Initiation - 08 (plaisir risqué)

BÊTA PUBLIQUE

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Dès leur arrivée, Manon se précipite pour prendre une douche réparatrice. Elle passe en courant devant son mari qui s'étonne de la voir nue, seulement couverte par la veste du chauffeur. Il pense que quelque chose de grave a dû arriver. Il sera là pour la réconforter.

Manon se lave complètement et intimement. Lorsqu'elle sort de la douche, couverte d'un peignoir de bain, Manon se précipite dans les bras accueillants de son mari. Alors, elle raconte tout, sans omettre le moindre détail, malgré sa honte d'avouer à son mari qu'elle a eu du plaisir en se faisant prendre par ces nombreux inconnus.

Le soir, au lit, Adrien ne cherche aucune relation sexuelle avec sa femme. Il lui faut cependant parler de nouveau de cette aventure avec elle. Il a trop peur qu'une telle situation risquée se reproduise, aussi dit-il :

« Mon amour, tu as bien vu que les rencontres avec des inconnus peuvent être très dangereuses. Loin de moi l'idée de te priver des relations sexuelles que je ne suis pas en mesure de t'offrir au niveau de tes besoins. Peut-être pourrais-tu trouver ici, dans un environnement connu, avec des personnes qui t'aiment, le moyen de te faire du bien, autant et aussi souvent que nécessaire? Si tu le souhaites, tu pourras me faire cocu tous les jours dans cette maison. Je me contenterai de quelques rapports protégés, comme tu le veux pour ton mari cocu, et des plaisirs du voyeur quand tu me le permettras. Qu'en penses-tu? »

« Je crois que tu as raison », lui répond Manon, « En tous cas, je peux au moins essayer pendant quelques temps. »

Le lendemain, pendant toute la journée, Manon ne se livre à aucune relation sexuelle avec son mari, ni avec quiconque d'ailleurs. Elle ne se touche même pas. Manon se dit alors qu'elle a vraiment été traumatisée par son aventure, car une totale abstinence de toute une journée ne lui était pas souvent arrivée. Cependant, le médicament qu'elle prend le matin finit par faire son effet et ses envies reviennent dans la soirée. Manon, avant le coucher, dit alors à son mari :

« Si je ne dormais pas avec toi cette nuit, serais-tu fâché? »

« Mais non », lui répond Adrien, « Prend le plaisir dont tu as besoin. »

« Merci. Tu es un amour de mari », dit Manon, avant d'aller choisir sa tenue.

Elle va rester nue sous une nuisette transparente. C'est comme cela qu'elle va s'offrir, ce soir. Mais, à qui? Elle n'y a pas réfléchi. Sa première pensée va vers Albert parce qu'elle a déjà fait l'amour avec lui, parce qu'il a un sexe bizarre qui la touche si délicieusement, et peut-être parce que sa laideur l'excite en lui donnant l'impression de braver un interdit. Puis elle pense tout à coup qu'elle est vraiment ingrate. C'est Mamadou qui s'est battu pour elle. Fort et musclé comme il est, il a peut-être un sexe en proportion, qui lui fera autant de bien que celui d'Albert mais différemment. Et puis faire l'amour avec un noir est aussi un peu tabou, pense-t-elle. Ce soir, c'est décidé, elle va se donner à son chevalier servant.

Manon, sans même se couvrir, traverse le jardin et rentre dans la maison de gardien réservée au personnel. Elle vient frapper à la porte de la chambre de Mamadou, qui se rend compte immédiatement de sa bonne fortune et l'embrasse passionnément sur la bouche. Il attendait cet instant depuis si longtemps. Mamadou ne porte qu'un boxer qui paraît bien trop rempli, attirant ainsi la curiosité de Manon. Celle-ci ne peut résister à l'envie de voir ce qu'il a pour elle et se met naturellement à genoux devant lui, pour avoir la meilleure vue lorsqu'elle le débarrasse de son boxer.

