Indicible Ch 04

Informations sur Récit
Philippe et Eva se rencontrent à mon détriment.
2.7k mots
4.83
4.1k
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 01/21/2023
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La vision est sans doute brutale pour Eva. D'un mâle dominant et sûr de lui, elle voit une jolie rousse juchée sur des escarpins à très hauts talons avec des formes voluptueuses. Monsieur m'a en effet rasé le crâne et les sourcils, souhaitant qu'à l'avenir je les fasse épile comme le reste du corps, afin de pouvoir m'affubler de perruques très féminines. Mes sourcils sont marqués au mascara, mes yeux tirés en noir et les lèvres bien maquillées et brillantes. Avec ma peau toute lisse et la perruque flamboyante, je ne me suis pas reconnu dans le miroir, et je me suis trouvé très sexy!

Je porte une tenue de french maid ultra courte, dévoilant un décolleté vertigineux puisque je porte une poitrine de taille F, près de 2 kg, qui ne se devine pas tant elle imite bien une vraie. Monsieur m'a dit de m'habituer car il allait me faire implanter une telle poitrine après quelques mois d'injection intensive d'hormones. Il paraît que cela va déjà me faire une jolie poitrine avant même l'opération. Je reste dans mon état de sidération, sans être capable de penser quoique ce soit.

Eva soulève ma jupe pour découvrir ma culotte froufrou vide de mon sexe toujours atrocement supplicié, et elle découvre entre mes fesses l'émergence d'un gode en acier profondément fiché en moi. Elle caresse doucement mes fesses et me trouve sublime. Elle suit mes marques dans le dos du bout de l'ongle, autrement plus impressionnantes que celles de l'autre soir avec l'amazone! Eva plante ses yeux dans les miens et me demande sérieusement :

- Tu es sûr que cela va Greg?

Je ne suis sûr de rien, mais de toute façon je n'ai pas le temps de répondre à sa sollicitude. Monsieur est descendu.

- Je comprends que la petite chienne ait craquée pour vous Mademoiselle, vous êtes absolument superbe!

- Merci, mais je vous retourne le compliment en entier. Iel a définitivement bon goût.

Les deux se sourient, se comprennent, et entre deux fauves se reconnaissent. Sans qu'il y ait besoin d'un mot supplémentaire, il se rapprochent, se collent, s'embrassent doucement, passionnément. Leur étreinte est terriblement excitante ; donc douloureuse pour moi qui ne sait que faire. Ils se dirigent vers le salon, Monsieur m'intime l'ordre de leur servir un verre puis de me mettre dans un coin à genoux.

Je suis soulagé à genoux, la tension est bien plus supportable. Leur verre est intact, ils se regardent, se touchent, se caressent. Le sexe de Monsieur semble enchanter Eva, ses seins et son ventre plat mettent Monsieur dans tous ses états. Elle le lèche longuement, faisant tarder sa jouissance, réclamant sa semence au fond de son cul seulement. Il la caresse, l'ouvre de ses doigts, d'abord dans son sexe, puis dans son cul. Eva vient s'accroupir au-dessus de lui, et s'empale, les yeux fermés, à son rythme, jouissant en continu. L'image est torride ; je crois que mon sexe jouit dans sa cage de torture. C'est hallucinant de voir le sexe géant complètement disparaître en elle, qui fait d'intenses allers et retours. Puis une main sur son clitoris, elle se fait jouir et hurle son orgasme tandis que Monsieur, excité par la démonstration se répand enfin en elle!

Après cette première étreinte, je ne doute pas qu'il y en aura d'autres connaissant les deux prédateurs, Monsieur explique à Eva ses projets, tandis que je suis assigné au léchage des pieds de cette dernière. J'y prends un plaisir particulier, vide de tout, écoutant à peine la conversation qui porte pourtant sur moi.

Il lui explique l'épilation définitive du crâne et des sourcils pour pouvoir me modeler à sa guise, le corset que je porte et qui soutient mes bas par 4 Jarretelles de chaque côté, avec ses projets de réduire ma taille de mois en mois, puisque je serais coserté en permanence. Bien entendu tous les détails sur l'opération des seins, le développement de tétons avec les multiples anneaux qu'il y voit. Eva semble très excitée par toutes ces modifications et ces perversions.

