Isabelle, esclave consentante 02

Informations sur Récit
Isabelle se soumet de son plein gré.
3.2k mots
4.06
31.9k
1
1
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 01/29/2019
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Isabelle reçut un sms un matin juste avant de partir au travail.

« bjr Isabelle. Dmissionne 2 ton travail. Fait ta valise. Kit ton meublé. Donne ton chat à ta concierge. 1 taxi t'attendra à 20h00. »

Après avoir donné sa lettre de démission qui navra son patron, Isabelle retourna à son appartement. Elle était en train de mettre ses vêtements dans sa valise tout en repensant à l'humiliation que Maître Alexandre lui avait fait subir. Il lui avait ordonné de lécher sa semence sur le sol de son bureau, et elle avait dû montrer son intimité en écartant les jambes, mais elle avait obéi à son Maître comme si son esprit la guidait tel un automate destiné à réaliser sa tâche sans réfléchir.

Elle se dirigeait vers la porte d'entrée et regardant une dernière fois son petit meublé avec un regard quelque peu mélancolique. Elle quittait sa vie assez monotone pour un monde inconnu. Elle referma la porte et descendit les escaliers lentement comme si son coeur lui disait de ne pas aller vers cet inconnu. Elle frappa à la porte de la concierge et lui tendit la cage de son chat. Son animal de compagnie miaula comme s'il savait qu'il ne la reverrait jamais...

Un taxi attendait en double file devait la porte d'entrée de sa résidence. Le chauffeur descendit de la voiture et ouvrit le coffre pour y mettre sa valise. Elle se posa sur la banquette arrière et regarda par la vitre l'entrée de la résidence. Elle se dit :

« Adieu logement, adieu le chat. »

Le taxi démarra et le chauffeur suivit l'itinéraire de son i-phone. Isabelle vit la destination :

69 Rue des Bauches PARIS 16ème.

45 minutes plus tard, le taxi stoppa devant la grille d'une demeure somptueuse, légèrement arborée. Le chauffeur descendit et lui ouvrit la porte passager, puis déposa la valise de sa passagère devant le portail en fer forgé. Isabelle appuya sur l'interphone. Elle n'eut pas le temps de parler que la grille s'ouvrit. Elle prit sa valise et se dirigea vers l'entrée et monta les quelques marches qui la séparaient de la porte.

Une femme affublée d'un uniforme de soubrette lui ouvrit. Maître Alexandre apparut dans le couloir et l'accueillit avec un grand sourire et la serra dans ses bras. Elle laissa tomber sa valise

et ils s'embrassèrent tendrement. La soubrette ramassa discrètement la valise et s'éclipsa pour disparaître derrière le couple.

« Bienvenue, Isabelle. Pour l'instant, tu t'appelles encore Isabelle jusqu'à ce que je trouve ton nom d'esclave. »

Isabelle fit une moue car elle allait même perdre son prénom.

« Allons dans mon bureau. »

« Oui Maître. »

Alexandre la regarda avec un sourire de satisfaction et cligna des yeux pour lui signifier qu'elle commençait à assimiler son nouveau statut.

Ils entrèrent dans le bureau du Professeur. Il ferma la porte derrière lui et s'appuya sur celle-ci.

« Met-toi nue. »

Isabelle se déshabilla et se retrouva nue mais ne couvrit pas son intimité. Elle resta debout les bras collés au corps.

« En position d'inspection : à genoux, jambes légèrement écartées, les mains derrière la nuque et rejette tes seins en avant. »

Isabelle obéit immédiatement et suivit les ordres de son Maître.

Maître Alexandre sortit d'un tiroir quelques habits et les tendit à son esclave.

« Habille-toi, ce sera ton uniforme pour tes débuts. »

Isabelle prit les vêtements, se leva et déposa délicatement les habits sur une chaise. Les habits étaient ceux d'une écolière : Une mini-jupe écossaise rose, un chemisier blanc transparent, une paire de chaussettes hautes, des babies roses à semelle compensée, deux ruban pour faire des couettes, une paire de lunettes rondes.

Isabelle se vit dans le miroir et pouffa en voyant son reflet de petite fille.