Là, devant ses yeux, se trouve un sexe d'une incroyable longueur comme d'une aussi étonnante épaisseur. Le mandrin de près de 30 centimètres de long est aussi large qu'une cannette de bière. Et il n'est qu'à demi bandé ! Manon fait passer sa langue sur le bout du gland qui se mouille alors de liquide pré-séminal, alors que sa main suit le membre jusqu'aux testicules qu'elle soupèse. Alors, écartant ses lèvres au maximum, elle prend le gros gland en bouche. En même temps Manon branle le sexe, le tirant vers elle comme pour le faire rentrer plus profondément. En fait, c'est ce qu'elle fait, car elle a envie, pour lui montrer sa reconnaissance, de lui faire cette fellation en gorge profonde qu'elle a vu dans des films pornographiques. Elle n'a jamais fait ça, mais elle va essayer. Le gland obstrue sa gorge. Elle étouffe, hoquette, mais elle recommence à chaque fois. Manon finit par se rendre compte de la disproportion entre sa gorge et ce sexe monstrueux. Elle doit abandonner mais elle lui aura montré qu'elle était prête à tout pour lui.

Manon s'attend à ce que Mamadou la couche sur le lit pour la prendre, mais ce colosse se contente de la soulever comme si elle ne pesait rien. Il ne lui enlève même pas sa nuisette qui se fripe contre ce corps musclé. Le gland d'un sexe maintenant presque vertical se presse sur les lèvres vulvaires, qui sont déjà bien humides mais se retournent douloureusement vers l'intérieur du vagin de Manon. La sensation est incroyable. Elle serait douleur si l'érotisme de la situation n'avait fait monter l'excitation à un sommet. Mamadou, avec une facilité surprenante, soulève un peu Manon, permettant aux lèvres intimes de reprendre une position normale. Puis, de ses bras musclés, il fait coulisser Manon sur son membre tendu. Elle se rend compte qu'il se sert de son vagin comme d'une main pour se masturber et cette pensée d'être utilisée ainsi, loin de l'humilier, l'excite. A chaque mouvement, elle se sent remplie totalement et pourtant ce long sexe ne la pénètre qu'à demi. Il est si dur qu'elle a l'impression d'être pénétrée par une batte de baseball.

Le coït continue inlassablement, le mandrin pénétrant parfois un peu plus profondément, ce qui arrache un petit cri à Manon. L'homme est bientôt couvert de sueur sous l'effort de soulever ainsi sa partenaire sans discontinuer. Manon vient par moment en essuyer une goutte du bout de sa langue sur ce torse de vrai mâle. Elle se rend compte qu'il se sert d'elle, qu'il l'utilise comme un jouet sexuel. Cela devrait la rebuter mais elle apprécie d'être ainsi traitée. Elle est si honteuse de son comportement qu'elle a besoin de se sentir punie.

Cependant, le rythme ralentit. Manon découvre comme une certaine douceur. Va-t-il ne plus me baiser mais me faire l'amour? C'est la question qu'elle se pose. Elle aurait envie d'une relation amoureuse avec ce colosse qui est si beau. Manon sait qu'elle va maintenant rêver de ce corps musclé, couleur d'ébène. Je deviens amoureuse facilement ces jours-ci, s'étonne-t-elle.

Elle est dans ces pensées quand les mains de Mamadou ne la retiennent presque plus. Son poids l'entraîne instantanément vers le bas. Manon s'empale sur le sexe tendu. Le gland frappe le fond du vagin, retournant presque le col de l'utérus. Tout le sexe est en elle. La jouissance de Manon est si forte, si intense, qu'elle s'étouffe à moitié en criant de plaisir. Au même instant, un peu de sperme gicle au fond du vagin, mais Mamadou réussit à bloquer son éjaculation, serrant d'une main sa pine à la base. C'est ainsi qu'ils perdent l'équilibre pour finir couchés sur le lit.

Alors que Manon, récupère de son si puissant orgasme, Mamadou lui retire sa nuisette et lui caresse les seins, les bras, le ventre, tout en douceur. Manon est heureuse de ce contraste avec la violence du coït précédent. Elle est tout aussi heureuse de constater que son partenaire n'a pas débandé. Cet homme infatigable est prêt à la prendre de nouveau. Lorsqu'il se couche sur elle, Manon lui murmure à l'oreille :

« Je t'aime. »

L'homme ne répond pas, se contentant de la faire taire en l'embrassant avec fougue, fouillant la bouche de sa langue.

