elle le serra entre ses doigts. Isabelle cria car elle vit le gant de Madame équipé de dizaines de punaises qui lui pénétraient la peau. La Baronne emmena Isabelle par le sein et elles traversèrent ensemble la pièce pour se rendre dans la salle attenante. Elle ouvrit la porte d'une grande salle éclairée, au milieu de laquelle trône une croix en T. Sur une table à côté de cette croix sont disposés des appareils électriques, et plusieurs outils. Enfin toute une collection d'instruments de torture sont présents: fouets, chaînes, godes, électrodes, pinces, aiguilles, fers, paddles, bref tout ce qui est capable d'arracher des cris à une chair bien tendre. Madame la Baronne fit un signe et aussitôt les deux hommes s'occupèrent d'Isabelle, la placèrent sur la croix et immobilisèrent ses poignets et ses chevilles à l'aide de sangles de cuir.

Ils lui placèrent alors un bandeau sur les yeux, et des pinces sur les tétons, et commencèrent à jouer avec son clitoris qu'ils firent saillir un peu plus, et finirent par poser dessus une pince dentelée qui arracha à Isabelle un cri de douleur, tandis qu'elle essayait de se débattre.

Pendant ce temps, la Baronne fixa des patchs sur sa poitrine qu'elle relia à un appareil de contrôle. Puis une des hommes enduisit un long et large gode de métal, et le présenta devant la vulve d'Isabelle. Celle-ci sembla résister. L'homme poussa violemment le gode d'un coup sec, et tout le gode pénétra le sexe d'Isabelle, accompagné d'un hurlement des plus gratifiants.

Maîtresse Agnès donna un second gode lubrifié et l'homme le présenta sur l'anus d'Isabelle, qui apparemment comprit et laissa le long cylindre l'envahir petit à petit, mais irrémédiablement. Bientôt les 20 centimètres de métal disparurent dans son fondement. L'homme retira alors la partie centrale et la pointe, laissant dans le cul d'Isabelle juste un tube creux, et apporta alors la ceinture pour les maintenir en place. Maîtresse Agnès arriva alors avec un masque contenant un long tube qu'elle présenta devant la bouche d'Isabelle, et lui fit signe d'ouvrir la bouche et de prendre le petit gode en latex, ce qu'elle fit. Elle posa le masque qui couvrit la tête d'Isabelle. Maîtresse Agnès arriva alors avec un faisceau de câbles qu''elle commença à connecter aux deux godes, à la pince du clitoris, et aux deux tétons. Puis elle brancha le faisceau à l'appareil de contrôle. Maîtresse Agnès appuya sur le clavier, et de suite un hurlement strident se fit entendre. Le corps d'Isabelle se trémoussait sur la croix. Des impulsions électriques traversaient son corps. Aléatoirement, ses seins, sa vulve ou son cul recevaient des impulsions qui tétanisaient ses muscles.

«C'est parti pour une heure. Bon courage 38. »

Maîtresse Agnès et ses deux sbires quittèrent la salle et laissèrent leur esclave.

Au bout d'une heure, Maitresse Agnès apparut et vit alors le corps de son esclave trempée de sueur, sursautant à chaque décharge, les yeux exorbités. La Baronne appuya sur le bouton stop de son clavier et les impulsions s'arrêtèrent. Isabelle n'en pouvait plus. Les sbires de la Baronne détachèrent Isabelle et la ramenèrent à sa cellule.

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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
C'est top !

Un excellent début, bien sadique et pervers;

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

tres bon vivement la suite

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Excellent

Très bon début, vivement la suite...

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