« Qui t'a autorisé à dire quelque chose, salope! Au bureau et penche-toi en avant. »

Isabelle fut surprise du ton autoritaire avec lequel Maître Alexandre lui parlait. Elle obéit promptement et posa ses avant-bras sur le bureau. Avec cette posture, Maître Alexandre avait une vue imprenable sur la naissance des fesses de son esclave. Maître Alexandre prit la règle qui se trouvait à la vue d'Isabelle. Il souleva la jupette écossaise. Maître Alexandre leva le bras et

asséna un violent coup de règle sur les fesses d'Isabelle. Elle hurla sous la douleur. Un rectangle rouge apparut en travers des globes fessiers.

Maître Alexandre saisit le bras d'Isabelle. Ils traversèrent ensemble un long couloir et se retrouvèrent dans la salle à manger. La table était dressée. Maître Alexandre fut d'une galanterie sans égal pendant leur repas, la servant comme une reine.

Le repas terminé, il l'emmena dans le petit salon et lui servit un whisky. Elle refusa mais d'un regard autoritaire de la part de son Maître, elle se ravisa et prit le verre en main.

Ils dégustèrent leur whisky avec une musique jazz en sourdine. Maître Alexandre se leva et Isabelle fit de même. Ils montèrent l'escalier majestueux qui trônait au centre du hall. Maître Alexandre ouvrit une porte Se présenta alors devant les yeux d'Isabelle, une chambre au centre duquel se trouvait un lit king size.

Alexandre attira Isabelle contre lui et l'embrassa fougueusement. Sa main droite descendit vers le sexe d'Isabelle et deux doigts s'immiscèrent loin dans son intimité. Le corps d'Isabelle se souleva sous les mouvements des doigts. Alexandre souleva le corps féminin et l'allongea délicatement sur le lit. Maître Alexandre lui fit l'amour comme un homme se montrant délicat avec sa nouvelle partenaire. Isabelle le suça lentement pour honorer son Maître. Alexandre la rejeta doucement sur le lit et enfourcha Isabelle pour lui pénétrer le sexe. Puis il fit pivoter ce corps laiteux et présenta son pénis devant sa croupe. Isabelle se mit en levrette et Alexandre perfora lentement son anus.

« Détend-toi, tout se passera bien. »

« C'est la première fois Maître. »

« Je serai très délicat... pour cette fois seulement. »

Les mains d'Isabelle s'agrippèrent aux draps et elle essaya tant bien que mal de se détendre.

Après quelques minutes, Alexandre éjacula au fond du cul d'Isabelle et les deux corps se désaccouplèrent s'affaissèrent d'épuisement. Ils s'endormirent tous deux dans les bras de chacun. Isabelle fut réveillée la première, le soleil matinal lui tapant dans l'œil. Elle vit alors Alexandre encore endormi. Elle se remémora la nuit passée, ses ébats amoureux et sa première sodomie. Isabelle sentit alors monter une bouffée de chaleur dans son corps et son sexe s'humidifier.

Elle posa délicatement sa main gauche sur la poitrine légèrement velue de son Maître. Sa main descendit lentement vers le bas ventre en emmenant le drap pour découvrir le corps de son partenaire et finit par toucher un sexe mou. Mais même endormie, la bite d'Alexandre prit du volume sous les attouchements. Alexandre bougea légèrement pour se mettre sur le dos. Isabelle regarda Alexandre et amena doucement sa bouche vers la bite qu'elle tenait en main. Elle goba ce sexe odorant de leur précédent rapport nocturne. Sa bouche descendit le long de la tige de chair et elle commença à lui sucer la bite. Après quelques aller et venue sur son organe, la bite avait atteint son volume maximum. Isabelle se positionna à califourchon pour avoir sa chatte juste au-dessus de la bite qu'elle désirait chevaucher. Elle dirigea celle-ci avec sa main et la fit pénétrer son écrin. Elle tira sur ses muscles pour monter et descendre sur le sexe qui la pénétrait. Son désir étant plus fort que sa raison, Isabelle se désaccoupla et avec sa main positionna le sexe d'Alexandre sur son anus.