Manon vient d'entendre un léger bruit dans le couloir et se doute que son mari est là, l'oreille collée à la porte depuis le début. Elle a envie de remercier son mari de tous les plaisirs qu'il lui laisse avoir en dehors du mariage, aussi dit-elle à Mamadou :

« Mon mari est derrière la porte. On pourrait le laisser entrer. Il prend tant de plaisir à être voyeur. Allez, s'il te plaît... »

« Oui, mais tu es vraiment la reine de salopes ! », lui répond Mamadou, dont ce sont les premiers mots depuis que Manon est entrée dans sa chambre.

« Chéri, tu peux rentrer. Ton chauffeur est d'accord », crie Manon.

Malgré sa gêne de se présenter, dans de telles circonstances, dans la chambre de son employé, Adrien vient s'asseoir sur le bord du lit et prend la main de sa femme, qui lui dit alors :

« Tu peux te mettre à l'aise, mon gentil cocu », alors que c'est elle qui ouvre la braguette de son mari et en sort un sexe déjà bien dur, puis ajoute :

« Laisse-toi faire. Je vais branler doucement ta petite bite pendant que mon amant me baise avec sa grosse queue comme tu ne pourras jamais le faire. »

Être ainsi humilié par sa femme devant son chauffeur fait encore plus bander son petit sexe de mari cocu. C'est encore plus le cas lorsqu'il entend sa femme dire :

« Puisque c'est toi qui m'offre à mes amants, pourquoi ne guiderais-tu pas sa grosse bite en moi? »

Lorsque son mari prend alors l'énorme sexe noir en main et en positionne le gland sur l'entrée du vagin, écartant même les lèvres vulvaires de son autre main, Manon ressent la domination nouvelle qu'elle a maintenant sur son mari. C'est si excitant qu'elle va en user ou même en abuser, se dit-elle.

D'un long mouvement, tout en force, Mamadou pénètre Manon, puis commence un coït rapide qui la fait trembler. Elle a du mal à contrôler les mouvements de sa main sur le sexe de son mari, tant elle est concentrée sur les sensations qui envahissent son bas-ventre. Elle finit par lâcher ce sexe et son mari reprend lui-même sa masturbation.

« Regarde, regarde bien, mon mari cocu », dit alors Manon, « Regarde comme son sexe m'a dilatée. Jamais tu ne pourrais faire ça, toi ! Regarde comme il est presque complètement en moi ! Mais il peut aller plus loin encore si tu l'aides. Allez, prend mes jambes, écarte-les bien, relève-les le plus haut possible, vas-y, vas-y ! »

Alors Adrien le fait, en bon mari obéissant. Mamadou pousse en avant, plantant son sexe tout au fond. Les 30 centimètres y sont et le gland presse le fond du vagin de Manon. Il enchaîne alors des mouvements lents, puissants. Pour ce second coït, il veut faire durer le plaisir. Adrien, en tenant les jambes de sa femme relevées, est aux premières loges pour voir cet énorme mandrin qui entre et sort du vagin. Ce cocu voyeur n'a plus l'usage de ses mains pour se masturber mais la vue qu'il a devant lui fait que son érection subsiste sans cela. Il voit bien que Mamadou, dans son coït, s'arrête par instants, le sexe planté bien au fond. A un de ces moments plus longs que les précédents, il entend sa femme lui dire :

« Là, mon petit mari, je sens bien le gland presser sur le col de mon utérus. C'est peut-être à cet endroit que son sperme va gicler... si tu l'autorises à jouir en moi. Qu'en penses-tu? »

« Je ne sais pas. Peut-être ... puisque tu es sous contraception ... », lui répond son mari dont le sexe coule légèrement sans même qu'il ne se touche.

Ces échanges excitent aussi Mamadou, à l'évidence, car il amplifie ses mouvements et s'arrête maintenant longuement avec son sexe planté tout au fond. Manon a bien senti que son amant, en faisant cela, rentrait dans son jeu érotique, aussi poursuit-elle pour son mari :

« C'est toi qui m'a dit que ma mini-pilule n'était pas fiable à 100 %. Tu t'en souviens, je pense. Aujourd'hui est une des journées les plus dangereuses pour moi. Imagine que je sois juste dans le petit pourcentage des défauts de protection. Imagine que je tombe enceinte de Mamadou et accouche d'un enfant noir ... »

« Oh, mon dieu ! », s'exclame Adrien.