Il lui montre le dispositif de chasteté qui l'impressionne. Il lui explique que je vais le garder un an et sans doute toute ma vie s'il ne décide pas de tout me couper. Car il n'y a aucune chance que dans un an je change d'avis : je serais tellement asservi et perdu que je ne saurais pas vivre autrement qu'à ses pieds! Je veux bien le croire. Je découvre ainsi, sans vraiment réagir, que je ne pourrais plus jamais jouir, et sans doute plus jamais même bander. Que mes couilles sont ainsi offertes uniquement pour me supplicier longuement, voire en permanence.

Il a décidé de s'installer dans la maison. Il va me la racheter, et avec l'argent que je vais toucher il va financer les travaux. Ainsi dans un an je n'aurais plus rien, d'ailleurs même plus de compte en banque. Eva s'inquiète de savoir si je suis bien d'accord, je la sens à la fois excitée par cette perversité, mais pas complètement convaincue. Monsieur va chercher deux grandes aiguilles dans une pochette et me demande de me mettre debout jambes écartées. En me fixant, sans que j'ai le droit de quitter son regard, il m'enfonce une aiguille dans chaque couille. Je flanche sur mes jambes, je gémis, j'implore, je promets tout ce qu'il veut. Rien n'y fait, l'aiguille pénètre la peau qui cède, puis s'enfonce comme dans du beurre dans ma noisette si précieuse. La sortie est à nouveau très douloureuse, mais je sens la fin proche. L'aiguille coulisse en me brûlant, la douleur est incroyable, et l'image dans ma tête est terriblement... perverse. La seconde suit le même chemin dans l'autre couille, je sais à quoi m'attendre aussi je peux m'offrir plus facilement, même si je tremble de tous mes membres et que je pleure à chaudes larmes. Oh j'ai tellement envie de bander! Je suis encore plus détraqué que lui!

- Que dis tu esclave?

- Merci Monsieur, merci infiniment.

- As-tu entendu ce que je viens de dire à ton amie?

- Oui Monsieur

- Es tu d'accord?

- Oui Monsieur

Il se retourne vers Eva qui est très impressionnée. Elle se caresse en regardant mes couilles ainsi torturées, et se fait jouir ainsi. Elle demande à Monsieur de me faire gémir pour qu'ils fassent l'amour sous mes cris. Cela le fait rire.

Ils sont tous deux dans ce qui était mon lit, enlacés, me regardant à peine, mais jouissant de mes souffrances que je ne peux plus contrôler. Sans enlever les aiguilles, Monsieur a ligoté mes couilles pour les suspendre au crochet du plafond et ainsi m'étirer vers le haut. Les souffrances sont abominables dans mon sexe comme dans mes couilles. Il a changé le gode qui était déjà très gros par un monstre qu'il a vrillé dans mon cul, le faisant tourner comme une vis pour l'enfoncer. Mon cul est alors explosé, et plus les minutes passent plus la douleur est intolérable. En particulier sur la plante des pieds, c'est étrange, rien à voir, mais les nerfs y sont à vif. Enfin, pour être certain que je crie assez longtemps, il a glissé des pinces crocodiles sur mes tétons, sous les faux seins, les serrant jusqu'à ce que les mâchoires traverses de part et d'autre ma chair tendre. Et c'est dans un gémissement incontrôlable et continue que je les vois faire l'amour pendant deux heures tandis que je me bats pour survivre. Car non seulement je suis en équilibre, mais Monsieur m'a couvert la tête d'une cagoule gonflable avec laquelle ma respiration est difficile.

Eva s'est assoupie après tant de cris et de hurlements de jouissance. Heureusement Monsieur vient partiellement me délivrer, me détachant du plafond, avand de m'envoyer dormir aux pieds du lit, et lui-même s'effondrer, ivre de plaisir.

Je suis épuisé et malgré les contraintes endurées, je m'endors comme une souche. Je me réveille en sursaut quelques heures plus tard. La maison est parfaitement silencieuse, je distingue à peine la respiration du couple au-dessus de moi. Le regard et l'interrogation d'Eva me reviennent en tête. C'est ce qui a provoqué mon réveil brutal. Je réalise d'un coup ma situation. Je suis comme dégrisé. Est-ce vraiment ce que j'ai voulu? Devenir l'esclave d'un homme? J'ai perdu le fil, je ne comprends plus l'enchaînement qui m'a conduit à dormir aux pieds de mon lit dans des souffrances sexuelles si intenses. Mais qu'est-ce qui m'a pris? Ai-je été drogué ou bien simplement je n'ai pas su mettre un stop à un homme bien trop entreprenant et manipulateur? Penser à lui ne me fait aucun effet, au contraire même! Cela me dégoute.