Isabelle, de dos, ne voyait pas qu'Alexandre la regardait tranquillement les mains derrière la tête, souriant du bienfait matinal qu'Isabelle lui prodiguait en ce matin ensoleillé. Alexandre vit alors la paire de fesses tourner au-dessus de son sexe et s'empaler sur celui-ci. Il vit l'anus s'ouvrir lentement et son sexe disparaitre dans le cul d'Isabelle. Le mouvement de va et vient repris et Alexandre sentit son sexe glisser à l'intérieur du conduit intime d'Isabelle. Elle commença à gémir lentement et Isabelle jouit alors que sa chatte giclait sur les cuisses d'Alexandre.

« Ohhhh. » fit Alexandre doucement pour ne pas surprendre sa partenaire.

Isabelle tourna la tête et mit ses mains sur ses hanches.

« Tu es une femme fontaine? »

« Oui, Maître. » répondit Isabelle tout en continuant ses mouvements.

Alexandre posa ses mains sur celles d'Isabelle pour caler sa bite au fin fond de son cul et jouit dans un râle bestial. Isabelle jeta son torse en avant se bloquant avec les bras pour manifester son contentement. La tige de chair ramollissait et Isabelle l'éjecta lentement de son boyau. Une claque sur sa fesse droite la sortit de son rêve sexuel.

« Allez, petit-déjeuner et ensuite tu commenceras tes exercices pendant que je travaillerai. »

Isabelle se leva et remit aussitôt son uniforme d'écolière. Alexandre prit la main d'Isabelle et se dirigèrent vers la cuisine. Le petit-déjeuner était servi sur la table. L'odeur du café embaumait la cuisine. Viennoiseries, céréales, pain, diverses confitures, miel étaient posés sur un plateau.

Isabelle prit une tasse et se versa un café. Elle prit un croissant et commença à se restaurer.

Alexandre la dévorait des yeux.

« Allez, direction la salle de sport. Il faut que tu commences ton entraînement. »

Isabelle se leva et suivit son Maître. Ils descendirent une volée d'escalier, la lumière se fit automatiquement et ils s'enfoncèrent dans un couloir. Alexandre ouvrit une porte et Isabelle vit alors des aigrets de musculation, un tapis de course, un vélo elliptique et d'autres dont Isabelle ignorait le nom. A côté de la seule chaise qui se trouvait dans un coin de cette salle de sport, la soubrette attendait les ordres se tenant droite comme un I, les bras le long du corps.

« Tiens, mets cela. Cela te permettra de suer pour te faire perdre ta graisse. »

Isabelle baissa les yeux à cette remarque plus que désobligeante.

« Ne fait pas ta mauvaise tête, tu vas souffrir pour ton bien! »

Isabelle prit le vêtement. Celui-ci brillait à la lumière. Alexandre claqua des doigts et la soubrette s'avança vers son Maître.

« C'est du plastique. »

« Non, c'est du latex. Tu porteras beaucoup de vêtement latex à partir de maintenant. Comme ma petite succube que voilà. » Dit Alexandre alors qu'il tirait la chevelure de la soubrette.

Isabelle se déshabilla et enfila difficilement le vêtement tant il était ajusté. Malgré l'aide de la soubrette pour enfiler la combinaison, Isabelle se contorsionna pour passer ses épaules.

Une fois le vêtement bien ajusté et tiré par Ies deux soumises, la soubrette sortit de la salle sans un mot.

« Tu vas commencer par le tapis de course. Tu sais courir? » demanda Alexandre avec un petit sourire narquois.

« Oui, je ne sais pas combien de temps je pourrais courir mais je sais courir! »

« On va démarrer par du facile, 1h00 de course légère. »

« 1h00?!? »

« Il le faut si tu veux retrouver la forme et les formes! »

« Je vais essayer. »

« Allez! en route. » Dit Alexandre en cliquant la fesse droite de sa nouvelle soumise. Il mit en route le tapis et Isabelle commença à fouler le tapis en petite foulée.

« Une fois que tu auras terminé de courir, tu prendras une bonne douche, je rentrerai à 12h00. A tout à l'heure. »

Alexandre sortit de la salle. Isabelle entendit alors une voiture démarrer et s'éloigner de la maison.