Cette conversation entre les deux époux a fait monter encore d'un cran l'excitation de Mamadou. Engrosser une femme blanche est au top de ses fantasmes. Il va avoir du mal à retenir son éjaculation. Manon l'a ressenti, comme si elle avait un sixième sens, aussi dit-elle :

« Allez, mon mari cocu, décide-toi ! Où veux-tu que Mamadou fasse gicler sa semence? »

« En toi, en toi ! », s'écrie Adrien.

Ces mots sont suivis du hurlement des deux amants qui viennent de jour dans un parfait ensemble.

Après un instant de récupération, Mamadou a la décence de s'absenter pour aller à la salle de bain pour se doucher, laissant ainsi le couple se retrouver. Il doit bien ça à son patron qui lui a prêté sa si jolie femme.

Dès son départ, Manon écarte largement ses cuisses, exposant l'ouverture d'un vagin d'où s'écoule un liquide blanc onctueux, preuve de son infidélité, avant de dire :

« Adrien, mon chéri, j'ai un vrai travail de cocu pour toi. »

Alors, son mari se met à la tâche, suçant et léchant les lèvres intimes, plaquant sa bouche pour aspirer tout ce qui est en elle. Ses doigts viennent même fouiller le vagin de Manon pour en extraire le sperme et le boire.

Son travail fait, Adrien entraîne sa femme vers le séjour où ils s'installent. Manon n'a remis que sa nuisette transparente et Adrien n'a même pas pris le temps de remettre son sexe dans son pantalon. Ils ont tous deux envie de poursuivre leurs échanges érotiques. La main que Manon pose sur le sexe de son mari n'est là que pour entretenir le désir pendant une conversation intime.

« Tu m'as parue bien excitée à l'idée de pouvoir être engrossée par ton amant, n'est-ce pas? », dit Adrien.

« C'est vrai. C'est un fantasme très fort. Mais cela t'as excité autant que moi ! », lui répond Manon.

« Lorsque j'ai dit à Mamadou de jouir en toi, je savais que les risques étaient très faibles, mais ... j'ai honte de te le dire ... j'aurais aimé que cela ne soit pas le cas. Évidemment, si tu ne prenais plus la pilule, il faudrait éviter des périodes aussi dangereuses, mais d'autres moments pourraient être très excitants. Tu pourrais encore te faire prendre devant moi par tes amants, sans protection. Je serais le seul à mettre un préservatif pour te faire l'amour ... »

Manon l'interrompt alors par :

« Bien sûr, ça restera obligatoire pour toi ... mais qui te dit que tu auras encore le droit de me prendre? »

« Oh, ça serait si dur ! Tu es ma femme, tout de même ! », répond Adrien.

« N'oublie pas que tu n'es pas que mon mari. Tu es aussi mon cocu », réplique Manon, qui repense à tout ce qu'elle a lu sur Internet sur ce type de relation, aussi ajoute-telle :

« Quand j'aurai envie d'être gentille, tu auras droit à une petite branlette. Sinon, il te restera ta main ... sauf si, un jour, il me prend l'envie de te l'interdire. »

Adrien imagine très bien comment pourrait se concrétiser cette interdiction, car ils ont regardé, il y a quelques temps, un film pornographique où la femme se fait prendre par un amant bien monté devant son mari dont la petite bite est dans une cage de chasteté. A cette pensée, il se sent à la fois angoissé et excité. Son sexe bande si durement, qu'il a envie de poursuivre leur conversation, aussi dit-il :

« Manon, si tu ne prenais plus la pilule, tu pourrais ressentir une excitation plus forte à chaque fois qu'un amant ferait gicler sa semence en toi. Tu saurais bien que, même dans les périodes les moins dangereuses, il y a toujours un petit risque. Peut-être tenterais-tu de choisir des dates plus proches d'une période risquée? Tu en serais sûrement encore plus excitée. Plus le risque sera grand, plus ton plaisir le sera aussi. Cela te poussera à aller à chaque fois un peu plus loin ... jusqu'au jour où ... »

Adrien n'a pas pu finir sa phrase car il vient de jouir un peu dans la main de Manon, avant de bloquer douloureusement son éjaculation, tant il a envie de connaître la réponse de sa femme adultère. D'une voix sans doute érayée par l'excitation, il questionne :

« Que penses-tu de cela, ma chérie? »

Manon ne lui répond que :

« Met donc ta main sur ma chatte pour avoir ta réponse. »

Sous les doigts d'Adrien, la vulve est trempée et Manon part dans un orgasme purement cérébral, alors que son mari laisse venir enfin son éjaculation.