Bouger est une torture, les aiguilles sont toujours en place et le moindre mouvement de mes couilles est douloureux. Péniblement et sans un bruit je vais dans la salle de bain. Je me regarde après avoir enlevé la cagoule. C'est bien moi qui suis là sous ce mascara et cette perruque. Je la décolle, réalisant que je n'ai rien fait d'irréparable. Sauf le mail, mais cela je verrai plus tard. Je plonge mon regard dans mes pupilles cherchant à comprendre la folie qui m'a emportée.

Assis sur mon sexe, ne prenant garde ni au gode qui cogne contre mon bassin, ni à mon pénis écrasé, je décide d'enlever les aiguilles. Le sang a coagulé, elles semblent ne pas vouloir bouger. Les enlever est moins douloureux, d'autant que je peux adapter le rythme à la douleur. Le sang coule peu, le soulagement est intense, je me sens comme libéré, puissant. Je défais facilement le filin à ma taille et entre mes fesses, et le gode, lui aussi bien fiché dans mon cul met du temps à sortir. Il est parfaitement propre, sans surprise car je mange si peux et subis un lavement profond quotidien. Deuxième libération jouissive, je sens mon sexe enfin à sa place et vouloir bouger.

Je vais m'en occuper ensuite, d'abord desserrer puis enlever le corset qui m'éreinte le dos. Je suis surpris de la douleur au moment où je l'enlève, je ne m'y attandais pas! Les bas restent accrochés dessus, mon dos est tout strié des marques du lacet. Mais je suis d'un coup épuisé. Comme si j'avais perdus les fils qui me tenaient. Mais je ne m'arrête pas là!

Enlever la poitrine collée me donne l'impression de flotter, et soulage mes épaules endolories. Ces seins sont vraiment énormes et j'en viens à plaindre les femmes ainsi fortement dotées par la nature! Mes tétons sont écrasées, à la fois par le poids des seins mais aussi par les pinces qui les transpercent. Je m'y reprends à plusieurs reprises, c'est une plaie saignante et si sensible. Je bloque ma respiration et je suis foudroyé à chaque fois par la douleur incroyablement intense quand le sang reflue dans les chairs. Je me retiens de crier.

Je les masse longuement, je m'étire, retrouve l'usage de mon corps. Il ne reste plus que le principal. Je ne pense même pas à Monsieur, juste à ma situation et à ma volonté. C'est un sentiment jouissif, extatique. Je vais prendre une meuleuse dans mon garage, ainsi qu'une planche de bois pour me protéger. Avant de couper le cadenas, j'essaie de l'ouvrir avec deux pinces. En fait il ne me faut pas plus de 20 secondés pour le casser! C'est stupide mais du coup j'ai une pensée méprisante pour Monsieur qui n'a même pas un cadenas digne de ce nom!

La libération est progressive, la cage, puis le plug urétral. Je dévisse les pointes de l'anneau du pénis, les vis ont pris place dans la chair c'est alors aussi douloureux que de les visser. Je tremble de douleur. D'épuisement. Enfin je sors mon pénis de cet anneau bien trop petit, et mon sexe du cockring qui l'étire et le contraint. Je ne porte plus aucune contrainte. Mon sexe est dur tout de suite, si sensible, mais j'aime cette sensibilité. Sans hésiter, je me caresser, paradoxalement sur mon image avec cette perruque, et je jouis en quelques secondes. Mon Dieu que cela fait du bien. Je prendrais bien une douche, mais je ne veux pas les réveiller. Pas encore. Peut être me faire jouir un seconde fois.

***

- Il est 6 heures, l'heure des braves, il est temps de se lever!

J'ai ouvert grandes les lumières et arracher la couette, le couple endormi ouvre des yeux hallucinés se demandant ce qui se passe. Je suis habillé de mon seul jogging, le reste étant partie à la benne, et d'un sweatshirt. Eva me regarde éberluée, tandis que je guette la réaction de Philippe. Qui après un temps d'arrêt veut se jeter sur moi.

- Non mais cela ne va pas, pour qui tu te prends, qui t'a permis de te lever, de t'habiller.

- Vous avez 3 minutes pour quitter la maison tous les deux. Les valises sont faites en bas et n'attendent que vous. Le temps défile.