Isabelle courait toujours en petite foulée. L'écran digital positionné en compte à rebours indiquait qu'il restait encore 40 minutes à Isabelle à courir. Son corps était en sueur. Elle commençait à baigner dans sa sueur avec la combinaison. Elle commença à fatiguer et sa foulée devint lourde. Puis Isabelle ralentit et se fit entraîner par le tapis vers l'arrière de l'aigret. Elle reprit difficilement son souffle et prit 5 bonnes minutes avant de reprendre sa course. Elle reprit encore 5 minutes de repos, 20 minutes plus tard. Lorsqu'un bip se fit entendre, le tapis s'arrêta lentement, et Isabelle souffla longuement de son effort. Elle pensait recracher ses poumons comme une fumeuse alors qu'elle n'avait jamais touché à une seule cigarette de sa vie.

A 12h00, Maître Alexandre pénétra dans la salle de sport et vit son esclave souffler comme un taureau au bord de l'agonie. Elle se tenait à l'arceau du tapis de course pour ne pas vaciller, l'autre bras sur le bas ventre pour soulager le point de côté qui lui barrait le corps en deux.

« Alors, on transpire! »

Isabelle n'avait même pas le courage de répondre à cette remarque ironique.

« T'es-tu arrêter pendant ton heure de course? »

« Oui Maître, je me suis arrêtée car je n'en pouvais plus je pensais mourir sur ce tapis! »

« Tu commences à refaire du sport, c'est normal. »

« On mange dans une demi-heure, va te doucher. Tu t'habilles en écolière et je te donne les instructions à ta table pour cet après-midi. »

Isabelle partit dans sa chambre et se déshabilla. Elle ôta ses baskets. Lorsqu'elle ôta sa combinaison latex, une quantité de sueur se déversa sur le carrelage de la salle d'eau, ce qui fait une flaque d'eau assez conséquente.

« Eh ben, je vais me dessécher comme une fleur en plein désert à ce rythme-là. »

La douche lui fit un bien fou et elle se délassa pendant la demie heure accordée.

Elle apparut dans la salle à manger en habit d'écolière, maquillée, prête à se restaurer.

La bonne leur apporta du poisson et des légumes verts.

« Voici deux adresses où tu devras te rendre cet après-midi. »

« Mais je ne sais pas ce que je devrais faire ou demander à ces adresses. »

« Tout est prévu, tu n'as rien à demander. Ton premier rendez-vous est à 15h00. Sois ponctuelle! »

« Et c'est loin d'ici? »

« C'est à un petit kilomètre, donc tu t'y rends à pied! »

Le repas terminé, Isabelle regarda l'heure à sa montre. Elle indiquait 14h00. Elle avait donc encore environ 40 minutes devant elle avant de se rendre à son premier rendez-vous.

A 14h40, elle sortit de la maison sous le regard de son Maître qui lui fit une remarque :

« On embrasse pas son Maître avant de partir? »

Isabelle fit demi-tour et embrassa son Maître d'un baiser langoureux qui ne laissait aucun doute sur les sentiments qu'elle éprouvait. Ils s'étreignirent lascivement et Maître Alexandre passa une main sous la jupette d'Isabelle.

« Faut que j'y aille, je vais être en retard sinon. »

Isabelle sortit de la belle demeure et se retrouva sur le trottoir de la rue. Elle avait tapé l'adresse sur l'application google maps de son téléphone et vit qu'elle mettrait 15 minutes à pied pour se rendre 159 rue des poilus. Elle vira à droite sur le Boulevard de Stalingrad. Elle leva la tête car elle sentait des milliers d'yeux qui la dévisageait ou plutôt qui regardait son accoutrement.

Elle n'en eut cure et continua sa route.

Elle arriva 159 rue des poilus et vit qu'à cette adresse un salon d'esthétique y était implanté. Isabelle poussa la porte. Une jeune femme a la tenue irréprochable et maquillée comme une star vint à sa rencontre.

« Bonjour, j'ai rendez-vous à 15h00. »

« Isabelle, l'esclave de Maître Alexandre. » chuchota la jeune femme pour ne pas se faire entendre de la part de sa cliente d'âge plus que mûr qui se faisait épiler les lèvres de la bouche.

« Suivez-moi dans la salle d'attente qui se trouve au fond s'il vous plaît. Appelle-moi Audrey. »

Isabelle suivit la femme et prit un siège dans la salle d'attente. Une dizaine de minutes plus tard, la jeune femme apparut aux yeux d'Isabelle.