Dès le lendemain, Manon va voir sa mère, comme elle le fait souvent car elles sont très proches. Avec Nathalie la relation est plus celle d'une grande sœur que d'une mère. Entre elles, il n'y a pas de tabou. C'est pourquoi Manon ose aborder le sujet de ses relations adultères et son envie de les pimenter par le risque de relations non protégées. Nathalie n'est pas du tout choquée et lui avoue même qu'elle a toujours eu ce fantasme, mais elle ne va pas jusqu'à avouer à sa fille qu'elle s'était faite engrosser par le mari de celle-ci avant sa fausse couche. Sa mère lui conseille de voir Roxana, dont la spécialité en sexologie devrait lui permettre d'être de bon conseil.

Quelques heures plus tard Manon se présente au cabinet de Roxana. Manon lui explique son problème, ou plutôt son envie. Roxana la comprend parfaitement et l'encourage même.

« Ma chérie », lui dit-elle, « Va dans cette voie sans hésiter. Tu vas ainsi cumuler deux plaisirs, le physique et le cérébral. Crois-moi, ce dernier n'est pas le moins intense. Plus tu seras proche du danger, plus il sera fort. Ce sera doublement jouer avec le feu, celui du danger et celui qui chauffera ta chatte. Mais, attention, tu seras de moins en moins raisonnable, alors évite de te brûler. Je vais te donner quelque chose qui va t'aider. »

Roxana installe sur le smartphone de Manon un petit logiciel de suivi de cycle féminin et lui explique :

« Voilà. Tu y rentreras les dates de tes règles. Le logiciel t'indiquera pour le jour en cours quel est ton niveau de risque grâce à un code de couleur : vert pour peu de risque, orange pour la limite, rouge pour le danger et bordeaux pour le jour d'ovulation et les 3 jours qui précèdent. Plus tu saisiras de dates d'indisposition, plus le système connaîtra bien ton cycle et sera précis dans ses résultats. Je te conseille de commencer tes aventures dans les zones vertes. Tu seras déjà bien excitée car le danger n'est pas complètement nul. Tu pourras ensuite choisir la période orange si le risque accru te fait atteindre des sommets. Jouer dans le rouge est le plus excitant, c'est certain. Dans ce cas, tu demanderas à ton ou tes partenaires de ne pas jouir en toi ... mais peut-on avoir vraiment confiance? »

Manon la remercie et la quitte. A peine est-elle partie que Roxana appelle Nathalie pour lui dire :

« J'ai vu ta fille. Elle est prête et ira très loin, j'en suis sûre. Elle va t'étonner. Je suis certaine qu'elle sera plus salope que toi et ce n'est pas peu dire ! Laissons-la aller un moment seule dans cette voie. J'en parlerai également à son mari qui est dans la confidence. Puis il sera temps pour l'apothéose, pour ce dont nous avons parlé tous les trois. Nous ne mettrons les autres intervenants au courant qu'à la dernière minute. »

Adrien est dans une frustration sexuelle presque totale. Depuis quelques temps, Manon ne lui laisse plus la pénétrer, même avec le préservatif imposé. Elle ne lui a offert qu'une seule petite branlette rapide, lui disant que, s'il avait besoin de plus, il pouvait toujours utiliser sa main. Il sent bien que sa femme prend plaisir à le frustrer, façon de lui monter cette domination féminine qu'elle vient de découvrir. Il espère qu'elle se lassera vite de ce nouveau jeu si difficile pour lui. La dernière semaine a été terrible, car Manon, indisposée, ne lui a offert aucune acte sexuel, même minime, et il n'a même pas pu avoir son plaisir de voyeur pour la même raison.

Ce matin, Manon, enjouée, pose un petit baiser sur la bouche de son mari et lui dit :

« Ma mauvaise période est terminée. Si tu ne me fais pas l'amour, tu pourras tout de même profiter de tes plaisirs de voyeur car je te donnerai certainement du spectacle. Et puis j'ai une surprise pour toi qui va te plaire, je l'espère. »

Manon entraîne son mari dans les toilettes. Elle ouvre une boîte de médicaments et en verse le contenu dans la cuvette. Tout disparaît, alors qu'elle dit :