- Mais qu'est ce qui te prend, tu es devenu malade?

- Non j'arrête les frais

- Mais tu ne peux plus tu sais bien.

- La preuve que si.

- Mais non, tu imagines tout ton carnet d'adresse qui va recevoir tes photos, avec les nouvelles que j'ai faites hier.

- Je serais toi je ne le ferais pas

- Et pourquoi donc petit merdeux?

- C'est un délit puni par la loi, et tu iras en prison, sois en certain.

- Ah ah, parce que tu vas porter plainte.

- C'est déjà fait.

Ils me regardent tous les deux abasourdis. Là Philippe comprend que sa manipulation a mal tourné. Je lui détaille qu'il y a deux heures j'étais au poste de police, avec les marques que j'ai dans le dos, les photos prises et le mail envoyé, ils n'ont pas accepté que je fasse juste une main courante, et m'ont fait faire une plainte. Ils ne devraient pas tarder à venir les cueillir tous les deux.

- Mais moi je n'y suis pour rien?

Eva a les larmes aux yeux. C'est drôle comme les choses changent d'un coup. Je l'aime bien, et si j'ai réagi c'est grâce à elle. Et je sais bien qu'elle n'a rien fait. Mais elle aurait du tout arrêter. Ne pas avoir de limite impose d'avoir des limites de bon sens. Oui je sais c'est paradoxal. Philippe veut me menacer, et je ne cesse de lui rappeler que ce n'est pas la bonne technique pour que je retire ma plainte. Ce qu'il ne sait pas c'est que j'en suis resté à la main courante en fait, mais le passage en plainte se ferait vraiment simplement.

Dans les trois minutes et la nuit qui n'a pas encore terminé sa ronde, ils sont partis, sortis de ma vie. Il ne me reste plus qu'à racheter des habits, trouver un nouvel architecte. Philippe a 24h pour me renvoyer mon acompte et annuler notre contrat. Je souffle, je ris aussi. Oui cela m'a bien fait rire. Et je me dis que je suis le dernier des crétins. Il ne faut pas faire de sa sexualité sa vie! Je vais l'écrire au feutre sur mon mur!

J'éclate de rire, sans doute l'épuisement psychique autant que physique. Avant de sombrer je me décide à mettre un mot à Aurore, ma cliente, qui a reçu un mail de Philippe avec mes photos choquantes. J'explique la situation en quelques mots, lui exprime mes excuses. Je ne pense pas qu'elle revienne vers moi, mais au moins j'aurais réparé ce qui a été fait. Enfin j'aurais essayé.

J'émerge près de 12 heures plus tard. Mon téléphone est submergé de message de Eva qui panique complètement. La torture pour elle a assez duré et je lui indique que je vais l'exclure de ma plainte. Elle me propose même de me venger sur elle si je le souhaite, cela me donne des idées, pourquoi pas. Un petit massacre sur ses magnifiques seins peut être? Mais non elle est juste sans limite et n'a pas su voir que c'était allé trop loin. Philippe m'indique qu'il renonce au contrat et me renvoie mon chèque d'acompte. Je suis ainsi bordé juridiquement. Il ne rajoute rien, son orgueil a du en prendre un sacré coup.

Plus surprenant, une réponse d'Aurore. J'attends d'avoir éclusé tous les autres messages pour la lire.

« Greg, pourquoi inventer toute cette histoire. Je t'ai répondu ce que tu attendais que je réponde non? Tu voulais me provoquer. Mais tu m'as aussi beaucoup émoustillée. Je me suis beaucoup caressée sur tes photos. Tu imagines, si elles étaient diffusées partout? Dinons un soir ensemble, tu m'as donné plein d'envies... »

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4 Commentaires
lecocqlecocqil y a environ 1 an

ne suite peut être

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Bonjour. Étant habitué à vos récits, je reste sur ma faim. J'avous que si c'est la fin de l'histoire, je suis un peu déçu. Mais merci pour vos contributions., elles sont au top quand même. Flag

meo75meo75il y a environ 1 anAuteur

Cela s'appelle un déchirement d l'illusion, certains l'ont peut être connu, moi oui. C'est très violent et inattendu.

Oui il y a une suite

AnonymousAnonymeil y a environ 1 an

Voilà un retournement de situation qu'on espérait plus tant il semblait sous l'emprise de cet homme !

Y aura t'il une suite ?

OlivX

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