« Allez, c'est à nous maintenant. Vous me suivez? »

Elles se rendirent au salon.

« Assieds-toi sur cette chaise Isabelle. »

Isabelle obtempéra. Audrey passa derrière le siège et l'inclina à l'horizontale. Isabelle en fut surprise et regarda autour d'elle. Audrey déplia les accoudoirs qui se transformèrent en étrier de chaise gynécologique. Elle passa ses mains sous la jupe d'écolière d'Isabelle et tira la culotte.

« Mais qu'est-ce qui vous prend? »

« Tu es là pour une épilation définitive de ta chatte et de la raie du cul. Je ne pourrais pas faire mon travail avec ta culotte par-dessus. »

Isabelle se laissa faire. C'était donc cela que Maître Alexandre souhaitait pour elle. Il voulait que sa chatte soit lisse, comme une petite fille!

Audrey s'appliqua méticuleusement sur la tison d'Isabelle, elle coupa à raz ses poils puis utilisa un laser pour tuer le bulbe et empêcher la repousse.

On entendait les poils crépiter ou claquer lorsque le laser passait sur ceux-ci.

Audrey fit aussi les jambes et les aisselles d'Isabelle.

La peau d'Isabelle chauffait doucement. Au bout d'une heure, Audrey jugea que cela suffisait pour aujourd'hui.

« Je te donne un rendez-vous dans quatre semaines. Cela suffit pour aujourd'hui. »

Isabelle remit sa culotte, sortit du salon avec son petit carton et son rendez-vous inscrit dessus.

Elle se dirigea à l'adresse de son second rendez-vous. Les passants la dévisageaient toujours.

Isabelle arriva à l'adresse indiquée et stoppa net sa marche, ce qui perturba un passant qui la suivait et qui lui cria un « ça va pas de t'arrêter comme ça » sans même se retourner.

Elle vit que l'adresse de son second rendez-vous était un studio de piercing!

Isabelle resta plantée sur le trottoir pendant de longue minute avant de franchir la porte du shop.

« Bonjour, je m'appelle Isabelle et je dois avoir rendez-vous. »

« Bonjour, Oui effectivement, j'ai reçu un appel pour la pose de quelques piercings. »

Isabelle fut surprise de ce que venait de dire l'homme, au visage piercé de toute part et ouvrit de grands yeux.

« Tu vas t'installer sur la table qui se trouve au fond, j'arrive. »

Isabelle s'installa sur la table, assise. Elle sentait son corps se tétaniser doucement au fur et à mesure qu'elle voyait l'aiguille de l'horloge tourner.

Le pierceur arriva près d'elle.

« Alors, j'ai reçu par mail une demande de pose de piercings d'un certain Alexandre avec ce petit dessin. »

Le pierceur montra alors une forme humaine avec des flèches indiquant des endroits du corps sur lesquels des anneaux ou labrets seraient bientôt posés.

« On va commencer par le plus facile. Sors ta langue Isabelle. »

Le pierceur prit une pince et serra celle-ci sur son organe. Il pointa avec son crayon le dessus et le dessous. Une aiguille vint alors transpercer sa langue et le pierceur posa un labret. Il opéra juste un centimètre devant pour en poser un second.

« Tu ne dois pas boire d'alcool pendant une semaine. Ta langue va gonfler, il faudra que tu boives très frais. »

Isabelle répondit par un «hunhun ».

« On va maintenant piercer tes seins, puis on posera des anneaux sur ton sexe. Enlève ton haut d'abord. »

Elle vit alors le pierceur opérer sur ses tétons , un lavret sur chaque téton, les lèvres de son sexe, 2 anneaux sur les petites lèvres, sa langue, 2 labrets.

Elle sortit du studio éreintée mais fière d'avoir suivie les ordres de son Maître. Elle retourna donc chez son Maître.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Pas de suite ?

Rudy

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Chute d'une héritière Ch. 01 Madame nous allons vous asservir ici vous n'êtes plus rien.
Les Bijoux de Florence NICOLE et les bijoux de florence.
Gang-bang d'une Femme Riche Une femme riche et mature subit un gang-bang contre son gré.,,
Un Centre Pour Roux Ch. 01 Marguerite découvre des esclaves expérientées.
Plus d'histoires